À New York, la ministre Monsef met en relief les mesures prises par le gouvernement du Canada pour l'avancement de l'égalité entre les sexes English
NEW YORK, le 31 janv. 2018 /CNW/ - La population canadienne croit dans l'égalité entre les sexes, mais nous devons continuer à agir avec audace pour en faire une réalité.
L'honorable Maryam Monsef, ministre de la Condition féminine, a participé aujourd'hui à la conférence Women in Corporate Leadership (les femmes et le pouvoir dans les sociétés), tenue à New York. La présence du Canada aux côtés de la France et des États-Unis illustre bien la collaboration qui existe entre ces trois membres du G7 en matière d'égalité des sexes. La ministre Monsef a pu rencontrer à cette conférence des sommités d'horizons divers, y compris du secteur privé, du secteur public, du milieu universitaire et du conseil d'administration de sociétés. La délégation canadienne incluait également Phyllis Yaffe, consule générale du Canada à New York, Katie Telford, chef de cabinet du premier ministre du Canada, et des dirigeantes et dirigeants comme Annette Verschuren et Victor Dodig. De grandes sociétés étaient aussi représentées, dont la CIBC, Macy's, L'Oréal USA et IBM. Toutes et tous s'entendaient pour dire qu'il faut augmenter le nombre de femmes qui, à l'échelle mondiale, ont accès à des postes de pouvoir au sein des sociétés et ont profité de la conférence pour mettre en lumière les stratégies à déployer pour y arriver, de même que les réussites à ce jour.
Pendant son allocution, la ministre Monsef a décrit un éventail d'initiatives d'importance lancées par le gouvernement du Canada pour mieux appuyer la classe moyenne, favoriser une croissance économique inclusive et améliorer les possibilités offertes aux femmes et aux filles. Par exemple, le Canada, qui présidera le G7 cette année, s'est notamment donné comme priorité de promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomie économique des femmes pendant sa présidence du groupe. Les initiatives canadiennes incluent aussi un programme commercial progressiste conçu pour garantir que tous les segments de la population profitent des occasions offertes par le commerce et l'investissement, la nomination d'un plus grand nombre de femmes à des postes de pouvoir, ainsi que l'adoption de réformes pour promouvoir une plus grande diversité au sein des sociétés.
Fière de s'associer à des dirigeantes et dirigeants du milieu canadien des affaires, la ministre Monsef a saisi l'occasion pour souligner certaines des mesures déjà mises en œuvre par le gouvernement du Canada, notamment : les projets de loi déposés pour offrir aux femmes des milieux de travail plus inclusifs et encourager leur accès aux conseils d'administration des sociétés canadiennes, sans oublier le financement d'organismes qui travaillent à aplanir les obstacles à l'accès des femmes aux postes d'influence. Les idées échangées au cours de la conférence d'aujourd'hui permettront de trouver des moyens novateurs de favoriser l'avancement de l'égalité des sexes au pays et à l'étranger.
Citations
« Il est important que les personnes qui occupent des postes d'influence écoutent, apprennent et donnent l'exemple. Voilà pourquoi je suis heureuse d'avoir l'occasion de partager avec cette assemblée de femmes et d'hommes certaines des stratégies les plus importantes adoptées par le Canada pour favoriser la sécurité et la prospérité économiques des femmes dans le cadre d'un programme de croissance économique inclusive. L'un des gestes les plus simples et les plus efficaces que nous puissions poser, c'est de recruter, promouvoir et maintenir en poste un plus grand nombre de femmes. Non seulement parce que c'est équitable, mais aussi parce qu'il est judicieux de le faire. J'invite donc les Canadiennes et Canadiens à engager un dialogue à ce sujet avec le mot-clic #femmesdepouvoir. »
L'honorable Maryam Monsef, P.C., députée
Ministre de la Condition féminine
« Notre gouvernement s'est engagé à promouvoir un programme commercial progressiste, qui crée plus de possibilités pour tout le monde, y compris les femmes et les peuples autochtones, de bénéficier de l'économie. Il est temps de reconnaître officiellement qu'il existe un lien important entre le commerce et l'égalité des sexes. Non seulement est-ce la bonne chose à faire, mais cela est tout simplement justifié sur le plan économique et il était grand temps de le dire. »
L'honorable François-Philippe Champagne, C.P., député
Ministre du Commerce international
Les faits en bref
- Condition féminine Canada travaille à aplanir les obstacles systémiques à la pleine participation des femmes dans tous les aspects de la vie au Canada. Il concentre ses efforts dans trois domaines, à savoir : l'amélioration de la sécurité et de la prospérité économiques des femmes; l'accès des femmes aux postes de responsabilité et de décision; et l'élimination de la violence faite aux femmes et aux filles.
- À l'heure actuelle, la députation fédérale est à 27 % féminine -- un record dans l'histoire de la politique canadienne.
- Depuis 2015, le pourcentage de femmes nommées à des postes de pouvoir par le Cabinet fédéral a augmenté de 40 %.
- Les femmes occupent seulement 23 % des sièges des conseils d'administration des sociétés, c'est pourquoi le gouvernement a présenté le projet de loi C-25, qui modifiera la Loi canadienne sur les sociétés par actions et encouragera la nomination d'un plus grand nombre de femmes aux conseils d'administration des sociétés.
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SOURCE Condition féminine Canada
Célia Canon, Attachée de presse, Cabinet de la ministre de la Condition féminine, 613-862-3270; Nanci-Jean Waugh, Directrice générale, Condition féminine Canada, 819-420-6810
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