Assemblée publique de La science à bon escient à Ottawa : de nouvelles orientations pour la politique scientifique au Canada English
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Association canadienne des professeures et professeurs d'université (ACPPU)27 nov, 2014, 08:00 ET
OTTAWA, le 27 nov. 2014 /CNW/ - D'éminents chercheurs feront état de leurs préoccupations quant à l'état de la science au Canada en compagnie de représentants des partis politiques dans le cadre d'une assemblée publique tenue ce soir à l'hôtel Westin d'Ottawa, à 18 h 30.
L'assemblée sera animée par le journaliste scientifique Mike De Souza. Les panélistes y discuteront de l'approche du gouvernement fédéral en matière scientifique et de ses répercussions sur les Canadiens. Le public est invité à enrichir la discussion de ses questions et observations.
Le directeur général de l'ACPPU, David Robinson, prononcera le mot d'ouverture. Suivra une discussion dynamique entre les panélistes : Béla Joós, professeur de physique, Université d'Ottawa; Diane Beauchemin, professeure de chimie, Université Queen's; Christina Muehlberger, doctorante, Sociologie et économie politique, Université Carleton; Tim Powers, vice-président, Summa Strategies; Ted Hsu, porte-parole en matière de sciences et de technologie, député, Parti libéral du Canada; et Kennedy Stewart, porte-parole en matière de sciences et de technologie, député, Nouveau Parti démocratique du Canada. Le ministre d'État (Sciences et Technologie) Ed Holder a aussi été invité à se joindre aux panélistes.
« L'Association canadienne des professeures et professeurs d'université convie le public et les représentants politiques à une discussion sur les orientations qui protégeraient l'intégrité de la recherche et de la science au Canada, a dit Robin Vose, président de l'Association canadienne des professeures et professeurs d'université. Ces dernières années, le public a condamné la fermeture de centres et de bibliothèques de recherche essentiels, l'arrêt de la cueillette de données primordiales, et la perte d'accès aux scientifiques du gouvernement et à la recherche fondamentale. »
Selon M. Vose, les électeurs auront d'importantes décisions à prendre l'an prochain par rapport à l'écart croissant entre la politique scientifique et l'intérêt public. Il espère que la discussion de ce soir éclairera les décideurs quant aux initiatives aptes à contrer certains des effets néfastes des fermetures de laboratoires, des coupes dans le financement de la recherche fondamentale et du bâillonnement des scientifiques.
L'Association canadienne des professeures et professeurs d'université est le porte-parole national des 68 000 professeures et professeurs et employés en poste dans les universités et collèges du pays. Pour de plus amples renseignements sur la campagne La science à bon escient de l'ACPPU, rendez-vous à lascienceabonescient.ca
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SOURCE : Association canadienne des professeures et professeurs d'université (ACPPU)
Angela Regnier, agente des communications, Association canadienne des professeures et professeurs d'université au 613-726-5186 (bur.); au 613-601-6304 (cell.); ou à [email protected] (courriel).
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