MONTRÉAL, le 11 août 2016 /CNW Telbec/ - Aimia Inc. (TSX: AIM), une société de marketing propulsé par les données et l'analytique de la fidélité, annonce aujourd'hui ses résultats du trimestre terminé le 30 juin 2016. Toutes les données financières sont présentées en dollars canadiens, sauf indication contraire. Le présent communiqué renferme des mesures non conformes aux PCGR, qui sont décrites plus en détail à la fin du présent communiqué de presse.
Faits saillants1) :
- La facturation brute du deuxième trimestre a reculé en raison de la diminution des émissions dans le cadre du programme Nectar, ce qui reflète le calendrier des campagnes promotionnelles de 2016 qui seront mises en œuvre vers la fin de l'exercice.
- Aéroplan a été soutenue par une augmentation de la facturation brute liée aux cartes financières de 3 %, ce qui est de bon augure pour l'atteinte de la croissance prévue de ce programme pour l'exercice en entier.
- Des progrès ont été réalisés au chapitre de la simplification et du recentrage des activités; les cessions d'actifs non stratégiques ont généré un produit total de 38 M$. La Société continue d'évaluer et d'envisager la possibilité de procéder à d'autres cessions de placements et d'actifs non stratégiques.
- Les efficiences opérationnelles découlant des mesures de réduction des coûts mises en œuvre en 2015 ont eu une incidence favorable sur le BAIIA ajusté; la Société est en bonne voie de réaliser des économies de coûts additionnelles de 20 M$, telles qu'annoncées précédemment, dès le début de 2017.
- Les prévisions pour 2016 ont été mises à jour afin, de rendre compte de l'incidence défavorable des fluctuations des cours de change sur la facturation brute à la suite du Brexit et des progrès réalisés au chapitre des efficiences opérationnelles.
FAITS SAILLANTS 1) |
Trimestres terminés les 30 juin |
|||
(en millions de dollars canadiens, |
2016 |
2015 |
Variation |
Variation |
Facturation brute |
560,7 |
605,3 |
(7,4) |
(7,6) |
Total des produits des activités ordinaires |
525,4 |
536,9 |
(2,1) |
(2,4) |
Résultat d'exploitation2) |
(17,1) |
23,3 |
** |
** |
BAIIA ajusté2) |
54,6 |
107,5 |
(49,2) |
(49,2) |
Résultat net2)3)4) |
7,2 |
32,6 |
(77,9) |
** |
Résultat par action ordinaire2)3)4) |
0,02 |
0,17 |
(88,2) |
** |
Résultat net ajusté par action ordinaire2)3)4) |
0,33 |
0,54 |
(38,9) |
** |
Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation |
58,6 |
82,9 |
(29,3) |
** |
Flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes |
44,2 |
59,2 |
(25,3) |
** |
Flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action ordinaire |
0,26 |
0,32 |
(18,8) |
** |
** Information non significative |
Se reporter à la rubrique « Notes » pour obtenir des précisions sur les notes des tableaux du présent communiqué de presse |
Rupert Duchesne, chef de la direction du groupe, a déclaré : « La saine croissance du nombre de cartes de crédit financières en circulation nous a permis un retour à la croissance pour la facturation brute au titre des cartes de crédit financières du programme Aéroplan. De plus, les membres Aéroplan ont accueilli favorablement les changements que nous avons apportés en vue de leur permettre d'obtenir des vols sans débourser le moindre sou. En ce qui a trait au programme Nectar, les campagnes promotionnelles seront pondérées vers la fin de l'exercice.
« Nous avons pris des mesures afin de simplifier davantage nos activités, notamment en procédant à des cessions d'actifs non stratégiques. Nous nous attendons à dégager de solides résultats au deuxième semestre, en mettant l'accent sur une gestion assidue des charges d'exploitation, conjuguée à la croissance d'Aéroplan. »
Faits saillants des résultats consolidés1)
Trimestre terminé le 30 juin 2016 par rapport au trimestre terminé le 30 juin 2015 :
- La facturation brute s'est chiffrée à 560,7 M$, en comparaison de 605,3 M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. La hausse de 6,0 M$ de la facturation brute au titre des unités de fidélisation dans le cadre du programme Aéroplan grâce à une augmentation des volumes d'achat du principal partenaire financier du programme et d'un nouveau partenaire du secteur de la vente au détail a été plus que contrebalancée par la diminution de 42,0 M$ la facturation brute au titre de la vente des unités de fidélisation dans le cadre du programme Nectar en raison du calendrier des campagnes promotionnelles, qui seront mises en œuvre au deuxième semestre de l'exercice en cours, et de l'incidence des restrictions de nature réglementaire dans le secteur de l'énergie. La facturation brute au titre des services de fidélisation et autres a diminué de 7,6 M$ en raison de la perte de contrats et de la diminution du volume de distribution de primes, facteurs qui ont plus que contrebalancé l'augmentation de la facturation brute au titre des plateformes de fidélisation.
- Le BAIIA ajusté s'est établi à 54,6 M$, ou 9,7 % de la facturation brute, en comparaison de 107,5 M$, ou 17,8 % de la facturation brute, pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. Si l'on ne tient pas compte de l'ajustement favorable de 45,7 M$ lié à la provision au titre de la migration des cartes qui avait été apporté au cours du trimestre correspondant de l'exercice précédent, le BAIIA ajusté a diminué de 7,2 M$ en devises constantes. Ce recul est attribuable à l'augmentation de 13 % du BAIIA ajusté du secteur Coalitions des Amériques et aux efficiences opérationnelles, contrebalancées par la diminution du volume de ventes d'unités de fidélisation et la hausse des frais de marketing engagés dans le cadre du programme Nectar, par la diminution de l'apport des services de fidélisation dans les divisions Coalitions des Amériques et Solutions de fidélisation mondiales, par l'incidence du moment où la distribution de PLM a été reçue et par l'augmentation des dépenses liées à la mise en œuvre des ententes d'impartition relatives aux technologies.
- Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes se sont chiffrés à 44,2 M$, en comparaison de 59,2 M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent, ce qui s'explique principalement par la baisse de la facturation brute et par la diminution des distributions de placements mis en équivalence, en partie contrebalancées par la diminution du coût des primes et coûts directs, par la baisse des dépenses en immobilisations et par la diminution de l'impôt sur le résultat payé. Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action ordinaire se sont chiffrés à 0,26 $, en comparaison de 0,32 $ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent, ce qui s'explique par les facteurs mentionnés ci-dessus.
Semestre terminé le 30 juin 2016 par rapport au semestre terminé le 30 juin 2015 :
- La facturation brute s'est chiffrée à 1 133,7 M$, en comparaison de 1 200,5 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent, soit une diminution de 66,8 M$. En devises constantes, la facturation brute a diminué de 82,7 M$, l'augmentation de 5,4 M$ de la facturation brute au titre de la vente des unités de fidélisation dans le cadre du programme Aéroplan ayant été plus que contrebalancée par la diminution de 71,3 M$ de la facturation brute au titre de la vente des unités de fidélisation dans le secteur Coalitions internationales qui a résulté principalement du recul affiché par le programme Nectar et de la fin des activités du programme Nectar Italia. La facturation brute au titre des services de fidélisation et autres a diminué de 16,8 M$ en raison de la perte de contrats et de la diminution du volume de distribution de primes, facteurs qui ont plus que contrebalancé l'augmentation de la facturation brute au titre des plateformes de fidélisation et l'amélioration enregistrée par le secteur Coalitions internationales.
- Le BAIIA ajusté s'est établi à 103,2 M$, ou 9,1 % de la facturation brute, en comparaison de 159,3 M$, ou 13,3 % de la facturation brute, pour la période correspondante de l'exercice précédent. Si l'on ne tient pas compte de l'ajustement favorable de 45,7 M$ lié à la provision au titre de la migration des cartes qui avait été apporté au cours de la période correspondante de l'exercice précédent, la diminution de 11,4 M$ en devises constantes est attribuable à une augmentation de 2 % du BAIIA ajusté du secteur Coalitions des Amériques, à une augmentation des distributions de placements mis en équivalence et aux efficiences opérationnelles, facteurs qui ont été plus que contrebalancés par la diminution de l'apport des programmes de fidélisation dans le secteur Coalitions internationales, par la baisse de l'apport des services de fidélisation et autres dans la division Solutions de fidélisation mondiales et par la hausse des dépenses liées aux technologies de l'information.
- Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes se sont chiffrés à 25,3 M$, en comparaison de 64,4 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent, ce qui s'explique principalement par le montant de 20,4 M$ reçu de Revenu Québec au premier trimestre de 2015. Le solde de l'écart défavorable de 18,7 M$ est principalement attribuable à une diminution de 66,8 M$ de la facturation brute, à une variation nette défavorable de 38,7 M$ du fonds de roulement, incluant le paiement d'indemnités de départ de 11,8 M$ en lien avec les activités de restructuration annoncées au cours de l'exercice précédent, et à une hausse des charges d'exploitation en trésorerie attribuable aux coûts engagés dans le cadre de la transition liée aux technologies de l'information au cours du premier semestre de l'exercice. Ces facteurs ont été en partie contrebalancés par la diminution du coût des primes et coûts directs et par la baisse des dépenses en immobilisations. Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action ordinaire se sont chiffrés à 0,11 $, en comparaison de 0,32 $ pour la période correspondante de l'exercice précédent, ce qui s'explique par les facteurs mentionnés ci-dessus.
Prévisions pour 2016
Aimia a mis à jour les prévisions pour l'exercice se terminant le 31 décembre 2016 qu'elle avait précédemment publiées le 24 février 2016 (et inchangées le 12 mai 2016) afin, principalement, qu'elles rendent compte de l'incidence défavorable des fluctuations des cours de change sur la facturation brute à la suite du Brexit, de l'incidence des cessions d'actifs non stratégiques, et des progrès réalisés au chapitre des efficiences opérationnelles. Les prévisions d'Aimia sont actuellement les suivantes :
(en millions de dollars canadiens) |
2015 |
Prévisions pour |
Prévisions pour |
Facturation brute |
2 469,0 $ |
Stable |
Fourchette de 2 300 $ à 2 350 $ |
BAIIA ajusté et |
233,4 $ |
Supérieure à 9 % |
Approximativement 9,5 % |
marge du BAIIA ajusté |
9,5 % |
||
Flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes |
206,8 $ |
Fourchette de 190 $ à 220 $ |
Fourchette de 190 $ à 210 $ |
Dépenses en immobilisations |
93,6 $ |
Fourchette de 75 $ à 85 M$ |
Fourchette de 70 $ à 80 M$ |
Se reporter à la rubrique « Énoncés prospectifs » ci-après concernant les hypothèses sous-jacentes aux prévisions ci-dessus et aux risques y afférents, incluant les fluctuations des cours de change et le risque de change. |
1) Le BAIIA ajusté pour 2015 ne tient pas compte de l'incidence favorable de la reprise de la provision au titre de la migration des cartes de 45,7 M$ ni des indemnités de départ de 15,7 M$. Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes pour 2015 tiennent compte d'un remboursement d'impôt de 41,1 M$, mais ne tiennent pas compte des indemnités de départ payées totalisant 4,5 M$ en lien avec les changements organisationnels annoncés le 14 août 2015. |
2) Le BAIIA ajusté pour 2016 et les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes pour 2016 ne tiennent pas compte de l'incidence des indemnités de départ ou des paiements liés aux changements organisationnels annoncés le 14 août 2015 ni des autres mesures qui pourraient être mises en œuvre en lien avec la restructuration ou la cession éventuelle d'actifs non stratégiques. 3) Les prévisions mises à jour incluent une réduction de la facturation brute d'environ 25 M$ due aux cessions des activités de Cardlytics au Royaume-Uni et des activités liées aux services d'amélioration. Nos prévisions mises à jour pour 2016 tiennent compte de l'incidence sur le BAIIA ajusté et les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes. |
Faits saillants par secteur pour le deuxième trimestre de 20161)
Se reporter à la rubrique « Notes » pour obtenir des précisions sur les notes des tableaux du présent communiqué de presse.
Coalitions des Amériques - Retour à la croissance pour les cartes de crédit financières Aéroplan et solide rendement du BAIIA ajusté
- La facturation brute s'est chiffrée à 378,3 M$ pour le deuxième trimestre, en comparaison de 376,0 M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. L'augmentation de la facturation brute au titre de la vente des unités de fidélisation est attribuable à une amélioration de 7,0 M$ affichée par le secteur financier en raison d'une hausse des volumes d'achat attribuable aux acquisitions de nouvelles cartes, en partie contrebalancée par une baisse des volumes d'achat des autres partenaires financiers et par l'incidence des frais d'interchange sur le prix de vente moyen des milles. L'amélioration de 3,3 M$ affichée par le secteur du commerce de détail en raison essentiellement de l'accueil d'un nouveau partenaire a été partiellement neutralisée par le recul de 2,4 M$ qu'a enregistré le secteur du transport aérien en raison en partie de la plus grande demande des consommateurs pour des vols à tarifs moins élevés offerts par le principal partenaire du secteur du transport aérien du programme et par la baisse enregistrée dans le secteur du transport autre qu'aérien. La facturation brute au titre des services de fidélisation et autres a diminué de 3,7 M$. Depuis le début de l'exercice, la facturation brute s'est chiffrée à 729,6 M$, en comparaison de 737,9 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent, en raison de facteurs semblables à ceux qui ont influé sur la facturation brute du trimestre.
- Le nombre de milles Aéroplan émis au cours du trimestre écoulé a augmenté de 4,1 % en raison de la hausse des volumes d'achat découlant des nouvelles cartes de crédit financières acquises auprès du principal partenaire financier du programme ainsi que de la plus forte accumulation dans le secteur de la vente au détail, en partie contrebalancées par la plus faible accumulation dans le secteur du transport aérien. Si l'on ne tient pas compte des milles promotionnels, le nombre de milles Aéroplan émis au cours du trimestre écoulé a augmenté de 1,9 % par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent. Depuis le début de l'exercice, le nombre de milles Aéroplan émis a augmenté de 2,1 %, ou de 0,8 % si l'on ne tient pas compte des milles promotionnels. Le volume de milles Aéroplan échangés s'est accru de 4,9 % au deuxième trimestre, en raison de la hausse du nombre de primes-voyages émises. Pour l'exercice à ce jour, le volume de milles Aéroplan échangés a affiché une hausse de 0,4 %.
- Le BAIIA ajusté s'est établi à 61,4 M$, ou 16,2 % de la facturation brute, en comparaison de 100,1 M$, ou 26,6 % de la facturation brute, pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. Si l'on ne tient pas compte de l'ajustement favorable de 45,7 M$ lié à la provision au titre de la migration des cartes qui avait été apporté au cours de la période correspondante de l'exercice précédent, le BAIIA ajusté a augmenté de 7,0 M$, en raison principalement de la hausse du volume de ventes d'unités de fidélisation dans le cadre du programme Aéroplan, de la diminution du coût unitaire par mille et de la réduction des charges d'exploitation dans l'ensemble du secteur, en partie contrebalancées par la baisse de l'apport des services de fidélisation. Pour l'exercice à ce jour, le BAIIA ajusté s'est établi à 110,1 M$, ou 15,1 % de la facturation brute, en comparaison de 153,4 M$, ou 20,8 % de la facturation brute, pour la période correspondante de l'exercice précédent. Si l'on ne tient pas compte de l'ajustement favorable de 45,7 M$ lié à la provision au titre de la migration des cartes qui avait été apporté au cours de la période correspondante de l'exercice précédent, le BAIIA ajusté a augmenté de 2,5 M$, en raison des mêmes facteurs qui ont influé sur le BAIIA ajusté du trimestre.
Coalitions internationales - Diminution des émissions dans le cadre du programme Nectar attribuable au calendrier des campagnes promotionnelles de 2016
- La facturation brute s'est établie à 130,7 M$ pour le trimestre écoulé, en comparaison de 174,2 M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. En devises constantes, la facturation brute a diminué de 42,8 M$, ce qui s'explique par un recul de 42,0 M$ affiché par le programme Nectar en raison du calendrier des campagnes promotionnelles, qui seront mises en œuvre vers la fin de l'exercice, et par l'incidence des restrictions de nature réglementaire dans le secteur de l'énergie. Pour l'exercice à ce jour, la facturation brute s'est établie à 297,5 M$, en comparaison de 354,5 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent, ce qui s'explique par un recul de 57,5 M$ affiché par le programme Nectar en raison du calendrier des campagnes promotionnelles et des modifications apportées aux modalités d'accumulation, ainsi que par l'incidence des restrictions de nature réglementaire dans le secteur de l'énergie et par une diminution de 10,7 M$ affichée par le programme Nectar Italia en raison de l'arrêt des activités du programme le 1er mars 2016.
- Le nombre de points Nectar émis a diminué de 32,7 % au deuxième trimestre de 2016 par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent, en raison principalement du calendrier des campagnes promotionnelles et des modifications apportées aux modalités d'accumulation. Pour l'exercice à ce jour, le nombre de points Nectar émis a affiché une baisse de 22,1 %. Le volume d'échanges dans le cadre du programme Nectar a diminué de 17,9 % au deuxième trimestre, en raison surtout de la baisse du nombre de points en circulation. Pour l'exercice à ce jour, le nombre de points Nectar échangés a affiché une diminution de 16,5 %.
- Le nombre de milles émis dans le cadre du programme Air Miles Moyen-Orient a affiché une baisse de 7,8 % pour le trimestre et de 4,9 % pour l'exercice à ce jour. Les échanges dans le cadre de ce programme ont diminué de 4,3 % pour le trimestre, en raison d'un plus faible volume de points en circulation du fait des milles accumulés au cours de l'exercice précédent, et il a diminué de 1,0 % pour l'exercice à ce jour.
- Le BAIIA ajusté du trimestre écoulé s'est établi à 15,6 M$, ou 11,9 % de la facturation brute, en comparaison de 24,7 M$, ou 14,2 % de la facturation brute, pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. L'augmentation des distributions de placements mis en équivalence et les efficiences opérationnelles réalisées par suite des changements organisationnels annoncés en 2015 ont eu une incidence positive sur le BAIIA ajusté. La diminution de 9,5 M$ du BAIIA ajusté en devises constantes est principalement attribuable au recul de la facturation brute au titre des unités de fidélisation et au calendrier des frais de marketing engagés dans le cadre du programme Nectar. Pour l'exercice à ce jour, le BAIIA ajusté s'est établi à 33,1 M$, en comparaison de 43,0 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent, ce qui s'explique par la diminution de l'apport des programmes de fidélisation, en partie contrebalancée par la baisse des charges d'exploitation et par l'augmentation des distributions de placements mis en équivalence.
Solutions de fidélisation mondiales - Augmentation de l'apport des plateformes de fidélisation et transition des activités traditionnelles
- La facturation brute s'est établie à 51,8 M$ pour le trimestre écoulé, en comparaison de 55,6 M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent, ce qui représente une baisse de 3,8 M$. En devises constantes, la facturation brute a diminué de 4,1 M$, ce qui s'explique essentiellement par une baisse du volume de distribution de primes, y compris l'incidence d'un programme client tirant à sa fin au cours de la période correspondante de l'exercice précédent, en partie contrebalancée par une hausse de la facturation brute au titre des plateformes de fidélisation. Pour l'exercice à ce jour, la facturation brute s'est établie à 106,9 M$, en comparaison de 109,2 M$, soit une diminution de 2,3 M$, ou de 4,7 M$ en devises constantes.
- Le BAIIA ajusté s'est établi à 0,1 M$ pour le trimestre écoulé, en comparaison de 1,0 M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. La diminution des coûts directs et la baisse des charges d'exploitation ont eu une incidence favorable; le recul de la facturation brute a entraîné une diminution globale de 0,7 M$ en devises constantes. Pour l'exercice à ce jour, le BAIIA ajusté s'est établi à (2,7) M$, en comparaison de 2,6 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent, en baisse de 5,3 M$, ou de 5,0 M$ en devises constantes.
Siège social
- Le BAIIA ajusté s'est établi à (22,5) M$ pour le trimestre écoulé, en comparaison de (18,3) M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent, en baisse de 4,2 M$, en raison essentiellement du moment où la distribution de PLM a été reçue. Pour l'exercice à ce jour, le BAIIA ajusté s'est établi à (37,3) M$, en comparaison de (39,7) M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent, ce qui représente une hausse de 2,4 M$.
Progrès réalisés au chapitre de la simplification et du recentrage des activités
Les mesures de réduction des coûts annoncées en 2015 prévoyaient des économies annualisées supplémentaires de 20 M$ devant être réalisées à compter du début de 2017, découlant principalement de gains d'efficience en matière d'immobilier et d'approvisionnement. Le plan de réalisation de ces économies avance comme prévu.
Aimia a procédé à la vente de deux entreprises qu'elle considérait comme des actifs non stratégiques puisqu'elles ne cadraient plus avec son orientation stratégique plus ciblée. Ainsi, les activités liées aux services d'amélioration d'Aimia ont été vendues à Sigma Capital pour une contrepartie en trésorerie de 15 M$, et les activités de Cardlytics menées par la Société au Royaume-Uni ont été cédées à Cardlytics pour une contrepartie autre qu'en trésorerie évaluée à 23 M$, dont la moitié est tributaire du respect de certaines conditions. Aimia conserve sa participation dans Cardlytics Inc.
La Société a également mis de côté ses plans de mise en place d'une coalition aux États-Unis en raison des conditions de marché et de la priorité qu'elle accorde actuellement à son objectif visant à générer de la valeur au moyen de ses actifs stratégiques.
La Société continue d'évaluer et d'envisager la possibilité de procéder à d'autres cessions de placements et d'actifs non stratégiques afin d'accroître la valeur pour les actionnaires.
Dépenses en immobilisations
Les dépenses en immobilisations se sont chiffrées à 14,4 M$ pour le deuxième trimestre de 2016, en comparaison de 23,7 M$ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent, ce qui s'explique par les investissements dans les principaux produits d'Aéroplan ainsi que par l'investissement continu dans les plateformes qui génèrent des produits récurrents, dont une actualisation notable du produit Intelligent Shopper Solutions (« ISS »). Pour l'exercice à ce jour, les dépenses en immobilisations se sont chiffrées à 33,9 M$, en comparaison de 44,2 M$ pour la période correspondante de l'exercice précédent.
Dividendes versés
Les dividendes versés au cours du trimestre ont totalisé 34,6 M$. De ce montant, une tranche de 30,4 M$ est liée aux dividendes versés aux actionnaires ordinaires, le solde se rapportant aux actionnaires privilégiés. Les dividendes versés au cours du premier semestre ont totalisé 67,8 M$. De ce montant, une tranche de 59,4 M$ est liée aux dividendes versés aux actionnaires ordinaires, le solde se rapportant aux actionnaires privilégiés.
Rachat d'actions
Aimia a racheté des actions ordinaires totalisant 21,8 M$ au cours du semestre terminé le 30 juin 2016. La totalité de ces actions ont été rachetées au cours des deux premiers mois de 2016. Au 30 juin 2016, 152,3 millions d'actions ordinaires étaient en circulation, soit un recul de 5 % par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent.
Situation financière
Le total de la dette à long terme s'élevait à 650 M$ à la fin de juin 2016, incluant la portion courante de 200 M$. Après prise en compte des liquidités soumises à restrictions et des réserves liées aux programmes de coalition de la Société, Aimia affichait des liquidités excédentaires de plus de 100 M$ à son état de la situation financière à la clôture du trimestre et elle disposait d'une facilité de crédit de 300 M$, qui était pratiquement inutilisée.
Téléconférence trimestrielle avec les investisseurs et webdiffusion
Aimia tiendra une téléconférence à 8 h 30 HE le vendredi 12 août 2016 pour discuter des résultats financiers du deuxième trimestre de 2016. On peut y participer en composant le 1 888 231-8191 ou le 647 427‑7450, dans la région de Toronto. La téléconférence sera webdiffusée simultanément à l'adresse : http://event.on24.com/r.htm?e=1100912&s=1&k=30E983FD6AA49FB414B09FB62D84BDE9.
Une présentation sous forme de diapositives accompagnant la téléconférence sera disponible le soir du 11 août 2016 à l'adresse : http://aimia.com/fr/investors/presentations.html et une rediffusion de la téléconférence sera disponible pendant les 90 jours qui suivront la diffusion initiale à l'adresse : http://aimia.com/content/aimiawebsite/global/en/investors/events.html.
Les états financiers consolidés et le rapport de gestion seront accessibles sur le site Web des Relations avec les investisseurs, à l'adresse : http://aimia.com/fr/investors/quarterly-reports.html.
Notes
- Les mesures financières hors PCGR (BAIIA ajusté, résultat net ajusté par action ordinaire, flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes et flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action ordinaire) et les devises constantes sont expliquées à la section « Mesures financières hors PCGR ».
- Le résultat d'exploitation et le BAIIA ajusté du trimestre terminé le 30 juin 2015 incluent l'incidence favorable de 45,7 M$ découlant de la réduction de la provision au titre de la migration des cartes. Le résultat net, le résultat par action ordinaire et le résultat net ajusté par action ordinaire du trimestre terminé le 30 juin 2015 incluent l'incidence favorable de l'ajustement de 33,6 M$, déduction faite d'une charge d'impôt sur le résultat de 12,1 M$, apporté à la provision au titre de la migration des cartes.
- Le résultat net, le résultat par action ordinaire et le résultat net ajusté par action ordinaire du trimestre terminé le 30 juin 2016 incluent l'incidence du gain de 23,2 M$ découlant de la cession des droits commerciaux sur les activités de marketing liées aux cartes au Royaume-Uni.
- Le résultat net, le résultat par action ordinaire et le résultat net ajusté par action ordinaire du trimestre terminé le 30 juin 2015 incluent l'incidence du gain de 18,6 M$, déduction faite d'une charge d'impôt sur le résultat de 2,9 M$, découlant de la vente du placement dans les actions de catégorie B d'Air Canada.
À propos d'Aimia
Aimia Inc. (TSX: AIM) est une entreprise de marketing propulsé par les données et d'analytique de la fidélité. Nous fournissons à nos clients les connaissances sur leur propre clientèle dont ils ont besoin pour prendre des décisions commerciales plus éclairées, pour bâtir à long terme des relations individuelles pertinentes et gratifiantes, faisant évoluer l'échange de valeur dans l'intérêt mutuel de nos clients et des consommateurs.
Avec ses 3200 employés présents dans 17 pays, Aimia forme des partenariats avec des groupes d'entreprises (coalitions) et des compagnies individuelles afin de les aider à générer, à recueillir et à analyser des données sur les collectionneurs, et à obtenir des connaissances pouvant servir à personnaliser l'activité commerciale.
Nous avons recours pour cela à nos propres programmes de fidélisation coalisés, comme Aéroplan au Canada, Nectar au Royaume-Uni et Air Miles Moyen-Orient; à la prestation de services axés sur les stratégies de fidélisation, le développement, la mise en oeuvre et la gestion de programmes - soutenus par des produits et des plateformes technologiques de premier plan, comme la plateforme de fidélisation Aimia et Smart Button - et par l'entremise de nos services d'analytique et de connaissances, comme Intelligent Shopper Solutions.
Nous possédons une participation dans des programmes de fidélisation comme Club Premier au Mexique et Think Big, un partenariat avec Air Asia et Tune Group. Nos clients sont variés et nous répondons à leurs besoins uniques grâce à notre expertise, sans pareille dans l'industrie, des biens de consommation courante, de la vente au détail, des services financiers et des secteurs du voyage et du transport aérien à l'échelle mondiale.
Pour consulter la liste intégrale de nos partenariats et investissements, et pour obtenir plus de renseignements sur Aimia, visitez www.aimia.com.
Mesures financières hors PCGR
Aimia utilise les mesures financières hors PCGR suivantes qui, de l'avis de la Société, fournissent aux investisseurs et aux analystes des renseignements supplémentaires utiles pour mieux comprendre les résultats et évaluer le potentiel de la Société. Les PCGR désignent les principes comptables généralement reconnus du Canada, qui s'entendent des Normes internationales d'information financière (« IFRS »).
BAIIA ajusté
Le BAIIA ajusté n'est pas une mesure conforme aux PCGR, il ne saurait se substituer au résultat d'exploitation ou au résultat net pour mesurer le rendement et il n'est pas comparable aux mesures similaires employées par d'autres émetteurs. Nous sommes d'avis que le BAIIA ajusté n'est pas directement comparable à une mesure PCGR. Toutefois, un rapprochement avec le résultat d'exploitation est présenté à la page 15 de notre rapport de gestion du trimestre terminé le 30 juin 2016 .La direction se sert du BAIIA ajusté pour évaluer le rendement et pour mesurer la conformité aux clauses restrictives relatives à la dette. De l'avis de la direction, le BAIIA ajusté aide les investisseurs à comparer le rendement de la Société d'une manière uniforme, sans égard à l'amortissement et aux pertes de valeur, qui de par leur nature sont des éléments hors trésorerie et peuvent varier de façon importante en fonction des méthodes comptables utilisées ou de divers facteurs non liés à l'exploitation tels que le coût d'origine.
Le BAIIA ajusté correspond au résultat d'exploitation, ajusté pour exclure l'amortissement et les pertes de valeur et ajusté en fonction de certains facteurs propres aux activités de la Société, tels que les variations des produits différés et des frais d'échange futurs. Le BAIIA ajusté tient aussi compte des distributions et des dividendes reçus ou à recevoir des placements mis en équivalence. Le BAIIA ajusté ne doit pas être utilisé comme mesure exclusive des flux de trésorerie, puisqu'il ne tient compte ni de la croissance du fonds de roulement, ni des dépenses en immobilisations, des remboursements de la dette et d'autres rentrées et sorties de fonds présentées dans les tableaux des flux de trésorerie.
Résultat net ajusté
Le résultat net ajusté n'est pas une mesure conforme aux PCGR, il ne saurait se substituer au résultat net pour mesurer la rentabilité et il n'est pas comparable aux mesures similaires employées par d'autres émetteurs.
Le résultat net ajusté permet d'évaluer la rentabilité d'une manière cohérente avec le BAIIA ajusté. Il correspond au résultat net attribuable aux actionnaires de la Société, ajusté pour exclure l'amortissement des contrats avec des partenaires d'accumulation, des relations clients et de la technologie, la quote-part du résultat net des placements mis en équivalence et les pertes de valeur comptabilisées. Le résultat net ajusté tient compte de la variation des produits différés et de la variation des frais d'échange futurs, déduction faite de l'incidence de l'impôt sur le résultat et de la participation ne donnant pas le contrôle (le cas échéant) dans ces éléments à l'échelle de l'entité. Le résultat net ajusté tient aussi compte des distributions et des dividendes reçus ou à recevoir des placements mis en équivalence.
Résultat net ajusté par action ordinaire
Le résultat net ajusté par action ordinaire n'est pas une mesure conforme aux PCGR, il ne saurait se substituer au résultat net par action ordinaire pour mesurer la rentabilité par action ordinaire et il n'est pas comparable aux mesures similaires employées par d'autres émetteurs.
Le résultat net ajusté par action ordinaire permet d'évaluer la rentabilité par action ordinaire d'une manière cohérente avec le résultat net ajusté. Il correspond au résultat net ajusté diminué des dividendes déclarés sur les actions privilégiées, divisé par le nombre moyen pondéré de base et dilué d'actions ordinaires.
Flux de trésorerie disponibles, flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes et flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action ordinaire
Les flux de trésorerie disponibles et flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes sont des mesures non conformes aux PCGR et ne sont pas comparables aux mesures similaires utilisées par d'autres émetteurs. Elles permettent d'établir une mesure cohérente et comparable des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation et sont utilisées comme indicateur de la solidité et de la performance financières. Les flux de trésorerie disponibles se définissent comme étant les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, comme ils sont comptabilisés selon les PCGR, déduction faite des ajustements pour tenir compte a) du total des dépenses en immobilisations inscrit selon les PCGR et b) des dividendes versés.
Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes se définissent comme étant les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, comme ils sont comptabilisés selon les PCGR, déduction faite des dépenses en immobilisations inscrites selon les PCGR.
Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action ordinaire sont une mesure des flux de trésorerie tirés des activités d'exploitation, par action. Ils se calculent comme suit : flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes, déduction faite des dividendes versés sur les actions privilégiées et au titre des participations ne donnant pas le contrôle, divisés par le nombre moyen pondéré d'actions ordinaires en circulation.
Rapprochement avec les PCGR
Pour un rapprochement des mesures financières hors PCGR ci-dessus avec les PCGR, se reporter à la page 15 du rapport de gestion du trimestre terminé le 30 juin 2016.
Devises constantes
Les taux de change représentent un facteur important dans la compréhension de comparaisons d'une période à l'autre. La présentation de divers indicateurs financiers en devises constantes ou après la conversion de devises, en supplément des indicateurs financiers réels, contribue à améliorer la capacité de compréhension des résultats d'exploitation et facilite l'évaluation du rendement par rapport aux périodes antérieures. Les informations en devises constantes comparent les résultats entre les périodes, comme si les taux de change n'avaient pas fluctué au cours de la période faisant l'objet de l'analyse. Pour obtenir les résultats en devises constantes, on recalcule les résultats de la période en cours en utilisant les taux de change de la période correspondante de l'exercice précédent. Les résultats calculés en devises constantes devraient se rajouter, et en aucun cas se substituer, aux résultats présentés conformément aux PCGR. Par ailleurs, il se peut que les résultats calculés en devises constantes ne soient pas comparables aux mesures semblables utilisées par d'autres sociétés. La Société utilise les devises constantes principalement pour ses activités à l'étranger (celles dont la monnaie fonctionnelle n'est pas le dollar canadien). Les secteurs Coalitions internationales et SFM exercent leurs activités en diverses monnaies étrangères, les activités de fidélisation des canaux et des employés aux États-Unis du secteur Coalitions des Amériques ont cours en dollars américains, et les activités liées à l'élaboration de produits à l'échelle mondiale du secteur Siège social sont exercées principalement en livres sterling.
Énoncés prospectifs
Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs. Ces derniers se reconnaissent en général à l'usage de termes tels que « perspectives », « prévisions », « cibles », « hypothèses » et d'autres expressions semblables, ou à l'emploi de la forme future ou conditionnelle de termes comme « prévoir », « croire », « pouvoir », « estimer », « s'attendre à », « avoir l'intention de », « planifier » ou « projeter ». Ces énoncés peuvent porter, par exemple, sur des stratégies, des attentes, des objectifs, des activités prévues ou des mesures à venir sans s'y limiter.
Les prévisions ci-dessus (dont la facturation brute, le BAIIA ajusté, la marge du BAIIA ajusté et les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes, les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action ordinaire et dépenses en immobilisations) constituent des énoncés prospectifs. Aimia a établi les prévisions ci-dessus à l'aide d'un certain nombre d'hypothèses économiques et de marché, ainsi que des hypothèses concernant les devises et la conjoncture économique des pays dans lesquels la société exerce ses activités, la concurrence et les lois fiscales applicables à ses activités. La Société tient à rappeler que les hypothèses utilisées pour préparer les prévisions ci-dessus, bien qu'elles étaient raisonnables au moment où elles ont été établies, pourraient s'avérer incorrectes ou inexactes. Les prévisions ci-dessus ne tiennent pas compte non plus de l'incidence que pourraient avoir d'éventuels éléments non récurrents ou exceptionnels ou de nouvelles ententes commerciales importantes, cessions, fusions, acquisitions ou autres regroupements d'entreprises ou transactions susceptibles d'être annoncés ou de se produire après le 11 août 2016. L'incidence financière de telles transactions et de tels éléments non récurrents ou exceptionnels peut être complexe et dépend des faits qui se rattachent à chacun d'entre eux. Nous ne pouvons donc décrire l'incidence prévue de façon complète ou la présenter de la manière dont nous connaissons actuellement les risques auxquels sont exposées nos activités. Par conséquent, les résultats réels pourraient différer considérablement de nos attentes énoncées dans le présent communiqué de presse.
De par leur nature, les énoncés prospectifs partent d'hypothèses et sont soumis à d'importants risques et incertitudes. Les prévisions, les prédictions ou les énoncés prospectifs ne sont pas fiables en raison notamment de la nature évolutive des événements externes et des incertitudes auxquelles les activités et la structure de l'entreprise sont soumises en général. La réalité pourra se révéler très différente des résultats exprimés dans les énoncés prospectifs pour de nombreuses raisons, entre autres la dépendance envers les partenaires d'accumulation importants et les clients, l'incapacité de protéger les bases de données, la cybersécurité et la protection des renseignements personnels des consommateurs, les changements apportés au programme Aéroplan, la dépendance envers les partenaires d'échange, les conflits d'intérêts, un nombre plus élevé que prévu d'échanges contre des primes, la réglementation, la situation de l'économie ou du marché de détail, la concurrence, les problèmes de liquidité d'Air Canada ou les perturbations touchant l'industrie du voyage, des changements dans le secteur du transport aérien et une hausse des coûts des transporteurs aériens, les coûts d'approvisionnement et de capacité, les frais d'échange futurs non provisionnés, les changements aux programmes de fidélisation coalisés, la nature saisonnière des activités, d'autres facteurs et le rendement antérieur, les activités à l'étranger, les poursuites, la dépendance envers le personnel clé, les relations de travail, le passif au titre des régimes de retraite, les pannes d'équipement électronique, l'incapacité d'utiliser les logiciels tiers et l'impartition, l'incapacité de protéger les droits de propriété intellectuelle, les fluctuations des taux d'intérêt et du change (y compris le risque de change sur ses activités étrangères libellées dans une autre monnaie que le dollar canadien, soit principalement la livre sterling et l'exposition aux fluctuations découlant de la variation des cours de change), le niveau d'endettement et les clauses restrictives relativement à la dette actuelle et future, l'incertitude des versements de dividendes, la gestion de la croissance, les notations, les audits effectués par les autorités fiscales de même que les autres facteurs précisés dans les autres documents publics d'Aimia déposés auprès des organismes de réglementation en valeurs mobilières canadiens.
Les énoncés prospectifs contenus dans les présentes témoignent des attentes d'Aimia au 11 août 2016 et ils pourraient changer après cette date. Toutefois, Aimia n'a aucunement l'intention ni l'obligation de mettre à jour ou de réviser les énoncés prospectifs, que ce soit en raison d'une nouvelle information, d'un fait nouveau ou pour toute autre raison, sauf si cela est exigé en vertu des règlements en valeurs mobilières applicables.
SOURCE AIMIA
Analystes et investisseurs, Karen Keyes, 647 428-5280, [email protected] ; Médias, Cheryl Kim, 647 329-5139, [email protected]
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