360 emplois perdus depuis le début de la campagne électorale
« JEAN CHAREST DEVRAIT AVOIR HONTE DE SE PRÉTENDRE LE CHAMPION DE L'ÉCONOMIE »
- Nicolas Marceau
MONTRÉAL, le 4 août 2012 /CNW Telbec/ - « La campagne électorale n'est vieille que de quatre jours et déjà le bilan des pertes d'emplois est impressionnant : 360 travailleurs ont perdu leur emploi depuis mercredi dernier. Le jour du déclenchement, l'entreprise Novelis fermait ses portes jetant à la rue 160 travailleurs de Saguenay. Hier, l'usine Paccar de Sainte-Thérèse annonçait la mise à pied de 200 travailleurs dans la plus grande indifférence du gouvernement libéral. Jean Charest devrait avoir honte de se prétendre le champion de l'économie devant un tel bilan », a lancé le candidat du Parti Québécois dans la circonscription de Rousseau, Nicolas Marceau.
« Jean Charest vient de faire la démonstration que l'économie n'est prioritaire que dans ses discours et non dans ses actions. Ces 360 travailleurs ont perdu leur emploi dans la plus grande indifférence du premier ministre davantage préoccupé par sa réélection que par le sort de ces familles. De surcroît, Jean Charest promettait en même temps de créer 250 000 emplois d'ici à 2017 en copiant les projections d'un rapport d'Emploi-Québec datant de 2011, une promesse qualifiée de peu ambitieuse par plusieurs », a ajouté Nicolas Marceau.
Le candidat du Parti Québécois dans la circonscription de Groulx, Raymond Archambault, a tenu à rappeler qu'en 1999, le gouvernement du Parti Québécois était parvenu à sauver les emplois des travailleurs de l'usine Paccar par ses interventions musclées. « Un gouvernement du Parti Québécois mettra de nouveau tout en oeuvre pour préserver les emplois des travailleurs de Paccar contrairement à l'indifférence libérale. S'il voulait vraiment être un champion de l'économie, Jean Charest répondrait aux attentes des employés de l'usine Paccar et de leur famille. »
« De 1998 à 2003, le gouvernement du Parti Québécois a contribué à la création de 362 000 emplois dont 124 000 en 2002 seulement, alors que Pauline Marois était ministre des Finances », a conclu Nicolas Marceau.
SOURCE : PARTI QUEBECOIS
Source : Bureau de presse
Renseignements :
Manuel Dionne
Attaché de presse
514 526-0020
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