BCE présente ses résultats du T4 et de l'ensemble de l'exercice 2012 et annonce ses perspectives financières pour 2013, notamment la majoration du dividende à 2,33 $ par année English
- Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE au T4 de 708 millions $, en hausse de 45,7 %, ou 0,91 $ par action; bénéfice net ajusté par action(1) de 0,65 $, en hausse de 4,8 %
- BAIIA(2) de Bell en hausse de 2,2 % au T4 en raison de la forte croissance de 13,8 % des Services sans fil de Bell et de la croissance de 32,3 % de Bell Média
- Ajouts nets de 143 834 abonnés des Services sans fil postpayés au T4, en hausse de 9 %; croissance du BAIIA des Services sans fil de 13,8 % découlant de la hausse de 4,1 % du PMU pour les services sans fil et du contrôle rigoureux des coûts
- Ajouts nets de 48 234 abonnés du service Bell Télé Fibe au T4, la zone de couverture de notre service s'étendant à 3,3 millions de foyers; amélioration d'un exercice à l'autre de 3 % au chapitre des pertes d'abonnés résidentiels des services d'accès local au réseau
- Atteinte de tous les objectifs de l'orientation financière pour 2012 - la croissance du BAIIA de 4,4 % dépasse l'objectif pour l'ensemble de l'exercice grâce aux contributions importantes des Services sans fil de Bell et de Bell Média
- Solide croissance de 7 % des flux de trésorerie disponibles(3) en 2012, lesquels s'établissent à 2 420 millions $, avant une cotisation volontaire de 750 millions $ au régime de retraite
- Perspectives pour 2013 s'appuyant sur l'élan positif des activités opérationnelles et la concentration des efforts sur la réalisation des impératifs stratégiques de Bell, en appui à la croissance du dividende et à l'accélération du programme d'investissement
MONTRÉAL, le 7 févr. 2013 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX, NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications du Canada, a présenté aujourd'hui les résultats de BCE et de Bell pour le quatrième trimestre (T4) de 2012 et a annoncé son orientation financière pour 2013 ainsi qu'une augmentation de 0,06 $ par action de son dividende annuel sur les actions ordinaires, qui passe à 2,33 $.
La majoration du dividende annoncée aujourd'hui représente la neuvième augmentation du dividende annuel sur les actions ordinaires de BCE, soit une augmentation globale de 60 %, depuis le quatrième trimestre de 2008. Le dividende annuel sur les actions ordinaires de BCE passera de 2,27 $ à 2,33 $ par action; cette augmentation s'appliquera au dividende du T1 2013 de BCE, à payer le 15 avril 2013 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 15 mars 2013. S'ajoutant à la précédente majoration de 0,10 $ par action annoncée le 8 août 2012, l'augmentation du dividende annuel sur les actions ordinaires de BCE pour 2013 s'établit à 16 cents, ou 7,4 %, d'un exercice à l'autre. L'augmentation du dividende pour 2013 est soutenue par les flux de trésorerie disponibles substantiels et par nos perspectives commerciales positives pour 2013.
FAITS SAILLANTS FINANCIERS
BCE a présenté au T4 2012 un bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de 708 millions $, ou 0,91 $ par action, soit une augmentation de 45,7 % contre 486 millions $, ou 0,62 $ par action, au T4 2011. Le bénéfice net ajusté attribuable aux actionnaires ordinaires s'est établi à 506 millions $, une hausse de 4,5 % par rapport au T4 2011, tandis que le bénéfice par action (BPA) ajusté a augmenté de 4,8 % pour s'établir à 0,65 $ contre 0,62 $ au T4 2011. L'augmentation d'un exercice à l'autre du BPA ajusté est principalement attribuable à la hausse du BAIIA, qui a dépassé le plan ce trimestre.
Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles de BCE se sont établis à 863 millions $ au T4, en hausse de 3,0 % comparativement à 838 millions $ à l'exercice précédent, du fait de l'augmentation du bénéfice net. Les flux de trésorerie disponibles ce trimestre, avant une cotisation volontaire de 750 millions $ au régime de retraite, se sont établis à 605 millions $, en hausse de 7,3 % contre 564 millions $ au T4 2011, le BAIIA ayant augmenté d'un exercice à l'autre.
(en millions $, sauf les montants par action) (non audité) | T4 2012 | T4 2011 | % de variation |
2012 | 2011 | % de variation |
Bell (i) | ||||||
Produits opérationnels | 4 577 | 4 576 | - | 17 642 | 17 133 | 3,0 % |
BAIIA | 1 582 | 1 548 | 2,2 % | 6 591 | 6 312 | 4,4 % |
BCE | ||||||
Produits opérationnels | 5 161 | 5 166 | (0,1) % | 19 975 | 19 497 | 2,5 % |
BAIIA | 1 896 | 1 869 | 1,4 % | 7 883 | 7 629 | 3,3 % |
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires | 708 | 486 | 45,7 % | 2 624 | 2 221 | 18,1 % |
BPA | 0,91 | 0,62 | 46,8 % | 3,39 | 2,88 | 17,7 % |
BPA ajusté | 0,65 | 0,62 | 4,8 % | 3,18 | 3,13 | 1,6 % |
Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles | 863 | 838 | 3,0 % | 5 552 | 4 869 | 14,0 % |
Flux de trésorerie disponibles (ii) | 605 | 564 | 7,3 % | 2 420 | 2 261 | 7,0 % |
(i) | Bell comprend les secteurs Services sans fil de Bell, Services sur fil de Bell et Bell Média. |
(ii) | Exclusion faite d'une cotisation volontaire de 750 millions $ au régime de retraite pour 2012 et 2011. |
Les produits opérationnels de Bell se sont établis à 4 577 millions $ au T4 2012, comparativement à 4 576 millions $ au T4 2011, du fait que l'augmentation d'un exercice à l'autre des produits des activités ordinaires découlant de la contribution constamment plus élevée des services de croissance de Bell, notamment les Services sans fil, de télé, Internet et de médias, a été contrebalancée par la baisse continue au chapitre des services voix et données traditionnels des Services sur fil de Bell.
Le BAIIA de Bell s'est élevé à 1 582 millions $ au T4, en hausse de 2,2 %, ce qui reflète la forte croissance à deux chiffres du BAIIA, de 13,8 % pour les Services sans fil de Bell et de 32,3 % pour Bell Média. La baisse de 6,6 % du BAIIA des Services sur fil de Bell ce trimestre a été atténuée par la diminution de 35 millions $ d'un exercice à l'autre des coûts opérationnels liés aux Services sur fil, ce qui a contribué à la hausse de 0,8 point de pourcentage de la marge consolidée du BAIIA de Bell, qui s'est établie à 34,6 %. Pour l'ensemble de l'exercice 2012, les produits opérationnels et le BAIIA de Bell ont augmenté de 3,0 % et de 4,4 %, respectivement, s'établissant à 17 642 millions $ et à 6 591 millions $. Pour 2011, les produits opérationnels et le BAIIA de Bell reflètent la comptabilisation sur neuf mois des produits des activités ordinaires et du BAIIA de Bell Média, Bell ayant réalisé l'acquisition de CTV et constitué Bell Média le 1er avril 2011.
Bell a consacré 779 millions $ en nouveau capital ce trimestre, ce qui porte les dépenses d'investissement totales à 2 923 millions $ en 2012, en hausse de 8,9 % par rapport à l'exercice précédent. Ces investissements soutiennent la poursuite du déploiement de la fibre à large bande dans des domiciles, des quartiers et des entreprises au Québec et en Ontario et l'élargissement de la zone de couverture de notre service Télé Fibe, l'amélioration des systèmes de service à la clientèle, la poursuite du lancement du réseau mobile 4G LTE dans des marchés partout au Canada ainsi que l'ajout de nouveaux magasins Bell et La Source dans l'ensemble du Canada.
« Les résultats de Bell au T4 couronnent un exercice qui s'illustre par une solide performance opérationnelle, surtout attribuable aux Services sans fil de Bell, à Bell Média et au succès grandissant du service Bell Télé Fibe, exercice au cours duquel nous avons continué d'étendre la zone de couverture du service Fibe à Montréal et à Toronto et lancé le plus vaste déploiement au pays d'un réseau de fibre jusqu'au domicile dans la ville de Québec, a souligné George Cope, président et chef de la direction de Bell et de BCE Inc. L'investissement de Bell dans ce qui se fait de mieux en matière de réseaux à large bande, de produits et de contenu au Canada se traduit par l'offre de nouveaux choix aux consommateurs et l'accroissement de la concurrence dans les services de télé, les services sans fil et de médias. Bell se retrouve ainsi en excellente position sur le marché, propulsée par l'expansion rapide du service Télé Fibe, la forte croissance des téléphones intelligents ainsi que l'esprit d'innovation et les investissements sans précédent de Bell Média dans le contenu canadien de nouvelles, de sports et de divertissement. »
« Les services de croissance ─ Fibe, le réseau 4G LTE et les services d'affaires de prochaine génération, comme l'informatique en nuage ─ ne cessent d'accroître leur prépondérance au sein de nos diverses activités opérationnelles. De plus, l'équipe de Bell réalise d'importantes améliorations dans le service à la clientèle tout en réduisant les coûts opérationnels. Les résultats substantiels au chapitre du BAIIA, des flux de trésorerie et du bénéfice net que nous avons réalisés en nous concentrant sur la réalisation de notre stratégie nous permettent de continuer à respecter notre engagement de procurer du rendement à nos actionnaires », a ajouté M. Cope.
Bell concentre ses efforts sur un objectif clair, celui d'être reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de communications du Canada, qu'elle compte atteindre grâce à l'exécution de six impératifs stratégiques : investir dans les réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans les médias, améliorer le service à la clientèle et établir une structure de coûts concurrentielle.
« Notre exercice 2012 s'est avéré très satisfaisant; nous avons dépassé les objectifs de notre orientation financière pour l'ensemble de l'exercice en ce qui a trait au BAIIA, ce qui a permis d'enregistrer un bénéfice substantiel et une solide croissance des flux de trésorerie disponibles », a affirmé Siim Vanaselja, chef des affaires financières de Bell et de BCE. Bell entame 2013 sur une bonne lancée opérationnelle, et ses bases financières sont solides. Nos objectifs financiers pour 2013 reposent sur le maintien de la forte progression des activités de croissance de Bell et sur l'amélioration de la performance dans les services sur fil. Dans ce contexte, nous nous attendons à réaliser une solide croissance du bénéfice sous-jacent et une augmentation des flux de trésorerie disponibles de 5 % ou plus, d'un exercice à l'autre. Nos liquidités et notre profil de crédit favorable justifient amplement l'accélération prévue de notre programme d'investissement dans les plateformes des réseaux sur fil et sans fil à large bande et la majoration du dividende en 2013. »
RÉSULTATS OPÉRATIONNELS DE BELL PAR SECTEUR
Services sans fil de Bell
Les produits opérationnels des Services sans fil de Bell ont augmenté de 6,8 % pour s'établir à 1 458 millions $ au T4 2012. Les produits tirés des services ont progressé de 7,4 %, totalisant 1 312 millions $ grâce à la solide croissance du nombre d'abonnés des services postpayés et à l'augmentation du PMU combiné, du fait de la croissance des produits tirés des services de données mobiles de 28 % ce trimestre. Malgré le prix moyen des combinés généralement plus bas en raison de la concurrence exercée sur les prix pendant la période des fêtes, les produits opérationnels tirés des produits ont augmenté de 2,3 % pour s'établir à 132 millions $, ce qui reflète les ventes accrues de téléphones intelligents plus chers. Le BAIIA des Services sans fil de Bell a augmenté de 13,8 % pour s'établir à 479 millions $ ce trimestre, ce qui s'est traduit par une augmentation de 2 points de pourcentage de la marge du BAIIA liée aux services, qui s'élève à 36,5 %. Ce résultat a été réalisé malgré l'augmentation de 26 millions $ d'un exercice à l'autre des coûts d'acquisition d'abonnés et des dépenses à l'égard de la fidélisation de la clientèle, ce qui a contribué à la croissance des coûts opérationnels de 3,7 % ce trimestre.
Pour l'ensemble de l'exercice, les produits opérationnels des Services sans fil de Bell ont augmenté de 6,5 % pour s'établir à 5 573 millions $, les produits tirés des services progressant de 6,5 % pour s'établir à 5 081 millions $ et les produits opérationnels tirés des produits progressant de 3,8 % pour s'établir à 438 millions $. Le BAIIA a augmenté de 15,7 % pour atteindre 2 110 millions $ dans la foulée de la hausse de la marge liée aux services de 3,3 points de pourcentage, s'établissant à 41,5 %, ce qui reflète la portée concrète des produits substantiels tirés des services découlant des gains importants au chapitre des abonnés des services postpayés tout au long de l'exercice ainsi que le contrôle efficace exercé sur les coûts opérationnels, qui ont augmenté de 1,6 %, au total, par rapport à l'exercice précédent.
- Au T4, les ajouts nets d'abonnés des services postpayés se sont élevés à 143 834 ce trimestre, en hausse de 9,0 % comparativement à 131 986 à l'exercice précédent. Les utilisateurs de téléphones intelligents représentaient 64 % du total des abonnés des services postpayés à la fin de 2012, comparativement à 48 % il y a un an.
- Au T4, les activations brutes de services postpayés se sont établies à 394 706, en hausse de 1,4 % comparativement à 389 317 à l'exercice précédent, dans la foulée des ventes importantes d'appareils iPhone d'Apple et d'appareils de pointe Android pendant la période des fêtes. Les activations dans l'Ouest canadien ont continué de progresser, Bell ayant ajouté des points de distribution.
- Au T4, les pertes nettes d'abonnés des services prépayés ont diminué pour s'établir à 38 829, contre 74 100 à l'exercice précédent. Les activations brutes de services prépayés ont diminué de 17,6 % pour s'établir à 101 024, du fait que Bell continue de miser sur l'acquisition d'abonnés des services postpayés et à cause des offres accrocheuses des concurrents pour recruter des abonnés générant un PMU moindre.
- Compte tenu des ajouts d'abonnés des services postpayés de 143 834 et des pertes d'abonnés des services prépayés de 38 829, la clientèle des Services sans fil de Bell a atteint 7 681 032 à la fin du trimestre, une augmentation de 3,4 % par rapport à l'exercice précédent.
- Le taux de désabonnement des services postpayés a connu une amélioration en s'établissant à 1,3 %, comparativement à 1,5 % au T4 2011, ce qui reflète les retombées bénéfiques de nos investissements dans le service à la clientèle et la fidélisation des abonnés. Le taux de désabonnement des services prépayés a diminué, s'établissant à 3,5 % ce trimestre, comparativement à 4,2 % au T4 2011, du fait que les désactivations d'abonnés ont diminué d'un exercice à l'autre.
- Le PMU combiné a augmenté de 4,1 % ce trimestre pour s'établir à 56,72 $, ce qui s'explique principalement par le nombre accru d'abonnés des services postpayés au sein de notre clientèle, par l'accroissement de notre part du segment de marché des services postpayés de l'Ouest canadien, générant un PMU plus élevé, et par l'augmentation de la clientèle d'abonnés des téléphones intelligents utilisant les services de transmission de données mobiles. De même, pour l'ensemble de l'exercice 2012, le PMU combiné a augmenté de 4,2 % pour s'établir à 55,82 $.
- Le coût d'acquisition a augmenté de 6,7 % ce trimestre pour s'établir à 480 $ par activation brute, ce qui reflète le nombre accru d'activations de téléphones intelligents et l'augmentation des subventions au titre des combinés, dans le contexte de la plus grande disponibilité du iPhone 5 d'Apple et de la concurrence exercée sur les prix pendant la période des fêtes.
- Les dépenses relatives à la fidélisation de la clientèle ce trimestre ont augmenté, passant à 12 % des produits tirés des services sans fil, en hausse contre 11,4 % au T4 2011, car nous avons égalé les offres accrocheuses sur les combinés lancées par les concurrents.
- Bell continue d'offrir à ses clients l'accès au plus important réseau 4G LTE du Canada, ayant étendu de plus de 22 % la couverture de la population et ajouté 25 nouveaux marchés au T4, ce qui donne ainsi un accès à environ 4 millions de Canadiens de plus. Le réseau 4G LTE de Bell est dorénavant accessible à plus de 67 % des Canadiens, complémentant le réseau 4G HSPA+ et le réseau 4G HSPA+ DC (à deux canaux) amélioré de Bell, qui couvrent d'un océan à l'autre plus de 97 % et plus de 83 % de la population canadienne, respectivement.
Services sur fil de Bell
Le rythme d'érosion des produits tirés des services sur fil au T4 2012 a ralenti par rapport au trimestre précédent du fait de l'augmentation des produits tirés des services de télé découlant de la croissance rapide du nombre d'abonnés de Télé Fibe et de l'amélioration au chapitre des produits tirés des services locaux et d'accès, les pertes d'abonnés résidentiels des SAR ayant continué de diminuer d'un exercice à l'autre. Les produits opérationnels des Services sur fil de Bell ont diminué de 3,7 % pour s'établir à 2 608 millions $ ce trimestre, les pressions de la concurrence et du phénomène de substitution en faveur du sans-fil continuant de se faire sentir sur les services voix traditionnels. La réduction des dépenses des clients d'affaires pour des produits de données sur fil et des services de technologies de l'information et des télécommunications (TIC), reflétant la faible croissance de l'économie, ainsi que la révision des prix des services de connectivité ont également contribué à la baisse d'un exercice à l'autre des produits tirés des Services sur fil de Bell ce trimestre.
Bien que le BAIIA des Services sur fil de Bell ait diminué de 6,6 % ce trimestre pour se situer à 931 millions $, les marges concordent avec les attentes, à 35,7 %, ce qui reflète la réduction de 35 millions $, ou 2,0 %, des coûts opérationnels par rapport à l'exercice précédent grâce au maintien d'un contrôle sur les dépenses et aux gains de productivité réalisés dans nos centres d'appels et nos services extérieurs. Pour l'ensemble de l'exercice 2012, les produits opérationnels des services sur fil ont diminué de 3,8 % pour s'établir à 10 220 millions $, tandis que le BAIIA des services sur fil perdait 5,7 % pour se situer à 3 920 millions $. La marge du BAIIA liée aux Services sur fil est demeurée relativement stable, à 38,4 %, en baisse de 0,7 point de pourcentage d'un exercice à l'autre, en raison de l'amélioration de 166 millions $, ou 2,6 %, au chapitre des coûts opérationnels, qui a de fait compensé les charges relatives à la croissance de Télé Fibe et les résultats moins favorables dans les marchés d'affaires.
- Bell Télé Fibe a ajouté 48 234 nouveaux abonnés nets, comparativement à 27 967 abonnés au quatrième trimestre de 2011. La couverture du service Bell Télé Fibe s'est élargie pour servir 500 000 foyers de plus au T4, totalisant 3,3 millions de foyers à la fin de 2012. Les ajouts nets d'abonnés des services de télé par satellite ont baissé au cours du trimestre, d'un exercice à l'autre, ce qui reflète les offres accrocheuses en vue de la conversion lancées par nos concurrents dans la câblodistribution, le lancement de la télé IP par des fournisseurs de services concurrents et la migration de clients de Bell à Télé Fibe. Par conséquent, les ajouts nets d'abonnés des services de télé ont totalisé 19 218, contre 27 702 au T4 2011.
- Le nombre d'abonnés de Bell Télé totalisait 2 155 983 à la fin du T4, ce qui représente une augmentation de 2,5 % d'un exercice à l'autre.
- Bell a ajouté 7 143 nouveaux abonnés nets du service Internet haute vitesse au T4, comparativement à 1 091 abonnés au T4 2011. Cette augmentation reflète l'effet d'implantation ascendante des forfaits incluant le service Télé Fibe, les offres promotionnelles enrichies et l'expansion continue du réseau de fibre à large bande, tous ces éléments ayant contribué à la diminution du taux de désabonnement des clients résidentiels et d'affaires d'un exercice à l'autre. Bell comptait 2 115 243 abonnés d'Internet haute vitesse à la fin de 2012, soit une hausse de 0,1 % d'un exercice à l'autre.
- Les produits tirés des services de données sur fil se sont établis à 1 448 millions $ ce trimestre, comparativement à 1 450 millions $ au T4 2011, l'augmentation des produits tirés des services de télévision, qui découle de la forte croissance du nombre d'abonnés du service Télé Fibe, ayant été contrebalancée par la diminution des ventes de produits de données et de services de TIC.
- Les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels au T4 2012 ont diminué pour s'établir à 87 029, soit une amélioration de 3,0 % par rapport à l'exercice précédent, Bell continuant de réduire le mouvement des abonnés à la faveur de l'expansion des zones où est offert le service Télé Fibe. La substitution par le sans-fil, en progression régulière constante, a eu un effet modérateur sur la diminution globale au chapitre des SAR résidentiels. Les pertes d'abonnés d'affaires ont augmenté pour s'établir à 36 641, contre 13 947 au T4 2011, reflétant l'augmentation du nombre de désactivations d'abonnés dans la clientèle de gros et la stagnation au chapitre du développement des affaires.
- Les produits tirés des services locaux et d'accès ont diminué de 7,6 % pour s'établir à 635 millions $. La clientèle totale des SAR à la fin du trimestre était de 5 644 939, ce qui représente une diminution de 7,5 % d'un exercice à l'autre, imputable à l'intensification de la concurrence et à une réduction des lignes d'accès et des circuits numériques, les clients continuant de se tourner vers les technologies sans fil et IP.
- Les produits tirés des services interurbains ont diminué de 12,8 %, s'établissant à 191 millions $. La diminution d'un exercice à l'autre reflète la baisse des minutes de conversation par les abonnés résidentiels et d'affaires, en raison des pertes d'abonnés des SAR et du phénomène de substitution technologique, des pressions continues sur les prix et des ventes moindres de minutes de conversations interurbaines globales.
- Les produits tirés des équipements et autres ont diminué de 6,3 % pour s'établir à 255 millions $, en raison principalement du recul d'un exercice à l'autre des ventes d'équipements de télécommunications filaires traditionnels et des offres promotionnelles sur les boîtiers décodeurs des services de télé.
Bell Média
Les produits opérationnels de Bell Média se sont établis à 591 millions $ au T4 2012, en hausse de 2,2 % par rapport à l'exercice précédent. Cette augmentation découle de l'augmentation des produits tirés des frais d'abonnement, qui ont progressé d'environ 7 % d'un exercice à l'autre, en raison des tarifs, établis en fonction du marché, imposés aux distributeurs de radiodiffusion dans le cadre d'ententes renégociées pour certains services de télévision spécialisée de Bell Média. Les produits tirés de la publicité ont diminué légèrement par rapport à l'exercice précédent, en baisse d'environ 1 %, l'incidence du lockout dans la LNH sur les propriétés de Bell Média spécialisées dans les sports ayant été en grande partie compensée par le raffermissement de la demande publicitaire et la réorientation de la demande vers ses chaînes de télévision traditionnelle et de télévision spécialisée dans des domaines autres que les sports.
Le BAIIA de Bell Média a augmenté de 32,3 % au T4 2012 pour s'établir à 172 millions $, ce qui reflète la progression des produits tirés des frais d'abonnement et la baisse de 6,5 % des coûts opérationnels principalement attribuable à la diminution des coûts relatifs au contenu et à la production en raison du lockout dans la LNH. Pour l'ensemble de l'exercice 2012, les produits opérationnels et le BAIIA ont augmenté de 41,6 % et de 68,0 %, respectivement, pour s'établir à 2 183 millions $ et à 561 millions $.
- CTV a terminé la saison d'automne avec 13 des 20 émissions les plus écoutées, soit deux de plus qu'à la période correspondante de l'exercice précédent, et avec 19 % de téléspectateurs à l'heure de grande écoute de plus que les deux autres réseaux privés prédominants au Canada mis ensemble.
- TSN et RDS ont attiré 5,8 millions de téléspectateurs pour la Coupe Grey, en hausse de 27 % par rapport à l'exercice précédent, avec un auditoire moyen de 6,4 millions de téléspectateurs pour le spectacle de la mi-temps.
- RDS a annoncé un nouveau docu-réalité multiplateforme, 24CH, offrant aux partisans des Canadiens de Montréal un accès sans précédent à leur équipe à la télévision, sur Internet, via supertéléphones et tablettes, juste à temps pour le premier match de la saison.
- Les services de CTV spécialisés dans des domaines autres que les sports ont vu leurs cotes d'écoute continuer d'afficher une forte croissance, avec 8 des 20 émissions de télévision les plus regardées ainsi qu'avec les 5 séries d'automne les plus regardées, notamment une croissance à deux chiffres pour The Comedy Network et Bravo!
- Bell Média Radio a lancé sa nouvelle plateforme Web. Actuellement, 13 stations en font partie, notamment CHUMFM.com de Toronto, le plus important site Web radiophonique.
- On a recensé 200 000 téléchargements de l'application de la chaîne Discovery. Les campagnes menées sur les médias sociaux dans le cadre de la semaine des gadgets de haute technologie (High Tech Toys Week) et les émissions spéciales sur la fin du monde ont augmenté de 50 % les mentions « J'aime » sur la page Facebook de l'émission Daily Planet, tandis que le nombre de messages rediffusés sur Twitter a été multiplié par neuf.
- Bell Média a modifié l'image de marque de son portail Sympatico dans le Canada anglais, le rebaptisant TheLoop.ca, une destination nouvelle qui enrichit et renforce le contenu le plus populaire diffusé sur Sympatico, avec plus de vidéos originales présentées par des personnalités bien en vue de Bell Média.
- Le Cirque du Soleil et Bell Média ont annoncé la conclusion de la transaction visant à créer Cirque du Soleil Média, une nouvelle coentreprise en vue de développer du contenu média québécois destiné aux plateformes de télévision, de cinéma, de jeu et autres plateformes numériques.
Bell Aliant
Les produits des activités ordinaires de Bell Aliant ont diminué de 1,0 % pour s'établir à 694 millions $ au T4 2012, en raison de la baisse des produits tirés des services locaux et d'accès et des services interurbains, en partie compensée par l'augmentation des produits tirés des services de données et sans fil. Le BAIIA de Bell Aliant a diminué de 2,2 % pour s'établir à 314 millions $ ce trimestre, du fait du recul des produits des activités ordinaires, les coûts opérationnels étant demeurés inchangés d'un exercice à l'autre. De même, pour l'ensemble de l'exercice 2012, les produits des activités ordinaires et le BAIIA de Bell Aliant ont diminué de 0,5 % et de 1,9 %, respectivement, pour s'établir à 2 761 millions $ et à 1 292 millions $.
RÉSULTATS DE BCE
Les produits opérationnels de BCE se sont établis à 5 161 millions $ au T4 2012, comparativement à 5 166 millions $ au T4 2011, ce qui reflète la stabilité des produits des activités ordinaires de Bell d'un exercice à l'autre et la diminution des produits des activités ordinaires de Bell Aliant. Pour l'ensemble de l'exercice 2012, les produits des activités ordinaires ont augmenté de 2,5 % pour s'établir à 19 975 millions $, du fait de la progression des produits des activités ordinaires de Bell reflétant les contributions importantes des Services sans fil de Bell et de Bell Média.
Le BAIIA de BCE a progressé de 1,4 % pour s'établir à 1 896 millions $ au T4 2012 et de 3,3 % pour s'établir à 7 883 millions $ pour l'ensemble de l'exercice, par suite de la croissance de 4,4 % du BAIIA de Bell, atténuée toutefois par une diminution d'un exercice à l'autre chez Bell Aliant.
Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles de BCE se sont établis à 863 millions $ au T4, en hausse de 3,0 % comparativement à 838 millions $ à l'exercice précédent, ce qui est attribuable à l'augmentation du bénéfice net. Les flux de trésorerie disponibles ce trimestre, avant et après une cotisation volontaire de 750 millions $ au régime de retraite, s'élevaient à 605 millions $ et à un montant négatif de 145 millions $, respectivement, comparativement à 564 millions $ et à un montant négatif de 186 millions $, respectivement, à l'exercice précédent. L'amélioration d'un exercice à l'autre est principalement attribuable à la progression du BAIIA. Pour l'ensemble de l'exercice 2012, les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles de BCE ont augmenté de 14,0 % pour s'établir à 5 552 millions $. Les flux de trésorerie disponibles, avant et après une cotisation volontaire au régime de retraite, s'élevaient à 2 420 millions $ et à 1 670 millions $, comparativement à 2 261 millions $ et à 1 511 millions $ en 2011, respectivement.
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE s'est établi à 708 millions $, ou 0,91 $ par action, au T4 comparativement à 486 millions $, ou 0,62 $ par action, au trimestre correspondant de l'exercice précédent. L'augmentation du bénéfice d'un exercice à l'autre est principalement attribuable à la progression du BAIIA et au profit sans effet de trésorerie de 248 millions $ lié à notre investissement dans Inukshuk. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires pour l'ensemble de l'exercice s'est établi à 2 624 millions $, ou 3,39 $ par action, comparativement à 2 221 millions $, ou 2,88 $ par action, en 2011.
Le BPA ajusté de BCE s'est établi à 0,65 $ par action ordinaire ce trimestre, comparativement à 0,62 $ par action à l'exercice précédent. Cette augmentation de 4,8 % est attribuable à la hausse du BAIIA. Pour l'ensemble de l'exercice 2012, le BPA ajusté de BCE s'est établi à 3,18 $ par action, soit 0,05 $ de plus qu'en 2011.
MISE À JOUR SUR ASTRAL
Le 19 novembre 2012, à la suite du rejet par le CRTC de leur demande initiale, Bell et Astral ont modifié les modalités de la transaction proposée et soumis une nouvelle demande au CRTC pour approbation de l'acquisition d'Astral proposée par Bell. La nouvelle proposition tente de répondre aux préoccupations du CRTC, ce qui comprend la conformité aux seuils d'auditoire pertinents et la révision du bloc d'avantages tangibles pour soutenir la création d'un contenu télévisuel et de radio canadien exceptionnel, promouvoir le talent local dans un univers multiplateforme et favoriser l'engagement des consommateurs dans le système de radiodiffusion. En raison des modifications apportées aux modalités de l'entente d'arrangement initiale entre Astral et Bell, la date limite pour la clôture de la transaction a été reportée au 1er juin 2013, Astral et Bell ayant chacune le droit de la repousser encore jusqu'au 31 juillet 2013, si cela est nécessaire, pour obtenir les approbations réglementaires requises. Les détails de la nouvelle proposition soumise par Astral et Bell seront diffusés par le CRTC dans le cadre de sa consultation publique sur cette demande. La transaction doit être approuvée par le CRTC et par le Bureau de la concurrence et est assujettie au respect d'autres conditions de clôture et droits de résiliation. Une indemnité de rupture de 150 millions $ est payable par BCE à Astral si la transaction devait ne pas se conclure avant la date limite pour des raisons réglementaires. Le 1er février 2013, Astral a payé un dividende en espèces de 0,50 $ par action sur ses actions sans droit de vote de catégorie A et sur ses actions subalternes à droit de vote de catégorie B. Pour en savoir plus sur Astral et Bell, visitez le site vousmeritezplus.ca.
LA JOURNÉE BELL CAUSE POUR LA CAUSE EST LE 12 FÉVRIER
La campagne Bell Cause pour la cause 2013 en appui à la santé mentale au Canada met l'accent sur l'impact de la maladie mentale sur nos milieux de travail et notre économie. Dans le cadre de cette troisième campagne annuelle Bell Cause pour la cause, le 12 février, la porte-parole nationale, Clara Hughes, invitera de nouveau les Canadiens à se joindre à la conversation sur la maladie mentale pour aider à mettre fin à la stigmatisation. Le 12 février, pour chaque message texte envoyé et chaque appel interurbain effectué par des clients de Bell et de Bell Aliant, et pour chaque tweet utilisant le mot-clic #BellCause et chaque partage sur Facebook de notre image Bell Cause pour la cause, Bell versera 5 ¢ de plus à des initiatives canadiennes consacrées à la santé mentale.
Bell a également annoncé son appui à la nouvelle norme nationale Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail, établie par le Groupe CSA et le Bureau de normalisation du Québec, en collaboration avec la Commission de la santé mentale du Canada. Bell, le Centre pour la santé mentale en milieu de travail de la Great-West ainsi que le gouvernement fédéral ont participé au financement de cette norme volontaire. Première au monde en son genre, la norme propose des moyens aux entreprises et à d'autres organisations canadiennes pour promouvoir la santé mentale et s'attaquer aux problèmes de maladie mentale en milieu de travail. Avec 500 000 Canadiens qui, chaque jour, s'absentent du travail pour cause de maladie mentale, l'impact de cette perte de contribution à l'activité économique a été évalué à 20,7 milliards $, rien qu'en 2012.
BELL CLASSÉE PARMI LES MEILLEURS EMPLOYEURS À MONTRÉAL
Bell est fière d'avoir été désignée comme l'un des meilleurs employeurs à Montréal en 2013 dans le cadre du classement annuel établi par Mediacorp Canada. Bell, une entreprise située à Montréal depuis sa création en 1880, a été reconnue pour ses investissements considérables dans la formation et le développement professionnel, ses programmes de soutien aux parents innovateurs, la grande diversité des possibilités de carrière qu'elle offre et son régime d'achat d'actions qui permet à tous les membres de l'équipe de profiter du succès de l'entreprise. Comptant plus de 17 000 employés et plus de 13 000 retraités et constituant la plus grande entreprise de communications du Québec, Bell apporte une contribution majeure à la prospérité de la province sur les plans technologique, économique et social.
PERSPECTIVES POUR 2013
Notre orientation financière pour 2013 s'appuie sur l'élan positif des activités opérationnelles que nous avons générée en 2012, reflétant les progrès substantiels et continus dans la réalisation des impératifs stratégiques de Bell et la transformation en cours de la composition de nos activités, de moins en moins orientée vers les services voix filaires traditionnels.
Les objectifs de l'orientation financière pour la croissance des produits des activités ordinaires, la croissance du BAIIA, le BPA ajusté, la croissance des flux de trésorerie disponibles et l'intensité du capital en 2013 ne reflètent pas l'incidence financière découlant de l'acquisition proposée d'Astral. Nous prévoyons mettre à jour notre orientation financière pour 2013 au moment de la conclusion de l'acquisition d'Astral, qui devrait survenir au deuxième trimestre de 2013.
Résultats de BCE en 2012 et objectifs de l'orientation financière pour 2013 :
Résultats de 2012 |
Orientation pour 2013 |
||
Bell (i) | |||
Croissance des produits des activités ordinaires | 3,0 % | 0 % à 2 % | |
Croissance du BAIIA | 4,4 % | 1 % à 3 % | |
Intensité du capital | 16,6 % | 16 % à 17 % | |
BCE | |||
BPA ajusté (ii) | |||
- Présenté | 3,18 $ | s.o. | |
- Retraité pour tenir compte de la nouvelle norme de comptabilisation des régimes de retraite | 2,96 $ | 2,97 $ à 3,03 $ | |
Croissance des flux de trésorerie disponibles (iii) | 7,0 % | 5 % à 9 % | |
Dividende annuel par action ordinaire | 2,27 $ | 2,33 $ | |
Politique de distribution du dividende | 65 % à 75 % des flux de trésorerie disponibles |
65 % à 75 % des flux de trésorerie disponibles |
(i) | L'orientation financière de Bell pour 2013 concernant les produits des activités ordinaires, le BAIIA et l'intensité du capital exclut Bell Aliant. |
(ii) | En 2013, nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les (profits nets) pertes nettes sur placements et les coûts liés au remboursement anticipé de titres d'emprunt. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE Inc. |
(iii) | En 2013, nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des coûts liés aux acquisitions payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, plus les dividendes/distributions reçu(e)s de Bell Aliant, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes/distributions payé(e)s par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. |
Nos informations financières en 2013 refléteront l'introduction de la nouvelle norme de comptabilisation de la charge au titre des régimes de retraite à prestations définies, aux termes de laquelle le taux de rendement attendu des actifs des régimes de retraite sera réduit pour correspondre au taux d'actualisation utilisé pour l'évaluation de l'obligation au titre des prestations de retraite. L'incidence hors trésorerie sur le BPA ajusté de 2012, qui sera retraité par suite de l'application de cette nouvelle norme de comptabilisation au titre des régimes de retraite, s'établit à 0,22 $ par action, ce qui correspond à une diminution du BPA ajusté présenté, qui passe de 3,18 $ par action à 2,96 $ par action. En 2013, le BPA ajusté subira l'incidence défavorable additionnelle, de 0,06 $ par action, d'un taux d'actualisation moindre à la fin de 2012 par rapport à la fin de l'exercice précédent. En outre, en raison de l'incidence hors trésorerie considérable sur le BPA ajusté, BCE présentera en 2013 son ratio de distribution sur la base des flux de trésorerie disponibles, ce qui correspond mieux au paiement de dividendes en espèces.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de 0,5825 $ par action ordinaire, payable le 15 avril 2013 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 15 mars 2013.
WEBDIFFUSION
La Conférence - Investisseurs 2013, qui a lieu aujourd'hui au Royal York Hotel à Toronto, fera l'objet d'une webdiffusion en direct aujourd'hui, le 7 février 2013 à 8 h 30 (heure de l'Est), sur le site Web de BCE à l'adresse : http://www.bce.ca/investisseurs/evenements-et-presentations/tous/show/bce-2013-analyst-conference. Une reprise de la webdiffusion sera également disponible sur le site Web de BCE plus tard au cours de la journée.
NOTES
L'information contenue dans le présent communiqué est non auditée.
(1) | Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. En 2012, nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres et les (profits nets) pertes nettes sur placements. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE Inc. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté, entre autres mesures, pour évaluer la performance de nos activités, avant l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, et des (profits nets) pertes nettes sur placements, déduction faite de l'impôt et de la participation ne donnant pas le contrôle. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Les mesures financières selon les IFRS les plus comparables sont le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et le bénéfice par action. Le tableau ci-après présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du bénéfice par action avec le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE Inc. (BPA ajusté), respectivement. |
(en millions de dollars, sauf les montants par action)
T4 2012 | T4 2011 | 2012 | 2011 | |||||
Total | Par action | Total | Par action | Total | Par action | Total | Par action | |
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires | 708 | 0,91 | 486 | 0,62 | 2 624 | 3,39 | 2 221 | 2,88 |
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres | 46 | 0,06 | (2) | - | 94 | 0,12 | 282 | 0,37 |
Profits nets sur placements | (248) | (0,32) | - | - | (256) | (0,33) | (89) | (0,12) |
Bénéfice net ajusté | 506 | 0,65 | 484 | 0,62 | 2 462 | 3,18 | 2 414 | 3,13 |
(2) | Le terme BAIIA n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons le BAIIA comme les produits opérationnels moins les coûts opérationnels, tel qu'il est présenté dans les comptes consolidés de résultat de BCE. Nous utilisons le BAIIA pour évaluer la performance de nos entreprises puisqu'il reflète leur rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent le BAIIA pour évaluer la capacité d'une société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des télécommunications. Le BAIIA est également un facteur dans la détermination de la rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière selon les IFRS directement comparable au BAIIA. Pour remédier à la situation, le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA de BCE. |
(en millions de dollars)
Aux 31 décembre | T4 2012 | T4 2011 | 2012 | 2011 | |
Bénéfice net | 809 | 573 | 3 053 | 2 574 | |
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres | 70 | (1) | 133 | 409 | |
Amortissement des immobilisations corporelles | 692 | 661 | 2 674 | 2 538 | |
Amortissement des immobilisations incorporelles | 175 | 181 | 714 | 723 | |
Charges financières | |||||
Charge d'intérêts | 223 | 218 | 865 | 853 | |
Intérêt lié aux obligations au titre des avantages du personnel | 239 | 245 | 958 | 973 | |
Rendement attendu des actifs des régimes de retraite | (267) | (260) | (1 069) | (1 032) | |
Autres produits | (242) | 5 | (270) | (129) | |
Impôt sur le résultat | 197 | 247 | 825 | 720 | |
BAIIA | 1 896 | 1 869 | 7 883 | 7 629 |
(3) | Le terme flux de trésorerie disponibles n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. En 2012, nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des coûts liés aux acquisitions payés, plus les dividendes/distributions reçu(e)s de Bell Aliant, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes/ distributions payé(e)s par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un important indicateur de la solidité financière et du rendement de nos activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles pour rembourser la dette et réinvestir dans notre société. Nous présentons les flux de trésorerie disponibles de manière cohérente d'une période à l'autre, ce qui nous permet de comparer notre performance financière de manière constante. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents. Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles sont la mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Le tableau ci-après présente un rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles et des flux de trésorerie disponibles, sur une base consolidée. |
(en millions de dollars)
T4 2012 | T4 2011 | 2012 | 2011 | |
Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles | 863 | 838 | 5 552 | 4 869 |
Dividendes/distributions de Bell Aliant à BCE | 48 | 48 | 191 | 214 |
Dépenses d'investissement | (914) | (1 008) | (3 515) | (3 256) |
Dividendes payés sur actions privilégiées | (39) | (31) | (133) | (118) |
Dividendes payés par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle | (85) | (72) | (340) | (315) |
Coûts liés aux acquisitions payés | 5 | 28 | 101 | 70 |
Flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant | (23) | 11 | (186) | 47 |
Flux de trésorerie disponibles | (145) | (186) | 1 670 | 1 511 |
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre orientation financière pour 2013 (ce qui comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA, l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), nos perspectives commerciales, nos objectifs, nos plans et nos priorités stratégiques, le dividende par action ordinaire annualisé et la politique de dividendes sur actions ordinaires pour 2013 de BCE, l'échéancier et la réalisation prévus de l'acquisition proposée par BCE d'Astral, nos plans de déploiement pour les réseaux sans fil 4G LTE, de télé IP et de fibre à large bande, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques, constituent des déclarations prospectives. Habituellement, les termes comme hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, plan, stratégie, cible et d'autres expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le futur et le conditionnel des verbes, notamment viser, s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier, chercher à et aspirer à, permettent de repérer les déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites conformément aux dispositions refuges prévues dans les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans ces déclarations prospectives. Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur contre le risque d'accorder une confiance sans réserve à ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date du 7 février 2013 et, par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 7 février 2013. L'incidence financière de ces transactions, de ces éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives sont présentées dans le but d'aider les investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats financiers prévus pour 2013, ainsi que nos objectifs, nos priorités stratégiques et notre perspective commerciale pour 2013, et à mieux comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché et aux activités opérationnelles et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations prospectives pour 2013 contenues dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché canadiens
- La croissance de l'économie canadienne de 2,0 % en 2013, comparativement à la croissance estimative de 1,9 % en 2012, selon la plus récente estimation de la Banque du Canada;
- la lenteur de la croissance des niveaux d'emploi et du nombre d'entreprises nouvellement formées, qui nuit à la demande globale provenant des clients d'affaires;
- le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel et le marché des affaires des services sur fil et des services sans fil;
- une augmentation des remplacements de services sur fil, principalement en raison de l'intensification du phénomène de substitution technologique par le sans-fil et les services Internet;
- un taux de pénétration accru du marché du sans-fil, surtout en raison de l'adoption rapide des téléphones intelligents, des tablettes et des applications de données, de l'expansion du service utilisant la technologie de l'évolution à long terme (LTE) dans la plupart des marchés urbains et suburbains, de la multiplication des appareils 4G et de l'augmentation de la population;
- un marché publicitaire stable pour Bell Média.
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles
Nos déclarations prospectives pour 2013 reposent également sur certaines hypothèses relatives aux activités opérationnelles internes concernant Bell (excluant Bell Aliant), y compris, sans s'y limiter :
- un nombre grandissant de pertes d'abonnés des services d'accès au réseau (SAR), en raison de l'intensification de la substitution technologique par le sans-fil et les services Internet;
- une diminution d'un exercice à l'autre des pertes d'abonnés résidentiels des SAR, grâce à des offres de services groupés ciblées mettant en vedette le service Bell Télé Fibe;
- la poursuite de la migration des grandes entreprises clientes vers les systèmes sur IP, l'intensification accrue de la concurrence dans les marchés d'affaires de masse et des moyennes entreprises et les pressions continues de la concurrence visant à modifier les prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de la croissance du PMU de tous les produits résidentiels et un taux de pénétration accru des trois produits par foyer découlant de la croissance de Bell Télé Fibe;
- la poursuite de la vive concurrence sur les prix des services groupés, en particulier l'offre de rabais promotionnels et de crédits visant la fidélisation des clients;
- le maintien de la part de marché de Bell Mobilité des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises titulaires;
- un niveau relativement stable, d'un exercice à l'autre et en pourcentage des produits tirés des services sans fil, de l'investissement lié au coût d'acquisition d'abonnés par activation brute et aux dépenses de fidélisation de la clientèle qui permettra d'atteindre une répartition optimale des abonnés des services postpayés et des appareils;
- la hausse du PMU combiné pour nos services sans fil liée à l'utilisation accrue des services de données et d'itinérance attribuable à l'augmentation du nombre de clients utilisant des téléphones intelligents et des abonnés des services postpayés qui génèrent une valeur plus élevée, et à l'augmentation des activités de distribution dans l'ouest du Canada, contrebalancée en partie par l'érosion du PMU de la composante services téléphoniques découlant de la tarification et de la substitution en faveur des services de données;
- le maintien de marges du BAIIA relativement stables;
- les efforts continus mis sur la réduction des coûts opérationnels et l'amélioration de l'efficience de la main-d'œuvre dans toute l'organisation de Bell en vue de contrebalancer les coûts liés à la croissance des activations d'abonnés du service Télé Fibe, à la hausse des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés du sans-fil et à leur fidélisation, et à l'érosion continue des services voix sur fil;
- l'augmentation de l'apport au BAIIA provenant des services sans fil et une diminution d'un exercice à l'autre moindre du BAIIA des services sur fil;
- l'amélioration graduelle du rendement de notre unité Marchés Affaires, grâce à la croissance de l'économie et à la légère hausse des niveaux d'emploi;
- la capacité de Bell Média de maintenir des cotes d'écoute solides, d'appliquer de nouvelles augmentations de tarifs des services de télévision spécialisée en fonction du marché et de contrôler les coûts liés à la programmation;
- l'augmentation de l'investissement dans l'expansion et la mise à niveau de l'infrastructure et du réseau de fibre à large bande pour soutenir notre service Bell Télé Fibe et nos services Internet;
- l'élargissement de la zone de couverture du service Bell Télé Fibe, qui couvrira environ 4,3 millions de foyers d'ici la fin de 2013;
- l'apport du service Bell Télé Fibe à la forte croissance globale des abonnés des services de télévision, aux ventes complémentaires de services Internet et à la pénétration des trois produits par foyer.
Hypothèses financières
Nos déclarations prospectives pour 2013 sont également basées sur certaines autres hypothèses financières pour 2013 concernant Bell (excluant Bell Aliant), y compris, sans s'y limiter :
- un coût total des régimes d'avantages du personnel de Bell qui devrait se chiffrer à environ 340 millions $, selon un taux d'actualisation comptable estimatif de 4,4 % et un rendement attendu de l'actif des régimes de 4,4 %, qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des régimes d'avantages du personnel supérieur au BAIIA d'environ 220 millions $ et d'un coût de financement net estimatif des régimes d'avantages du personnel inférieur au BAIIA d'environ 120 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite totalisant environ 350 millions $;
- des impôts en espèces d'environ 300 millions $;
- une charge d'intérêts nette et des paiements d'environ 700 millions $.
Nos déclarations prospectives pour 2013 sont également basées sur certaines autres hypothèses financières pour 2013 concernant BCE, y compris, sans s'y limiter :
- un coût total des régimes d'avantages du personnel de BCE qui devrait s'établir à environ 420 millions $, comprenant un montant d'environ 80 millions $ lié à Bell Aliant, qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des régimes d'avantages du personnel supérieur au BAIIA d'environ 280 millions $ et d'un coût de financement net estimatif des régimes d'avantages du personnel inférieur au BAIIA d'environ 140 millions $;
- une dotation aux amortissements supérieure d'environ 50 millions $ à celle de 2012;
- une charge d'intérêts nette d'environ 875 millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,07 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
- une participation ne donnant pas le contrôle semblable à celle de 2012;
- un dividende annuel sur les actions ordinaires de 2,33 $ par action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été considérées comme raisonnables par BCE le 7 février 2013, pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient différer de façon importante de nos attentes, telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris notre orientation financière pour 2013, sont énumérés ci-dessous. La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans notre orientation financière pour 2013, dépend essentiellement du rendement de notre entreprise qui, à son tour, est assujetti à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde du fait que tous les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris l'intensification de l'activité de ces derniers dans le sans-fil découlant de la présence de nouveaux venus dans le secteur du sans-fil et de leur capacité à lancer de tels services ou à réaliser l'expansion de ceux-ci, ainsi que l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients actuels et à en attirer de nouveaux, de même que sur nos stratégies d'établissement des prix, sur notre PMU et sur nos résultats financiers;
- le rythme de substitution technologique, qui contribue à réduire l'utilisation des services voix sur fil traditionnels et à augmenter le nombre de foyers qui n'utilisent que les services de téléphonie sans fil;
- l'adoption croissante par les clients des services de télé parallèles;
- la variabilité des coûts d'acquisition d'abonnés et de fidélisation de la clientèle compte tenu du nombre d'acquisitions d'abonnés, du volume de fidélisation, des ventes de téléphones intelligents et des montants des subventions;
- les initiatives ou les démarches réglementaires, les litiges et les modifications apportées aux lois ou aux règlements de même que les questions fiscales;
- notre incapacité à maintenir la performance opérationnelle de notre réseau, notamment en raison d'une augmentation importante de la demande pour les services à large bande et du volume du trafic des services de données sans fil;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de notre équipement, de nos installations et de nos autres actifs, ainsi que notre capacité à les protéger, à les maintenir et à les remplacer;
- notre capacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer le fonctionnement de nos réseaux si des catastrophes environnementales ou des épidémies, des pandémies et d'autres risques liés à la santé survenaient;
- notre capacité à prévoir les changements technologiques et à nous y adapter, à mettre à niveau nos réseaux et à offrir rapidement de nouveaux produits et services;
- notre incapacité à mettre en œuvre, dans les délais prescrits, ou à maintenir des systèmes de TI efficaces ainsi que la complexité de notre environnement de TI et les coûts qui s'y rapportent;
- la conjoncture économique et les conditions du marché des capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs, la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de ceux-ci;
- notre capacité à mettre en œuvre nos stratégies et nos plans afin de produire les avantages attendus, y compris notre capacité à poursuivre la mise en œuvre de nos initiatives de réduction des coûts et à limiter l'intensité du capital tout en nous efforçant d'améliorer le service à la clientèle;
- les cotisations accrues aux régimes d'avantages du personnel;
- une gestion du changement inefficace découlant de réorganisations et d'autres initiatives ainsi que de l'intégration d'unités d'affaires et de l'acquisition d'entreprises;
- la complexité de notre gamme de produits et de nos plans tarifaires;
- les interruptions de travail;
- le maintien en poste des employés ainsi que leur rendement;
- les événements ayant une incidence sur la capacité des tiers fournisseurs à nous fournir des produits et des services essentiels et notre capacité à acheter de tels produits et services;
- la qualité de notre réseau et de l'équipement à l'intention des clients et la mesure dans laquelle ils peuvent être sujets à des défauts de fabrication;
- les niveaux de financement des dépenses d'investissement et autres, les exigences liées au financement et à la dette et notre capacité à mobiliser le capital nécessaire à la mise en œuvre de notre plan d'affaires, y compris en ce qui a trait aux paiements de dividendes de BCE ainsi qu'au financement des dépenses d'investissement et autres et, de façon générale, notre capacité à respecter nos obligations financières;
- notre capacité à supprimer certains services traditionnels dans la mesure nécessaire pour améliorer la productivité du capital et l'efficience opérationnelle;
- les risques liés au lancement des satellites utilisés par Bell ExpressVu, société en commandite, ou touchant ces satellites lorsqu'ils sont en orbite;
- le vol de nos services de télévision par SRD;
- la dépendance considérable de Bell Média à l'égard d'une demande continue en publicité et l'incidence négative possible sur celle-ci des conditions économiques, des variations cycliques et saisonnières, des changements technologiques et des pressions concurrentielles;
- l'incidence défavorable des nouvelles technologies et de la fragmentation accrue au sein des marchés de la télévision et de la radio de Bell Média;
- l'augmentation potentielle des droits à payer par Bell Média en vertu de licences conformément à la Loi sur le droit d'auteur;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils sans fil;
- la dépendance de BCE quant à la capacité de ses filiales, coentreprises et autres sociétés dans lesquelles elle détient une participation de lui payer des dividendes ou de lui faire toute autre distribution;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de dividendes de BCE sera maintenue;
- la volatilité des marchés boursiers;
- notre incapacité à rehausser nos pratiques et à effectuer un suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
- l'échéancier et la réalisation prévus de l'acquisition proposée d'Astral par BCE, qui sont assujettis à l'approbation du CRTC et du Bureau de la concurrence, aux autres conditions de clôture, à des droits de résiliation et à d'autres risques et incertitudes; par conséquent, rien ne garantit que la transaction sera conclue ni que les avantages anticipés seront réalisés.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient avoir une incidence défavorable sur nos résultats.
Nous encourageons les investisseurs à lire également l'Avis concernant les déclarations prospectives de BCE, daté du 7 février 2013, pour obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, ce document étant déposé par BCE auprès des commissions canadiennes des valeurs mobilières (disponible au www.sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponible au www.sec.gov). Ce document est également disponible sur le site Web de BCE au www.bce.ca. L'Avis concernant les déclarations prospectives de BCE, daté du 7 février 2013, est intégré par renvoi dans le présent communiqué de presse. Pour obtenir plus de renseignements, veuillez consulter les présentations intitulées Conférence - Investisseurs 2013 de Bell, datées du 7 février 2013, disponibles sur le site Web de BCE.
À PROPOS DE BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et fournit un ensemble complet et novateur de services de communications à large bande à ses clients résidentiels et d'affaires, sous les marques Bell et Bell Aliant. Bell Média est la première entreprise canadienne de multimédias. Elle possède des actifs dans les secteurs de la télévision, de la radio et des médias numériques, y compris CTV, premier réseau de télévision du Canada, et les chaînes spécialisées les plus regardées au pays.
L'initiative en santé mentale de Bell est un programme de bienfaisance pluriannuel faisant la promotion de la santé mentale au Canada par l'intermédiaire de la campagne de lutte contre la stigmatisation Bell Cause pour la cause et du soutien des soins communautaires, de la recherche et des meilleures pratiques au travail. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Pour obtenir de l'information sur BCE, visitez le site BCE.ca. Pour de l'information sur les produits et services de Bell, visitez le site Bell.ca. Pour de l'information sur Bell Média, visitez le site BellMedia.ca.
SOURCE : Bell Canada
Questions des médias :
Jean Charles Robillard
Relations avec les médias, Bell
514-870-4739
[email protected]
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
Relations avec les investisseurs, BCE
514-870-4619
[email protected]
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