BCE présente ses résultats du troisième trimestre de 2010
- Produits d'exploitation de Bell en hausse de 1,8 %, bénéfice d'exploitation en hausse de 15,6 % et BAIIA(1) en hausse de 3,1 %
- Croissance de 8,1 % des produits d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell et croissance de 9,8 % des produits d'exploitation tirés des services, hausse de 1,41 $ du PMU pondéré sur une croissance de 39 % des produits d'exploitation des services de données sans fil
- Niveau sans précédent d'activations brutes dans le sans-fil, soit 537 295, activations brutes records de services postpayés de 368 154 et hausse de 31 % des ajouts nets de services postpayés
- Bénéfice d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell en hausse de 48,9 %, augmentation de 5,4 % du BAIIA du secteur Services sur fil de Bell en raison d'une croissance de 9,3 % des produits d'exploitation des services de télévision et du contrôle serré des coûts
- Flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation en hausse de 8,7 %, flux de trésorerie disponibles(2) en hausse de 25,1 %
- Solide performance du BPA ajusté grâce à l'augmentation du BAIIA et à l'incidence de l'OPRA dans le cours normal des activités
Ce communiqué de presse contient des déclarations prospectives. Pour une description des facteurs de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section intitulée « Mise en garde concernant les déclarations prospectives » plus loin dans le communiqué.
MONTRÉAL, le 4 nov. /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX, NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications au Canada, a annoncé aujourd'hui les résultats de BCE et de Bell pour le troisième trimestre de 2010.
BCE a réalisé une solide performance financière avec des flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation de 1 670 millions $, en hausse de 8,7 %, des flux de trésorerie disponibles de 812 millions $, en hausse de 25,1 %, et un bénéfice net attribuable aux actions ordinaires de 528 millions $. Bell a enregistré une croissance des produits d'exploitation de 1,8 %, ce qui reflète la forte progression des produits d'exploitation tirés des services de télévision et sans fil, soit de 9,3 % et de 8,1 %, respectivement; une croissance du bénéfice d'exploitation de 15,6 %; une croissance du BAIIA de 3,1 %; des activations brutes d'abonnés dans le sans-fil de 537 295 et des ajouts nets d'abonnés des services postpayés de 159 465; des ajouts nets d'abonnés des services de télévision de 18 538 et des ajouts d'abonnés des services Internet haute vitesse de 21 668.
« L'accélération de l'impulsion donnée à nos activités et notre solide performance financière confirment l'excellente exécution de nos cinq impératifs stratégiques par l'équipe de Bell, dans un marché des communications de plus en plus concurrentiel », affirme George Cope, président et chef de la direction de BCE et de Bell Canada. « Les progrès réalisés par Bell au troisième trimestre comprennent la forte croissance dans les services de télévision, Internet et, en particulier, sans fil, l'introduction de nouveaux produits et services exclusifs spécifiquement adaptés aux réseaux à large bande dans lesquels nous avons engagé des investissements importants, l'amélioration continue de la performance au chapitre des lignes résidentielles et d'affaires pour l'accès au réseau et la gestion rigoureuse des coûts. »
Bell a un objectif clair, celui d'être reconnue par ses clients comme la plus grande entreprise de communications au Canada, qu'elle compte atteindre grâce à l'exécution de cinq impératifs stratégiques : améliorer le service à la clientèle, accélérer le sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, investir dans les réseaux et les services large bande et établir une structure de coûts concurrentielle.
« Bell a réalisé d'importants progrès en ce qui a trait à la réalisation de ses objectifs stratégiques, avec une performance record au troisième trimestre dans le sans-fil, ce qui comprend l'augmentation du taux de pénétration du marché des téléphones intelligents, la croissance de 39 % dans les services de données et la forte croissance du PMU; le lancement de notre service de la prochaine génération Bell Télé Fibe; l'annonce de l'acquisition de la première société de médias au Canada, CTV; une entente de grande portée visant le contenu de la NFL pour Télé mobile de Bell; et le raffermissement de la position dominante de l'unité Bell Marchés Affaires dans les TIC à la suite des acquisitions de xwave et de Hypertec annoncées en octobre, souligne M. Cope. Bell met à contribution ses importants investissements dans des réseaux sans fil et de fibre optique parmi les plus avancés au monde pour offrir aux consommateurs et clients d'affaires canadiens les meilleurs services et le meilleur contenu sur large bande de l'heure et positionner l'entreprise en vue d'une croissance future. »
« Les faits marquants de notre solide performance financière pour ce trimestre ont été le bénéfice net élevé et la croissance de 25 % des flux de trésorerie disponibles, ce qui reflète la poursuite d'une forte croissance des produits d'exploitation tirés des services sans fil et l'amélioration des résultats des services sur fil, d'un exercice à l'autre », affirme Siim Vanaselja, chef des affaires financières de BCE et de Bell Canada. « Nous avons également continué de réduire sensiblement les coûts de l'entreprise, contribuant de ce fait à la vigoureuse croissance du BAIIA et à l'expansion des marges, malgré les sommes additionnelles que nous avons dû consacrer à l'acquisition et à la fidélisation de la clientèle et la concurrence de plus en plus vive qui touche toutes nos gammes de produits. »
« En outre, avec un solde d'encaisse substantiel d'environ 1,2 milliard $ à la fin du trimestre et un accès à des facilités de crédit bancaire engagées considérables, nous maintenons une solide position pour ce qui est du bilan et des liquidités en vue de soutenir la croissance de nos activités et d'atteindre les objectifs relatifs à notre structure du capital. Nous avons remis 375 millions $ aux actionnaires de BCE sous forme de rachats d'actions dans le cadre de notre OPRA dans le cours normal des activités de 2010, maintenant terminée à 75 %. De plus, en octobre, au moyen des fonds en caisse, nous avons remboursé un montant de 200 millions $ US au titre des débentures de série ES de 9,5 % de Bell venant à échéance, soit notre dernière catégorie de titres échéant en 2010 », souligne M. Vanaselja.
Les produits d'exploitation de Bell ont augmenté de 1,8 % ce trimestre, pour s'établir à 3 858 millions $, la progression des produits d'exploitation des services sans fil, de télévision et sur fil ayant largement compensé les diminutions des produits d'exploitation des services locaux et d'accès, des services interurbains et des équipements et autres.
Le bénéfice d'exploitation de Bell a augmenté de 15,6 % pour s'établir à 674 millions $ ce trimestre en raison de l'augmentation du BAIIA et de la diminution des frais de restructuration et autres. Le BAIIA de Bell a progressé de 3,1 % pour s'établir à 1 493 millions $ ce trimestre en raison de l'augmentation des produits d'exploitation, de la gestion disciplinée des coûts et de la diminution des charges de retraite.
Les produits d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell ont progressé de 8,1 % ce trimestre, les produits d'exploitation tirés des services ayant augmenté de 9,8 % et les produits d'exploitation tirés des produits ayant diminué de 2,8 %. Le bénéfice d'exploitation et le BAIIA du secteur Services sans fil de Bell ont diminué de 5,9 % et de 1,7 %, respectivement, en raison du nombre accru d'activations brutes et de mises à niveau effectuées par les clients. Le PMU pondéré a augmenté de 1,41 $ d'un exercice à l'autre pour s'établir à 53,54 $, la croissance des produits d'exploitation des services de données de 39 % ayant plus que compensé les diminutions enregistrées par la composante services téléphoniques du PMU en raison de l'adoption par les clients de plans plus généreux.
Les activations brutes de 537 295 comprenaient les 368 154 activations brutes de services postpayés, soit le meilleur résultat jamais enregistré à ce chapitre, tous les trimestres confondus, qui découle principalement de l'accent qui a été mis sur l'acquisition postpayée chez Bell Mobilité et Virgin Mobile. En outre, le secteur Services sans fil de Bell a inscrit une hausse de 31 % des ajouts nets d'abonnés des services postpayés, lesquels se sont établis à 159 465, un nouveau record pour un troisième trimestre et le meilleur rendement trimestriel depuis le quatrième trimestre de 2002.
Les produits d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell ont diminué de 0,9 %, la croissance des produits d'exploitation des services de télévision et de données sur fil ayant été fortement contrebalancée par les diminutions au chapitre des produits d'exploitation des services locaux et d'accès, des services interurbains et des équipements et autres. Le bénéfice d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 48,9 % par suite de la progression du BAIIA, de la diminution des frais de restructuration et autres et de la réduction de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels. Le BAIIA du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 5,4 % du fait des réductions de coûts et de la diminution des charges de retraite.
Dans le secteur Services sur fil de Bell, les pertes d'abonnés des SAR ont totalisé 92 169 ce trimestre, une amélioration de 10,6 % comparativement à l'exercice précédent. Le nombre d'abonnés des services de télévision a augmenté de 18 538 ce trimestre, comparativement à une augmentation de 40 665 à la période correspondante de l'exercice précédent. Le nombre net d'abonnés au service Internet haute vitesse a augmenté de 21 668 ce trimestre alors qu'il avait augmenté de 21 531 l'exercice précédent.
Bell a investi du capital à hauteur de 634 millions $ ce trimestre, soit une hausse de 7,6 % comparativement à la période correspondante de l'exercice précédent, ce qui reflète la croissance des investissements dans notre réseau à large bande sur fil, notamment la poursuite du déploiement de la fibre dans des quartiers résidentiels, des immeubles de logements multiples et jusqu'au domicile (réseau FTTH) dans la ville de Québec, ainsi que la préparation en cours de notre réseau à l'appui du service Bell Télé Fibe.
Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation de BCE ont augmenté de 8,7 % ce trimestre pour s'établir à 1 670 millions $ en raison de la baisse des frais de restructuration et autres paiements, de l'augmentation du BAIIA et de l'amélioration au chapitre du fonds de roulement. Les flux de trésorerie disponibles se sont établis à 812 millions $ ce trimestre, soit une augmentation de 25,1 %, en raison de l'augmentation au chapitre des flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation, en partie contrebalancée par la hausse des dépenses en immobilisations.
Le bénéfice net attribuable aux actions ordinaires de BCE ce trimestre s'est chiffré à un niveau soutenu, soit 528 millions $, ou 0,70 $ par action, quoique légèrement inférieur au niveau de la période correspondante de l'exercice précédent, de 558 millions $, ou 0,72 $ par action, du fait que la charge d'impôts avait diminué au troisième trimestre de 2009 par suite du règlement favorable de positions fiscales antérieures incertaines. Par conséquent, la charge d'impôts relativement plus élevée ce trimestre contrebalance l'incidence favorable de la hausse du BAIIA, de la baisse des intérêts et des frais de restructuration et autres, ainsi que du nombre moindre d'actions ordinaires de BCE en circulation du fait des rachats d'actions effectués dans le cadre de l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de BCE. En raison des mêmes facteurs, le BPA ajusté(3) de BCE s'est établi à un niveau légèrement moindre ce trimestre, soit 0,82 $, comparativement à 0,84 $ à la période correspondante de l'exercice précédent.
Faits saillants financiers | ||||
(en millions $, sauf les montants par action) (non vérifié) | T3 2010 | T3 2009 | % de variation |
|
Bell (i) | ||||
Produits d'exploitation | 3 858 | 3 788 | 1,8 | % |
BAIIA | 1 493 | 1 448 | 3,1 | % |
Bénéfice d'exploitation | 674 | 583 | 15,6 | % |
BCE | ||||
Produits d'exploitation | 4 516 | 4 457 | 1,3 | % |
BAIIA | 1 832 | 1 801 | 1,7 | % |
Bénéfice d'exploitation | 869 | 782 | 11,1 | % |
Bénéfice net attribuable aux actions ordinaires | 528 | 558 | (5,4) | % |
BPA | 0,70 | 0,72 | (2,8) | % |
BPA ajusté | 0,82 | 0,84 | (2,4) | % |
Flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation | 1 670 | 1 537 | 8,7 | % |
Flux de trésorerie disponibles | 812 | 649 | 25,1 | % |
(i) Bell inclut les secteurs Services sans fil de Bell et Services sur fil de Bell.
Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 1,3 % pour s'établir à 4 516 millions $ ce trimestre, l'augmentation des produits d'exploitation chez Bell ayant été partiellement contrebalancée par la diminution des produits d'exploitation chez Bell Aliant.
Le bénéfice d'exploitation de BCE a augmenté de 11,1 % pour s'établir à 869 millions $ ce trimestre, l'augmentation du bénéfice d'exploitation de Bell ayant été partiellement contrebalancée par la diminution du bénéfice d'exploitation de Bell Aliant. Le BAIIA de BCE a augmenté de 1,7 % pour s'établir à 1 832 millions $ ce trimestre, la croissance du BAIIA chez Bell ayant été partiellement contrebalancée par la diminution du BAIIA chez Bell Aliant.
Secteur Services sans fil de Bell
Grâce à l'impulsion soutenue que lui a donnée le lancement de son réseau HSPA+, l'un des plus avancés au monde, le secteur Services sans fil de Bell a enregistré un record pour tous les trimestres confondus en matière d'activations brutes de services postpayés et un record pour un troisième trimestre en matière d'ajouts nets de services postpayés, une forte croissance dans les services de données et une augmentation du taux de pénétration du marché des téléphones intelligents.
- Le total des produits d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell a augmenté de 8,1 % pour s'établir à 1 274 millions $ ce trimestre. Les produits d'exploitation tirés des services ont augmenté de 9,8 % pour s'établir à 1 160 millions $ en raison de la croissance de la clientèle et de la croissance de 39 % des produits d'exploitation liés aux services de données sans fil. Les produits d'exploitation tirés des produits ont diminué de 2,8 % pour s'établir à 103 millions $ en raison de la concurrence exercée sur le prix des combinés.
- Le PMU pondéré a augmenté de 1,41 $ pour s'établir à 53,54 $. Le PMU des services postpayés a augmenté de 0,95 $ pour s'établir à 65,04 $ en raison de l'utilisation plus intensive des services de données, en partie contrebalancée par l'adoption de plus en plus fréquente par les abonnés de plans tarifaires plus généreux offrant davantage de services et de minutes d'appels, pour des prix mensuels moindres. Le PMU des services prépayés a augmenté de 0,49 $ pour s'établir à 18,85 $ du fait de la croissance de l'utilisation moyenne par abonné.
- Le bénéfice d'exploitation du secteur Services sans fil de Bell a diminué de 5,9 % pour s'établir à 333 millions $ ce trimestre par suite de la diminution du BAIIA et de l'augmentation de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels. Le BAIIA du secteur Services sans fil de Bell a diminué de 1,7 % pour s'établir à 467 millions $ ce trimestre en raison de l'augmentation des coûts d'acquisition d'abonnés liée au nombre accru d'activations brutes et de l'augmentation du nombre de mises à niveau effectuées par les clients.
- Les marges du BAIIA sur les produits d'exploitation tirés des services sans fil ont diminué pour s'établir à 40,3 % ce trimestre, contre 45,0 % à l'exercice précédent.
- Les activations brutes ont totalisé 537 295 ce trimestre, soit 7,3 % de plus qu'à l'exercice précédent. Les activations brutes de services postpayés ont totalisé 368 154, soit 22,0 % de plus qu'à l'exercice précédent, et ont représenté le nombre le plus élevé d'activations brutes de services postpayés dans toute l'histoire du secteur Services sans fil de Bell, tous les trimestres confondus. Les activations brutes de services prépayés se sont établies à 169 141, soit 15,0 % de moins qu'à l'exercice précédent.
- Les ajouts nets ont totalisé 137 880 ce trimestre, soit 2,3 % de plus qu'à l'exercice précédent. Les ajouts nets de services postpayés se sont établis à 159 465 ce trimestre, soit 31,0 % de plus qu'à l'exercice précédent, un nouveau record pour un troisième trimestre, qui reflète l'accent qui a été mis sur l'acquisition postpayée chez Bell Mobilité et Virgin Mobile. La clientèle d'abonnés des services prépayés a diminué de 21 585 ce trimestre, alors qu'elle avait augmenté de 13 045 l'exercice précédent en raison de la diminution des activations brutes de services prépayés.
- La clientèle du secteur Services sans fil de Bell totalisait 7 125 266 abonnés à la fin du trimestre, une augmentation de 6,2 % par rapport à l'exercice précédent.
- Le taux de désabonnement des services postpayés a légèrement augmenté, passant de 1,3 % à 1,4 %, tandis que le taux de désabonnement des services prépayés a diminué, passant de 3,5 % à 3,4 %. Le taux de désabonnement pondéré a augmenté pour s'établir à 1,9 %, alors qu'il était de 1,8 % l'exercice précédent.
- Le coût d'acquisition a augmenté de 22,5 % ce trimestre, pour s'établir à 392 $ par activation brute, en raison de l'augmentation des subventions au titre des combinés et des commissions.
Secteur Services sur fil de Bell
Le secteur Services sur fil de Bell a enregistré une meilleure performance au chapitre du BAIIA, d'un exercice à l'autre, a maintenu une amélioration quant à l'érosion des lignes d'accès au réseau et a inscrit un nombre élevé d'activations d'abonnés des services de télévision et Internet haute vitesse.
- Les produits d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell ont diminué de 0,9 % pour s'établir à 2 636 millions $ ce trimestre, la croissance des produits d'exploitation des services de télévision et de données ayant été fortement contrebalancée par la diminution des produits d'exploitation des services locaux et d'accès, des services interurbains et des équipements et autres.
- Le bénéfice d'exploitation du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 48,9 % pour s'établir à 341 millions $ ce trimestre, par suite de la progression du BAIIA, de la diminution des frais de restructuration et autres et de la réduction de l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels.
- Le BAIIA du secteur Services sur fil de Bell a augmenté de 5,4 % ce trimestre, pour s'établir à 1 026 millions $, en raison des réductions de coûts et de la diminution des charges de retraite qui ont neutralisé la diminution des produits d'exploitation.
- Les produits d'exploitation des services locaux et d'accès ont diminué de 3,1 % pour s'établir à 759 millions $ ce trimestre, en raison de l'érosion continue des SAR résidentiels et d'affaires.
- Le nombre total d'abonnés des SAR a diminué de 92 169 ce trimestre alors qu'il avait baissé de 103 087 à l'exercice précédent. Le nombre d'abonnés des SAR d'affaires a diminué de 23 686 ce trimestre alors qu'il avait baissé de 26 701 à l'exercice précédent. Le nombre d'abonnés résidentiels des SAR a diminué de 68 483, comparativement à une baisse de 76 386 à l'exercice précédent, du fait que le nombre de pertes d'abonnés résidentiels des SAR de détail s'est amélioré pour le douzième trimestre consécutif. Notre clientèle totale des SAR a diminué de 6,2 % d'un exercice à l'autre.
- Les produits d'exploitation des services interurbains ont reculé de 14,0 % pour s'établir à 227 millions $ ce trimestre, en raison surtout de l'érosion continue des SAR résidentiels et d'affaires, des pressions sur les prix dans le marché d'affaires et de l'accroissement de l'adoption, par les clients des services résidentiels, de plans offrant un volume d'utilisation illimité ou un important volume d'utilisation.
- Les produits d'exploitation des services de données ont augmenté de 0,9 % pour s'établir à 900 millions $ ce trimestre, la croissance des produits d'exploitation des services IP et des services de connectivité à large bande ainsi que celle des produits d'exploitation des services Internet résidentiels et des ventes d'équipements de données aux grandes entreprises clientes ayant été partiellement contrebalancées par la diminution des produits d'exploitation des services de données traditionnels.
- Le nombre d'abonnés à Internet haute vitesse a augmenté de 21 668 ce trimestre, comparativement à une augmentation de 21 531 à la période correspondante de l'exercice précédent. À la fin du trimestre, Bell comptait 2 085 227 abonnés à Internet haute vitesse.
- Les produits d'exploitation des services de télévision ont augmenté de 9,3 %, s'établissant à 437 millions $ ce trimestre en raison de l'accroissement de la clientèle, des majorations de tarifs et de la croissance des produits d'exploitation découlant de la location de décodeurs.
- Le nombre total d'abonnés des services de télévision a augmenté de 18 538 ce trimestre, comparativement à une augmentation de 40 665 à la période correspondante de l'exercice précédent. À la fin du trimestre, la clientèle des services de télévision totalisait 1 997 079 abonnés, soit 3,8 % de plus qu'à la fin du troisième trimestre de 2009.
- Le taux de désabonnement de la clientèle des services de télévision a augmenté pour s'établir à 1,6 %, contre 1,4 % à l'exercice précédent.
- Les produits d'exploitation des équipements et autres ont diminué de 4,1 % pour s'établir à 231 millions $ ce trimestre.
Bell Aliant Communications régionales
Les produits d'exploitation de Bell Aliant ont diminué de 3,1 % pour s'établir à 762 millions $ ce trimestre, du fait de la diminution des produits d'exploitation des services locaux et d'accès et des services interurbains. Le bénéfice d'exploitation de Bell Aliant a diminué de 2,0 %, pour s'établir à 195 millions $, la diminution des produits d'exploitation ayant été partiellement compensée par la réduction des charges d'exploitation.
Dividende sur actions ordinaires
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de 0,4575 $ par action ordinaire, payable le 15 janvier 2011 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 15 décembre 2010.
Offre publique de rachat dans le cours normal des activités
Au 3 novembre 2010, BCE avait racheté 12,6 millions d'actions ordinaires dans le cadre de son OPRA dans le cours normal des activités de 2010, à un coût total de 375 millions $.
Perspectives
BCE a confirmé l'amélioration de son orientation financière pour 2010, telle qu'elle a été présentée le 5 août 2010; en voici le détail dans ce tableau :
Orientation pour 2010 |
Orientation en date du 4 février 2010 |
Orientation en date du 5 août 2010 |
Prévisions actuelles sur l'orientation |
Bell (i) | |||
Croissance des produits d'exploitation | 1 % à 2 % | 2 % à 3 % | Sur la bonne voie |
Croissance du BAIIA (ii) | 2 % à 4 % | Aucun changement | Sur la bonne voie |
Intensité du capital | ≤16 % | Aucun changement | Sur la bonne voie |
BCE | |||
BPA ajusté | 2,65 $ à 2,75 $ | 2,75 $ à 2,80 $ | Sur la bonne voie |
Croissance du BPA ajusté | 6 % à 10 % | 10 % à 12 % | Sur la bonne voie |
Flux de trésorerie disponibles (iii) | 2 000 M$ à 2 200 M$ | Aucun changement | Sur la bonne voie |
(i) L'orientation financière de 2010 de Bell pour les produits d'exploitation, le BAIIA et l'intensité du capital exclut Bell Aliant.
(ii) Le bénéfice d'exploitation est la mesure financière selon les PCGR du Canada la plus comparable. Pour 2010, Bell prévoit une croissance du BAIIA de 2 % à 4 %. Cette fourchette reflète le bénéfice d'exploitation prévu de Bell d'environ 2 900 millions $ à 3 100 millions $.
(iii) Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation sont la mesure financière selon les PCGR du Canada la plus comparable. Pour 2010, BCE s'attend à dégager des flux de trésorerie disponibles de 2 000 millions $ à 2 200 millions $. Ce montant tient compte des flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation de BCE, qui devraient s'établir entre 5 400 millions $ et 5 600 millions $.
Normes internationales d'information financière (IFRS)
Le Conseil des normes comptables du Canada a établi que le 1er janvier 2011 serait la date à laquelle les IFRS remplaceront les principes comptables généralement reconnus (PCGR) du Canada pour les entreprises ayant une obligation publique de rendre des comptes, y compris les émetteurs assujettis du Canada. BCE dressera ses états financiers conformément aux IFRS à compter du 1er janvier 2011. L'information financière présentée conformément aux IFRS diffère de celle présentée conformément aux PCGR du Canada à un certain nombre d'égards, dont certains sont importants. Les IFRS en vigueur à la date d'adoption sont aussi susceptibles de différer des IFRS actuelles en raison des nouvelles normes qui devraient être publiées avant la date de basculement.
Des ébauches préliminaires de rapprochement entre les PCGR du Canada et les IFRS, pour le bilan d'ouverture de BCE au 1er janvier 2010 et son état consolidé des résultats pour la période de neuf mois terminée le 30 septembre 2010, sont présentées dans le rapport de gestion du troisième trimestre de BCE daté du 3 novembre 2010. Comme il a été indiqué dans ces ébauches préliminaires de rapprochement, l'adoption des IFRS entraînera une réduction globale de 3,5 milliards $ au chapitre des capitaux propres de BCE au 1er janvier 2010, découlant principalement d'une réduction à la juste valeur de certaines immobilisations et de l'application rétrospective de la méthode d'amortissement linéaire à cet égard, ainsi que la comptabilisation de charges non capitalisées au titre des régimes de retraite. Encore une fois, selon le travail effectué à ce jour, l'adoption des IFRS aura une incidence négligeable sur l'état consolidé des résultats de BCE, le BPA ajusté pour la période de neuf mois terminée le 30 septembre 2010 demeurant inchangé à 2,24 $.
Conférence téléphonique à l'intention des analystes financiers
BCE tiendra une conférence téléphonique à l'intention des analystes financiers afin de traiter de ses résultats du troisième trimestre, le jeudi 4 novembre, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour participer, composez le 416-340-8530 ou le numéro sans frais 1-877-240-9772 peu de temps avant le début de la conférence. Une reprise sera disponible pendant une semaine, au 416-695-5800 ou au 1-800-408-3053 (composez le code d'identification 5030553#).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une webdiffusion en direct archivée sur le site Web de BCE à l'adresse : http://www.bce.ca/fr/news/eventscalendar/webcasts/2010/20101104/. Le fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur cette page, peu de temps après la conférence.
Notes
L'information contenue dans le présent communiqué est non vérifiée.
(1) Le terme « BAIIA » (bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels) n'a pas de définition normalisée en vertu des PCGR du Canada. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons le BAIIA comme les produits d'exploitation moins le coût des ventes et les frais de vente, généraux et administratifs, c'està-dire comme le bénéfice d'exploitation avant l'amortissement des immobilisations corporelles, l'amortissement des actifs incorporels et les frais de restructuration et autres. Nous utilisons le BAIIA, entre autres mesures, pour évaluer le rendement d'exploitation de nos activités permanentes, avant l'incidence de l'amortissement des immobilisations corporelles, de l'amortissement des actifs incorporels et des frais de restructuration et autres. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement de l'exploitation. Nous excluons l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels étant donné que cet élément est principalement fonction des méthodes comptables et des hypothèses utilisées par une société ainsi que de facteurs hors exploitation comme le coût historique des immobilisations. Le fait d'exclure les frais de restructuration et autres ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Le BAIIA nous permet de comparer notre rendement d'exploitation de manière constante. Nous estimons que certains investisseurs et analystes utilisent le BAIIA pour évaluer la capacité d'une société à assurer le service de sa dette et à satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des télécommunications. Le bénéfice d'exploitation est la mesure financière selon les PCGR du Canada la plus comparable. Les tableaux ciaprès présentent un rapprochement du bénéfice d'exploitation et du BAIIA, sur une base consolidée, pour BCE et Bell et pour nos secteurs Services sur fil de Bell et Services sans fil de Bell.
(en millions $) | ||
BCE | T3 2010 | T3 2009 |
Bénéfice d'exploitation | 869 | 782 |
Amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels | 828 | 828 |
Frais de restructuration et autres | 135 | 191 |
BAIIA | 1 832 | 1 801 |
BELL | T3 2010 | T3 2009 |
Bénéfice d'exploitation | 674 | 583 |
Amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels | 686 | 688 |
Frais de restructuration et autres | 133 | 177 |
BAIIA | 1 493 | 1 448 |
SERVICES SUR FIL DE BELL | T3 2010 | T3 2009 |
Bénéfice d'exploitation | 341 | 229 |
Amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels | 553 | 564 |
Frais de restructuration et autres | 132 | 180 |
BAIIA | 1 026 | 973 |
SERVICES SANS FIL DE BELL | T3 2010 | T3 2009 |
Bénéfice d'exploitation | 333 | 354 |
Amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels | 133 | 124 |
Frais de restructuration et autres | 1 | (3) |
BAIIA | 467 | 475 |
(2) Le terme « flux de trésorerie disponibles » n'a pas de définition normalisée en vertu des PCGR du Canada. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation et les distributions reçues de Bell Aliant, moins les dépenses en immobilisations, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes/distributions versés par des filiales aux actionnaires sans contrôle, les autres activités d'investissement et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un important indicateur de la solidité financière et du rendement de nos activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles pour rembourser la dette et réinvestir dans notre société. Nous présentons les flux de trésorerie disponibles de manière uniforme d'une période à l'autre, ce qui nous permet de comparer notre performance financière de manière constante. Nous estimons que certains investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents. Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation sont la mesure financière selon les PCGR du Canada la plus comparable. Le tableau ci-après présente un rapprochement des flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation et des flux de trésorerie disponibles, sur une base consolidée.
(en millions $) | ||
T3 2010 | T3 2009 | |
Flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation | 1 670 | 1 537 |
Distributions de Bell Aliant à BCE | 73 | 73 |
Dépenses en immobilisations | (748) | (704) |
Autres activités d'investissement | (24) | (38) |
Dividendes versés sur actions privilégiées | (25) | (26) |
Distributions en espèces versées par des filiales aux actionnaires sans contrôle | (92) | (93) |
Flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant | (42) | (100) |
Flux de trésorerie disponibles | 812 | 649 |
(3) Les termes « bénéfice net ajusté » et « BPA ajusté » n'ont pas de définition normalisée en vertu des PCGR du Canada. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net avant les frais de restructuration et autres et les (gains nets) pertes nettes sur placements. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE Inc. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté, entre autres mesures, pour évaluer le rendement d'exploitation de nos activités permanentes, avant l'incidence après impôts des frais de restructuration et autres, et des (gains nets) pertes nettes sur placements. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement de l'exploitation. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actions ordinaires et le bénéfice par action sont les mesures financières selon les PCGR du Canada les plus comparables. Le tableau ci-après présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actions ordinaires et du bénéfice par action avec le bénéfice net ajusté, sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE Inc. (BPA ajusté), respectivement.
(en millions $, sauf les montants par action) | ||||
T3 2010 | T3 2009 | |||
TOTAL | PAR ACTION |
TOTAL | PAR ACTION |
|
Bénéfice net attribuable aux actions ordinaires | 528 | 0,70 | 558 | 0,72 |
Frais de restructuration et autres | 93 | 0,12 | 123 | 0,16 |
(Gains nets) pertes nettes sur placements | - | - | (32) | (0,04) |
Bénéfice net ajusté | 621 | 0,82 | 649 | 0,84 |
Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter, les déclarations reliées à notre orientation financière pour 2010 (ce qui comprend les produits d'exploitation, le BAIIA, l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), l'acquisition proposée par BCE de la participation restante de 85 % qu'elle ne détenait pas déjà dans CTVglobemedia Inc. (CTV), ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques, constituent des déclarations prospectives. Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur plusieurs hypothèses donnant lieu à la possibilité que les résultats ou événements réels diffèrent de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans ces déclarations prospectives. Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur contre le fait d'accorder une confiance sans réserve à ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date du 4 novembre 2010 et, par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ni à réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs ou pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 4 novembre 2010. L'incidence financière de ces transactions ou éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ou la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives sont présentées dans le but de donner de l'information sur les attentes et les plans actuels de la direction, en particulier, pour 2010 et de permettre aux investisseurs et à d'autres parties de mieux comprendre le contexte dans lequel nous exerçons nos activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Hypothèses sur l'économie et les marchés
Un certain nombre d'hypothèses sur l'économie et les marchés canadiens ont été formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations prospectives pour 2010 contenues dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter : i) la croissance du PIB au Canada en 2010, en fonction des estimations des six principales banques canadiennes; ii) nous rangeant à cette opinion générale, nous avons posé comme hypothèse une amélioration graduelle du contexte économique au Canada, qui devrait s'amorcer au second semestre de 2010; iii) les produits d'exploitation tirés du marché des services de télécommunications vocaux résidentiels au Canada continueraient de diminuer en raison, en partie, de la substitution des lignes terrestres par des technologies concurrentes comme le sans-fil, qui devrait s'intensifier en 2010 en particulier du fait de la vive concurrence exercée par les nouveaux venus dans le secteur du sans-fil, qui ont acheté des licences d'utilisation du spectre pour les SSFE, de la voix sur IP et d'autres facteurs, y compris la substitution par le courriel et la messagerie instantanée; iv) la concurrence subsisterait avec la même intensité dans le marché des services locaux résidentiels et d'affaires de téléphonie vocale, les câblodistributeurs et autres fournisseurs de services de télécommunications maintenant l'intensité de leurs campagnes de commercialisation et continuant de tirer parti de la place occupée par leur réseau pour soutenir leur part de marché dans nos régions; v) la croissance du taux de pénétration du sans-fil en 2010 serait semblable à celle de 2009; et vi) la croissance du marché des services de télévision et Internet s'établirait à des niveaux légèrement inférieurs à ceux de 2009, en raison des taux de pénétration et du stade de maturité relativement élevés pour ces produits.
Hypothèses relatives aux activités d'exploitation
Nos déclarations prospectives pour 2010 reposent aussi sur certaines hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes concernant Bell (excluant Bell Aliant), y compris, sans s'y limiter : i) les programmes de fidélisation ciblés et les offres de services groupés, les initiatives visant la reconquête de clients et la meilleure prestation du service permettraient de maintenir la stabilité des pertes au chapitre du nombre d'abonnés des SAR résidentiels, d'un exercice à l'autre; ii) la tendance de repli de la demande en 2009 dans le marché des affaires, les clients des services d'affaires comprimant leurs programmes de dépenses et d'investissement, continuerait de se traduire par la réduction de la demande pour les services de communications et d'inciter les entreprises à délaisser les services traditionnels pour se tourner vers des nouvelles technologies qui répondent à leurs besoins avec des solutions efficaces sur le plan des coûts; iii) notre nouveau réseau HSPA/HSPA+, lancé en novembre 2009, permettrait d'accroître le taux de pénétration du marché des téléphones intelligents et créerait les conditions propices à une utilisation encore plus intensive des services de données et à une croissance des produits d'exploitation découlant de l'itinérance; iv) la hausse des niveaux d'emploi, l'augmentation des dépenses discrétionnaires et la reprise des déplacements dans la foulée du redressement économique se traduiraient par des produits d'exploitation plus élevés découlant de l'utilisation du sans-fil et des services d'itinérance; v) la concurrence livrée par les nouveaux venus dans le secteur du sans-fil devrait s'intensifier progressivement tout au long de 2010 avec l'arrivée de nouveaux fournisseurs de services sur le marché; vi) la croissance des produits d'exploitation provenant de nos services sans fil découlerait du PMU tiré de nouveaux services, de la gestion prudente des tarifs et de l'expansion constante et méthodique de notre clientèle; vii) Bell tirerait parti des perfectionnements technologiques constants apportés par les fabricants de ses combinés et appareils et de l'accélération des vitesses de transmission qui permettent aux clients d'optimiser l'utilisation des services de Bell; viii) une augmentation considérable du nombre de nos points de vente; ix) une gestion prudente des dépenses atténuerait l'incidence des prix très bas des marques économiques ainsi que des prix pratiqués par les nouveaux concurrents, de la hausse des dépenses liées à la fidélisation de la clientèle ainsi que des coûts d'acquisition accrus découlant de l'augmentation du taux de pénétration des téléphones intelligents; x) des pressions seraient exercées par les nouveaux concurrents sur la marge du BAIIA dans le sans-fil, et les coûts d'acquisition d'abonnés ainsi que les coûts de fidélisation de la clientèle augmenteraient; xi) la concurrence livrée par les nouveaux venus exercerait des pressions sur le PMU des services sans fil; xii) des économies de coûts, qui contribueraient au maintien de la stabilité des marges du BAIIA, seraient réalisées grâce à la renégociation de contrats avec tous nos principaux fournisseurs de TI et fournisseurs externes, à la poursuite des réductions de la main-d'œuvre commencées en 2009, à l'amélioration de la productivité des employés des services extérieurs, à la mise à profit des synergies opérationnelles par suite de l'intégration, en 2009, de nos unités de première ligne auprès de nos clients d'affaires, au contrôle des coûts de maintenance du réseau et à la réduction du trafic non acheminé par notre propre réseau, et xiii) les produits d'exploitation des services sur fil augmenteraient en raison des produits d'exploitation tirés de l'acquisition de La Source, de la croissance solide et continue des services de télévision de Bell et du maintien de la discipline en matière d'établissement des prix.
Hypothèses financières
Nos déclarations prospectives pour 2010 sont également basées sur certaines autres hypothèses financières pour 2010 concernant Bell (excluant Bell Aliant), y compris, sans s'y limiter : i) les impôts en espèces de Bell s'élèveraient à environ 120 millions $; ii) la charge nette totale au titre des régimes d'avantages sociaux (charges de retraite) de Bell, basée sur un taux d'actualisation de 6,4 % et un rendement de l'actif des régimes de retraite de 15 % en 2009, s'établirait à environ 130 millions $; iii) la capitalisation des régimes de retraite de Bell serait d'environ 500 millions $; iv) l'intensité du capital de Bell serait d'au plus 16 %; et v) Bell continuerait d'investir dans le déploiement de la fibre optique en vue d'accroître la place occupée par son réseau sur fil à large bande pour couvrir environ 3,6 millions de foyers d'ici la fin de 2010.
Nos déclarations prospectives pour 2010 se fondent également sur certaines hypothèses financières additionnelles pour 2010, y compris, sans s'y limiter : i) les frais de restructuration et autres de l'ordre de 170 millions $ à 220 millions $; ii) l'amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels à des niveaux légèrement inférieurs à ceux de 2009; iii) un taux d'imposition effectif d'environ 20 % ou légèrement inférieur et un taux d'imposition prévu par la loi d'environ 30,6 %; iv) le BPA serait favorablement touché par le rachat prévu d'un montant maximal de 500 millions $ d'actions ordinaires dans le cadre de l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de BCE annoncée en décembre 2009; et v) la dette à long terme arrivant à échéance en 2010 serait entièrement remboursée.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été considérées comme raisonnables par BCE le 4 novembre 2010, peuvent se révéler inexactes. En conséquence, nos résultats réels pourraient différer de façon importante de nos attentes, telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les importants facteurs de risque en conséquence desquels nos hypothèses et estimations pourraient être inexactes et nos résultats ou événements réels pourraient différer de manière considérable de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans les déclarations prospectives susmentionnées, y compris notre orientation financière pour 2010, sont énumérés ci-dessous. Notre capacité à atteindre les résultats indiqués dans notre orientation financière pour 2010 dépend essentiellement du rendement de notre exploitation, qui à son tour est assujetti à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde du fait que l'un ou l'autre des risques suivants est susceptible d'avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter : l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris l'intensification de l'activité de ces derniers dans le sans-fil qui découle de l'octroi par Industrie Canada de licences d'utilisation du spectre pour les SSFE à de nouveaux concurrents dans le secteur du sans-fil, ainsi que l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients actuels et à en attirer de nouveaux de même que sur nos stratégies d'établissement des prix et nos résultats financiers; la conjoncture économique et les conditions du marché des capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs, la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de ceux-ci; notre capacité à mettre en œuvre nos stratégies et nos plans afin de produire les avantages attendus; notre capacité à poursuivre la mise en œuvre de nos initiatives de réduction des coûts et à contenir l'intensité du capital tout en nous efforçant d'améliorer le service à la clientèle; notre capacité à nous adapter aux changements technologiques et à offrir rapidement de nouveaux produits et services; les cotisations accrues aux régimes d'avantages sociaux; les événements touchant la fonctionnalité de nos réseaux et de nos systèmes et logiciels de technologie de l'information ainsi que notre capacité à les protéger, à les maintenir et à les remplacer; les événements ayant une incidence sur la capacité des tiers fournisseurs à nous fournir des produits et services essentiels; la qualité de notre réseau et de l'équipement à l'intention des clients et la mesure dans laquelle ils peuvent être sujets à des défauts de fabrication; les interruptions de travail; les répercussions négatives éventuelles sur nos services Internet et sans fil de l'accroissement marqué de la demande de services à large bande; notre capacité à mobiliser le capital nécessaire à la mise en œuvre de notre plan d'affaires, y compris en ce qui a trait au programme de rachat d'actions et aux paiements de dividendes de BCE ainsi qu'au financement des dépenses en immobilisations et autres et, de façon générale, notre capacité à respecter nos obligations financières; notre capacité à cesser de fournir certains services traditionnels, au besoin, en vue de l'amélioration de la productivité du capital et de l'efficience de l'exploitation; les initiatives ou les démarches réglementaires, les litiges et les modifications apportées aux lois ou aux règlements; les risques liés au lancement des satellites utilisés par Bell Télé ou touchant ces satellites lorsqu'ils sont en orbite; la concurrence exercée par les services de télévision par SRD américains non réglementés vendus illégalement au Canada et le vol de nos services de télévision par satellite; la dépendance de BCE quant à la capacité de ses filiales, coentreprises et autres entreprises dans lesquelles elle détient une participation de lui verser des dividendes et toute autre distribution; l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de dividendes de BCE sera maintenue; la volatilité des marchés boursiers; notre capacité à maintenir le service à la clientèle et le fonctionnement de nos réseaux si des épidémies, des pandémies et d'autres risques liés à la santé survenaient; les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils sans fil; l'échéancier et la réalisation de l'acquisition proposée par BCE de la participation restante de 85 % dans CTV qu'elle ne détient pas déjà, qui est assujettie aux conditions de clôture, aux droits de résiliation ainsi qu'à d'autres risques et incertitudes, y compris, sans s'y limiter, toute approbation requise des organismes de réglementation; et la perte d'employés clés.
Pour plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, se reporter au rapport de gestion annuel 2009 de BCE daté du 11 mars 2010 (compris dans le rapport annuel 2009 de BCE), au rapport de gestion du premier trimestre 2010 de BCE daté du 5 mai 2010, au rapport de gestion du deuxième trimestre 2010 de BCE daté du 4 août 2010 et au rapport de gestion du troisième trimestre 2010 de BCE daté du 3 novembre 2010, ces documents étant déposés par BCE auprès des commissions canadiennes des valeurs mobilières (disponibles au www.sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponibles au www.sec.gov). Ces documents sont également disponibles sur le site Web de BCE au www.bce.ca.
À propos de BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et fournit un ensemble de services de communications des plus complets et des plus novateurs à ses clients résidentiels et d'affaires au Canada. Assurés sous les marques Bell et Bell Aliant, ils comprennent les services de téléphonie, les services de communication sans fil, les services Internet haute vitesse, les services de télévision numérique, les services IP-large bande ainsi que les services de technologie de l'information et des communications (TIC).
L'initiative en santé mentale de Bell est un programme de bienfaisance pluriannuel faisant la promotion de la santé mentale au Canada par l'intermédiaire de la campagne de lutte contre la stigmatisation Bell Cause pour la cause et du soutien des soins communautaires, de la recherche et des meilleures pratiques au travail. Pour en savoir plus, visitez le site www.bce.ca/santementale. Les actions de BCE sont cotées en Bourse au Canada et aux États-Unis. Pour plus d'information sur BCE, visitez le site www.bce.ca. Pour plus d'information sur les produits et services de Bell, visitez le site www.bell.ca.
Renseignements:
Questions des médias :
Marie-Ève Francoeur
Relations avec les médias, Bell
514-391-5263
[email protected]
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
Relations avec les investisseurs, BCE
514-870-4619
[email protected]
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