MONTRÉAL, le 9 mai 2013 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX, NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications du Canada, a présenté aujourd'hui les résultats de BCE et de Bell pour le premier trimestre (T1) de 2013.
FAITS SAILLANTS FINANCIERS
(en millions $, sauf les montants par action) (non audité) | T1 2013 | T1 2012 | % de variation |
|
Bell(i) | ||||
Produits opérationnels | 4 348 | 4 334 | 0,3 % | |
BAIIA | 1 641 | 1 608 | 2,1 % | |
BCE | ||||
Produits opérationnels | 4 919 | 4 910 | 0,2 % | |
BAIIA | 1 962 | 1 929 | 1,7 % | |
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires | 566 | 531 | 6,6 % | |
BPA | 0,73 | 0,69 | 5,8 % | |
BPA ajusté | 0,77 | 0,69 | 11,6 % | |
Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles | 1 040 | 1 202 | (13,5) % | |
Flux de trésorerie disponibles | 247 | 331 | (25,4) % | |
(i) Bell comprend les secteurs Services sans fil de Bell, Services sur fil de Bell et Bell Média. |
BCE a présenté au T1 un bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de 566 millions $, en hausse de 6,6 % comparativement à 531 millions $ à l'exercice précédent, et un bénéfice net ajusté(1) attribuable aux actionnaires ordinaires de 599 millions $, soit une augmentation de 11,5 % comparativement à 537 millions $ au T1 2012. Le bénéfice par action (BPA) de 0,73 $ et le BPA ajusté de 0,77 $ ont augmenté de 5,8 % et de 11,6 %, respectivement, comparativement à un BPA et à un BPA ajusté de 0,69 $ au T1 2012. L'augmentation du BPA ajusté est attribuable à la progression du BAIIA(2), à la comptabilisation du droit au titre d'un excédent des régimes de retraite et aux profits nets sur les contrats dérivés sur capitaux propres conclus pour couvrir nos passifs au titre de la rémunération fondée sur des actions.
Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles de BCE se sont établis à 1 040 millions $ au T1 2013, comparativement à 1 202 millions $ au T1 2012. Les flux de trésorerie disponibles(3) pour les actionnaires ordinaires de BCE se sont établis à 247 millions $, par rapport à 331 millions $ à l'exercice précédent. La diminution est principalement imputable à l'échelonnement des encaissements de trésorerie et à la hausse de l'impôt sur le résultat payé par rapport à l'exercice précédent.
À la fin du T1, BCE (comprenant Bell Canada et Bell Aliant) comptait au total 7 815 475 abonnés du sans-fil, soit une hausse de 3,6 % par rapport au T1 2012, 2 307 224 abonnés des services de télé, soit une augmentation de 5,0 %, 3 044 285 abonnés d'Internet haute vitesse, soit une augmentation de 1,3 %, et 7 995 755 abonnés des SAR, soit une diminution de 7,0 %.
RÉSULTATS DE BELL
Les produits opérationnels de Bell ont augmenté de 0,3 % pour s'établir à 4 348 millions $, du fait de l'augmentation des produits tirés des services de 1,3 %, ce qui reflète la croissance dans les services sans fil, de télé et Internet, dans les médias ainsi que dans les services d'affaires comme l'hébergement de données et l'informatique en nuage.
Le BAIIA de Bell a augmenté de 2,1 % pour s'établir à 1 641 millions $, grâce à la forte croissance du BAIIA de 11,6 % pour les Services sans fil de Bell et de 21,0 % pour Bell Média, atténuée par une diminution de 4,5 % pour les Services sur fil de Bell. La marge consolidée du BAIIA de Bell a progressé, passant de 37,1 % au T1 2012 à 37,7 % au T1 2013, en raison de l'effet des produits élevés tirés des services sans fil, de la diminution de l'érosion des services voix sur fil, de la baisse des coûts des services sur fil associés à l'accroissement de la clientèle de notre service Bell Télé Fibe, ainsi que des économies supplémentaires au chapitre des coûts opérationnels dans le sur-fil.
« Bell poursuit sa transformation, s'appuyant sur des investissements, les plus importants du secteur, dans les réseaux et les services de prochaine génération, a souligné George Cope, président et chef de la direction de BCE et de Bell. Avec l'équipe de Bell concentrée sur la réalisation de nos six impératifs stratégiques, les services de croissance que sont les services sans fil, de télé, de médias et Internet ne cessent d'accroître leur prépondérance au sein de nos diverses activités opérationnelles, et représentent maintenant plus de 80 % des produits des activités ordinaires de Bell. »
« Dans le sans-fil, l'adoption croissante des téléphones intelligents et l'utilisation plus intensive des services de données sur le plus vaste réseau LTE au Canada a permis de réaliser une forte croissance des produits et du BAIIA et de faire reculer le taux de désabonnement. L'expansion rapide de Télé Fibe favorise la concurrence et offre aux consommateurs plus de choix en matière de télévision canadienne, tout en soutenant la croissance de notre part des trois produits par foyer, car les clients choisissent de plus en plus d'ajouter à Télé Fibe les services Bell Internet Fibe et Bell Téléphonie. La croissance dans les services d'affaires de connectivité IP et de données, comme l'hébergement de données et l'informatique en nuage, a également contribué à l'amélioration des résultats dans le sur-fil, tandis que la prépondérance de Bell Média dans le contenu et son excellente exécution ont donné lieu à une augmentation importante du BAIIA et des flux de trésorerie », affirme M. Cope.
Bell concentre ses efforts sur un objectif clair, celui d'être reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de communications du Canada, qu'elle compte atteindre grâce à l'exécution de six impératifs stratégiques : investir dans les réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans les médias, améliorer le service à la clientèle et établir une structure de coûts concurrentielle.
« Nous affichons des résultats financiers probants au premier trimestre de 2013, plus particulièrement une saine croissance du BAIIA et du bénéfice par action. Le maintien à bon niveau des flux de trésorerie vient soutenir nos programmes de dépenses d'investissement stratégiques en cours et favorise la majoration du dividende sur actions ordinaires pour 2013, a affirmé Siim Vanaselja, chef des affaires financières de BCE et de Bell. Nos secteurs du sans-fil et du sur-fil sont dans une situation favorable et profitent de l'apport de nature complémentaire de Bell Média, qui continue d'afficher une rentabilité élevée. Compte tenu de ce bon début d'année dans tous nos secteurs opérationnels et en l'absence de modifications fondamentales des perspectives, notre plan financier pour 2013 est sur la bonne voie, car nous reconfirmons aujourd'hui tous nos objectifs de l'orientation pour l'exercice. »
RÉSULTATS OPÉRATIONNELS DE BELL PAR SECTEUR
Au T1 2013, Bell a profité de la solide performance financière et des bons résultats opérationnels dans le sans-fil, de l'augmentation des produits et du BAIIA tirés des services sur fil, grâce aux économies constantes de coûts opérationnels, ainsi que de la croissance marquée du BAIIA et des flux de trésorerie de Bell Média, malgré un marché publicitaire difficile.
Bell a consacré 594 millions $ en nouveau capital au premier trimestre de 2013 pour soutenir la poursuite du déploiement des plateformes sur fil et sans fil à large bande de prochaine génération. Il s'agit d'une diminution de 12,6 % par rapport au T1 2012, qui reflète les coûts plus élevés engagés au début de la construction du réseau mobile 4G LTE de Bell dans les principaux centres urbains et l'expansion rapide du réseau de magasins de détail dans l'Ouest canadien au début de l'exercice précédent.
Services sans fil de Bell
Les produits opérationnels des Services sans fil de Bell ont augmenté de 6,3 %, passant de 1 326 millions $ au T1 2012 à 1 409 millions $ au T1 2013. Les produits tirés des services ont progressé de 7,2 %, totalisant 1 303 millions $ grâce à la croissance de la clientèle d'utilisateurs de téléphones intelligents et à l'augmentation du produit moyen par unité (PMU) combiné, du fait du nombre plus élevé d'abonnés provenant de l'Ouest canadien dans notre clientèle des services postpayés, et de l'utilisation plus intensive de services de données comme Télé Mobile de Bell par la clientèle d'utilisateurs de téléphones intelligents.
Les produits tirés des services de données ont augmenté de 23,9 % au T1 et représentent maintenant 39,3 % du PMU combiné. Le BAIIA des Services sans fil de Bell a augmenté de 11,6 %, passant de 524 millions $ au T1 2012 à 585 millions $ au T1 2013, ce qui s'est traduit par une augmentation de 1,8 point de pourcentage de la marge liée aux services, qui s'élève à 44,9 % contre 43,1 % à l'exercice précédent.
Services sur fil de Bell
Le rythme de diminution des produits tirés des services sur fil traditionnels de Bell a ralenti par rapport à chacun des trimestres de 2012, diminuant de 2,8 % au T1 2013 pour s'établir à 2 508 millions $, par rapport à 2 579 millions $ au T1 2012. Cette situation reflète la croissance régulière du nombre d'abonnés de Télé Fibe et d'Internet Fibe, le ralentissement de la diminution des produits tirés des services voix ainsi que la diminution des rabais et des crédits immédiats sur les forfaits de services.
Le BAIIA des Services sur fil de Bell a diminué de 4,5 % au T1 2013 pour se chiffrer à 958 millions $, par rapport à 1 003 millions $ au T1 2012, tandis que les marges concordent avec les attentes, s'établissant à 38,2 % (comparativement à 38,9 % au T1 2012), ce qui reflète la réduction de 26 millions $, ou 1,6 %, des coûts opérationnels. Le BAIIA des Services sur fil a subi l'incidence des charges totalisant 14 millions $ relatives à une décision du CRTC touchant nos activités dans les services d'accès haute vitesse de gros de Bell. Exclusion faite de cette incidence réglementaire, le BAIIA des Services sur fil de Bell a diminué de 3,1 %, et la marge est demeurée stable d'un exercice à l'autre, s'établissant à 38,8 %.
Bell Média
Les produits opérationnels de Bell Média sont demeurés stables d'un exercice à l'autre, en hausse de 0,2 % pour s'établir à 513 millions $ au T1 2013, par rapport à 512 millions $ au T1 2012. La progression des produits tirés des frais d'abonnement de 11,9 %, découlant de la majoration des tarifs, établis en fonction du marché, de la télévision spécialisée imposés aux distributeurs de radiodiffusion a été atténuée par un marché publicitaire moins dynamique. Les produits tirés de la publicité à la télé traditionnelle et à la radio ont diminué de 5,8 % au T1 2013, ce qui cadre avec les tendances observées dans le secteur.
Bénéficiant de la portée concrète de l'augmentation des produits tirés des frais des distributeurs et de la réduction de 3,7 % des coûts opérationnels, le BAIIA de Bell Média a augmenté de 21,0 % pour s'établir à 98 millions $ au T1 2013, par rapport à 81 millions $ au T1 2012.
RÉSULTATS DE BELL ALIANT
Les produits des activités ordinaires de Bell Aliant (TSX : BA) ont augmenté de 0,3 % pour s'établir à 684 millions $ au T1 2013, par rapport à 682 millions $, la croissance des produits tirés des services Internet, de télé et sans fil ayant été contrebalancée par la baisse continue des produits tirés des services locaux et d'accès et des services interurbains. Le BAIIA de Bell Aliant est demeuré inchangé, à 321 millions $ ce trimestre, la légère augmentation des produits opérationnels ayant été contrebalancée par la hausse de 0,6 % des coûts opérationnels. Pour en savoir plus, visitez le site BellAliant.ca.
MISE À JOUR SUR ASTRAL
Le 4 mars 2013, BCE a reçu l'autorisation du Bureau de la concurrence relative à son acquisition proposée d'Astral Media inc. En vertu du consentement donné par cet organisme, Astral et Bell se départiront de 11 services de télé (et de 10 stations de radio, conformément à la politique du CRTC concernant la propriété commune en radio). Corus Entertainment Inc. a convenu d'acquérir 6 services de télé et 2 stations de radio dans le cadre d'une transaction évaluée à 400,6 millions $. Bell conservera 8 des services de télé d'Astral (notamment les services de télé payante anglophone et francophone), 77 stations de radio ainsi que ses activités nationales d'affichage extérieur, ce qui représente environ 77 % du BAIIA d'Astral.
Astral et Bell ont présenté une proposition révisée au CRTC en vue de faire approuver la transaction, qui comprenait des avantages tangibles d'un montant de 174,64 millions $ pour le système canadien de radiodiffusion, rendue publique par le CRTC le 6 mars. L'audience publique du CRTC afin de considérer la nouvelle proposition a commencé le 6 mai. BCE prévoit que la transaction sera conclue au début de l'été, sous réserve de son approbation par le CRTC.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de 0,5825 $ par action ordinaire, payable le 15 juillet 2013 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 14 juin 2013.
PERSPECTIVES
BCE a confirmé les objectifs de son orientation financière pour 2013, tels qu'ils ont été présentés le 7 février 2013 :
Orientation du 7 février |
Orientation du 9 mai |
|
Bell(i) | ||
Croissance des produits des activités ordinaires | 0 % à 2 % | Conforme |
Croissance du BAIIA | 1 % à 3 % | Conforme |
Intensité du capital | 16 % à 17 % | Conforme |
BCE | ||
BPA ajusté(ii) | 2,97 $ à 3,03 $ | Conforme |
Croissance des flux de trésorerie(iii) | 5 % à 9 % | Conforme |
Dividende annuel par action ordinaire | 2,33 $ | 2,33 $ |
(i) | L'orientation financière de Bell pour 2013 concernant les produits des activités ordinaires, le BAIIA et l'intensité du capital exclut Bell Aliant. |
(ii) | Depuis le début de 2013, nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les (profits nets) pertes nettes sur placements et les primes au remboursement anticipé de la dette. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE Inc. |
(iii) | Depuis le début de 2013, nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des coûts liés aux acquisitions payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, plus les dividendes/distributions reçu(e)s de Bell Aliant, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes/distributions payé(e)s par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. |
BCE prévoit mettre à jour son orientation financière pour 2013 après la conclusion de l'acquisition d'Astral prévue pour le début de l'été.
CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE À L'INTENTION DES ANALYSTES FINANCIERS
BCE tiendra une conférence téléphonique à l'intention des analystes financiers afin de traiter de ses résultats du T1 2013, le jeudi 9 mai, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour participer, composez le 416-340-8061 ou le numéro sans frais 1-866-225-0198 peu de temps avant le début de la conférence. Une reprise sera disponible pendant une semaine, au 905-694-9451 ou au 1-800-408-3053 (composez le code d'identification 6518122#).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une webdiffusion en direct archivée sur le site Web de BCE à l'adresse : http://www.bce.ca/investisseurs/evenements-et-presentations/tous/show/bce-q1-2013-results-conference-call. Le fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur cette page, peu de temps après la conférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent communiqué est non auditée.
(1) Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Au début de 2013, notre définition du bénéfice net ajusté a été modifiée pour exclure les primes au remboursement anticipé de la dette afin d'harmoniser nos méthodes de présentation de l'information financière avec celles de nos pairs. Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les (profits nets) pertes nettes sur placements et les primes au remboursement anticipé de la dette. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté, entre autres mesures, pour évaluer la performance de nos activités, avant l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des (profits nets) pertes nettes sur placements et des primes au remboursement anticipé de la dette, déduction faite de l'impôt et de la participation ne donnant pas le contrôle. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et le BPA sont les mesures financières selon les IFRS les plus comparables. Le tableau ci-après présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement.
(en millions de dollars, sauf les montants par action) | ||||
T1 2013 | T1 2012 | |||
TOTAL | PAR ACTION | TOTAL | PAR ACTION | |
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires | 566 | 0,73 | 531 | 0,69 |
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres | 23 | 0,03 | 14 | 0,01 |
Profits nets sur placements | (2) | - | (8) | (0,01) |
Prime au remboursement anticipé de la dette | 12 | 0,01 | - | - |
Bénéfice net ajusté | 599 | 0,77 | 537 | 0,69 |
(2) Le terme BAIIA n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons le BAIIA comme les produits opérationnels moins les coûts opérationnels, tel qu'il est présenté dans les comptes consolidés de résultat de BCE. Nous utilisons le BAIIA pour évaluer la performance de nos entreprises puisqu'il reflète leur rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent le BAIIA pour évaluer la capacité d'une société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des télécommunications. Le BAIIA est également un facteur dans la détermination de la rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière selon les IFRS directement comparable au BAIIA. Pour remédier à la situation, le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA de BCE.
(en millions de dollars) | |||
T1 2013 | T1 2012 | ||
Bénéfice net | 672 | 631 | |
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres | 33 | 19 | |
Amortissement des immobilisations corporelles | 675 | 646 | |
Amortissement des immobilisations incorporelles | 163 | 181 | |
Charges financières | |||
Charge d'intérêts | 221 | 207 | |
Intérêt lié aux obligations au titre des avantages postérieurs à l'emploi | 37 | 33 | |
Autres (produits) charges | (80) | 21 | |
Impôt sur le résultat | 241 | 191 | |
BAIIA | 1 962 | 1 929 |
(3) Le terme flux de trésorerie disponibles n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Au début de 2013, notre définition des flux de trésorerie disponibles a été modifiée pour exclure le financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, car il s'agit d'une utilisation discrétionnaire de la trésorerie excédentaire. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des coûts liés aux acquisitions payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, plus les dividendes/distributions reçu(e)s de Bell Aliant, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes/distributions payé(e)s par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un important indicateur de la solidité financière et du rendement de nos activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles pour rembourser la dette et réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents. Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles sont la mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Le tableau ci-après présente un rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles et des flux de trésorerie disponibles, sur une base consolidée.
(en millions de dollars) | ||
T1 2013 | T1 2012 | |
Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles | 1 040 | 1 202 |
Dividendes/distributions de Bell Aliant à BCE | 48 | 48 |
Dépenses d'investissement | (722) | (817) |
Dividendes en espèces payés sur actions privilégiées | (26) | (33) |
Dividendes/distributions en espèces payé(e)s par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle | (73) | (79) |
Coûts liés aux acquisitions payés | 10 | 25 |
Flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant | (30) | (15) |
Flux de trésorerie disponibles | 247 | 331 |
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre orientation financière pour 2013 (ce qui comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA, l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), nos perspectives commerciales, nos objectifs, nos plans et nos priorités stratégiques, le dividende par action ordinaire annualisé de BCE pour 2013, l'échéancier et la réalisation prévus de l'acquisition proposée d'Astral par BCE de même que le dessaisissement proposé par BCE de certains services de télé et stations de radio dans le cadre de l'acquisition proposée, nos programmes de dépenses d'investissement stratégiques en cours, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques, constituent des déclarations prospectives. Habituellement, les termes comme hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, plan, stratégie, cible et d'autres expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser, s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier, chercher à et aspirer à, permettent de repérer les déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites conformément aux dispositions refuges prévues dans les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur plusieurs hypothèses, tant générales que spécifiques, donnant lieu à la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans ces déclarations prospectives. Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur contre le risque d'accorder une confiance sans réserve à ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date du 9 mai 2013 et, par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 9 mai 2013. L'incidence financière de ces transactions, de ces éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives sont présentées dans le but d'aider les investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats financiers prévus pour 2013, ainsi que nos objectifs, nos priorités stratégiques et notre perspective commerciale pour 2013, et à mieux comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché et aux activités opérationnelles et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations prospectives pour 2013 contenues dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché canadiens
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles concernant les Services sur fil de Bell (excluant Bell Aliant)
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles concernant les Services sans fil de Bell (excluant Bell Aliant)
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles concernant Bell Média
Hypothèses financières concernant Bell (excluant Bell Aliant)
Hypothèses financières concernant BCE
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été considérées comme raisonnables par BCE le 9 mai 2013, pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient différer de façon importante de nos attentes, telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris notre orientation financière pour 2013, sont énumérés ci-dessous. La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans notre orientation financière pour 2013, dépend essentiellement du rendement de notre entreprise qui, à son tour, est assujetti à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde du fait que tous les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous encourageons les investisseurs à lire également le rapport de gestion annuel 2012 de BCE, daté du 7 mars 2013 (inclus dans le rapport annuel 2012 de BCE), ainsi que le rapport de gestion du premier trimestre 2013 de BCE, daté du 8 mai 2013, pour obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, ces documents étant déposés par BCE auprès des commissions canadiennes en valeurs mobilières (disponibles au www.sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponibles au www.sec.gov). Ces documents sont également disponibles sur le site Web de BCE au www.bce.ca.
À PROPOS DE BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et fournit un ensemble complet et novateur de services de communications à large bande à ses clients résidentiels et d'affaires, sous les marques Bell et Bell Aliant. Bell Média est la première entreprise canadienne de multimédias. Elle possède des actifs dans les secteurs de la télévision, de la radio et des médias numériques, y compris CTV, premier réseau de télévision du Canada, et les chaînes spécialisées les plus regardées au pays. Pour en savoir plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative en santé mentale de Bell, nommée « Bell Cause pour la cause », est un programme de bienfaisance et de sensibilisation d'envergure nationale, dédié à la promotion de la santé mentale au Canada par l'intermédiaire d'une campagne de lutte contre la stigmatisation marquée par la Journée Bell Cause pour la cause et du financement important fourni par Bell pour l'accès aux soins communautaires, la recherche et les initiatives au travail. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Pour obtenir de l'information sur BCE, visitez le site BCE.ca. Pour de l'information sur les produits et services de Bell, visitez le site Bell.ca. Pour de l'information sur Bell Média, visitez le site BellMedia.ca.
Bas de vignette : "« Bell poursuit sa transformation, s'appuyant sur les investissements les plus importants du secteur dans les réseaux et les services de prochaine génération » a souligné George Cope, président et chef de la direction de BCE et de Bell, lors de l'Assemblée générale annuelle des actionnaires 2013 (Groupe CNW/Bell Canada)". Lien URL de l'image : http://photos.newswire.ca/images/download/20130509_C5100_PHOTO_FR_26588.jpg
SOURCE : Bell Canada
Questions des médias :
Jean Charles Robillard
Bell, Communications
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Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
Relations avec les investisseurs, BCE
514-870-4619
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