La CREPUQ s'oppose fermement à la décision du gouvernement fédéral d'abolir
l'obligation de remplir la version longue du questionnaire du recensement de
2011
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CONFERENCE DES RECTEURS ET DES PRINCIPAUX DES UNIVERSITES DU QUEBEC (CREPUQ)15 juil, 2010, 16:08 ET
MONTRÉAL, le 15 juill. /CNW Telbec/ - La Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) a appris avec consternation la décision du gouvernement fédéral d'abolir l'obligation de remplir la version longue du questionnaire du recensement de 2011. Cette annonce suscite une vive inquiétude au sein des établissements universitaires québécois.
"La communauté universitaire québécoise déplore cette décision et considère qu'elle entraînera une perte inestimable d'informations de grande qualité essentielles non seulement pour les travaux des chercheurs, mais aussi pour l'ensemble de la population canadienne", a déclaré le président du Conseil d'administration de la CREPUQ, monsieur Denis Brière, recteur de l'Université Laval.
"La CREPUQ invite le ministre de l'Industrie, monsieur Tony Clement, à reconsidérer cette décision et à maintenir les procédures du recensement qui sont raisonnables et qui ont su démontrer leur très grande utilité", a pour sa part souligné monsieur Daniel Zizian, président-directeur général de la CREPUQ.
La CREPUQ regroupe les établissements universitaires du Québec. Elle agit comme porte-parole auprès du gouvernement et des milieux intéressés à l'enseignement universitaire. Elle est également un outil de coordination et de concertation entre les universités, un centre de recherche au service des administrations universitaires, un agent coordonnateur de services communs, ainsi qu'un centre de ressourcement et de réflexion pour ses membres.
Renseignements: Chantal Pouliot, directrice des communications, Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec, 514 288-8524, poste 244
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