Révision à la hausse de l'orientation financière pour 2013
- Activations nettes des services postpayés dans le sans-fil de 96 390 et hausse du PMU combiné de 2,7 % entraînant une croissance des produits tirés des services sans fil de 6,1 %; augmentation de la marge liée aux services sans fil, qui s'est établie à 45,9 %
- Meilleurs résultats jamais enregistrés au chapitre des activations nettes d'abonnés du service Bell Télé Fibe totalisant 50 555, soit une hausse de 31,4 %; amélioration des pertes d'abonnés des services d'accès au réseau (SAR) par lignes terrestres de 12,8 %
- Hausse de 1,5 % du BAIIA de Bell en raison de la croissance du BAIIA des Services sans fil de Bell et de Bell Média de 8,9 % et de 3,3 %, respectivement, la marge consolidée du BAIIA de Bell s'étant maintenue à 39,4 %
- Augmentation des produits tirés des Services sur fil et du BAIIA, la prépondérance des services de croissance que sont les services de télé et Internet s'étant accrue au sein des diverses activités opérationnelles
- Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE de 571 millions $, ou 0,74 $ par action ordinaire; bénéfice par action ajusté de 0,77 $ conformément au plan
- Forte croissance de 12 % des flux de trésorerie disponibles, qui se sont chiffrés à 903 millions $
- Conclusion de l'acquisition d'Astral Media inc. (Astral) le 5 juillet
Le présent communiqué de presse contient des déclarations prospectives. Pour une description des facteurs de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans le communiqué.
MONTRÉAL, le 8 août 2013 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX, NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications du Canada, a présenté aujourd'hui les résultats de BCE et de Bell pour le deuxième trimestre (T2) de 2013 et a révisé à la hausse l'orientation financière pour 2013 afin de refléter l'acquisition d'Astral.
FAITS SAILLANTS FINANCIERS
(en millions $, sauf les montants par action) (non audité) | T2 2013 | T2 2012 | % de variation |
||||
Bell(i) | |||||||
Produits opérationnels | 4 424 | 4 341 | 1,9 | % | |||
BAIIA | 1 744 | 1 718 | 1,5 | % | |||
BCE | |||||||
Produits opérationnels | 5 000 | 4 925 | 1,5 | % | |||
BAIIA | 2 066 | 2 044 | 1,1 | % | |||
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires | 571 | 732 | (22,0) | % | |||
BPA | 0,74 | 0,94 | (21,3) | % | |||
BPA ajusté | 0,77 | 0,97 | (20,6) | % | |||
Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles | 1 868 | 1 904 | (1,9) | % | |||
Flux de trésorerie disponibles | 903 | 806 | 12,0 | % |
(i) | Bell comprend les secteurs Services sans fil de Bell, Services sur fil de Bell et Bell Média. |
« Chez Bell, nous nous sommes engagés à fournir aux Canadiens les services de communications les plus avancés au monde en misant sur l'expansion rapide de nos réseaux mobiles LTE et de fibre qui offrent de nouveaux choix dans les domaines du sans-fil, de la télé, d'Internet, des médias et des communications d'affaires. L'investissement inégalé de Bell dans l'infrastructure à large bande au Canada, ses nouveaux produits novateurs et l'excellente exécution de l'équipe nationale de Bell, qui compte près de 60 000 membres, ont donné lieu à une performance financière solide et à une expansion rapide de nos services de croissance », a souligné George Cope, président et chef de la direction de BCE et de Bell Canada.
« L'adoption croissante des téléphones intelligents et l'utilisation accrue des services de données, comme la Télé Mobile de Bell, ont favorisé la forte croissance des produits et du BAIIA des Services sans fil de Bell. L'élargissement rapide de la zone de couverture de notre service Fibe a fait culminer le nombre d'ajouts d'abonnés du service Télé Fibe depuis le lancement de celui-ci et a permis l'amélioration de la performance des services Internet et de nos services traditionnels offerts par lignes terrestres, car plus de clients ont profité des forfaits de services de Bell. De plus, grâce à la solide performance financière au T2, qui s'appuie sur l'augmentation au chapitre de la publicité et des produits tirés des services spécialisés dans les sports et des autres services spécialisés, Bell Média demeure la première entreprise canadienne de médias, une position concurrentielle renforcée davantage par l'ajout de l'équipe d'Astral, surtout dans le marché des médias au Québec », a affirmé M. Cope.
Bell concentre ses efforts sur un objectif clair, celui d'être reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de communications du Canada, qu'elle compte atteindre grâce à l'exécution de six impératifs stratégiques : investir dans les réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans les médias, améliorer le service à la clientèle et établir une structure de coûts concurrentielle.
« Nous affichons des résultats financiers probants au T2, soutenus par la solidité continue des services postpayés dans le sans-fil, la bonne progression des activités opérationnelles dans le sur-fil et l'apport important de nos activités liées aux médias, a affirmé Siim Vanaselja, chef des affaires financières de BCE et de Bell. La conclusion réussie de l'acquisition d'Astral permet la révision à la hausse de l'orientation financière pour 2013 que nous annonçons aujourd'hui. Après l'absorption de l'intégration et des autres coûts liés à l'acquisition au cours du second semestre de 2013, nous prévoyons commencer à réaliser l'ensemble des avantages financiers de cette acquisition en 2014 et profiter d'une forte augmentation des flux de trésorerie disponibles, laquelle servira à soutenir notre objectif de croissance du dividende. »
RÉSULTATS DE BCE
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE s'est chiffré à 571 millions $ au T2 2013, ou 0,74 $ par action ordinaire, comparativement à 732 millions $, ou 0,94 $ par action ordinaire, au T2 2012. Conformément au plan, le bénéfice par action ajusté (BPA ajusté)(1) s'est établi à 0,77 $ par action ordinaire, en baisse de 0,20 $ par rapport à l'exercice précédent. La diminution d'un exercice à l'autre est imputable au règlement favorable de certaines positions fiscales dont la valeur était supérieure au T2 2012, aux pertes sur les contrats dérivés sur capitaux propres conclus pour assurer la couverture économique des paiements futurs au titre de nos régimes de rémunération fondée sur des actions et à l'augmentation de la charge d'intérêts liée au financement de notre acquisition d'Astral.
Au T2 2013, les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles de BCE se sont élevés à 1 868 millions $, en baisse de 36 millions $ par rapport à l'exercice précédent, ce qui s'explique essentiellement par l'échelonnement des paiements à des fournisseurs, l'augmentation des versements d'intérêts découlant de la hausse du niveau moyen de la dette à long terme et l'augmentation de l'impôt sur le résultat. Au cours du trimestre, les flux de trésorerie disponibles(2) pour les actionnaires ordinaires de BCE ont augmenté de 97 millions $, ou 12 %, pour se chiffrer à 903 millions $, ce qui est principalement attribuable à la hausse du BAIIA(3) et à la diminution des dépenses d'investissement.
À la fin du T2, BCE (Bell Canada et Bell Aliant y compris) comptait au total 7 860 429 abonnés du sans-fil, soit une hausse de 3,5 % par rapport au T2 2012, 2 377 021 abonnés des services de télé (ce qui inclut 495 038 abonnés du service de télé IP), soit une augmentation de 5,3 %, 3 054 427 abonnés d'Internet haute vitesse, soit une augmentation de 1,5 %, et 7 851 441 abonnés des SAR, soit une diminution de 7,0 %.
RÉSULTATS DE BELL
Au T2 2013, les produits opérationnels de Bell ont augmenté de 1,9 % pour s'établir à 4 424 millions $ du fait de l'augmentation des produits tirés des services de 1,8 %, ce qui reflète la croissance dans les services sans fil, de télé, Internet et de médias ainsi que dans les services de connectivité IP et les solutions d'affaires. En outre, au cours du trimestre, les produits opérationnels tirés des produits ont augmenté de 2,9 %, en raison des ventes accrues de produits de données à des grandes entreprises clientes.
Le BAIIA de Bell a augmenté de 1,5 % pour s'établir à 1 744 millions $, le BAIIA des Services sans fil de Bell et de Bell Média ayant crû de 8,9 % et de 3,3 %, respectivement. Cette hausse a été atténuée par une baisse de 2,9 % du BAIIA des Services sur fil de Bell, ce qui reflète une meilleure tendance qu'au T1 2013 et qu'à tous les trimestres précédents en 2012. Au T2 2013, la marge consolidée du BAIIA de Bell est demeurée relativement inchangée, s'étant établie à 39,4 %, comparativement à 39,6 % au T2 2012, ce qui reflète l'effet marqué des produits tirés des services sans fil, le contrôle exercé sur les dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés des services sans fil et à leur fidélisation, le ralentissement de l'érosion des services voix sur fil, la croissance continue du service Bell Télé Fibe et l'approche rigoureuse en matière d'établissement des prix et de gestion des coûts à l'échelle de l'entreprise.
COMBLER LES FAILLES
Bell presse le gouvernement fédéral de combler les failles présentes dans la nouvelle réglementation applicable aux services sans fil qui avantagent les grandes entreprises de services sans fil américaines, comme Verizon Communications Inc. (Verizon), en leur permettant de bénéficier d'avantages qui étaient initialement destinés aux entreprises de services sans fil en démarrage concurrentes. Bell est prête à affronter n'importe quel concurrent, mais ne peut le faire qu'à armes égales. Les avantages particuliers dont les entreprises telles que Verizon peuvent se prévaloir comprennent un accès privilégié au spectre canadien pour les services sans fil, le droit d'accéder aux réseaux des entreprises de télécommunications canadiennes, de même que la possibilité d'acquérir des entreprises de services sans fil en démarrage au Canada, ce que des entreprises canadiennes comme Bell ne peuvent pas faire. Pourtant, les entreprises de télécommunications canadiennes ne disposent pas de droits équivalents aux États-Unis ni dans d'autres pays. En raison du coût qui incombe aux Canadiens et de l'incidence sur l'investissement, l'innovation et l'emploi dans le domaine des services sans fil au Canada, la campagne visant à ce que soient comblées les failles a reçu un appui important de la part de Canadiens de divers horizons. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/Accueil/franc-jeu ou soyonsequitables.ca.
CONCLUSION DE L'ACQUISITION D'ASTRAL
Nous avons accueilli l'équipe d'Astral au sein de Bell Média à la suite de la conclusion, le 5 juillet 2013, de l'acquisition d'Astral, située à Montréal, par Bell pour un montant de 3,27 milliards $. Cette acquisition donnera lieu à une augmentation des investissements dans les médias au Canada et à une plus grande diversité pour les consommateurs, tout en améliorant considérablement la position concurrentielle de Bell Média, particulièrement dans le marché québécois. Les propriétés d'Astral acquises comprennent des services de télé payante et spécialisée de grande qualité (les services en français SuperÉcran, CinéPop, Canal Vie, Canal D, VRAK TV et Z Télé, et le service en anglais The Movie Network, qui inclut HBO Canada et TMN Encore), une des plus importantes plateformes d'affichage extérieur au Canada ainsi que 77 stations de radio, notamment des marques de prestige telles que NRJ, Virgin Radio, Rouge fm et EZ Rock. Ian Greenberg, le président et chef de la direction d'Astral, s'est joint au conseil d'administration de BCE à la conclusion de la transaction.
RÉSULTATS OPÉRATIONNELS DE BELL PAR SECTEUR
Au T2 2013, Bell a déployé des efforts intensifs dans l'ensemble de ses secteurs d'activité. Les Services sans fil de Bell ont conservé leur élan sur le marché, le nombre d'activations d'abonnés des services postpayés ayant été considérable et les données opérationnelles ayant amélioré la rentabilité en matière d'abonnés. Nous avons également constaté une accélération des activations nettes d'abonnés du service Télé Fibe, une baisse des pertes d'abonnés des SAR par lignes terrestres, une performance supérieure de Bell Marchés Affaires et une gestion rigoureuse des coûts à l'échelle de l'entreprise. Tous ces facteurs ont contribué à l'amélioration des courbes au chapitre des produits tirés des Services sur fil de Bell et du BAIIA. Bell Média a continué de contribuer de façon importante au BAIIA consolidé de Bell et à la croissance des flux de trésorerie au cours du trimestre, ce qui appuie la transformation du portefeuille de services de croissance, qui sera par ailleurs bonifié grâce à l'acquisition d'Astral.
Bell a consacré 673 millions $ en nouveau capital au T2 2013 pour soutenir la poursuite du déploiement des plateformes sur fil et sans fil à large bande de prochaine génération. Il s'agit d'une diminution de 13,3 % par rapport au T2 2012, en raison des coûts plus élevés à l'exercice précédent engagés au début de la construction du réseau mobile 4G LTE de Bell dans les principaux centres urbains, de l'expansion rapide du réseau de magasins de détail dans l'Ouest canadien et de l'échéancier des dépenses d'investissement de 2013 par rapport à celui de l'exercice précédent.
Services sans fil de Bell
Les produits opérationnels des Services sans fil de Bell ont augmenté de 5,4 % pour s'établir à 1 442 millions $ au cours du trimestre, comparativement à 1 368 millions $ au T2 2012. Les produits tirés des services ont augmenté de 6,1 % pour se chiffrer à 1 328 millions $, ce qui s'explique par la croissance de la clientèle d'abonnés des services postpayés et la hausse du PMU combiné reflétant l'utilisation plus intensive des services de données et l'augmentation des produits découlant de l'adoption croissante des téléphones intelligents. Au T2, les produits tirés des services de données sans fil ont augmenté de 21,1 % et représentent maintenant plus de 40 % du total des produits tirés des services sans fil.
Le BAIIA des Services sans fil de Bell a augmenté de 8,9 % pour s'établir à 609 millions $, ce qui reflète l'incidence combinée de la hausse des produits opérationnels et de l'approche rigoureuse en ce qui a trait aux rabais sur les combinés accordés aux nouveaux abonnés acquis et aux mises à niveau. Cette augmentation a contribué à une amélioration de 1,3 point de pourcentage de la marge liée aux services, qui s'élève à 45,9 % contre 44,6 % au T2 2012, soit la meilleure performance en quatre ans.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés de 96 390 reflètent une hausse de 2,7 % des activations brutes des services postpayés par rapport au T2 2012 ainsi qu'un taux de désabonnement stable. L'augmentation des activations brutes des services postpayés a été alimentée par la gamme intéressante de téléphones intelligents et d'autres appareils mobiles, les promotions accrocheuses et l'efficacité des activités publicitaires. Les pertes nettes d'abonnés des services prépayés se sont améliorées de 3,7 %, pour se chiffrer à 52 824, du fait que les désactivations d'abonnés ont été moindres.
- Les utilisateurs de téléphones intelligents représentaient 70 % du total des abonnés des services postpayés à la fin du trimestre, comparativement à 55 % à l'exercice précédent. La clientèle des Services sans fil de Bell totalisait 7 715 641 abonnés à la fin du T2, une augmentation de 3,5 %.
- Le taux de désabonnement des services postpayés est demeuré faible et inchangé, à 1,3 %, ce qui reflète la poursuite des investissements dans le service à la clientèle et la fidélisation des abonnés. Au cours du trimestre, le taux de désabonnement des services prépayés est également demeuré inchangé, à 3,7 %.
- Le PMU combiné a augmenté de 2,7 % ce trimestre pour s'établir à 56,85 $, ce qui représente un quatorzième trimestre consécutif d'amélioration d'un exercice à l'autre. La croissance a été stimulée par la proportion plus importante des abonnés des services postpayés au sein de l'ensemble de notre clientèle des services sans fil, par l'utilisation accrue des services de données en raison de l'adoption croissante des téléphones intelligents et par l'augmentation des abonnés des services postpayés provenant de clientèles et de régions où le PMU est plus élevé, comme l'Ouest canadien.
- Le coût d'acquisition a augmenté de 5,5 % pour se chiffrer à 402 $ par activation brute, ce qui reflète la hausse des rabais accordés sur les combinés découlant d'une plus grande diversité de téléphones intelligents assortis de contrats de services postpayés et de la concurrence sur les prix des combinés dans le marché.
- Bell continue d'offrir aux abonnés un accès au plus vaste réseau 4G LTE du Canada, qui couvre environ 73 % de la population canadienne, complémentant le réseau 4G HSPA+ et le réseau 4G HSPA+ DC (à deux canaux) amélioré, qui couvrent d'un océan à l'autre plus de 97 % et plus de 92 % de la population, respectivement.
- Télé Mobile de Bell a annoncé l'élargissement de sa programmation en direct et sur demande grâce à l'ajout de CBC, de la télévision de Radio-Canada, de City TV, de Sportnet et de BBC World News. Avec maintenant plus de 30 chaînes en anglais et en français disponibles sur les téléphones intelligents et les tablettes, Télé Mobile de Bell met à la disposition des clients une programmation d'information, de divertissement et d'émissions pour enfants de diffuseurs comme ATN, BNN, BBC, Bloomberg, CTV, City TV, Juicebox, MTV Canada, Treehouse, TVA et YTV, et un contenu de sports provenant de TSN, RDS, Sportsnet, ainsi que de la LNH, de la NBA et de la NFL.
- La Banque Royale du Canada (RBC) et Bell Mobilité ont annoncé que les clients pourront effectuer des transactions en toute sécurité au moyen de leur carte de crédit ou de débit RBC en utilisant leur téléphone intelligent compatible de Bell Mobilité. RBC et Bell prévoient rendre le service accessible à grande échelle d'ici la fin de l'année et mettent actuellement la solution à l'épreuve auprès de clients et de commerçants.
- Les Services sans fil de Bell ont continué d'offrir à leurs clients les dernières nouveautés dans le sans-fil avec l'introduction de plusieurs appareils récents en demande, dont le BlackBerry Q10, le HTC One, le Samsung Galaxy S4 et le Sony Xperia ZL. Tous ces téléphones intelligents sont dotés de la fonction communication en champ proche offrant des applications pour le commerce mobile et permettant de partager facilement de la musique, des contacts, des fichiers et des images.
- Bell a renouvelé son partenariat avec GLENTEL, le plus important détaillant indépendant de téléphonie mobile à fournisseurs multiples au Canada, pour offrir les produits et les services de Bell Mobilité aux clients dans des points de vente de GLENTEL partout au Canada, dont WIRELESSWAVE (WAVE SANS FIL), Telephone Booth (la cabine T sans fil), WIRELESS etc. (SANS-FIL etc.) et Target Mobile.
Services sur fil de Bell
Au cours du trimestre, le rythme de diminution des produits tirés des Services sur fil de Bell s'est amélioré de façon marquée, les produits ayant diminué modestement de 0,9 % pour s'établir à 2 506 millions $, tandis que la croissance des services Télé Fibe et Internet Fibe a permis de générer de solides résultats financiers dans l'ensemble pour ce qui est des services résidentiels. Ces résultats ont atténué la baisse des produits tirés des services voix, ce qui reflète la diminution des pertes d'abonnés des SAR par lignes terrestres par rapport au T2 2012. Bell Marchés Affaires a enregistré une hausse des produits tirés des services de connectivité IP et a constaté une augmentation des ventes de produits de données à des grandes entreprises clientes au cours du trimestre.
Le BAIIA des Services sur fil de Bell a diminué de 2,9 % pour s'établir à 979 millions $, et nous avons maintenu les marges à 39,1 %, conformément au plan (39,9 % au T2 2012). La baisse du BAIIA des Services sur fil subie au cours du trimestre s'explique par la réalisation d'un avantage de 10 millions $ au T2 2012 découlant d'un ajustement des droits de licence de télédiffusion payables au CRTC qui ne s'est pas répété cette année. Exclusion faite de cette incidence, le BAIIA des Services sur fil de Bell a diminué de 1,9 % au cours du trimestre.
- Bell Télé Fibe a ajouté 50 555 nouveaux abonnés nets, une augmentation de 31,4 %, comparativement à 38 477 abonnés recrutés au deuxième trimestre de 2012. Ce résultat représente notre meilleure performance trimestrielle depuis le lancement du service au T3 2010, ce qui reflète l'augmentation de la demande des clients pour le service Télé Fibe, alors que nous continuons d'étendre la zone de couverture de notre service de télé IP. À la fin du T2, les abonnés du service Bell Télé Fibe totalisaient 346 316, soit plus du double des 158 324 abonnés enregistrés à la fin du T2 2012.
- En mai 2013, Bell Télé Fibe a lancé le premier récepteur sans fil au Canada, une exclusivité de Bell qui permet aux clients de connecter des téléviseurs supplémentaires par le service Bell Télé Fibe n'importe où à leur domicile sans avoir à passer de câbles dans toute la maison. Un émetteur-récepteur sans fil se connecte au modem de réseautage à domicile du client et, avec le récepteur enregistreur Partout chez vous, permet la connexion d'un ou de plusieurs récepteurs sans fil. Ainsi, jusqu'à cinq téléviseurs supplémentaires peuvent procurer une expérience Télé Fibe complète aux téléspectateurs.
- Au cours du trimestre, les ajouts nets combinés d'abonnés des services Bell Télé Satellite et Bell Télé Fibe ont augmenté de 52,8 % pour s'établir à 25 605. Le nombre d'abonnés de Bell Télé a totalisé 2 195 559 à la fin du T2 2013, ce qui représente une augmentation de 3,2 % depuis la fin du T2 2012.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse de Bell se sont élevés à 3 901, comparativement à une perte nette de 664 au T2 2012, ce qui reflète l'effet marqué des activations d'abonnés du service Bell Télé Fibe et l'amélioration au chapitre des activations d'abonnés d'affaires et de clients de gros. Bell comptait au total 2 121 075 abonnés d'Internet haute vitesse, soit une hausse de 0,8 % depuis la fin du T2 2012.
- Les produits tirés des services de données sur fil ont augmenté de 4,0 % pour s'établir à 1 456 millions $, principalement en raison de la hausse des produits tirés des services de télé et Internet entraînée par la croissance du nombre d'abonnés du service Fibe, l'augmentation des produits tirés des services de connectivité à large bande IP et les ventes accrues de produits de données.
- Les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels se sont améliorées de 11,8 %, ou de 11 029, par rapport au T2 2012, ce qui reflète un taux plus faible de mouvement des abonnés résidentiels des SAR dans les zones où est offert le service Bell Télé Fibe et des pertes moindres de clients de gros en faveur de la concurrence par rapport au deuxième trimestre de l'exercice précédent.
- Les pertes au chapitre des SAR d'affaires ont diminué de 15,3 %, ou de 5 206, au cours du trimestre, Bell Marchés Affaires ayant réduit ses pertes d'abonnés au sein de sa clientèle des moyennes entreprises. Les pertes de lignes d'accès d'affaires de gros ont également diminué d'un exercice à l'autre.
- La clientèle totale des SAR de Bell à la fin du trimestre était de 5 425 491, soit une diminution de 7,7 %. Les produits tirés des services locaux et d'accès de Bell ont diminué de 7,1 % pour s'établir à 632 millions $, tandis que les produits tirés des services interurbains ont reculé de 11,2 %, s'établissant à 183 millions $.
- Bell, en collaboration avec Groupe CGI Inc. (CGI) dans le cadre d'une soumission présentée au gouvernement fédéral, a été retenue pour fournir un nouveau système de courriel. Fondé sur la plus récente technologie de courriel, le système simplifié accroîtra la sécurité et l'efficience, ce qui aura pour effet d'améliorer l'accès des Canadiens à l'information et aux services tout en permettant à l'administration gouvernementale de réaliser une économie projetée de 50 millions $ par année dès 2015. Bell et CGI seront responsables de l'implantation et de la gestion du nouveau système de courriel pendant sept ans, plus une option de prolongation facultative de un an.
Bell Média
Au cours du trimestre, les produits tirés de Bell Média ont crû de 4,7 % pour se chiffrer à 559 millions $, en raison de la progression des produits tirés des frais d'abonnement de 7,9 %, ce qui reflète la majoration des tarifs de la télé spécialisée imposés aux distributeurs de radiodiffusion. Les produits tirés de la publicité ont augmenté de 0,8 % par rapport au T2 2012, la croissance ayant été soutenue par les propriétés de Bell Média spécialisées dans les sports, TSN et RDS, grâce à la prolongation de la saison régulière de la LNH au T2 et à l'engouement des téléspectateurs au cours des séries éliminatoires du hockey. Les propriétés de la télé traditionnelle de Bell Média ont également vu leurs ventes de publicité augmenter par rapport au T2 2012. Cette croissance a été contrebalancée par la baisse d'un exercice à l'autre des produits tirés de la publicité numérique et la diminution des ventes de publicité à la radio.
En raison de l'augmentation des produits opérationnels, le BAIIA de Bell Média a crû de 3,3 % pour se chiffrer à 156 millions $, malgré l'avantage non récurrent totalisant 15 millions $ réalisé au T2 2012, qui découle des ajustements accumulés des droits de licence de la Partie II payables au CRTC et au Fonds pour l'amélioration de la programmation locale, et l'augmentation des coûts liés à la programmation et à la production au cours du trimestre à la suite de la prolongation de la saison de la LNH.
- CTV a terminé l'année de diffusion 2012-2013 avec un plus grand nombre des 10, des 20 et des 30 émissions les plus écoutées que tout autre réseau de télé traditionnelle canadien, selon les données publiées par BBM Canada, ce qui la place au premier rang des réseaux canadiens de télé pour la 12e année consécutive.
- Les services de télé spécialisée dans les sports et dans des domaines autres que les sports de Bell Média ont rejoint près de 26 millions de Canadiens au cours d'une semaine moyenne au T2 2013, soit 6 millions de téléspectateurs de plus que le concurrent le plus près.
- Lors de la séance annuelle de visionnement de la programmation qui a eu lieu à Los Angeles au mois de mai, Bell Média a obtenu les droits sur une variété intéressante de nouveaux programmes ainsi que de programmes reprenant l'antenne dans la grille horaire des heures de grande écoute pour l'année 2013-2014 sur CTV et sur CTV Two, avec le retour d'un plus grand nombre de séries à succès que tout autre réseau canadien, et de nouvelles émissions pour l'automne et les mi-saisons. Pour l'année 2013-2014, CTV continuera par ailleurs de diffuser les événements télévisuels les plus regardés de l'année, soit la présentation des Oscars, le Super Bowl et les présentations des prix suivants : Golden Globe Awards, Primetime Emmy Awards, American Music Awards et Juno.
RÉSULTATS DE BELL ALIANT
Les produits des activités ordinaires de Bell Aliant (TSX : BA) ont augmenté de 0,6 % pour s'établir à 691 millions $ au T2 2013, par rapport à 687 millions $ au T2 2012, la croissance des produits tirés des services de données ayant été largement contrebalancée par la baisse continue des produits tirés des services locaux et d'accès, des services interurbains ainsi que des produits tirés des équipements et autres. Le BAIIA de Bell Aliant a diminué de 1,2 % pour s'établir à 322 millions $ ce trimestre, la légère augmentation des produits opérationnels ayant été contrebalancée par la hausse de 2,2 % des coûts opérationnels essentiellement liée à la croissance du service FibreOP. Pour en savoir plus, visitez le site BellAliant.ca.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de 0,5825 $ par action ordinaire, payable le 15 octobre 2013 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 16 septembre 2013.
PERSPECTIVES
À la suite de la conclusion de l'acquisition d'Astral le 5 juillet 2013, BCE a mis à jour son orientation financière pour 2013, comme suit :
Orientation du 7 février | Orientation du 8 août | |||
Bell(i) | ||||
Croissance des produits des activités ordinaires | 0 % à 2 % | 2 % à 4 % | ||
Croissance du BAIIA | 1 % à 3 % | 3 % à 5 % | ||
Intensité du capital | 16 % à 17 % | Aucun changement | ||
BCE | ||||
BPA ajusté(ii) | 2,97 $ à 3,03 $ | Aucun changement | ||
Croissance des flux de trésorerie(iii) | 5 % à 9 % | Aucun changement | ||
Dividende annuel par action ordinaire | 2,33 $ | Aucun changement |
(i) | L'orientation financière de Bell pour 2013 concernant les produits des activités ordinaires, le BAIIA et l'intensité du capital exclut Bell Aliant. | |
(ii) | Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les (profits nets) pertes nettes sur placements et les primes au remboursement anticipé de la dette. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE Inc. | |
(iii) | Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des coûts liés aux acquisitions payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, plus les dividendes/distributions reçu(e)s de Bell Aliant, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes/distributions payé(e)s par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. |
CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE À L'INTENTION DES ANALYSTES FINANCIERS
BCE tiendra une conférence téléphonique à l'intention des analystes financiers afin de traiter de ses résultats du T2 2013, le jeudi 8 août, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour participer, composez le 416-340-8061 ou le numéro sans frais 1-866-225-0198 peu de temps avant le début de la conférence. Une reprise sera disponible pendant une semaine, au 905-694-9451 ou au 1-800-408-3053 (composez le code d'identification 3092522#).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une webdiffusion en direct archivée sur le site Web de BCE à l'adresse : http://www.bce.ca/investisseurs/evenements-et-presentations/tous/show/bce-q2-2013-results-conference-call. Le fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur cette page, peu de temps après la conférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent communiqué est non auditée.
(1) | Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Au début de 2013, notre définition du bénéfice net ajusté a été modifiée pour exclure les primes au remboursement anticipé de la dette afin d'harmoniser nos méthodes de présentation de l'information financière avec celles de nos pairs. Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les (profits nets) pertes nettes sur placements et les primes au remboursement anticipé de la dette. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté, entre autres mesures, pour évaluer la performance de nos activités, avant l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des (profits nets) pertes nettes sur placements et des primes au remboursement anticipé de la dette, déduction faite de l'impôt et de la participation ne donnant pas le contrôle. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et le BPA sont les mesures financières selon les IFRS les plus comparables. Le tableau ci-après présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement. |
(en millions de dollars, sauf les montants par action) | ||||||||
T2 2013 | T2 2012 | |||||||
TOTAL | PAR ACTION | TOTAL | PAR ACTION | |||||
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires | 571 | 0,74 | 732 | 0,94 | ||||
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres | 21 | 0,02 | 15 | 0,03 | ||||
Profits nets sur placements | (1) | - | - | - | ||||
Prime au remboursement anticipé de la dette | 3 | 0,01 | - | - | ||||
Bénéfice net ajusté | 594 | 0,77 | 747 | 0,97 |
(2) | Le terme flux de trésorerie disponibles n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Au début de 2013, notre définition des flux de trésorerie disponibles a été modifiée pour exclure le financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, car il s'agit d'une utilisation discrétionnaire de la trésorerie excédentaire. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des coûts liés aux acquisitions payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, plus les dividendes/distributions reçu(e)s de Bell Aliant, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes/distributions payé(e)s par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un important indicateur de la solidité financière et du rendement de nos activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles pour rembourser la dette et réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents. Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles sont la mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Le tableau ci-après présente un rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles et des flux de trésorerie disponibles, sur une base consolidée. |
(en millions de dollars) | ||||
T2 2013 | T2 2012 | |||
Flux de trésorerie provenant des activités opérationnelles | 1 868 | 1 904 | ||
Dividendes/distributions de Bell Aliant à BCE | 47 | 47 | ||
Dépenses d'investissement | (830) | (952) | ||
Dividendes en espèces payés sur actions privilégiées | (32) | (34) | ||
Dividendes/distributions en espèces payé(e)s par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle | (74) | (91) | ||
Coûts liés aux acquisitions payés | 8 | 32 | ||
Flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant | (84) | (100) | ||
Flux de trésorerie disponibles | 903 | 806 |
(3) | Le terme BAIIA n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons le BAIIA comme les produits opérationnels moins les coûts opérationnels, tel qu'il est présenté dans les comptes consolidés de résultat de BCE. Nous utilisons le BAIIA pour évaluer la performance de nos entreprises puisqu'il reflète leur rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent le BAIIA pour évaluer la capacité d'une société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des télécommunications. Le BAIIA est également un facteur dans la détermination de la rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière selon les IFRS directement comparable au BAIIA. Pour remédier à la situation, le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA de BCE. |
(en millions de dollars) | |||||
T2 2013 | T2 2012 | ||||
Bénéfice net | 671 | 836 | |||
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres | 28 | 20 | |||
Amortissement des immobilisations corporelles | 681 | 666 | |||
Amortissement des immobilisations incorporelles | 161 | 178 | |||
Charges financières | |||||
Charge d'intérêts | 228 | 209 | |||
Intérêt lié aux obligations au titre des avantages postérieurs à l'emploi | 38 | 33 | |||
Autres (produits) charges | 63 | (55) | |||
Impôt sur le résultat | 196 | 157 | |||
BAIIA | 2 066 | 2 044 |
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre orientation financière pour 2013 (ce qui comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA, l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), nos perspectives commerciales, nos objectifs, nos plans et nos priorités stratégiques, le dividende par action ordinaire annualisé de BCE pour 2013, les avantages stratégiques et autres attendus de l'acquisition d'Astral, la contribution attendue d'Astral aux flux de trésorerie disponibles de BCE, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques, constituent des déclarations prospectives. Habituellement, les termes comme hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, plan, stratégie, cible et d'autres expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser, s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier, chercher à et aspirer à, permettent de repérer les déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites conformément aux dispositions refuges prévues dans les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur plusieurs hypothèses, tant générales que spécifiques, donnant lieu à la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints. Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur contre le risque d'accorder une confiance sans réserve à ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date du 8 août 2013 et, par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 8 août 2013. L'incidence financière de ces transactions, de ces éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives sont présentées dans le présent communiqué de presse dans le but d'aider les investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats financiers prévus pour 2013, ainsi que nos objectifs, nos priorités stratégiques et notre perspective commerciale pour 2013, et à mieux comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché et aux activités opérationnelles et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations prospectives pour 2013 contenues dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché canadiens
- la croissance de l'économie canadienne de 1,8 % en 2013, selon la plus récente estimation de la Banque du Canada, soit une augmentation de 30 points de base comparativement à l'estimation antérieure de 1,5 %;
- la lenteur de la croissance des niveaux d'emploi et du nombre d'entreprises nouvellement formées, qui nuit à la demande globale provenant des clients d'affaires;
- le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel et le marché d'affaires des services sur fil et des services sans fil;
- une augmentation des remplacements de services sur fil, principalement en raison de l'intensification du phénomène de substitution technologique par le sans-fil et les services Internet;
- un taux de pénétration accru du marché du sans-fil, surtout en raison de l'adoption rapide des téléphones intelligents, des tablettes et des applications de données, de l'expansion du service LTE dans la plupart des marchés urbains et suburbains, de la multiplication des appareils 4G et de l'augmentation de la population;
- un marché publicitaire moins dynamique pour Bell Média.
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles concernant les Services sur fil de Bell (excluant Bell Aliant)
- la stabilisation du taux d'érosion au chapitre des SAR résidentiels, à mesure que nous tirons parti de nos investissements dans les réseaux à large bande pour Télé Fibe, afin d'accroître la pénétration des trois produits par foyer, d'étendre notre part de marché des immeubles à logements multiples et de générer des tarifs plus élevés pour les ventes complémentaires de nos services Internet et de téléphonie résidentiels;
- en particulier, la contribution des programmes de fidélisation ciblés et des offres de forfaits de services, des initiatives visant la reconquête de clients et d'une meilleure prestation du service à l'amélioration au chapitre des pertes d'abonnés résidentiels des SAR d'un exercice à l'autre, contribution qui est par ailleurs exposée au risque lié aux offres encore plus accrocheuses de forfaits de services lancées par nos concurrents dans la câblodistribution ainsi qu'aux plans de moins en moins coûteux de services sans fil illimités au Canada, qui sont susceptibles de faire augmenter le nombre de pertes d'abonnés résidentiels des SAR;
- l'augmentation des acquisitions d'abonnés de Bell Télé générée par les clients de plus en plus nombreux à opter pour le service Télé Fibe, à mesure que nous étendons la zone de couverture de notre réseau de fibre à large bande pour la télé IP dans certaines régions de l'Ontario et du Québec, ainsi que notre capacité de faire des gains supplémentaires sur le marché des immeubles à logements multiples, de mettre à profit notre vaste réseau de distribution au détail, qui comprend La Source, et de tirer parti de notre position de chef de file du secteur de la programmation haute définition (HD);
- l'amélioration des acquisitions d'abonnés de Bell Internet grâce à la couverture plus étendue du réseau de fibre et aux vitesses plus élevées, à mesure que nous profitons des retombées positives de notre investissement considérable dans les réseaux, et à la mise en œuvre de nouvelles technologies pour favoriser l'expansion du service Télé Fibe et les ventes complémentaires de services Internet;
- l'amélioration graduelle du rendement de notre unité Marchés Affaires découlant de la progression des dépenses des clients, de la formation de nouvelles entreprises et de l'accroissement de la demande pour les services de connectivité et de TIC dans le sillage du raffermissement de l'économie et de l'amélioration des niveaux d'emploi, sous réserve du risque lié aux stratégies axées sur la prudence adoptées par les clients d'affaires, ce qui pourrait limiter les besoins en matière de dépenses d'investissement et entraîner le report des projets de TIC;
- la poursuite de la migration des clients vers les systèmes IP, une intensification accrue de la concurrence dans nos marchés de masse et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et d'autres entreprises de télécommunications étant de plus en plus axés sur le segment d'affaires, et les pressions continues de la concurrence visant à modifier les prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- la réalisation d'économies de coûts grâce à la réduction des postes de cadre à la suite de départs naturels et de départs à la retraite, à l'efficience des centres d'appels, à l'amélioration de la productivité dans les services extérieurs, aux réductions supplémentaires des taux contractuels des fournisseurs, à la diminution des coûts de l'impression et de la mise à la poste, à l'efficacité de la gestion des coûts relatifs au contenu et à la réduction du trafic non acheminé par notre propre réseau.
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles concernant les Services sans fil de Bell (excluant Bell Aliant)
- les Services sans fil de Bell, qui profiteront de la portée concrète des investissements effectués en 2012 dans l'acquisition d'abonnés et la fidélisation de la clientèle, ainsi que de l'intensité continue au chapitre des activations de téléphones intelligents et de l'utilisation des services de données;
- la poursuite de la vive concurrence en 2013, car les concurrents tenteront de maintenir ou d'augmenter leur part de marché des services sans fil;
- la croissance des produits tirés de nos services sans fil, qui sera soutenue par la croissance continue de notre clientèle d'abonnés et du PMU, provenant d'une plus grande diversité de téléphones intelligents et d'un nombre plus élevé d'abonnés des services postpayés, qui génèrent une valeur plus élevée, d'une plus grande distribution dans l'Ouest canadien, de nouveaux services et du maintien d'une gestion prudente des tarifs;
- les Services sans fil de Bell, qui tireront parti des perfectionnements technologiques constants apportés par les fabricants à notre gamme de combinés et d'appareils ainsi que de l'accélération des vitesses de transmission qui permettent à nos clients d'optimiser l'utilisation de nos services;
- la multiplication des appareils sans fil plus coûteux et plus perfectionnés, combinée à l'intensification de la concurrence, qui exercera des pressions sur le BAIIA, surtout en raison des rabais plus élevés sur les combinés entraînant l'augmentation des coûts d'acquisition d'abonnés et de fidélisation de la clientèle.
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles concernant Bell Média
- la non-récurrence, en 2013, d'événements importants survenus en 2012, incluant les Jeux olympiques d'été de Londres, le lockout dans la LNH et les hausses de tarifs rétroactives des services de programmation spécialisés;
- le lancement prévu, en 2013, de notre produit La Télé Partout, une initiative stratégique qui nous permettra d'offrir le meilleur contenu en direct de sports, de nouvelles et d'autre contenu de premier choix exclusivement aux abonnés des entreprises de distribution de radiodiffusion (EDR);
- la croissance des produits tirés des frais d'abonnement, qui devrait découler de la majoration des taux contractuels, établis en fonction du marché, pour nos services spécialisés dans les sports;
- dans la télé traditionnelle, l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques quant à l'approvisionnement en contenu sur quatre écrans, la poursuite des acquisitions fructueuses d'émissions à cotes d'écoute élevées et de contenu différencié pour mettre en œuvre la stratégie de Bell sur le contenu multiécrans, la production et la mise en service d'un contenu canadien de grande qualité ainsi que la production de nouvelles occupant la première place sur le marché grâce aux investissements dans la diffusion HD et aux améliorations de notre programmation de nouvelles;
- la hausse des coûts à engager pour obtenir le contenu lié aux activités de diffusion des sports, dans la foulée de la concurrence de plus en plus vive livrée tant par les nouveaux venus que par les concurrents déjà établis et de la hausse normale des tarifs du marché pour le contenu de la télévision spécialisée;
- dans nos services de télé spécialisée et payante francophone et anglophone dans des domaines autres que les sports, l'investissement dans de la programmation et de la production de qualité, dans le marketing, ainsi que l'élaboration en cours d'importantes initiatives en matière de partenariats sur les marques dans nos services existants;
- dans le cadre de l'acquisition d'Astral, des réductions des coûts en maximisant les actifs, en réalisant des gains au chapitre de la productivité et en recherchant l'efficacité opérationnelle;
- la poursuite de la mise à contribution de nos atouts dans les marchés locaux de la radio et de la télévision pour offrir aux auditeurs et aux téléspectateurs un contenu de qualité, incorporant des occasions de vente multiplateformes.
Hypothèses financières concernant Bell (excluant Bell Aliant)
La section qui suit présente les principales hypothèses financières de Bell pour 2013. Comme il est indiqué ci-dessous, certaines hypothèses ont été mises à jour par rapport au T1 2013 en raison de l'acquisition d'Astral.
- un coût total des régimes d'avantages du personnel de Bell qui devrait s'établir à environ 350 millions $, au lieu de 340 millions $, selon un taux d'actualisation comptable estimatif de 4,4 % et un rendement attendu de l'actif des régimes de 4,4 %, qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des régimes d'avantages du personnel supérieur au BAIIA d'environ 230 millions $, au lieu de 220 millions $, et d'une charge financière nette estimative au titre des régimes d'avantages du personnel inférieure au BAIIA d'environ 120 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite totalisant environ 350 millions $;
- des impôts en espèces d'environ 325 millions $, au lieu de 300 millions $;
- une charge d'intérêts nette d'environ 750 millions $, au lieu de 700 millions $;
- des versements d'intérêts nets d'environ 720 millions $, au lieu de 700 millions $;
- des paiements en trésorerie liés aux indemnités de départ et autres d'environ 150 millions $.
Hypothèses financières concernant BCE
La section qui suit présente les principales hypothèses financières de BCE pour 2013. Comme il est indiqué ci-dessous, certaines hypothèses ont été mises à jour par rapport au T1 2013 en raison de l'acquisition d'Astral.
- un coût total des régimes d'avantages du personnel de BCE qui devrait s'établir à environ 430 millions $, au lieu de 420 millions $, comprenant un montant d'environ 80 millions $ lié à Bell Aliant, qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des régimes d'avantages du personnel supérieur au BAIIA d'environ 290 millions $, au lieu de 280 millions $, et d'une charge financière nette estimative au titre des régimes d'avantages du personnel inférieure au BAIIA d'environ 140 millions $;
- une dotation aux amortissements supérieure d'environ 50 millions $ à celle de 2012;
- une charge d'intérêts nette d'environ 925 millions $, au lieu de 875 millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,07 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
- une participation ne donnant pas le contrôle semblable à celle de 2012;
- un dividende annuel sur les actions ordinaires de 2,33 $ par action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été considérées comme raisonnables par BCE le 8 août 2013, pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient différer de façon importante de nos attentes, telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris notre orientation financière pour 2013, sont énumérés ci-dessous. La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans notre orientation financière pour 2013, dépend essentiellement du rendement de notre entreprise qui, à son tour, est assujetti à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde contre le fait que tous les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, ainsi que l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients actuels et à en attirer de nouveaux, de même que sur nos stratégies d'établissement des prix, sur notre PMU et sur nos résultats financiers;
- le rythme de substitution technologique, qui contribue à réduire l'utilisation des services voix sur fil traditionnels, et l'augmentation du nombre de foyers qui n'utilisent que les services de téléphonie sans fil;
- l'adoption croissante par les clients des services de télé parallèles;
- la variabilité des coûts d'acquisition d'abonnés et de fidélisation de la clientèle compte tenu du nombre d'acquisitions d'abonnés, du volume de fidélisation, des ventes de téléphones intelligents et des rabais sur les combinés;
- les initiatives ou les procédures réglementaires, les litiges et les modifications apportées aux lois ou aux règlements de même que les questions fiscales;
- notre incapacité à maintenir la performance opérationnelle de notre réseau, notamment en raison d'une augmentation importante de la demande pour les services à large bande et du volume du trafic des services de données sans fil;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de notre équipement, de nos installations et de nos autres actifs, ainsi que notre capacité à les protéger, à les maintenir et à les remplacer;
- notre capacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer le fonctionnement de nos réseaux si des catastrophes environnementales ou des épidémies, des pandémies et d'autres risques liés à la santé survenaient;
- notre capacité à prévoir les changements technologiques et à nous y adapter, à mettre à niveau nos réseaux et à offrir rapidement de nouveaux produits et services;
- notre incapacité à mettre en œuvre, en temps opportun, ou à maintenir des systèmes de TI efficaces, ainsi que la complexité de notre environnement de TI et les coûts qui s'y rapportent;
- la conjoncture économique et les conditions du marché des capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs, la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de ceux-ci;
- notre capacité à mettre en œuvre nos stratégies et nos plans afin de produire les avantages attendus, y compris notre capacité à poursuivre la mise en œuvre de nos initiatives de réduction des coûts et à limiter l'intensité du capital tout en nous efforçant d'améliorer le service à la clientèle;
- les cotisations accrues aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi;
- une gestion du changement inefficace découlant de réorganisations et d'autres initiatives de la société ainsi que de l'intégration d'unités d'affaires et de l'acquisition d'entreprises;
- la complexité de notre gamme de produits et de nos plans tarifaires;
- les interruptions de travail;
- le maintien en poste des employés ainsi que leur rendement;
- les événements ayant une incidence sur la capacité des tiers fournisseurs à nous fournir des produits et des services essentiels et notre capacité à acheter de tels produits et services;
- la qualité de notre réseau et de l'équipement à l'intention des clients et la mesure dans laquelle ils peuvent être sujets à des défauts de fabrication;
- les niveaux des dépenses d'investissement et autres, les exigences liées au financement et à la dette et notre capacité à mobiliser le capital nécessaire à la mise en œuvre de notre plan d'affaires, y compris en ce qui a trait aux paiements de dividendes de BCE ainsi qu'au financement des dépenses d'investissement et autres et, de façon générale, notre capacité à respecter nos obligations financières;
- notre capacité à supprimer certains services traditionnels dans la mesure nécessaire pour améliorer la productivité du capital et l'efficience opérationnelle;
- les risques liés au lancement des satellites utilisés par Bell ExpressVu société en commandite, ou touchant ces satellites lorsqu'ils sont en orbite;
- le vol de nos services de télévision par SRD;
- la dépendance considérable de Bell Média à l'égard d'une demande continue en publicité et l'incidence négative possible sur celle-ci des conditions économiques, des variations cycliques et saisonnières et des pressions concurrentielles;
- l'incidence défavorable des nouvelles technologies et de la fragmentation accrue au sein des marchés de la télévision et de la radio de Bell Média;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils sans fil;
- la dépendance de BCE quant à la capacité de ses filiales, coentreprises et autres sociétés dans lesquelles elle détient une participation de lui payer des dividendes ou de lui faire toute autre distribution;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de dividendes de BCE sera maintenue;
- la volatilité des marchés boursiers;
- notre incapacité à rehausser nos pratiques et à effectuer un suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
- notre incapacité à intégrer avec succès Astral au sein de Bell Média et à réaliser les avantages stratégiques et autres attendus.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous encourageons les investisseurs à lire également le rapport de gestion annuel 2012 de BCE, daté du 7 mars 2013 (inclus dans le rapport annuel 2012 de BCE) mis à jour dans les rapports de gestion du premier et du deuxième trimestres 2013 de BCE, datés du 8 mai 2013 et du 7 août 2013, respectivement, pour obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, ces documents étant déposés par BCE auprès des commissions canadiennes en valeurs mobilières (disponibles au www.sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponibles au www.sec.gov). Ces documents sont également disponibles sur le site Web de BCE au www.bce.ca.
À PROPOS DE BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et fournit un ensemble complet et novateur de services de communications à large bande à ses clients résidentiels et d'affaires, sous les marques Bell et Bell Aliant. Bell Média est la première entreprise canadienne de multimédias. Elle possède des actifs dans les secteurs de la télévision, de la radio et des médias numériques, y compris CTV, premier réseau de télévision du Canada, et les chaînes spécialisées les plus regardées au pays. Pour en savoir plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative en santé mentale de Bell, nommée « Bell Cause pour la cause », est un programme de bienfaisance et de sensibilisation d'envergure nationale, dédié à la promotion de la santé mentale au Canada par l'intermédiaire d'une campagne de lutte contre la stigmatisation marquée par la Journée Bell Cause pour la cause et du financement important fourni par Bell pour l'accès aux soins communautaires, la recherche et les initiatives au travail. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Pour obtenir de l'information sur BCE, visitez le site BCE.ca. Pour de l'information sur les produits et services de Bell, visitez le site Bell.ca. Pour de l'information sur Bell Média, visitez le site BellMedia.ca.
SOURCE : Bell Canada
Questions des médias :
Jean Charles Robillard
Bell, Communications
514-870-4739
[email protected]
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
Relations avec les investisseurs, BCE
514-870-4619
[email protected]
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