Les coûts d'entretien de deux résidences augmentent grandement les dépenses pendant la retraite
TORONTO, le 27 oct. 2014 /CNW/ - Le nombre des divorces gris est en hausse au Canada, et nombre de baby-boomers ne réalisent peut-être pas que les coûts d'entretien de deux résidences peuvent faire augmenter les dépenses d'un montant annuel aussi élevé que 20 000 $ à 30 000 $, ce qui peut avoir de graves répercussions sur les finances à la retraite.
En fait, selon les données du recensement de 2011 de Statistique Canada, le divorce chez les baby-boomers est devenu plus courant et leur nombre devrait augmenter régulièrement. En 2013, environ 60 000 couples canadiens ont divorcé et 25 % de ces divorces étaient « gris », soit entre des personnes de 55 ans et plus.
« Les couples de baby-boomers divorcent même si ce n'est pas dans leur meilleur intérêt sur le plan financier », souligne Marion Korn, avocate en droit de la famille et co-auteure du livre « When Harry Left Sally » (quand Harry a quitté Sally). « La bonne nouvelle toutefois c'est que la plupart des couples reconnaissent qu'ils ne devraient pas investir dans un divorce coûteux et qu'ils ont besoin de trouver une autre façon. »
L'âge des personnes qui sont divorcées ou séparées est en hausse, pour les hommes comme pour les femmes, et la tranche des 50 ans et plus est particulièrement en augmentation. En 2011, environ une personne sur cinq à la fin de la cinquantaine était divorcée ou séparée (21,6 % de femmes et 18,9 % d'hommes), la tranche d'âge la plus élevée. En comparaison, en 1981, 6,9 % de femmes et 6,2 % d'hommes de cette tranche d'âge étaient divorcés ou séparés, selon le rapport de Statistique Canada, État matrimonial : aperçu, 2011.
« Un grand nombre de couples se séparent à l'amiable », explique Eva Sachs, analyste financière agréée en divorce et co-auteure de « When Harry Left Sally ».
« Le divorce gris est différent. C'est une période où le divorce et la retraite sont concomitants. Le divorce est une rupture de la cellule familiale, mais aussi la rupture d'une cellule économique », ajoute-t-elle.
Alors, comment les couples de baby-boomers qui se séparent peuvent-ils faire face au dur coup financier de l'entretien de deux résidences ? Certains choisissent un prêt hypothécaire inversé, ce qui peut permettre à l'une des deux personnes de rester au domicile familial - solution la plus souvent souhaitée - en utilisant la valeur de la maison pour racheter la part du conjoint.
« C'est une solution que nous conseillons aux couples d'envisager », explique Mme Sachs. « Si la maison est entièrement payée, un prêt hypothécaire inversé peut contribuer à régler un manque de liquidités. »
Ainsi, un prêt hypothécaire inversé de la Banque HomEquity a permis à un couple de l'Alberta âgé de 73 ans et 58 ans de régler son divorce. En fait, le nombre de prêts hypothécaires consentis chaque mois par la Banque HomEquity à des couples aux prises avec un divorce gris est en constante augmentation.
Voici comment fonctionne le prêt hypothécaire inversé CHIP :
La Banque HomEquity
La Banque HomEquity est une banque canadienne de l'annexe I qui offre la solution de prêt hypothécaire inversé CHIP www.francais.chip.ca. Elle a été fondée il y a 28 ans sous la forme d'un régime de rentes viagères, afin de combler les besoins financiers des Canadiens souhaitant avoir accès à la valeur de leur principal élément d'actif : leur résidence.
Bas de vignette : "Les baby-boomers: comment allez-vous financer votre divorce «gris» ? (Groupe CNW/Banque HomEquity)". Lien URL de l'image : http://photos.newswire.ca/images/download/20141027_C3275_PHOTO_FR_7133.jpg
SOURCE : Banque HomEquity
Pour obtenir de plus amples renseignements sur le prêt hypothécaire inversé CHIP, veuillez communiquer avec : Éric Bisaillon, Directeur général et vice-président régional - Québec, Tél. : 514-260-3469; http://www.banquehomequity.ca
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