Aimia annonce ses résultats pour le premier trimestre

FAITS SAILLANTS DU PREMIER TRIMESTRE ^1) ^5)	Trimestres terminés les 31 mars		Comparés au même trimestre de l'exercice précédent
(en millions de dollars canadiens, sauf les données par action)	2014	2013	Variation en %	Devises constantes
Facturation brute^2)	717,2	561,1	27,8 %	22,6 %
Total des produits des activités ordinaires	608,9	609,5	-0,1 %	-4,2 %
Résultat net	(16,3)	45,7	**	**
Résultat net par action ordinaire	(0,13)	0,22	**	**
BAIIA ajusté^2)	132,6	82,8	60,1 %	**
Résultat net ajusté par action ordinaire^3)	0,48	0,27	77,8 %	**
Flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes^2) 4)	60,5	(9,5)	**	**

** Information non significative
Voir les « Notes explicatives des tableaux financiers » à la fin du présent communiqué de presse pour plus de détails sur les notes 1 à 10.

 

MONTRÉAL, le 13 mai 2014 /CNW Telbec/ - (TSX: AIM) Aimia a annoncé aujourd'hui ses résultats du trimestre terminé le 31 mars 2014. Toutes les données financières sont présentées en dollars canadiens, sauf indication contraire.

Faits saillants :

• Facturation brute, BAIIA ajusté et flux de trésorerie disponibles robustes pour le trimestre, stimulés par le versement de 100 M$ de TD lié aux modifications du programme Aéroplan
• Transformation du programme Aéroplan qui dépasse les attentes, TD enregistrant environ 275 000 nouveaux titulaires de cartes, soit une hausse de 50 % par rapport au portefeuille de cartes de crédit transféré de la CIBC en seulement quelques mois
• Nouvel investissement dans Travel Club en Espagne annoncé en avril étend la présence d'Aimia en fidélisation coalisée
• Dividende révisé conformément à la politique annuelle, le dividende trimestriel versé aux actionnaires ordinaires ayant augmenté de 5,9 % pour atteindre 0,18 $ par action ordinaire
• Prévisions des flux de trésorerie disponibles pour 2014 revues à la hausse du fait du premier trimestre robuste d'Aéroplan

Rupert Duchesne, chef de la direction du groupe, a déclaré :

« Notre partenariat avec TD a donné lieu à un lancement réussi et nous observons beaucoup de dynamisme dans nos relations avec TD et Amex grâce au renouvellement du programme Aéroplan.

Les niveaux d'activité des membres Aéroplan nous permettent de croire que les modifications que nous avons apportées au programme sont les bonnes et procurent de la valeur aux membres, les primes émises ayant progressé de 9 % au cours du trimestre. »

Faits saillants des résultats consolidés (comparaison des périodes terminées les 31 mars 2014 et 2013, sauf indication contraire)

Faits saillants des résultats consolidés ^1) ^5)		Trimestres terminés les 31 mars		Comparés au même trimestre de l'exercice précédent
(en millions de dollars canadiens)		2014	2013	Variation en %	Devises constantes
Facturation brute^2)		717,2	561,1	27,8 %	22,6 %
	Part de la facturation brute au titre de la vente d'unités de fidélisation^2)	548,7	413,3	32,7 %	27,4 %
	Part des services de fidélisation propriétaire et autres	168,5	147,8	14,1 %	9,1 %
BAIIA ajusté^2)		132,6	82,8	60,1 %	**
	Part des distributions des placements mis en équivalence	-	-	**	**
Flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes^2) 4)		60,5	(9,5)	**	**
	Part des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation	82,1	(0,5)	**	**
	Part des dépenses en immobilisations	(21,6)	(9,0)	**	**

** Information non significative
Voir les « Notes explicatives des tableaux financiers » à la fin du présent communiqué de presse pour plus de détails sur les notes 1 à 10.

• La facturation brute présentée affiche une hausse de 27,8 %, stimulée par le versement de 100 M$ de TD au premier trimestre, le rendement élevé au Canada et l'incidence favorable du change.
• En devises constantes, la facturation brute a augmenté de 22,6 %, du fait de la hausse de 27,4 % de la facturation brute au titre de la vente d'unités de fidélisation et de la forte croissance de la facturation brute au titre des services de fidélisation propriétaire et autres, qui a monté de 9,1 %.
• Le BAIIA ajusté a progressé de 60,1 % pour atteindre 132,6 M$, le versement de 100 M$ reçu de TD ayant été neutralisé par le coût des primes plus élevé.
• Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes se sont chiffrés à 60,5 M$, la hausse des dépenses en immobilisations ayant été plus que neutralisée par l'augmentation des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation incluant le versement de 100 M$ de TD et le crédit de 22,5 M$ au titre de la taxe de vente harmonisée reçus au premier trimestre.

Prévisions pour 2014*

Pour l'exercice se terminant le 31 décembre 2014, Aimia prévoit actuellement présenter les résultats suivants :

	2013	Prévisions initiales (émises en date du 26 févr. 2014)	Fourchette cible pour 2014 (actualisée en date du 13 mai 2014)
Facturation brute	2 366,4 M$	Croissance entre 7 % et 9 % (en devises constantes) ^2)	Aucune modification
BAIIA ajusté ^1)	350,5 M$^6)	Marge du BAIIA ajusté d'environ 12 %^2)	Aucune modification
Flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes^1)	268,1 M$^7)	Fourchette cible de 230 M$ à 250 M$^2) 8)	Fourchette cible de 250 M$ à 270 M$^2) 8)
Dépenses en immobilisations	54,4 M$	Fourchette d'environ 60 M$ à 70 M$	Aucune modification

Voir les « Notes explicatives des tableaux financiers » à la fin du présent communiqué de presse pour plus de détails sur les notes 1 à 10.
*Voir la « Déclaration sur les hypothèses relatives aux prévisions » à la fin du présent communiqué de presse pour plus de détails sur les hypothèses utilisées lors de la préparation des prévisions pour 2014.

Faits saillants des résultats par région

Faits saillants par région^1) 5)		Trimestres terminés les 31 mars		Comparés au même trimestre de l'exercice précédent
(en millions de dollars canadiens)		2014	2013	Variation en %	Devises constantes
Facturation brute consolidée^2) 9)		717,2	561,1	27,8 %	22,6 %
	Part du Canada^2)	432,8	307,1	40,9 %	40,9 %
	Part de la région EMOA	187,0	173,7	7,6 %	-6,8 %
	Part de la région États-Unis et APAC	97,7	80,6	21,3 %	15,9 %
Produits des activités ordinaires consolidés^9)		608,9	609,5	-0,1 %	-4,2 %
	Part du Canada	355,2	371,7	-4,4 %	-4,4 %
	Part de la région EMOA	158,7	157,4	0,8 %	-12,3 %
	Part de la région États-Unis et APAC	95,2	80,8	17,9 %	12,8 %
(en millions de dollars canadiens)		2014	2013	Marge de 2014	Marge de 2013
BAIIA ajusté consolidé^2)		132,6	82,8	18,5 %	14,8 %
	Part du Canada^2)	141,0	89,1	32,6 %	29,0 %
	Part de la région EMOA	14,7	17,4	7,9 %	10,0 %
	Part de la région États-Unis et APAC	(1,7)	(3,7)	-1,7 %	-4,5 %
	Part du siège social	(21,4)	(20,0)	**	**

** Information non significative
Voir les « Notes explicatives des tableaux financiers » à la fin du présent communiqué de presse pour plus de détails sur les notes 1 à 10.

Canada : Forte croissance de la facturation brute d'Aéroplan grâce aux nouvelles ententes avec des entreprises de cartes de crédit financières et au versement de TD

• La facturation brute a augmenté de 40,9 % par rapport à l'exercice précédent, par suite du versement de TD et de la hausse sous-jacente de 8,4 % de la facturation brute, ce qui représente une modification notable des taux de croissance de la facturation brute au Canada comparativement à une baisse de 2 % au premier trimestre de l'exercice précédent.
• Cette progression s'explique principalement par la hausse significative de la facturation brute au titre de la vente d'unités de fidélisation attribuable à la mise en œuvre de la transformation du programme Aéroplan et des ententes avec des entreprises de cartes financières signées avec TD, CIBC et AMEX en 2013.
• Le BAIIA ajusté a augmenté de 51,9 M$ par rapport à l'exercice précédent pour s'établir à 141,0 M$ avec le versement de TD. Compte non tenu du versement de TD, la baisse de 48,1 M$ résulte de l'augmentation des frais d'échange, incluant une hausse de 16,1 M$ des frais d'échange futurs attribuable aux milles promotionnels émis à l'activation des nouvelles cartes financières, et de l'incidence de la réduction du taux de désistements. Les frais de marketing ont également été plus élevés pour le trimestre.
• Les produits des activités ordinaires de 355,2 M$ ont été inférieurs à ceux de l'exercice précédent, l'incidence des volumes d'échanges accrus ayant été plus que contrebalancée par l'incidence de 25,1 M$ découlant de la modification apportée au taux de désistements.

Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMOA) : L'incidence favorable du change contrebalancée par des comparables difficiles

• La facturation brute s'est chiffrée à 187,0 M$, en hausse de 7,6 %, la facturation libellée en livres sterling ayant bénéficié de la vigueur de cette monnaie.
• Le recul de la facturation brute de 9,9 M$ au Moyen-Orient, essentiellement attribuable à l'apport d'un partenaire l'an dernier pour favoriser la participation accrue des membres, et des dates du congé de Pâques sont les principales raisons de la baisse par rapport à la période comparative. L'augmentation de la facturation brute tirée des services d'analytique et de connaissances et des clients de la fidélisation propriétaire a partiellement neutralisé cette diminution.
• Le BAIIA ajusté a diminué de 2,7 M$ pour s'établir à 14,7 M$, l'apport promotionnel visant à favoriser la participation accrue des membres au Moyen-Orient au premier trimestre de l'exercice précédent ayant été contrebalancé par l'incidence favorable du change.
• Les produits des activités ordinaires ont également bénéficié de l'incidence favorable du change, affichant une hausse de 0,8 % du montant comptabilisé. Le rendement sous-jacent s'explique par la baisse des volumes d'échanges dans les programmes coalisés de la Société comparativement au trimestre robuste enregistré au Moyen-Orient et en Italie à l'exercice précédent, neutralisée en partie seulement par l'augmentation des produits des activités ordinaires tirés des services d'analytique et de connaissances et de fidélisation propriétaire.

États-Unis et Asie-Pacifique : Croissance de la facturation brute attribuable au calendrier des nouvelles activités dans la région Asie-Pacifique (APAC)

• La facturation brute a progressé de 21,3 % pour s'élever à 97,7 M$, soit une hausse de 15,9 % en devises constantes, la forte croissance découlant de l'augmentation nette des nouvelles activités dans la région APAC ayant compensé la réduction des volumes de distribution de primes aux États-Unis.
• Le BAIIA ajusté s'est amélioré de 2,0 M$, du fait surtout du calendrier de la facturation brute qui a neutralisé la contraction de la marge brute et la hausse des charges d'exploitation.
• Les produits des activités ordinaires se sont chiffrés à 95,2 M$, soit une hausse de 17,9 % ou de 12,8 % en devises constantes, attribuable à l'augmentation nette des nouvelles activités dans la région APAC, contrebalancée par la réduction des volumes de distribution de primes aux États-Unis.

Siège social

• Les charges du siège social ont atteint 21,4 M$, en hausse de 6,9 % par rapport à 20,0 M$. Cette augmentation s'explique principalement par les coûts plus élevés aux fins du soutien de la croissance des entreprises mondiales, partiellement neutralisés par la baisse de 2,2 M$ de la charge de rémunération fondée sur des actions.

Faits saillants de l'exploitation

Faits saillants de l'exploitation^1) 5)		Trimestres terminés les 31 mars		Comparés au même trimestre de l'exercice précédent
(en millions de dollars canadiens)		2014	2013	Variation en %
Facturation brute consolidée au titre de la vente d'unités de fidélisation (76 % de la facturation brute totale)^2)		548,7	413,3	32,7 %
Part du Canada (70 % des unités de fidélisation)^2)		384,5	256,6	49,9 %
Part de la région EMOA (30 % des unités de fidélisation)		164,1	156,7	4,7 %
Produits des activités ordinaires consolidés au titre des unités de fidélisation		441,7	461,1	-4,2 %
	Produits des activités ordinaires tirés des milles Aéroplan	272,6	263,5	3,5 %
	Produits des activités ordinaires au titre des désistements d'Aéroplan	33,3	57,3	-41,9 %
Part du Canada		305,9	320,8	-4,6 %
Part de la région EMOA		135,8	140,3	-3,2 %
Variation consolidée des produits différés^2)		108,3	(48,4)	**
Part du Canada^2)		77,6	(64,5)	**
Part de la région EMOA		28,2	16,4	72,7 %

** Information non significative
Voir les « Notes explicatives des tableaux financiers » à la fin du présent communiqué de presse pour plus de détails sur les notes 1 à 10.

Facturation brute et produits des activités ordinaires au titre de la vente d'unités de fidélisation au Canada

La facturation brute au titre des unités de fidélisation au Canada a représenté 54 % du total de la facturation brute consolidée et 70 % de la facturation brute au titre des unités de fidélisation consolidée pour le trimestre.

La hausse de 49,9 % pour le trimestre tient compte du versement de 100 M$ de TD. La facturation brute sous-jacente a progressé de 10,9 %, le secteur des services financiers ayant été le principal moteur de cette forte croissance. De plus, les milles promotionnels offerts offerts à l'activation des nouvelles cartes financières ont conduit à une augmentation de 15,4 % des milles Aéroplan émis au cours du trimestre.

La facturation brute attribuable à nos partenaires de cartes financières a enregistré une hausse de 15,5 % qui s'explique surtout par les facteurs suivants :

• Le plus grand nombre de cartes financières sur le marché résultant des activations de cartes plus nombreuses au premier trimestre de 2014, les cartes de crédit bimarques ayant progressé de 12 % pour atteindre 1,4 million et le nombre net de nouvelles cartes AMEX acquises ayant grimpé de plus de 30 %;
• La hausse des conversions de primes des membres AMEX en milles Aéroplan; et
• L'augmentation du prix par mille aux termes de nos ententes renouvelées avec des entreprises de cartes financières pour les milles émis (hormis les émissions promotionnelles liées aux nouvelles cartes acquises).

Dans les autres secteurs de la Société, l'augmentation des activités promotionnelles dans le secteur des primes autres que des voyages a été neutralisée par la facturation brute inchangée au titre des primes-voyages. Les prix n'ont pas varié dans ces secteurs.

Les produits des activités ordinaires au titre des unités de fidélisation au Canada ont baissé de 4,6 %, l'incidence de la diminution des produits des activités ordinaires au titre des désistements découlant de la modification apportée au taux de désistements au deuxième trimestre de 2013 ayant plus que neutralisé la croissance des volumes d'échanges. Le nombre de milles échangés a augmenté de 2,9 %, du fait surtout de la hausse des échanges contre des primes-voyages découlant de l'offre de primes-voyages améliorées dans le cadre du programme Distinction lancé en janvier 2014. Les primes émises au cours du trimestre ont affiché une hausse de 8,6 % et les primes-voyages ont progressé de 13,3 % par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent.

Facturation brute et produits des activités ordinaires au titre de la vente d'unités de fidélisation dans la région EMOA

La facturation brute au titre des unités de fidélisation dans la région EMOA a représenté 30 % de la facturation brute au titre des unités de fidélisation sur une base consolidée et 23 % du total de la facturation brute consolidée. La facturation brute au titre des unités de fidélisation dans la région EMOA pour le trimestre est attribuable à 82 % au programme Nectar UK.

La facturation brute au titre des unités de fidélisation comptabilisée pour la région EMOA a augmenté de 4,7 %, compte tenu de l'incidence favorable du change. Compte non tenu de l'incidence du change, la facturation brute a enregistré une baisse de 14,8 M$, dont une tranche de 9,9 M$ est attribuable à un apport promotionnel reçu d'un partenaire au Moyen-Orient l'an dernier. Nectar Italia a aussi connu un recul en raison d'une baisse des activités promotionnelles et de la conjoncture économique difficile.

L'accumulation de points a diminué de 7,2 % au Moyen-Orient et de 16,6 % dans le cas de Nectar Italia. Nectar UK a subi les répercussions des dates du congé de Pâques et des conditions plus difficiles dans le secteur des épiceries, le nombre de points émis au titre de ce programme ayant baissé de 1,6 %.

Les produits des activités ordinaires au titre des unités de fidélisation ont diminué de 4,5 M$ pour s'établir à 135,8 M$. Les échanges dans le cadre de Nectar UK ont augmenté de 5,3 %, mais cette hausse a été annulée par les baisses respectives de 61,4 % et de 17,4 % des échanges dans le cadre des programmes Air Miles Moyen-Orient et Nectar Italia attribuables à la première année d'expiration au Moyen-Orient l'an dernier et à la réduction des activités promotionnelles en Italie.

Coût des primes et coûts directs

Coût des primes et coûts directs^5)		Trimestres terminés les 31 mars		Comparés au même trimestre de l'exercice précédent
(en millions de dollars canadiens)		2014	2013	Variation en %	Devises constantes
Coût des primes et coûts directs consolidés		404,5	353,4	14,5 %	9,9 %
	Part du Canada	241,6	202,8	19,1 %	19,1 %
	Part de la région EMOA	108,8	106,4	2,2 %	-11,2 %
	Part de la région États-Unis et APAC	54,2	44,2	22,5 %	18,2 %

Voir les « Notes explicatives des tableaux financiers » à la fin du présent communiqué de presse pour plus de détails sur les notes 1 à 10.

Le coût des primes et les coûts directs ont représenté 66,4 % des produits des activités ordinaires du trimestre, ce qui a donné lieu à une marge brute avant amortissement de 33,6 %, contre 42,0 % à l'exercice précédent.

Le coût des primes et les coûts directs ont monté de 14,5 % pour se chiffrer à 404,5 M$. Une tranche de 38,8 M$ de cette augmentation est attribuable au Canada, en hausse de 19,1 %. L'augmentation du coût des primes au Canada s'explique par les volumes d'échanges accrus et les frais d'échange par mille plus élevés en raison de la composition des échanges au premier trimestre aux termes du programme Distinction lancé récemment.

Dans la région EMOA, la baisse du volume d'échanges dans le cadre des programmes Air Miles Moyen-Orient et Nectar Italia a été contrebalancée par l'incidence défavorable du change qui a fait monter de 2,2 % le coût des primes et les coûts directs comptabilisés.

L'augmentation nette des nouvelles activités dans la région APAC a plus que compensé la réduction des volumes de distribution de primes aux États-Unis, ce qui s'est traduit par une hausse de 22,5 % pour la région États-Unis et APAC.

Flux de trésorerie disponibles

Flux de trésorerie disponibles^1) 5)	Trimestres terminés les 31 mars		Comparés au même trimestre de l'exercice précédent
(en millions de dollars canadiens)	2014	2013	Variation en %
Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation^2) 4)	82,1	(0,5)	**
Dépenses en immobilisations	(21,6)	(9,0)	140,0 %
Flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes^2) 4)	60,5	(9,5)	**
Flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action^2) 4) 10)	0,32	(0,07)	**
Dividendes versés (actions ordinaires et privilégiées)	(34,2)	(30,4)	12,5 %
Flux de trésorerie disponibles^2) 4)	26,3	(39,9)	**

** Information non significative
Voir les « Notes explicatives des tableaux financiers » à la fin du présent communiqué de presse pour plus de détails sur les notes 1 à 10.

Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes se sont chiffrés à 60,5 M$, ou 0,32 $ par action, ce qui représente une hausse considérable par rapport à l'exercice précédent.

Cette progression est en grande partie attribuable à la hausse des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation découlant de la facturation brute plus élevée pour le trimestre par rapport à l'exercice précédent, compte tenu du versement reçu de TD au début de janvier et du crédit de taxe sur les intrants de 22,5 M$ lié à la taxe de vente harmonisée reçu au premier trimestre. Ces facteurs ont été contrebalancés par les frais d'échange et les charges d'exploitation plus élevés.

L'augmentation des dépenses en immobilisations résulte essentiellement des investissements dans les technologies de l'information et des dépenses liées à l'immobilier, notamment la relocalisation du siège social de la Société dans la nouvelle tour Aimia de Montréal à la fin d'avril.

Les dividendes versés pour le trimestre se sont élevés à 34,2 M$, dont une tranche de 29,5 M$ au titre des dividendes trimestriels versés aux actionnaires ordinaires.

Informations sur les dividendes et les actions

		Montant du dividende
Date de déclaration du dividende		Par action ordinaire	Par action privilégiée, série 1	Par action privilégiée, série 3
13 mai 2013		0,170 $	0,40625 $	-
12 août 2013		0,170 $	0,40625 $	-
13 novembre 2013		0,170 $	0,40625 $	-
26 février 2014		0,170 $	0,40625 $	0,321100 $
13 mai 2014		0,180 $	0,40625 $	0,390625 $

Actions ordinaires
Le conseil d'administration a déclaré un dividende trimestriel de 0,18 $ l'action ordinaire, payable le 30 juin 2014 aux actionnaires inscrits à la clôture des activités le 16 juin 2014, ce qui représente une hausse de 5,9 %.

Au 31 mars 2014, la Société avait 173 357 418 actions ordinaires en circulation. Pour le trimestre terminé le 31 mars 2014, le nombre moyen pondéré de base et dilué d'actions ordinaires était de 173 062 413.

Actions privilégiées
Le conseil d'administration a également déclaré un dividende trimestriel de 0,40625 $ l'action privilégiée à taux rajusté et à dividende cumulatif, série 1, et un dividende trimestriel de 0,390625 $ par action privilégiée à taux rajusté et à dividende cumulatif, série 3, payables le 30 juin 2014 dans les deux cas aux détenteurs inscrits à la clôture des activités le 16 juin 2014.

Au 31 mars 2014, la Société avait 6 900 000 actions privilégiées à taux rajusté et à dividende cumulatif, série 1, en circulation et 6 000 000 d'actions privilégiées à taux rajusté et à dividende cumulatif, série 3, en circulation.

Les dividendes payés par Aimia aux résidents canadiens sur ses actions ordinaires et privilégiées constituent des « dividendes admissibles » au sens des lois canadiennes de l'impôt.

Placements

Sa situation financière solide a permis à Aimia de réaliser des acquisitions et des placements de faible envergure afin de soutenir sa stratégie et de reproduire ses modèles de succès à l'échelle mondiale. Elle lui a également permis d'investir dans la technologie pour renforcer sa position concurrentielle et générer des rendements à plus long terme comme PLM, qui a versé à Aimia des distributions de 14 M$ en 2013.

Placements
Depuis le début de l'exercice, Aimia a annoncé les acquisitions suivantes :

Think Big
Le 6 février 2014, Aimia a effectué un placement initial en actions de 17,1 M$ dans Think Big, programme de fidélisation coalisé d'Air Asia. Aimia apportera l'expertise et le savoir requis pour accroître le nombre de membres et établir l'expérience de fidélisation des clients, tout en améliorant la rentabilité.

Travel Club
Le 10 avril 2014, Aimia a acquis une participation de 25 % dans Travel Club, un programme de fidélisation coalisé de premier plan en Espagne, devenant ainsi actionnaire avec Iberia, Repsol et Eroski. Travel Club compte 6 millions de membres et 30 partenaires commerciaux. Aimia s'appuiera sur son expérience à l'international pour accroître le nombre de membres de Travel Club, offrir plus de valeur aux membres et attirer des partenaires provenant de nouveaux secteurs, notamment les services financiers, la mode, l'assurance et les télécommunications.

Les placements actuels sont notamment les suivants :

Placements
Appellation	Pays	% détenu par Aimia
Placements dans des partenariats
PLM Premier S.A.P.I. de CV	Mexique	48,9 %
Prismah Fidelidade S.A.	Brésil	50,0 %
Insight 2 Communications LLP	R.-U.	50,0 %
Think Big	Malaisie	n.d.
Placements dans des entreprises associées et autres
China Rewards	Chine	n.d.
Cardlytics	É.-U.	n.d.
Travel Club	Espagne	25,0 %

n.d. : non dévoilé

État de la situation financière et situation financière

À la fin de mars 2014, Aimia avait des engagements au titre de facilités d'emprunt à long terme totalisant 961,2 M$, dont une tranche de 181,9 M$ vient à échéance en 2014.

Calendrier d'échéance de la dette à long terme (en millions de dollars canadiens)
	Total	2014	2015	2016	2017	2018	Par la suite
Dette à long terme incluant les intérêts	961,2	181,9	37,4	36,9	229,6	218,4	257,0

Le 9 mai 2014, Aimia a également conclu une modification de sa facilité de crédit de 300 M$ existante avec son syndicat de prêteurs, selon laquelle la durée de sa facilité renouvelable a été prolongée de deux ans jusqu'au 23 avril 2018.

La disponibilité continue des facilités de crédit est sous réserve du respect, par Aimia, de certaines clauses restrictives relatives au ratio de levier financier, au service de la dette et au ratio de couverture des intérêts, ainsi que de certaines autres obligations de faire et de ne pas faire, notamment le fait de plafonner les distributions versées sous forme de dividendes ou de remboursement de capital au cours d'un exercice donné, comme le prescrivent les ententes de crédit. Au 31 mars 2014, Aimia respectait toutes ces clauses restrictives.

Au 31 mars 2014, Aimia avait une dette nette de (181,0) M$, soit une dette à long terme de 800,0 M$ moins 623,2 M$ en trésorerie et un montant de 357,8 M$ au titre de placements à long terme en obligations, de placements à court terme et de liquidités soumises à restrictions.

La Société disposait de 503,8 M$ en trésorerie, incluant la trésorerie et ses équivalents, les placements à court terme et les placements à long terme en obligations, après déduction de la réserve au titre des échanges de 444,2 M$ liée à ses programmes au Canada et au Royaume-Uni.

Téléconférence trimestrielle avec les investisseurs et webdiffusion

Aimia tiendra une téléconférence à 8 h HE le mercredi 14 mai 2014 pour discuter des résultats financiers du premier trimestre de 2014. On peut y participer en composant le 1 888 231-8191 ou le 647 427-7450, dans la région de Toronto. La téléconférence sera webdiffusée simultanément à l'adresse : http://www.newswire.ca/fr/webcast/detail/1281255/1413555

Une présentation sous forme de diapositives accompagnant la téléconférence sera disponible le soir du 13 mai 2014 à l'adresse : http://www.aimia.com/content/aimiawebsite/global/fr/investors/presentations.html et une rediffusion de la téléconférence sera disponible pendant les 90 jours qui suivront la diffusion initiale à l'adresse : http://www.aimia.com/fr/investors/events.html.

Les états financiers consolidés audités et le rapport de gestion seront accessibles sur le site Web des Relations avec les investisseurs au : http://www.aimia.com/fr/investors/quarterly-reports.html

Rapport sur la vocation sociale

Aimia a publié aujourd'hui son Rapport sur la vocation sociale 2013, qui présente sa feuille de route 2014-2019 et décrit les progrès réalisés à l'égard de ses trois priorités : Fidélisation pour le bien de tous, Pratiques commerciales responsables et Employés et communautés.

Le rapport intégral peut être consulté à l'adresse http://www.aimia.com/fr/social-purpose/annual-reports.html.

Notes explicatives des tableaux financiers

1. Les mesures hors PCGR (BAIIA ajusté, résultat net ajusté par action ordinaire, flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes et flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action) et les devises constantes sont expliquées à la section intitulée « Utilisation de mesures non conformes aux PCGR ».
2. Inclut le versement unique de 100,0 M$ reçu de La Banque TD au premier trimestre de 2014.
3. Inclut le versement unique totalisant 73,4 M$ reçu de TD, déduction faite d'une charge d'impôt sur le résultat de 26,6 M$.
4. Inclut le crédit au titre de la taxe de vente harmonisée connexe de 22,5 M$ reçu au premier trimestre de 2014.
5. Les totaux partiels et les chiffres peuvent varier en raison de l'arrondissement de l'information financière en millions de dollars.
6. Représente les chiffres comptabilisés exclusion faite du paiement à la CIBC de 150,0 M$ et de la provision au titre de la migration des cartes de 50,0 M$.
7. Représente les chiffres comptabilisés exclusion faite du paiement à la CIBC de 150,0 M$ et de la taxe de vente harmonisée connexe de 22,5 M$.
8. Inclut 100,0 M$ au titre du remboursement d'impôt lié au report en arrière d'une perte au Canada et un crédit de taxe sur les intrants de 22,5 M$ lié au paiement de taxe de vente harmonisée effectué en 2013.
9. L'écart entre le total consolidé et les totaux partiels par région résulte des éliminations intersociétés.
10. Calculé comme suit : (flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes moins dividendes versés sur les actions privilégiées) / nombre moyen pondéré d'actions ordinaires en circulation.

Sensibilité aux taux de change et devises constantes

Sensibilité aux taux de change
Aimia est exposée au risque de change sur ses activités étrangères libellées dans une autre monnaie que le dollar canadien, soit principalement la livre sterling. Par conséquent, Aimia est exposée aux fluctuations découlant de la variation des cours de change.

Devises constantes
Les taux de change représentent un facteur important dans la compréhension de comparaisons d'une période à l'autre. La présentation de divers indicateurs financiers en devises constantes ou après la conversion de devises, en supplément des indicateurs financiers réels, contribue à améliorer la capacité de compréhension des résultats d'exploitation et facilite l'évaluation du rendement par rapport aux périodes antérieures. Les informations en devises constantes comparent les résultats entre les périodes, comme si les taux de change n'avaient pas fluctué au cours de la période faisant l'objet de l'analyse. Pour obtenir les résultats en devises constantes, on recalcule les résultats de l'exercice en cours en utilisant les taux de change de l'année précédente. Les résultats calculés en devises constantes devraient se rajouter, et en aucun cas se substituer, aux résultats présentés conformément aux PCGR. Par ailleurs, il se peut que les résultats calculés en devises constantes ne soient pas comparables aux mesures semblables utilisées par d'autres sociétés.

Utilisation de mesures non conformes aux PCGR
Afin de mieux comprendre les résultats, les indicateurs suivants sont utilisés :

Résultat avant intérêt, impôt et amortissement ajusté
La direction se sert du BAIIA ajusté en fonction de certains facteurs propres aux activités de la Société, tels que les variations des produits différés et la variation des frais d'échange futurs (le « BAIIA ajusté »), pour évaluer le rendement et mesurer la conformité aux clauses restrictives relatives à la dette. De l'avis de la direction, le BAIIA ajusté aide les investisseurs à comparer le rendement de la Société d'une manière uniforme, sans égard à l'amortissement et aux pertes de valeur du goodwill qui, de par leur nature, sont des éléments hors trésorerie et peuvent varier de façon importante en fonction des méthodes de comptabilisation utilisées et de divers facteurs non liés à l'exploitation tels que le coût d'origine. Le BAIIA ajusté tient aussi compte des distributions et des dividendes versés ou à verser par les placements mis en équivalence.

Le BAIIA ajusté n'est pas une mesure conforme aux PCGR, il ne saurait se substituer au résultat d'exploitation ou au résultat net pour mesurer le rendement et il n'est pas comparable aux mesures similaires employées par d'autres émetteurs. Pour un rapprochement avec les PCGR, se reporter au tableau Sommaire des résultats d'exploitation consolidés et rapprochement du BAIIA, du BAIIA ajusté, du résultat net ajusté et des flux de trésorerie disponibles inclus à la page 12 dans le rapport de gestion du trimestre terminé le 31 mars 2014. Le BAIIA ajusté ne doit pas être utilisé comme mesure exclusive des flux de trésorerie, puisqu'il ne tient compte ni de la croissance du fonds de roulement, ni des dépenses en immobilisations, des remboursements de la dette et d'autres rentrées et sorties de fonds, lesquels sont présentés au tableau des flux de trésorerie.

Résultat net ajusté
Le résultat net ajusté permet d'évaluer la rentabilité d'une manière cohérente avec le BAIIA ajusté. Il correspond au résultat net attribuable aux actionnaires de la Société, ajusté pour exclure l'amortissement des contrats avec des partenaires d'accumulation, des relations clients et de la technologie, la quote-part du résultat net des placements mis en équivalence et les pertes de valeur. Le résultat net ajusté tient compte de la variation des produits différés et de la variation des frais d'échange futurs, déduction faite de l'incidence de l'impôt sur le résultat et de la participation ne donnant pas le contrôle (le cas échéant) dans ces éléments à l'échelle de l'entité. Le résultat net ajusté tient aussi compte des distributions et des dividendes versés ou à verser par les placements mis en équivalence.

Le résultat net ajusté n'est pas une mesure conforme aux PCGR, il ne saurait se substituer au résultat net pour mesurer la rentabilité et il n'est pas comparable aux mesures similaires employées par d'autres émetteurs. Pour un rapprochement avec les PCGR, se reporter au tableau Sommaire des résultats d'exploitation consolidés et rapprochement du BAIIA, du BAIIA ajusté, du résultat net ajusté et des flux de trésorerie disponibles inclus à la page 12 dans le rapport de gestion du trimestre terminé le 31 mars 2014.

Résultat net ajusté par action ordinaire
Le résultat net ajusté par action ordinaire permet d'évaluer la rentabilité par action ordinaire d'une manière cohérente avec le résultat net ajusté. Il correspond au résultat net ajusté diminué des dividendes déclarés sur les actions privilégiées, divisé par le nombre moyen pondéré de base et dilué d'actions ordinaires.

Le résultat net ajusté par action ordinaire n'est pas une mesure conforme aux PCGR, il ne saurait se substituer au résultat net par action ordinaire pour mesurer la rentabilité par action ordinaire et il n'est pas comparable aux mesures similaires employées par d'autres émetteurs. Pour un rapprochement avec les PCGR, se reporter au tableau Sommaire des résultats d'exploitation consolidés et rapprochement du BAIIA, du BAIIA ajusté, du résultat net ajusté et des flux de trésorerie disponibles inclus à la page 12 dans le rapport de gestion du trimestre terminé le 31 mars 2014.

Flux de trésorerie disponibles normalisés (« Flux de trésorerie disponibles »)
Les flux de trésorerie disponibles sont une mesure non conforme aux PCGR recommandée par l'ICCA en vue d'établir une mesure cohérente et comparable des flux de trésorerie disponibles d'une entité à l'autre à partir des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation. Cette mesure est utilisée comme indicateur de la solidité et de la performance financières.

Les flux de trésorerie disponibles se définissent comme étant les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, comme ils sont comptabilisés selon les PCGR, déduction faite des ajustements pour tenir compte :

	a)	du total des dépenses en immobilisations inscrit selon les PCGR;
	b)	des dividendes, quand cela est stipulé, à moins qu'ils ne soient déduits du calcul des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation.

Pour un rapprochement avec les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, se reporter au tableau Sommaire des résultats d'exploitation consolidés et rapprochement du BAIIA, du BAIIA ajusté, du résultat net ajusté et des flux de trésorerie disponibles inclus à la page 12 dans le rapport de gestion du trimestre terminé le 31 mars 2014.

Le BAIIA et les flux de trésorerie disponibles sont des mesures non conformes aux PCGR recommandées par l'ICCA conformément à sa publication d'octobre 2008, intitulée Améliorer la communication de l'information au moyen de mesures financières hors PCGR - Principes généraux et lignes directrices sur la présentation du BAIIA et des flux de trésorerie disponibles.

Flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action

Les flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes par action sont une mesure des flux de trésorerie tirés des activités d'exploitation, par action. Ils se calculent comme suit : flux de trésorerie disponibles avant versement de dividendes diminués des dividendes versés sur actions privilégiées, divisés par le nombre moyen pondéré d'actions ordinaires en circulation.

Se reporter au tableau Sommaire des résultats d'exploitation consolidés et rapprochement du BAIIA, du BAIIA ajusté, du résultat net ajusté et des flux de trésorerie disponibles inclus à la page 12 dans le rapport de gestion du trimestre terminé le 31 mars 2014.

Déclaration sur les hypothèses relatives aux prévisions

Les prévisions ci-dessus excluent les effets des fluctuations des taux de change. De plus, les prévisions pour 2014 ont été produites à l'aide d'un certain nombre d'hypothèses économiques et de marché, y compris des hypothèses concernant la conjoncture économique des pays dans lesquels la Société exerce ses activités, la concurrence et les lois fiscales applicables aux activités de la Société. La Société tient à rappeler que les hypothèses utilisées pour préparer les prévisions pour 2014, bien qu'elles étaient raisonnables au moment où elles ont été établies, pourraient s'avérer incorrectes ou inexactes. Les prévisions ci-dessus ne tiennent pas compte non plus de l'incidence que pourraient avoir d'éventuels éléments non récurrents ou exceptionnels ou de nouvelles ententes commerciales importantes, cessions, fusions, acquisitions ou autres regroupements d'entreprises ou transactions susceptibles d'être annoncés ou de se produire après le 13 mai 2014. L'incidence financière de telles transactions et de tels éléments non récurrents ou exceptionnels peut être complexe et dépend des faits qui se rattachent à chacun d'entre eux. Nous ne pouvons donc décrire l'incidence prévue de façon complète ou la présenter de la manière dont nous connaissons actuellement les risques auxquels sont exposées nos activités. Par conséquent, les résultats réels pourraient différer considérablement de nos attentes énoncées dans le présent communiqué de presse. Les perspectives constituent des énoncés prospectifs au sens des lois sur les valeurs mobilières applicables et doivent être lues parallèlement à la rubrique « Avertissement concernant les énoncés prospectifs ».

Avertissement concernant les énoncés prospectifs

Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs. Ces derniers se reconnaissent à l'usage de termes tels que « prévoir », « croire », « pouvoir », « estimer », « s'attendre à », « avoir l'intention de », « planifier », « projeter » et à l'emploi d'autres termes semblables, notamment à la mention de certaines hypothèses. Ces énoncés peuvent porter, par exemple, sur des stratégies, des attentes, des activités prévues ou des mesures à venir sans s'y limiter.

De par leur nature, les énoncés prospectifs partent d'hypothèses et sont soumis à d'importants risques et incertitudes. Les prévisions, les prédictions ou les énoncés prospectifs ne sont pas fiables en raison notamment de la nature évolutive des événements externes et des incertitudes auxquelles les activités et la structure de l'entreprise sont soumises en général. La réalité pourra se révéler très différente des résultats exprimés dans les énoncés prospectifs pour de nombreuses raisons, entre autres la dépendance envers les principaux partenaires d'accumulation et les clients, les modifications apportées au programme Aéroplan, l'incapacité de protéger les bases de données et les renseignements personnels des consommateurs, les conflits d'intérêts, un nombre plus élevé que prévu d'échanges contre des primes, la réglementation, la situation de l'économie ou du marché de détail, la concurrence, les problèmes de liquidité d'Air Canada, les perturbations chez Air Canada ou dans l'industrie du voyage, des changements dans le secteur du transport aérien et une hausse des coûts des transporteurs aériens, les coûts d'approvisionnement et de capacité, les frais d'échange futurs non provisionnés, les changements aux programmes de fidélisation coalisés, la nature saisonnière des activités, d'autres facteurs et le rendement antérieur, les activités à l'étranger, les poursuites, la dépendance envers le personnel clé, les relations de travail, le passif au titre des régimes de retraite, les pannes d'équipement électronique et l'incapacité d'utiliser les logiciels tiers, l'incapacité de protéger les droits de propriété intellectuelle, les fluctuations des taux d'intérêt et du change, le niveau d'endettement et les clauses restrictives relativement à la dette actuelle et future, l'incertitude des versements de dividendes, la gestion de la croissance, les notations de crédit, de même que les autres facteurs précisés dans les documents publics d'Aimia déposés auprès des organismes de réglementation en valeurs mobilières canadiens.

Les énoncés prospectifs contenus dans les présentes témoignent des attentes d'Aimia au 13 mai 2014 et ils pourraient changer après cette date. Toutefois, Aimia n'a aucunement l'intention ni l'obligation de mettre à jour ou de réviser les énoncés prospectifs, que ce soit en raison d'une nouvelle information, d'un fait nouveau ou pour toute autre raison, sauf si cela est exigé en vertu des règlements en valeurs mobilières applicables.

À propos d'Aimia

Aimia Inc. (« Aimia » ou la « Société ») est un chef de file mondial de la gestion de la fidélisation. Comptant plus de 4 300 employés dans 20 pays, Aimia offre à ses clients, à ses partenaires et à ses membres une expertise avérée pour ce qui est de lancer et de gérer des programmes de fidélisation coalisés, de fournir des services de fidélisation propriétaire, de créer de la valeur grâce à l'analytique de la fidélité et de susciter l'innovation dans les espaces émergents numériques, mobiles et de communication sociale.

Aimia possède et exploite Aéroplan, le programme de fidélisation coalisé par excellence du Canada, Nectar, le plus important programme de fidélisation coalisé du Royaume-Uni, Nectar Italia, le plus important programme de fidélisation coalisé d'Italie et Smart Button, un important fournisseur de solutions de fidélisation SaaS. Aimia détient en outre des participations dans Air Miles Moyen-Orient, Travel Club, un programme de fidélisation coalisé de premier plan en Espagne, Club Premier, le plus important programme de fidélisation coalisé du Mexique, China Rewards, le premier programme de fidélisation coalisé en Chine qui permet à ses membres d'accumuler et de troquer une devise commune, Think Big, propriétaire et exploitant de BIG, le programme de fidélisation d'AirAsia et de Tune Group, Prismah Fidelidade au Brésil et i2c, une coentreprise formée avec Sainsbury qui offre des connaissances et des services d'analytique des données aux détaillants et à leurs fournisseurs au Royaume-Uni. Aimia détient aussi une participation minoritaire dans Cardlytics, une société américaine fermée dans le domaine du marketing lié aux cartes. Aimia est cotée à la Bourse de Toronto (TSX: AIM). Pour obtenir plus de renseignements, veuillez visiter www.aimia.com.

 

SOURCE : AIMIA

Médias, analystes et investisseurs
Karen Keyes
416 352-3728
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