Alors que la confiance des épargnants se stabilise, la Banque Scotia offre
aux Canadiens des conseils financiers pour rester sur la bonne voie en 2010
"La reprise économique et boursière que nous avons observée depuis quelques mois commence clairement à avoir un effet apaisant sur les épargnants", a indiqué
À l'aube de 2010, le moment est propice pour faire le bilan de sa situation financière. Mme Henderson propose d'ailleurs quelques stratégies de base pour aider les épargnants à rester sur la bonne voie durant la prochaine année.
1. Ne dérogez pas de votre plan financier. Il est important d'être souple, mais il ne faut pas perdre de vue sa stratégie. À moins que vos objectifs aient radicalement changé, vous avez eu de bonnes raisons de choisir votre portefeuille d'actifs. Bien que les marchés se soient considérablement redressés, ils ont quand même baissé de 24 % par rapport à leur sommet en juin 2008. Le fait de respecter votre plan vous permettra de faire des profits au fur et à mesure que les marchés se redresseront. 2. Si vous n'avez pas de plan financier, il est temps d'y voir. Il est difficile de rester sur la bonne voie quand on ne sait pas où l'on va. Un conseiller financier peut vous aider à cerner vos objectifs à court et à long terme et recommander un plan, notamment des stratégies financières et de placement appropriées, pour vous aider à vous rendre à destination. Selon les résultats du plus récent Wealth Management Index (Indice de gestion du patrimoine), étude multi- intérêts trimestrielle sur les épargnants canadiens menée par Vision Critical, seuls 42 % des épargnants canadiens ont un plan financier personnalisé. 3. Établissez des attentes réalistes et choisissez votre portefeuille d'actifs de placement en conséquence. Si vos attentes sont trop élevées, votre portefeuille d'actifs risque d'être trop dynamique et déphasé par rapport à votre propension à prendre des risques. À l'approche de la retraite, les épargnants doivent affiner leur stratégie de placement. 4. Songez à inclure dans votre portefeuille des entreprises productives de dividendes. Votre portefeuille pourrait être fortement stimulé par l'inclusion de titres de grandes entreprises de premier ordre dont les dividendes augmentent chaque année. Un dividende génère un rendement du capital investi se situant entre 2 % et 4 %. Si la croissance de l'entreprise dans laquelle vous avez investi vous permet d'obtenir un autre 4 %, vous aurez alors obtenu un bon rendement pour l'année, ce qui vous permettra de suivre le rythme de l'inflation sans entamer votre pouvoir d'achat. 5. Le remboursement des dettes et les placements ne devraient pas être faits au détriment de l'un ou de l'autre. Les deux sont importants, surtout maintenant que les taux d'intérêt sont bas, ce qui abaisse les frais de crédit, et que les marchés sont en voie de poursuivre leur remontée. Diverses stratégies peuvent vous aider à faire les deux. Par exemple, cotisez à votre REER puis utilisez votre remboursement pour rembourser vos dettes, en commençant par votre dette à la consommation, notamment les cartes de crédit de grands magasins à taux plus élevé, entre autres. À l'inverse, explorez des solutions telles que le crédit consolidé, ce qui vous aidera à accéder à des liquidités aux fins de placement. 6. Déterminez comment vous dépensez votre argent. La vie semble aller de plus en plus vite et il est facile de perdre de vue son budget. Maintenant que les dépenses additionnelles du temps des Fêtes sont derrière nous, le début d'une nouvelle année est le moment idéal pour examiner le bilan du ménage afin d'établir le montant des rentrées de fonds et des charges fixes et d'identifier les éléments qui constituent une dépense dont on peut se passer. Envisagez ensuite d'établir un régime d'épargne automatique de façon à ce que vos épargnes soient puisées à même votre compte bancaire et puissent être redirigées vers d'autres priorités - par exemple un placement, le remboursement d'un prêt hypothécaire ou une vacance familiale. 7. Ayez plus de souplesse en ouvrant un compte d'épargne libre d'impôt (CELI). Il s'agit d'un formidable outil de placement/épargne pour les Canadiens de 18 ans et plus, peu importe la période de leur vie ou leurs objectifs financiers. Il offre à la fois la souplesse d'un instrument d'épargne à court terme et un plan d'investissement à plus long terme. Vous pouvez épargner jusqu'à 5 000 $ par année et tous les revenus d'investissement provenant du CELI (gains en capital, intérêts, dividendes) sont exempts d'impôt votre vie durant. Les droits de cotisation inutilisés pourront être reportés indéfiniment, et les montants retirés pourront y être versés de nouveau par la suite.
Pour obtenir de plus amples renseignements sur les façons de maîtriser vos finances, allez à http://aidezmoiainvestir.banquescotia.com ou rendez-vous dans une succursale de la Banque Scotia près de chez vous.
Voir : Canadian Investor Pulse* mené par Vision Critical pour la Banque Scotia - Backgrounder : November 4-18, 2009 Data (document d'information recensant les données du 4 au 18 novembre 2009)
Canadian Investor Pulse* mené par Vision Critical pour la Banque Scotia Document d'information recensant les données du 4 au 18 novembre 2009 - Les perspectives économiques se sont stabilisées. En novembre 2009, les épargnants canadiens continuent d'entrevoir une économie plus stable, la moitié (53 %) d'entre eux affirmant que l'économie canadienne demeurera stable au cours des trois prochains mois. - C'est au Québec que ce sentiment était le plus répandu (62 %), alors que les Canadiens des provinces de l'Ouest étaient plus enclins à prédire une amélioration au cours des trois prochains mois (40 %). - À l'instar des mois précédents, les ménages mieux nantis, disposant d'actifs investissables d'au moins 100 k$, étaient les plus optimistes quant aux chances d'un redressement économique d'ici trois mois. - La confiance des investisseurs s'est également stabilisée en novembre 2009, alors que plus d'épargnants ont dit qu'ils avaient l'intention d'accroître leurs placements boursiers (20 % contre 15 % en octobre 2009). - Par rapport au mois précédent, les investisseurs des provinces atlantiques se disaient plus confiants, 71 % d'entre eux prévoyant maintenir leur position de marché actuelle et 15 % envisageant d'accroître leurs placements boursiers (contre 62 % et 6 % respectivement en octobre 2009). - Les investisseurs dans l'Ouest canadien étaient les plus susceptibles d'accroître leurs placements (23 %), comparativement aux investisseurs en Ontario (21 %) et au Canada atlantique (15 %). - Les plus jeunes investisseurs ont continué à manifester une plus grande confiance, indiquant qu'ils planifient d'accroître leurs placements boursiers (26 % chez les 18 à 34 ans et 25 % chez les 35 à 55 ans, comparativement à 14 % chez ceux de 55 ans et plus). - Près de sept investisseurs sur 10 (69 %) ont qualifié leur situation financière de "bonne". - Les investisseurs du Québec et dans les provinces atlantiques étaient les plus susceptibles à qualifier leur situation financière actuelle de "bonne" (70 %), suivis de ceux de l'Ouest canadien (69 %) et de l'Ontario (68 %). Les Canadiens des provinces atlantiques étaient également les moins susceptibles à qualifier leur situation financière de "médiocre" (8 %). - Les investisseurs ontariens étaient les plus susceptibles de décrire leur situation comme étant "médiocre" (15 %) et les moins susceptibles de la décrire comme étant "bonne" (68 %). - Ainsi qu'il fallait s'y attendre, comme ce fut le cas lors des mois précédents, à mesure que le niveau d'actifs investissables augmente, le nombre de personnes qualifiant leur situation financière actuelle de "très bonne" a également augmenté. *Chaque mois, Vision Critical, en partenariat avec la Banque Scotia, réalise 1 500 entrevues en ligne avec des investisseurs canadiens qui disposent d'au moins 25 k$ en actifs investissables. Les résultats ont été statistiquement pondérés en fonction des données correspondant aux 20 000 Canadiens composant le panel d'épargnants canadiens de Vision Critical. Les membres du panel d'épargnants canadiens ont été recrutés dans le cadre du Forum Angus Reid, panel représentant les citoyens canadiens à l'échelle nationale, mis au point et géré par Vision Critical.
Renseignements: ou pour organiser une entrevue avec des conseillers financiers régionaux: Robyn Harper, Relations publiques, Banque Scotia - Toronto, (416) 933-1093 ou [email protected]; Deborah Spence, Relations publiques, Banque Scotia - Calgary, (403) 601-4855 ou [email protected]; Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet du panel d'épargnants canadiens de Vision Critical ou de l'Index de gestion du patrimoine: Demitry Estrin, Vision Critical Financial Services - New York, (212) 402-8205 ou [email protected]
Partager cet article