Avis aux médias : POURSUITE DES NÉGOCIATIONS ENTRE L'ASSOCIATION DES CADRES DE LA PETITE ENFANCE (ACCPE) ET LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC
Exaspérées, les femmes gestionnaires des CPE/BC exigent une juste reconnaissance du travail essentiel qu'elles accomplissent chaque jour dans l'ombre.
LONGUEUIL, QC, le 18 oct. 2022 /CNW/ - À partir de 10h30 aujourd'hui se tiendra la huitième journée de négociation entre le Conseil du trésor et les représentantes des femmes gestionnaires des centres de la petite enfance (CPE) et des bureaux coordonnateurs de la garde en milieu familial (BC).
Exaspérées, celles-ci déplorent la paralysie du gouvernement, l'absence totale de reconnaissance envers leur travail, le manque de cohérence du ministère de la Famille qui ne respecte aucunement l'équité interne en termes de conditions salariales.
Près de 200 directrices seront présentes pour manifester leur impatience. Elles veulent que des changements soient apportés sans délai, ce qu'elles espèrent depuis des décennies:
- De 9h30 à 10h30 ce matin
- devant le 600 rue Fullum à Montréal
L'entêtement du gouvernement à refuser de reconnaître le travail exceptionnel et unique de ces femmes gestionnaires commence à entraîner des conséquences désastreuses. On évalue à environ 20% le nombre de directrices adjointes qui ont quitté leur poste pour aller travailler ailleurs, dans un poste qui respectera leur formation, leurs qualifications, leur expérience et leur compétence.
Rappelons que l'Association des cadres des CPE représente les 1800 cadres des centres de la petite enfance et des bureaux coordonnateurs auprès des représentants des employeurs et du ministère de la Famille. Elle a notamment pour mission de favoriser le développement des meilleures compétences de gestion chez les directrices générales et directrices adjointes des CPE/BC du Québec.
SOURCE Association des cadres des CPE / ACCPE
Brigitte Lépine, adjointe à la direction et aux communications / 514-884-8705 / [email protected]
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