BCE présente ses résultats du premier trimestre de 2010
Ce communiqué de presse contient des déclarations prospectives. Pour une description des facteurs de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section intitulée "Mise en garde concernant les déclarations prospectives" plus loin dans le communiqué.
- Bénéfice net attribuable aux actions ordinaires de 608 millions $, en
hausse de 61,3 %
- Flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation en hausse de
18,7 % et multiplication par deux des flux de trésorerie disponibles(1)
- Croissance des produits d'exploitation de Bell de 3,8 %, croissance du
bénéfice d'exploitation de 21,3 % et croissance du BAIIA(2) de 2,0 %
- Premier trimestre record pour le nombre d'activations brutes de
services dans le sans-fil et nombre d'activations nettes de services
postpayés en hausse de plus de 100 %
- Croissance des produits d'exploitation du secteur Services sans fil de
Bell de 7,0 %
MONTRÉAL, le 6 mai /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX, NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications du Canada, a annoncé aujourd'hui les résultats de BCE et de Bell pour le premier trimestre de 2010.
BCE a affiché une amélioration de sa performance financière avec un bénéfice net attribuable aux actions ordinaires de 608 millions $, en hausse de 61,3 %, des flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation de 1 098 millions $, en hausse de 18,7 %, et des flux de trésorerie disponibles de 545 millions $, en hausse de plus du double d'un exercice à l'autre. En outre, Bell a enregistré une croissance des produits d'exploitation de 3,8 %, y compris les produits d'exploitation tirés de La Source et de Virgin Mobile Canada (Virgin), une croissance du BAIIA de 2,0 %, une croissance des produits d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell de 7,0 %, un premier trimestre record pour le nombre d'activations brutes d'abonnés dans le sans-fil de 428 834 et d'activations nettes de services postpayés de 81 212 et un nombre important d'activations nettes de services de télévision et Internet haute vitesse, soit de 19 889 et de 10 467, respectivement.
Ces résultats démontrent des progrès continus relativement à l'exécution des cinq impératifs stratégiques de Bell - améliorer le service à la clientèle, accélérer le sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, investir dans les réseaux et les services large bande et établir une structure de coûts concurrentielle.
"L'équipe de Bell a réalisé des progrès indéniables dans l'exécution de nos impératifs stratégiques au premier trimestre, ce qui a donné une impulsion nouvelle aux activités et une performance financière aisément conforme à notre orientation pour 2010", affirme George Cope, président et chef de la direction de BCE et de Bell Canada. "La forte croissance de nos produits d'exploitation tirés des services sans fil, les gains de parts du marché du sans-fil ainsi que la solide croissance du nombre d'abonnés aux services de télévision et Internet reflètent la meilleure prestation des services par Bell et les investissements importants dans l'expansion des réseaux à large bande - ce qui comprend notre réseau sans fil HSPA+ parmi les plus avancés du monde et de multiples initiatives au chapitre de la fibre optique haute vitesse."
"Le rôle de Bell en tant que fournisseur exclusif de services de télécommunications lors des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2010 à Vancouver ce trimestre a été la tribune idéale pour faire valoir les capacités à large bande de premier plan à l'échelle de l'entreprise de Bell", souligne M. Cope. "Bell a présenté le spectacle de Vancouver 2010 au Canada et au monde entier avec la solution de communications la plus élaborée et la plus puissante de toute l'histoire des Jeux olympiques. Nous sommes fiers de la performance sans faille de notre équipe ainsi que de nos réseaux sans fil et filaire tout au long de ces Jeux où le Canada a brillé avec ses médailles d'or."
"Notre performance financière ce trimestre nous permet d'entamer l'année du bon pied, comme l'illustrent la croissance soutenue des bénéfices et les flux de trésorerie disponibles qui ont doublé d'un exercice à l'autre", affirme Siim Vanaselja, chef des affaires financières de BCE et de Bell Canada. "Avec un solde d'encaisse substantiel de 748 millions $ à la fin du trimestre et l'important et constant dégagement de flux de trésorerie de nos activités d'exploitation, nous maintenons une solide position pour ce qui est du bilan et des liquidités. Nous pouvons ainsi nous appuyer sur des assises solides pour assurer la croissance de notre entreprise et appliquer notre stratégie relative aux marchés financiers pour procurer une meilleure valeur aux actionnaires de BCE par le truchement des dividendes et des rachats d'actions."
Stratégie relative aux marchés financiers
L'augmentation de 7 % du dividende sur les actions ordinaires, à 1,74 $ par action ordinaire pour 2010, annoncée par BCE en décembre dernier, a été appliquée ce trimestre alors que les actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 15 mars 2010 ont reçu 0,435 $ par action ordinaire le 15 avril 2010.
Au 5 mai 2010, BCE avait racheté 8,2 millions d'actions ordinaires dans le cadre de son offre publique de rachat (OPRA) dans le cours normal des activités de 2010, à un coût total de 240 millions $. Les actions ordinaires rachetées jusqu'à présent incluent les 4 millions d'actions ordinaires dont l'achat dans le cadre d'une convention de gré à gré avec un tiers vendeur sans lien de dépendance a été annoncé par BCE le 31 mars 2010.
En avril, Bell a remboursé à l'échéance la totalité de ses débentures de série ED à 11,45 % en circulation, d'un capital de 125 millions $, qui venaient à échéance le 15 avril 2010. Pour le reste de 2010, BCE compte terminer son OPRA dans le cours normal des activités et rembourser la totalité des débentures de série ES à 9,5 % en circulation de Bell, d'un capital de 200 millions $ US, venant à échéance en octobre.
Résultats du premier trimestre de 2010
Les produits d'exploitation de Bell ont augmenté de 3,8 % ce trimestre, pour s'établir à 3 758 millions $, la progression des produits d'exploitation découlant de la croissance des produits d'exploitation des services de télévision et sans fil ainsi que des acquisitions de La Source et de la tranche restante de 50 % des actions de Virgin que Bell ne détenait pas déjà ayant largement compensé les diminutions des produits d'exploitation des services locaux et d'accès et des services interurbains.
Le bénéfice d'exploitation de Bell a augmenté de 21,3 % pour s'établir à 787 millions $ ce trimestre en raison de l'augmentation du BAIIA et de la diminution des frais de restructuration et autres et de la réduction de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels. Le BAIIA de Bell a progressé de 2,0 % pour s'établir à 1 455 millions $ ce trimestre, étant donné que l'augmentation des produits d'exploitation et les réductions de coûts ont largement compensé l'incidence de l'accroissement des charges liées à l'acquisition d'abonnés des services sans fil. Ces résultats reflètent également la conclusion inattendue d'une décision arbitrale à l'égard d'un différend contractuel relatif à des exercices antérieurs et les charges relatives au rôle de Bell à titre de principal partenaire national et fournisseur exclusif de services de télécommunications pour les Jeux d'hiver de 2010 à Vancouver, en partie compensées par la contrepassation d'une provision pour moins-value au titre des prestations de retraite qui a contribué à la diminution des charges de retraite. En excluant ces incidences, le BAIIA de Bell a augmenté de 4,1 % ce trimestre.
Les produits d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell ont progressé de 7,0 % ce trimestre, les produits d'exploitation tirés des services ayant augmenté de 7,1 % et les produits d'exploitation tirés des produits ayant augmenté de 4,9 %. Le bénéfice d'exploitation et le BAIIA du secteur Services sans fil de Bell ont diminué de 9,7 % et de 5,1 %, respectivement, en raison du nombre accru d'activations brutes et de l'incidence d'une décision arbitrale à l'égard d'un différend contractuel relatif à des exercices antérieurs. Le PMU pondéré(3) a augmenté de 0,23 $ pour s'établir à 50,07 $ d'un exercice à l'autre, la croissance des produits d'exploitation des services de données de 40 % ayant plus que compensé les diminutions enregistrées par la composante services téléphoniques du PMU en raison de la migration des clients vers des plans à tarifs moindres et de la baisse de l'utilisation.
Dans le secteur Services sur fil de Bell, les pertes d'abonnés des SAR se sont établies à 99 829 ce trimestre, une amélioration de 4,2 % comparativement à l'exercice précédent, grâce aux progès constatés à ce chapitre tant dans les SAR résidentiels que d'affaires. Le nombre d'activations nettes de services de télévision, de 19 889, correspond à une augmentation de 69,4 % par rapport à l'exercice précédent, et le nombre d'activations nettes de services d'accès à Internet haute vitesse, de 10 467, correspond à une augmentation de 66,5 % par rapport à l'exercice précédent.
Les produits d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell ont augmenté de 2,5 %, la croissance des produits d'exploitation des services de télévision et des équipements et autres ayant plus que compensé les diminutions au chapitre des produits d'exploitation des services locaux et d'accès et des services interurbains. Les produits d'exploitation des équipements et autres ont augmenté de 78,2 % ce trimestre en raison de l'acquisition de La Source. Le bénéfice d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 47,9 % par suite de la progression du BAIIA, de la diminution des frais de restructuration et autres et de la réduction de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels. Le BAIIA du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 5,1 % du fait de la progression des produits d'exploitation, des réductions de coûts et de la diminution des charges de retraite.
Bell a investi un capital de 431 millions $ ce trimestre, soit une baisse de 10,6 % comparativement à la période correspondante de l'exercice précédent. Les dépenses en immobilisations avaient été plus élevées en 2009 en raison de la construction de notre nouveau réseau HSPA+. Les dépenses en immobilisations ce trimestre s'inscrivent dans le contexte des impératifs stratégiques de Bell, ce qui comprend le déploiement de la fibre dans les réseaux à large bande et les initiatives en matière d'amélioration du service à la clientèle.
Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation de BCE ce trimestre se sont établis à 1 098 millions $, en hausse de 18,7 % comparativement à la période correspondante de l'exercice précédent, en raison de la diminution des impôts payés à la suite d'une cotisation volontaire aux régimes de retraite faite en 2009 et d'une augmentation du fonds de roulement. Les flux de trésorerie disponibles se sont établis à 545 millions $ ce trimestre, soit plus du double de ceux de 272 millions $ à la période correspondante de l'exercice précédent, en raison de l'augmentation des flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation et de la diminution des dépenses en immobilisations.
Le bénéfice net attribuable aux actions ordinaires de BCE ce trimestre s'est chiffré à 608 millions $, ou 0,79 $ par action, comparativement à 377 millions $, ou 0,48 $ par action, à la période correspondante de l'exercice précédent. La croissance du bénéfice ce trimestre reflète la progression du BAIIA, la diminution des frais de restructuration et autres et les gains nets sur placements de 125 millions $ relativement surtout à la vente de la participation de BCE dans l'entreprise de services par satellite SkyTerra Communications, Inc. BCE a reçu le produit de 113 M$ tiré de la vente de ses 22,1 millions d'actions dans SkyTerra le 1er avril 2010. Par conséquent, le produit à la vente n'est pas reflété dans le solde de trésorerie du premier trimestre.
Le BPA ajusté(4) de BCE s'est établi à 0,65 $ ce trimestre, une augmentation de 14,0 % comparativement à l'exercice précédent, par suite de l'amélioration du BAIIA, de la diminution de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels, de la baisse des intérêts débiteurs et de l'incidence du nombre moindre d'actions ordinaires de BCE en circulation par suite des achats d'actions effectués dans le cadre de l'offre publique de rachat (OPRA) dans le cours normal des activités de 2008 et de 2009 conclue en mai 2009 et de l'OPRA dans le cours normal des activités de 2010.
Faits saillants financiers
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(en millions $, sauf les montants par % de va-
action) (non vérifié) T1 2010 T1 2009 riation
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Produits d'exploitation de Bell (i) 3 758 $ 3 622 $ 3,8 %
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BAIIA de Bell 1 455 $ 1 426 $ 2,0 %
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Bénéfice d'exploitation de Bell 787 $ 649 $ 21,3 %
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Produits d'exploitation de BCE 4 432 $ 4 331 $ 2,3 %
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BAIIA de BCE 1 784 $ 1 760 $ 1,4 %
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Bénéfice d'exploitation de BCE 962 $ 834 $ 15,3 %
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Flux de trésorerie provenant des
activités d'exploitation de BCE 1 098 $ 925 $ 18,7 %
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Flux de trésorerie disponibles 545 $ 272 $ n.s.
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Bénéfice net attribuable aux actions
ordinaires de BCE 608 $ 377 $ 61,3 %
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BPA de BCE 0,79 $ 0,48 $ 64,6 %
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BPA ajusté de BCE 0,65 $ 0,57 $ 14,0 %
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(i) Bell inclut les secteurs Services sans fil de Bell et Services sur
fil de Bell.
n.s. : non significatif
Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 2,3 % pour s'établir à 4 432 millions $ ce trimestre, l'augmentation des produits d'exploitation chez Bell ayant été partiellement contrebalancée par la diminution des produits d'exploitation chez Bell Aliant.
Le bénéfice d'exploitation de BCE a augmenté de 15,3 % pour s'établir à 962 millions $ ce trimestre, l'augmentation du bénéfice d'exploitation de Bell ayant été partiellement contrebalancée par la diminution du bénéfice d'exploitation de Bell Aliant. Le BAIIA de BCE a augmenté de 1,4 % pour s'établir à 1 784 millions $ ce trimestre, la croissance du BAIIA chez Bell ayant été partiellement contrebalancée par la diminution du BAIIA chez Bell Aliant.
Secteur Services sans fil de Bell
Grâce à l'impulsion donnée par le lancement de son nouveau réseau HSPA+ en novembre, à la mise en vente des produits de Bell Mobilité et de Virgin Mobile dans les magasins La Source depuis janvier ainsi qu'aux nouveaux services sans fil exclusifs comme le service LNH mobile et les Jeux olympiques en direct avec le service Télé mobile, le secteur Services sans fil de Bell a enregistré un nombre record d'activations brutes ainsi que d'activations nettes des services postpayés au premier trimestre.
- Le total des produits d'exploitation du secteur Services sans fil de
Bell a augmenté de 7,0 % pour s'établir à 1 153 millions $ ce
trimestre. Les produits d'exploitation tirés des services ont augmenté
de 7,1 % pour s'établir à 1 056 millions $ en raison de la croissance
de la clientèle, de l'acquisition de la participation restante de 50 %
dans Virgin et de la croissance de 40 % des produits d'exploitation
liés aux services de données sans fil. Les produits d'exploitation
tirés des produits ont augmenté de 4,9 % pour s'établir à 86 millions
$ en raison de l'acquisition de La Source et de l'augmentation des
activations brutes.
- L'acquisition de la participation restante de 50 % dans Virgin a été
conclue le 1er juillet 2009. Par conséquent, à partir du troisième
trimestre de 2009, le PMU, le taux de désabonnement et le coût
d'acquisition dans le sans-fil reflètent la totalité des résultats de
Virgin. Pour les périodes antérieures, ces données ont été présentées
sur une base pro forma pour refléter la totalité des résultats de
Virgin.
- Sur une base pro forma, le PMU pondéré a augmenté de 0,23 $ pour
s'établir à 50,07 $. Le PMU des services postpayés a diminué de 0,52 $
pour s'établir à 61,72 $ en raison de la migration des clients vers des
plans à tarifs moindres et de la baisse de l'utilisation, alors que le
PMU des services prépayés a augmenté de 0,82 $ pour s'établir à 16,87
$ du fait de la croissance de la clientèle de Virgin générant un PMU
plus élevé.
- Le bénéfice d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell a
diminué de 9,7 % pour s'établir à 271 millions $ ce trimestre par suite
de la diminution du BAIIA et de l'augmentation de l'amortissement des
immobilisations corporelles et des actifs incorporels. Le BAIIA du
secteur Services sans fil de Bell a diminué de 5,1 % pour s'établir à
412 millions $ ce trimestre en raison de l'augmentation des coûts
d'acquisition d'abonnés liée au nombre record d'activations brutes au
premier trimestre, de l'augmentation du nombre de mises à niveau
effectuées par les clients et de l'incidence de la conclusion
inattendue d'une décision arbitrale à l'égard d'un différend
contractuel relatif à des exercices antérieurs. En excluant l'incidence
de la décision arbitrale, le BAIIA du secteur Services sans fil de Bell
a diminué de 1,2 %.
- Les marges du BAIIA sur les produits d'exploitation tirés des services
dans le sans-fil ont diminué à 39,0 % ce trimestre, contre 44,0 % à
l'exercice précédent.
- Les activations brutes ont totalisé 428 834 ce trimestre, soit 17,2 %
de plus qu'à l'exercice précédent.
- Les activations nettes de services postpayés se sont élevées à 81 212
ce trimestre, soit plus du double des 35 021 activations nettes de
services postpayés à l'exercice précédent. La clientèle d'abonnés des
services prépayés a diminué de 25 587 ce trimestre comparativement à un
recul de 4 726 à l'exercice précédent en raison de l'augmentation du
taux de désabonnement. Les activations nettes ont totalisé 55 625 ce
trimestre, soit 83,6 % de plus qu'à l'exercice précédent.
- En tirant parti de son nouveau réseau sans fil et de ses capacités de
distribution, le secteur Services sans fil de Bell a considérablement
accru sa part du marché des activations nettes de services postpayés
enregistrées par les trois plus importantes entreprises de services
sans fil au Canada au premier trimestre de 2010; cette croissance est
estimée à 42 % comparativement à 19 % au premier trimestre de 2009.
- La clientèle du secteur Services sans fil de Bell totalisait 6 888 927
abonnés à la fin du trimestre, une augmentation de 5,5 % par rapport à
l'exercice précédent.
- Sur une base pro forma, le taux de désabonnement des services postpayés
s'est amélioré, passant de 1,3 % pour l'exercice précédent à 1,2 %,
tandis que le taux de désabonnement des services prépayés a augmenté,
passant de 3,0 % pour l'exercice précédent à 3,4 %. Le taux de
désabonnement pondéré a augmenté pour s'établir à 1,8 %, contre 1,7 % à
l'exercice précédent.
- Sur une base pro forma, le coût d'acquisition a diminué pour s'établir
à 362 $ par activation brute ce trimestre, soit 3,2 % de moins qu'à
l'exercice précédent.
Secteur Services sur fil de Bell
Le secteur Services sur fil de Bell a enregistré une croissance des produits d'exploitation et du BAIIA ainsi que des gains substantiels au chapitre des services de télévision grâce au maintien de la position de chef de file de Bell Télé dans la télévision haute définition, ainsi qu'au chapitre de la clientèle d'abonnés au service Internet haute vitesse grâce à l'introduction de nouveaux services par fibre haute vitesse comme le service Internet Bell Fibe(MC).
- Les produits d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell ont
augmenté de 2,5 % pour s'établir à 2 658 millions $ ce trimestre, la
croissance des produits d'exploitation tirés des produits découlant de
l'acquisition de La Source ainsi que la croissance des produits
d'exploitation des services de télévision ayant été partiellement
contrebalancées par la diminution des produits d'exploitation des
services locaux et d'accès et des services interurbains.
- Le bénéfice d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell a
augmenté de 47,9 % pour s'établir à 516 millions $ ce trimestre, par
suite de la progression du BAIIA, de la diminution des frais de
restructuration et autres et de la réduction de l'amortissement des
immobilisations corporelles et des actifs incorporels. Le BAIIA du
secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 5,1 % ce trimestre, pour
s'établir à 1 043 millions $, en raison de l'augmentation des produits
d'exploitation, des réductions de coûts et de la diminution des charges
de retraite.
- Les produits d'exploitation des services locaux et d'accès ont diminué
de 5,3 % pour s'établir à 762 millions $ ce trimestre, en raison de
l'érosion continue des SAR résidentiels et d'affaires.
- Le nombre total d'abonnés des SAR a diminué de 99 829 ce trimestre
alors qu'il avait baissé de 104 239 à l'exercice précédent. Le nombre
d'abonnés des SAR d'affaires a diminué de 24 211 ce trimestre alors
qu'il avait baissé de 26 473 à l'exercice précédent. Le nombre
d'abonnés résidentiels des SAR a diminué de 75 618 comparativement à
une baisse de 77 766 à l'exercice précédent, du fait que le nombre de
pertes d'abonnés résidentiels des SAR de détail s'est amélioré pour dix
trimestres consécutifs. Notre clientèle totale des SAR a diminué de 6,1
% d'un exercice à l'autre.
- Les produits d'exploitation des services interurbains ont reculé de
14,4 % pour s'établir à 238 millions $ ce trimestre, en raison surtout
de l'érosion continue des SAR résidentiels et d'affaires, des pressions
sur les prix dans le marché d'affaires et de l'accroissement de
l'adoption, par les clients des services résidentiels, de plans offrant
un volume d'utilisation illimité ou un important volume d'utilisation.
- Les produits d'exploitation des services de données sont inchangés, à
912 millions $ ce trimestre, la progression des produits d'exploitation
des services IP et de connectivité à large bande ainsi que des services
Internet résidentiels et l'augmentation des ventes d'équipements de
données aux clients d'affaires ayant été contrebalancées par la
diminution des produits d'exploitation des services de données
traditionnels et des services à valeur ajoutée.
- Le nombre d'abonnés à Internet haute vitesse a augmenté de 10 467 ce
trimestre, en hausse de 66,5 % par rapport à la période correspondante
de l'exercice précédent. À la fin du trimestre, Bell comptait 2 067 458
abonnés à Internet haute vitesse.
- Les produits d'exploitation des services de télévision se sont établis
à 428 millions $ ce trimestre, soit 10,6 % de plus qu'à l'exercice
précédent en raison de l'accroissement de la clientèle et du choix par
les abonnés de blocs de programmation d'émissions dont le prix est plus
élevé, ce qui s'explique en partie par le fait que les clients optent
de plus en plus pour des décodeurs de qualité supérieure.
- Le nombre total d'abonnés des services de télévision a augmenté de 19
889 ce trimestre, comparativement à une augmentation de 11 743 à la
période correspondante de l'exercice précédent par suite de la hausse
des activations de clients de gros et de l'accroissement des ventes
dans nos canaux directs. À la fin du trimestre, la clientèle des
services de télévision totalisait 1 968 766 abonnés.
- Le taux de désabonnement des abonnés des services de télévision est
demeuré stable, à 1,1 %.
- Les produits d'exploitation des équipements et autres ont augmenté pour
s'établir à 237 millions $ ce trimestre, contre 133 millions $ à
l'exercice précédent, en raison de l'incidence de l'acquisition de La
Source.
Bell Aliant Communications régionales
Les produits d'exploitation de Bell Aliant ont diminué de 4,8 % pour s'établir à 779 millions $ ce trimestre, du fait de la diminution des produits d'exploitation des services locaux et d'accès, des services interurbains et des équipements et autres. Le bénéfice d'exploitation de Bell Aliant a diminué de 5,4 %, pour s'établir à 175 millions $, la diminution des produits d'exploitation ayant été partiellement compensée par la réduction des charges d'exploitation.
Dividende sur actions ordinaires
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de 0,435 $ par action ordinaire, payable le 15 juillet 2010 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 15 juin 2010.
Perspectives
BCE a confirmé l'orientation financière suivante pour 2010 :
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Orientation pour 2010
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Bell (i)
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Croissance des produits d'exploitation 1 % à 2 %
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Croissance du BAIIA (ii) 2 % à 4 %
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Intensité du capital (inférieur ou égal à)16 %
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BCE
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BPA ajusté 2,65 $ à 2,75 $
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Croissance du BPA ajusté 6 % à 10 %
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Flux de trésorerie disponibles (iii) 2 000 M$ à 2 200 M$
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(i) L'orientation financière de 2010 de Bell pour les produits
d'exploitation, le BAIIA et l'intensité du capital exclut Bell
Aliant.
(ii) Le bénéfice d'exploitation est la mesure financière selon les PCGR
du Canada la plus comparable. Pour 2010, Bell prévoit une
croissance du BAIIA de 2 % à 4 %. Cette fourchette reflète le
bénéfice d'exploitation prévu de Bell d'environ 2 900 millions $ à
3 100 millions $.
(iii) Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation sont
la mesure financière selon les PCGR du Canada la plus comparable.
Pour 2010, BCE s'attend à dégager des flux de trésorerie
disponibles d'environ 2 000 millions $ à 2 200 millions $. Ce
montant tient compte de flux de trésorerie provenant des activités
d'exploitation de BCE prévus d'environ 5 400 millions $ à 5 600
millions $.
Conférence téléphonique à l'intention des analystes financiers
BCE tiendra une conférence téléphonique à l'intention des analystes financiers afin de traiter de ses résultats du premier trimestre le jeudi 6 mai, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour participer, composez le 416-695-6623 ou le numéro sans frais 1-800-396-7098 peu de temps avant le début de la conférence. Une reprise sera disponible pendant une semaine, au 416-695-5800 ou au 1-800-408-3053 (composez le code d'identification 5047207#.
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une webdiffusion en direct archivée sur le site Web de BCE à l'adresse : http://www.bce.ca/fr/news/eventscalendar/webcasts/2010/20100506/. Le fichier mp3 sera également disponible pour téléchargement sur cette page peu de temps après la conférence.
Notes
L'information contenue dans le présent communiqué est non vérifiée.
(1) Le terme "flux de trésorerie disponibles" n'a pas de définition
normalisée en vertu des PCGR du Canada. Il est donc peu probable
qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par
d'autres entreprises. Nous définissons les flux de trésorerie
disponibles comme les flux de trésorerie provenant des activités
d'exploitation et les distributions reçues de Bell Aliant, moins les
dépenses en immobilisations, les dividendes sur actions privilégiées,
les dividendes/distributions versés par des filiales aux actionnaires
sans contrôle, les autres activités d'investissement et les flux de
trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous considérons les flux de
trésorerie disponibles comme un important indicateur de la solidité
financière et du rendement de nos activités, car ils révèlent le
montant des fonds disponibles pour rembourser la dette et réinvestir
dans notre société. Nous présentons les flux de trésorerie
disponibles de manière uniforme d'une période à l'autre, ce qui nous
permet de comparer notre performance financière de manière constante.
Nous estimons que certains investisseurs et analystes utilisent les
flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses
actifs sous-jacents. Les flux de trésorerie provenant des activités
d'exploitation sont la mesure financière selon les PCGR du Canada la
plus comparable. Le tableau ci-après présente un rapprochement des
flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation et des flux
de trésorerie disponibles, sur une base consolidée.
(en millions $)
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T1 2010 T1 2009
-------------------------------------------------------------------------
Flux de trésorerie provenant des activités
d'exploitation 1 098 925
Distributions de Bell Aliant à BCE 73 73
Dépenses en immobilisations (526) (590)
Autres activités d'investissement (21) (13)
Dividendes versés sur actions privilégiées (28) (28)
Distributions en espèces versées par des filiales
aux actionnaires sans contrôle (92) (92)
Flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant 41 (3)
-------------------------------------------------------------------------
Flux de trésorerie disponibles 545 272
-------------------------------------------------------------------------
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(2) Le terme "BAIIA" (bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement
des immobilisations corporelles et des actifs incorporels) n'a pas de
définition normalisée en vertu des PCGR du Canada. Il est donc peu
probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires
présentées par d'autres entreprises. Nous définissons le BAIIA comme
les produits d'exploitation moins le coût des ventes et les frais de
vente, généraux et administratifs, c'est-à-dire comme le bénéfice
d'exploitation avant l'amortissement des immobilisations corporelles,
l'amortissement des actifs incorporels et les frais de
restructuration et autres. Nous utilisons le BAIIA, entre autres
mesures, pour évaluer le rendement d'exploitation de nos activités
permanentes, avant l'incidence de l'amortissement des immobilisations
corporelles, de l'amortissement des actifs incorporels et des frais
de restructuration et autres. Nous excluons ces éléments parce qu'ils
ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et
peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse
des tendances en matière de rendement de l'exploitation. Nous
excluons l'amortissement des immobilisations corporelles et des
actifs incorporels étant donné que cet élément est principalement
fonction des méthodes comptables et des hypothèses utilisées par une
société ainsi que de facteurs hors exploitation comme le coût
historique des immobilisations. Le fait d'exclure les frais de
restructuration et autres ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents. Le BAIIA nous permet de comparer notre rendement
d'exploitation de manière constante. Nous estimons que certains
investisseurs et analystes utilisent le BAIIA pour évaluer la
capacité d'une société à assurer le service de sa dette et à
satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une
mesure courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie
des télécommunications. Le bénéfice d'exploitation est la mesure
financière selon les PCGR du Canada la plus comparable. Les tableaux
ci-après présentent un rapprochement du bénéfice d'exploitation et du
BAIIA, sur une base consolidée, pour BCE et Bell et pour nos secteurs
Services sur fil de Bell et Services sans fil de Bell.
(en millions $)
-------------------------------------------------------------------------
BCE T1 2010 T1 2009
-------------------------------------------------------------------------
Bénéfice d'exploitation 962 834
Amortissement des immobilisations corporelles et
des actifs incorporels 793 818
Frais de restructuration et autres 29 108
-------------------------------------------------------------------------
BAIIA 1 784 1 760
-------------------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------------------
BELL T1 2010 T1 2009
-------------------------------------------------------------------------
Bénéfice d'exploitation 787 649
Amortissement des immobilisations corporelles et
des actifs incorporels 651 678
Frais de restructuration et autres 17 99
-------------------------------------------------------------------------
BAIIA 1 455 1 426
-------------------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------------------
SERVICES SUR FIL DE BELL T1 2010 T1 2009
-------------------------------------------------------------------------
Bénéfice d'exploitation 516 349
Amortissement des immobilisations corporelles et
des actifs incorporels 513 545
Frais de restructuration et autres 14 98
-------------------------------------------------------------------------
BAIIA 1 043 992
-------------------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------------------
SERVICES SANS FIL DE BELL T1 2010 T1 2009
-------------------------------------------------------------------------
Bénéfice d'exploitation 271 300
Amortissement des immobilisations corporelles et
des actifs incorporels 138 133
Frais de restructuration et autres 3 1
-------------------------------------------------------------------------
BAIIA 412 434
-------------------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------------------
(3) L'acquisition de la tranche restante de 50 % des actions de Virgin
que Bell ne détenait pas déjà a été conclue le 1er juillet 2009. Par
conséquent, à partir du troisième trimestre de 2009, le PMU, le taux
de désabonnement et le coût d'acquisition dans le sans-fil reflètent
la totalité des résultats de Virgin. Pour les exercices antérieurs,
ces données reflétaient notre participation antérieure, soit 50 %,
mais elles ont été présentées sur une base pro forma pour refléter la
totalité des résultats de Virgin.
(4) Le terme "bénéfice net ajusté" n'a pas de définition normalisée en
vertu des PCGR du Canada. Il est donc peu probable qu'il puisse être
comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres
entreprises. Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le
bénéfice net avant les frais de restructuration et autres et les
pertes nettes (gains nets) sur placements. Nous utilisons le bénéfice
net ajusté et le BPA ajusté, entre autres mesures, pour évaluer le
rendement d'exploitation de nos activités permanentes, avant
l'incidence après impôts des frais de restructuration et autres, et
des pertes nettes (gains nets) sur placements. Nous excluons ces
éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement de
l'exploitation. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actions
ordinaires est la mesure financière selon les PCGR du Canada la plus
comparable. Le tableau ci-après présente un rapprochement du bénéfice
net attribuable aux actions ordinaires et du bénéfice net ajusté, sur
une base consolidée et par action ordinaire de BCE Inc.
(en millions $, sauf les montants par action)
-------------------------------------------------------------------------
T1 2010 T1 2009
-------------------------------------------------------------------------
PAR PAR
TOTAL ACTION TOTAL ACTION
-------------------------------------------------------------------------
Bénéfice net attribuable aux
actions ordinaires 608 0,79 377 0,48
Frais de restructuration et
autres 17 0,02 70 0,09
(Gains nets) pertes nettes sur
placements (125) (0,16) (1) 0,00
-------------------------------------------------------------------------
Bénéfice net ajusté 500 0,65 446 0,57
-------------------------------------------------------------------------
Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter, les déclarations reliées à notre orientation financière pour 2010 (ce qui comprend les produits d'exploitation, le BAIIA, l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), la conclusion planifiée par BCE de son OPRA dans le cadre normal des activités ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques, constituent des déclarations prospectives. Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur plusieurs hypothèses donnant lieu à la possibilité que les résultats ou événements réels diffèrent de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans ces déclarations prospectives. Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur contre le fait d'accorder une confiance sans réserve à ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date du 6 mai 2010 et, par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs ou pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 6 mai 2010. L'incidence financière de ces transactions ou éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ou la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives sont présentées dans le but de donner de l'information sur les attentes et les plans actuels de la direction, en particulier, pour 2010 et de permettre aux investisseurs et à d'autres parties de mieux comprendre le contexte dans lequel nous exerçons nos activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Hypothèses sur l'économie et les marchés
Un certain nombre d'hypothèses sur l'économie et les marchés canadiens ont été formulées par BCE dans la préparation de son orientation financière et d'autres déclarations prospectives pour 2010 contenues dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter : i) la croissance du PIB au Canada en 2010, en fonction des estimations des six principales banques canadiennes; ii) nous rangeant à cette opinion générale, nous avons posé comme hypothèse une amélioration graduelle du contexte économique au Canada, qui devrait s'amorcer au second semestre de 2010; iii) les dépenses et les investissements des clients d'affaires augmenteraient à la faveur de l'amélioration de la conjoncture économique; iv) les produits d'exploitation tirés du marché des services de télécommunications vocaux résidentiels au Canada continueraient de diminuer en raison, en partie, de la substitution des lignes terrestres par des technologies concurrentes comme le sans-fil, qui devrait s'intensifier en 2010 en particulier du fait de la vive concurrence exercée par les nouveaux venus dans le secteur du sans-fil, qui ont acheté des licences d'utilisation du spectre pour les SSFE, de la voix sur IP et d'autres facteurs, y compris la substitution par le courriel et la messagerie instantanée; v) la concurrence subsisterait avec la même intensité dans le marché des services locaux résidentiels et d'affaires de téléphonie vocale, les câblodistributeurs et autres fournisseurs de services de télécommunications maintenant l'intensité de leurs campagnes de commercialisation et continuant de tirer parti de la place occupée par leur réseau pour soutenir leur part de marché dans nos régions; vi) la croissance du taux de pénétration du sans-fil en 2010 serait semblable à celle de 2009; vii) la croissance du marché des services de télévision et Internet s'établirait à des niveaux légèrement inférieurs à ceux de 2009, en raison des taux de pénétration et du stade de maturité relativement élevés pour ces produits.
Hypothèses relatives aux activités d'exploitation
Notre orientation financière et les autres déclarations prospectives pour 2010 reposent aussi sur certaines hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes concernant Bell (excluant Bell Aliant), y compris, sans s'y limiter : i) les programmes de fidélisation ciblés et les offres de services groupés, les initiatives visant la reconquête de clients et la meilleure prestation du service permettraient de maintenir la stabilité des pertes au chapitre du nombre d'abonnés des SAR résidentiels, d'un exercice à l'autre; ii) la tendance de repli de la demande en 2009 dans le marché des affaires, les clients des services d'affaires comprimant leurs programmes de dépenses et d'investissement, continuerait d'avoir une incidence négative sur la demande, du moins au cours des deux premiers trimestres de 2010; iii) la progression des dépenses des clients d'affaires, la création d'entreprises et l'accroissement de la demande pour les services de connectivité de base et de TIC à mesure que l'économie se redressera devraient entraîner une amélioration graduelle du rendement de notre unité Marchés Affaires, y compris au chapitre des pertes d'abonnés des SAR d'affaires; iv) notre nouveau réseau HSPA/HSPA+, lancé en novembre 2009, permettrait d'accroître le taux de pénétration du marché des téléphones intelligents et créerait les conditions propices à une utilisation encore plus intensive des services de données et à une croissance des produits d'exploitation découlant de l'itinérance; v) la hausse des niveaux d'emploi, l'augmentation des dépenses discrétionnaires et la reprise des déplacements dans la foulée du redressement économique se traduiraient par des produits d'exploitation plus élevés découlant de l'utilisation du sans-fil et des services d'itinérance; vi) la concurrence livrée par les nouveaux venus dans le secteur du sans-fil devrait s'intensifier progressivement tout au long de 2010 avec l'arrivée de nouveaux fournisseurs de services sur le marché; vii) la croissance des produits d'exploitation provenant de nos services sans fil découlerait du PMU tiré de nouveaux services, de la gestion prudente des tarifs et de l'expansion constante et méthodique de notre clientèle; viii) Bell tirerait parti des perfectionnements technologiques constants apportés par les fabricants de ses combinés et appareils et de l'accélération des vitesses de transmission qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation des services de Bell; ix) une augmentation considérable du nombre de nos points de vente découlant du lancement des produits de Bell Mobilité et de Virgin Mobile dans les magasins La Source en janvier 2010; x) une gestion prudente des dépenses atténuerait l'incidence des prix très bas des marques économiques ainsi que des prix pratiqués par les nouveaux concurrents, de la hausse des dépenses liées à la fidélisation de la clientèle ainsi que des coûts d'acquisition accrus découlant de l'augmentation du taux de pénétration des téléphones intelligents; xi) des pressions seraient exercées par les nouveaux concurrents sur la marge du BAIIA dans le sans-fil, et les coûts d'acquisition d'abonnés ainsi que les coûts de fidélisation de la clientèle augmenteraient; xii) la concurrence livrée par les nouveaux venus exercerait des pressions sur le PMU des services sans fil; xiii) des économies de coûts, qui contribueraient au maintien de la stabilité des marges du BAIIA, seraient réalisées grâce à la renégociation de contrats avec tous nos principaux fournisseurs de TI et fournisseurs externes, à la poursuite des réductions de la main-d'œuvre commencées en 2009, à l'amélioration de la productivité des employés des services extérieurs, à la mise à profit des synergies opérationnelles par suite de l'intégration, en 2009, de nos unités de première ligne auprès de nos clients d'affaires, au contrôle des coûts de maintenance du réseau et à la réduction du trafic non acheminé par notre propre réseau et xiv) les produits d'exploitation des services sur fil augmenteraient en raison des produits d'exploitation tirés de l'acquisition de La Source, de la croissance solide et continue des services de télévision de Bell et du maintien de la discipline en matière d'établissement des prix.
Hypothèses financières
Notre orientation financière pour 2010 est également basée sur certaines autres hypothèses financières pour 2010 concernant Bell (excluant Bell Aliant), y compris, sans s'y limiter : i) les impôts en espèces de Bell s'élèveraient à environ 200 millions $; ii) la charge nette totale au titre des régimes d'avantages sociaux (charges de retraite) de Bell, basée sur un taux d'actualisation de 6,4 % et un rendement de l'actif des régimes de retraite de 15 % en 2009, s'établirait à environ 130 millions $; iii) la capitalisation des régimes de retraite de Bell serait d'environ 500 millions $; iv) l'intensité du capital de Bell serait d'au plus 16 % et v) Bell continuerait d'investir dans le déploiement de la fibre optique en vue d'accroître la place occupée par son réseau sur fil à large bande pour couvrir environ 3,6 millions de foyers d'ici la fin de 2010.
Notre orientation financière pour 2010 se fonde également sur certaines hypothèses financières pour 2010, y compris, sans s'y limiter : i) les frais de restructuration et autres de l'ordre de 125 millions $ à 175 millions $; ii) l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels à des niveaux légèrement inférieurs à ceux de 2009; iii) un taux d'imposition effectif d'environ 22 % et un taux d'imposition prévu par la loi d'environ 30,6 %; iv) le BPA serait favorablement touché par le rachat prévu d'un montant maximal de 500 millions $ d'actions ordinaires dans le cadre de l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de BCE annoncée en décembre 2009 et v) la dette à long terme arrivant à échéance en 2010 serait entièrement remboursée.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été considérées comme raisonnables par BCE le 6 mai 2010, peuvent se révéler inexactes. En conséquence, nos résultats réels pourraient différer de façon importante de nos attentes, telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les importants facteurs de risque en conséquence desquels nos hypothèses et estimations pourraient être inexactes et nos résultats ou événements réels pourraient différer de manière considérable de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans les déclarations prospectives susmentionnées, y compris notre orientation financière pour 2010, sont énumérés ci-dessous. Notre capacité à atteindre les résultats indiqués dans notre orientation financière pour 2010 dépend essentiellement du rendement de notre exploitation, qui à son tour est assujetti à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde du fait que l'un ou l'autre des risques suivants est susceptible d'avoir une incidence défavorable importante sur notre orientation financière pour 2010. Ces risques comprennent, sans s'y limiter : l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris l'intensification de l'activité de ces derniers dans le sans-fil qui devrait découler de l'octroi par Industrie Canada de licences d'utilisation du spectre pour les SSFE à de nouveaux concurrents dans le secteur du sans-fil, ainsi que l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients actuels et à en attirer de nouveaux de même que sur nos stratégies d'établissement des prix et nos résultats financiers; la conjoncture économique et les conditions du marché des capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs, la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de ceux-ci; notre capacité à mettre en œuvre nos stratégies et nos plans afin de produire les avantages attendus; notre capacité à poursuivre la mise en œuvre de nos initiatives de réduction des coûts et à contenir l'intensité du capital tout en nous efforçant d'améliorer le service à la clientèle; notre capacité à nous adapter aux changements technologiques et à offrir rapidement de nouveaux produits et services; les cotisations accrues aux régimes d'avantages sociaux; les événements touchant la fonctionnalité de nos réseaux et de nos systèmes et logiciels de technologie de l'information ainsi que notre capacité à les protéger, à les maintenir et à les remplacer; les événements ayant une incidence sur la capacité des tiers fournisseurs à nous fournir des produits et services essentiels; la qualité de notre réseau et de l'équipement à l'intention des clients et la mesure dans laquelle ils peuvent être sujets à des défauts de fabrication; les interruptions de travail; les répercussions négatives éventuelles sur nos services Internet et sans fil de l'accroissement marqué de la demande de services à large bande; notre capacité à mobiliser le capital nécessaire à la mise en œuvre de notre plan d'affaires, y compris en ce qui a trait au programme de rachat d'actions et aux paiements de dividendes de BCE ainsi qu'au financement des dépenses en immobilisations et autres et, de façon générale, notre capacité à respecter nos obligations financières; notre capacité à cesser de fournir certains services traditionnels, au besoin, en vue de l'amélioration de la productivité du capital et de l'efficience de l'exploitation; les initiatives ou les démarches réglementaires, les litiges et les modifications apportées aux lois ou aux règlements; les risques liés au lancement des satellites utilisés par Bell Télé ou touchant ces satellites lorsqu'ils sont en orbite; la concurrence exercée par les services de télévision par SRD américains non réglementés vendus illégalement au Canada et le vol de nos services de télévision par satellite; la dépendance de BCE quant à la capacité de ses filiales, coentreprises et autres entreprises dans lesquelles elle détient une participation de lui verser des dividendes et toute autre distribution; l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés par le conseil d'administration de BCE ou que la politique en matière de dividendes de BCE sera maintenue; la volatilité des marchés boursiers; notre capacité à maintenir le service à la clientèle et le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des pandémies et d'autres risques liés à la santé survenaient; les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils sans fil; et la perte d'employés clés.
Pour plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, se reporter au rapport de gestion annuel 2009 de BCE daté du 11 mars 2010 (compris dans le rapport annuel 2009 de BCE) et le rapport de gestion du premier trimestre de 2010 de BCE daté du 5 mai 2010, ces deux documents étant déposés par BCE auprès des commissions canadiennes des valeurs mobilières (disponibles à www.sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponibles à www.sec.gov). Ces documents sont également disponibles sur le site Web de BCE à www.bce.ca.
À propos de BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et fournit un ensemble de services de communications des plus complets et des plus novateurs à ses clients résidentiels et d'affaires au Canada. Assurés sous les marques Bell et Bell Aliant, ils comprennent les services de téléphonie, les services de communication sans fil, les services Internet haute vitesse, les services de télévision numérique, les services IP-large bande ainsi que les services de technologie de l'information et des communications (TIC). Les actions de BCE sont cotées en Bourse au Canada et aux États-Unis. Pour plus d'information sur BCE, visitez le site www.bce.ca. Pour plus d'information sur les produits et services de Bell, visitez le site www.bell.ca.
Renseignements: Questions des médias: Julie Smithers, Relations avec les médias, Bell, (514) 391-2007, [email protected]; Questions des investisseurs: Thane Fotopoulos, Relations avec les investisseurs, BCE, (514) 870-4619, [email protected]
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