- Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE de 343 millions $; bénéfice net ajusté de 584 millions $, en hausse de 7 %; bénéfice par action ajusté de 0,75 $, en hausse de 7,1 %
- Flux de trésorerie disponibles élevés, de 747 millions $, en hausse de 8,9 %
- Hausse de 3,0 % du BAIIA de Bell avec une croissance de 26,8 % du BAIIA de Bell Média, soutenue par l'inclusion d'Astral, et une croissance du BAIIA des services sans fil de 11,6 %; marge consolidée du BAIIA se maintenant à 38,4 %
- Activations nettes des services postpayés dans le sans-fil de 102 714 reflétant l'adoption toujours croissante des téléphones intelligents, qui représentent maintenant le choix de 73 % des abonnés des services postpayés
- Nombre positif d'activations nettes dans les Services sur fil résidentiels (télé, Internet et lignes d'accès locales) ce trimestre, pour la première fois depuis 2005
- Activations nettes d'abonnés de Bell Télé Fibe de 72 813, en hausse de 69,4 % d'un exercice à l'autre, la zone de couverture du service rejoignant plus de 4 millions de foyers; activations nettes d'abonnés d'Internet haute vitesse de 36 638, la meilleure performance trimestrielle en plus de six ans; amélioration de 30,3 % des pertes d'abonnés des services résidentiels d'accès local au réseau
- Reconfirmation de tous les objectifs financiers de BCE et de Bell Canada pour 2013
Le présent communiqué de presse contient des déclarations prospectives. Pour une description des facteurs de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans le communiqué.
MONTRÉAL, le 7 nov. 2013 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX, NYSE : BCE), la plus grande entreprise de communications du Canada, a présenté aujourd'hui les résultats de BCE et de Bell pour le troisième trimestre (T3) de 2013.
FAITS SAILLANTS FINANCIERS
(en millions $, sauf les montants par action) (non audité) | T3 2013 | T3 2012 | % de variation | |
Bell(i) | ||||
Produits opérationnels | 4 524 | 4 393 | 3,0 % | |
BAIIA | 1 739 | 1 688 | 3,0 % | |
BCE | ||||
Produits opérationnels | 5 099 | 4 982 | 2,3 % | |
BAIIA | 2 063 | 2 019 | 2,2 % | |
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires | 343 | 527 | (34,9) % | |
BPA | 0,44 | 0,68 | (35,3) % | |
BPA ajusté | 0,75 | 0,70 | 7,1 % | |
Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles | 1 730 | 1 591 | 8,7 % | |
Flux de trésorerie disponibles | 747 | 686 | 8,9 % | |
(i) Bell comprend les secteurs Services sans fil de Bell, Services sur fil de Bell et Bell Média. |
« Les investissements que Bell consacre à la nouvelle infrastructure de réseaux à large bande, plus élevés que toute autre entreprise dans le secteur, favorisent les services de croissance que sont les services de télé, sans fil, Internet et de médias, ce qui a contribué à une hausse des produits tirés des services de croissance de 183 millions $, ou 5,3 %, d'un exercice à l'autre au T3. Éléments essentiels pour que Bell s'impose comme une force concurrentielle dans le secteur des communications canadiennes, ces services de croissance constituent actuellement jusqu'à 82 % des produits des activités ordinaires de Bell, alors que les services de téléphonie résidentiels traditionnels n'en représentent plus que 8 % », affirme George Cope, président et chef de la direction de Bell Canada et de BCE. « Nous avons enregistré une croissance exceptionnelle au chapitre de l'adoption des téléphones intelligents et de l'utilisation des services de données, et ce, malgré la mise en application du nouveau code fédéral sur les services sans fil, grâce à des résultats financiers dominant le marché pour Bell Média, à l'ajout de l'équipe d'Astral, et à notre meilleure performance dans les services résidentiels sur fil depuis 2005, dans la foulée de la popularité croissante de Bell Télé Fibe et de Bell Internet Fibe. Notre stratégie consistant à fournir aux clients dans nos secteurs de la consommation et d'affaires partout au Canada les meilleurs services de communications disponibles dans le monde vient appuyer le succès croissant de Bell dans le marché des communications concurrentiel et sa solide performance financière. »
Bell concentre ses efforts sur un objectif clair, celui d'être reconnue par les clients comme la plus grande entreprise de communications du Canada, qu'elle compte atteindre grâce à l'exécution de six impératifs stratégiques : investir dans les réseaux et les services large bande, accélérer le sans-fil, tirer meilleur parti du sur-fil, accroître notre leadership dans les médias, améliorer le service à la clientèle et établir une structure de coûts concurrentielle.
« Nos résultats financiers du troisième trimestre sont très satisfaisants dans tous les secteurs opérationnels de Bell; mentionnons l'excellente croissance dans les deux chiffres pour le sans-fil et le BAIIA du secteur Média, ce qui a soutenu la forte croissance du bénéfice ajusté et des flux de trésorerie disponibles. Nous avons également continué de tirer parti de nos réseaux à large bande évolués et de nos services pour réaliser un nombre impressionnant d'activations nettes d'abonnés dans les services sans fil et les services résidentiels sur fil, ce qui constitue le point d'ancrage du maintien d'une bonne performance financière dans l'avenir », affirme Siim Vanaselja, chef des affaires financières de Bell et de BCE. « Compte tenu du maintien à bon niveau attendu de la rentabilité dans le sans-fil, de l'amélioration des perspectives financières dans le sur-fil et de la contribution importante d'Astral aux résultats de notre secteur Bell Média, notre plan financier pour 2013 est sur la bonne voie et nous reconfirmons aujourd'hui tous nos objectifs de l'orientation de Bell et de BCE pour l'exercice. »
En outre, la situation de capitalisation du régime de retraite à prestations définies de Bell Canada s'est grandement améliorée depuis le début de l'exercice, reflétant la hausse des taux d'intérêt en 2013. À la fin du T3 2013, le ratio de solvabilité du régime de retraite à prestations définies de Bell était de plus de 90 %. L'amélioration de la situation au plan de la solvabilité du régime de retraite de Bell Canada favorise la souplesse financière à long terme de Bell en réduisant nos besoins de financement futurs au titre des régimes de retraite.
RÉSULTATS DE BCE
Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de BCE s'est établi à 343 millions $ au T3 2013, ou 0,44 $ par action ordinaire, comparativement à 527 millions $, ou 0,68 $ par action ordinaire, au T3 2012. La diminution d'un exercice à l'autre est imputable à l'obligation de 230 millions $ au titre des avantages tangibles dont le paiement a été imposé à Bell par le CRTC, dans le cadre de l'acquisition d'Astral Media inc. (Astral). Le bénéfice par action ajusté (BPA ajusté)(1) s'est établi à 0,75 $ par action ordinaire, en hausse de 7,1 % par rapport à l'exercice précédent, ce qui reflète la portée concrète de l'augmentation du BAIIA engendrée par la forte croissance d'un exercice à l'autre des Services sans fil de Bell et de Bell Média.
Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles de BCE se sont élevés à 1 730 millions $ au T3, en hausse de 139 millions $ par rapport à l'exercice précédent. Les flux de trésorerie disponibles(2) pour les actionnaires ordinaires de BCE ont augmenté de 61 millions $, ou 8,9 %, pour se chiffrer à 747 millions $, ce qui est principalement attribuable à la hausse du BAIIA(3) et à l'augmentation du fonds de roulement.
À la fin du T3, BCE (Bell et Bell Aliant y compris) comptait au total 7 951 182 abonnés du sans-fil, soit une hausse de 3,0 % par rapport au T3 2012, 2 438 100 abonnés des services de télé (ce qui inclut 582 393 abonnés du service de télé IP reflétant l'ajout de 87 355 nouveaux abonnés nets du service de télé IP au T3 2013), soit une augmentation de 7,1 %, 3 102 627 abonnés d'Internet haute vitesse, soit une augmentation de 2,7 %, et 7 730 283 abonnés des SAR, soit une diminution de 6,9 %.
RÉSULTATS DE BELL
Au T3 2013, les produits opérationnels de Bell ont augmenté de 3,0 % pour s'établir à 4 524 millions $, l'inclusion d'Astral ayant contribué à la croissance des produits de Bell Média de 21,6 %. La croissance de 4,1 % des produits des services sans fil, la croissance des produits tirés des services de télé et Internet, la croissance des produits tirés des services de connectivité IP et des solutions d'affaires, ainsi que l'augmentation des ventes de produits de données d'affaires ont également contribué à la hausse des produits consolidés de Bell ce trimestre.
Le BAIIA de Bell a augmenté de 3,0 % au T3, soutenu par la croissance de 26,8 % de Bell Média et de 11,6 % du BAIIA des Services sans fil. Cette progression a été modérée par la diminution de 5,6 % du BAIIA des Services sur fil reflétant la comptabilisation au T3 2012 d'un profit non récurrent au titre de l'abandon graduel d'avantages postérieurs à l'emploi pour certains employés et la réduction des montants à payer au CRTC relativement au Fonds pour l'amélioration de la programmation locale (FAPL), qui, ensemble, ont totalisé 29 millions $. Exclusion faite de ces deux éléments, le BAIIA des Services sur fil de Bell a diminué de 2,7 % au cours du trimestre. La marge consolidée du BAIIA de Bell est demeurée inchangée, à 38,4 %, grâce à la progression du PMU (produit moyen par unité) des services sans fil, à la diminution du volume des activations d'abonnés des services sans fil postpayés et des mises à niveau par rapport à l'exercice précédent, à la diminution de l'érosion des services voix sur fil et à la stabilisation de la performance dans les marchés affaires.
RÉSULTATS OPÉRATIONNELS DE BELL PAR SECTEUR
La performance opérationnelle de Bell au troisième trimestre de 2013 s'est illustrée par une solide croissance des produits des activités ordinaires et du BAIIA combinée à une marge stable d'un exercice à l'autre. Nous avons continué de tirer parti de nos réseaux à large bande évolués et de nos services pour recruter un nombre considérable de nouveaux abonnés des services sans fil postpayés, un nombre record de nouveaux abonnés de Télé Fibe, un nombre sensiblement plus élevé d'abonnés du service Internet haute vitesse, tout en enregistrant une diminution du taux de désabonnement et une augmentation du PMU dans l'ensemble de nos services résidentiels sur fil et sans fil. Compte tenu de l'apport d'Astral et de la forte croissance interne quant aux produits tirés de la publicité, Bell Média a contribué de façon importante à la croissance du BAIIA consolidé de Bell ce trimestre.
Bell a consacré 742 millions $ en nouveau capital au T3 2013, une augmentation de 7,8 % d'un exercice à l'autre, pour soutenir la poursuite de l'expansion de Télé Fibe, le déploiement rapide de la fibre à large bande dans un plus grand nombre de foyers et d'entreprises, et l'accroissement de la capacité du réseau sans fil en vue de satisfaire à l'augmentation de l'utilisation des services de données.
SERVICES SANS FIL DE BELL
Les produits opérationnels des Services sans fil de Bell ont augmenté de 4,1 % pour s'établir à 1 493 millions $ au T3 2013, comparativement à 1 434 millions $ au T3 2012. Les produits tirés des services ont augmenté de 5,0 % pour se chiffrer à 1 372 millions $, ce qui s'explique par la croissance de la clientèle d'abonnés des services postpayés et la hausse du PMU combiné. Les produits tirés des services de données sans fil ont augmenté de 18,4 % du fait de l'adoption croissante des téléphones intelligents et de l'utilisation des services Internet et de données sans fil, comme le service Télé Mobile.
Le BAIIA des Services sans fil de Bell a augmenté de 11,6 % au T3 2013, en raison de la progression du PMU, du nombre moindre d'activations brutes de services postpayés et de mises à niveau d'un exercice à l'autre, ainsi que de la gestion rigoureuse des coûts. Cette augmentation a contribué à une forte amélioration de 2,7 points de pourcentage de la marge liée aux services, qui s'élève à 45,0 % contre 42,3 % au T3 2012, soit la meilleure performance trimestrielle en quatre ans :
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés au T3 se sont établis à 102 714. Ce chiffre reflète une diminution de 10,6 % des activations brutes des services postpayés attribuable au nombre moindre d'offres promotionnelles, à la réduction des rabais sur les combinés, aux prix des nouveaux forfaits de deux ans découlant du code de conduite fédéral sur les services sans fil, ainsi qu'à la disponibilité réduite de certains nouveaux modèles de téléphones intelligents. Les pertes nettes d'abonnés des services prépayés ont reculé de 29,3 %, pour se chiffrer à 13 255 ce trimestre, du fait que les désactivations d'abonnés ont été moindres.
- Les utilisateurs de téléphones intelligents représentaient 73 % du total des abonnés des services postpayés à la fin du trimestre, comparativement à 60 % à l'exercice précédent. La clientèle d'abonnés des services postpayés des Services sans fil de Bell totalisait 6 683 646 abonnés à la fin du T3, une augmentation de 6,4 % par rapport à l'exercice précédent, tandis que la clientèle totale des Services sans fil de Bell a augmenté de 3,0 %, pour s'établir à 7 805 100.
- Le taux de désabonnement des services postpayés et des services prépayés est demeuré inchangé, à 1,2 % et à 3,3 %, respectivement. Le taux de désabonnement combiné des services sans fil a diminué de 10 points de base au T3 2013 pour s'établir à 1,5 %, ce qui reflète la proportion plus importante des abonnés des services postpayés dans notre clientèle.
- Le PMU combiné a augmenté de 1,7 % pour s'établir à 58,30 $ ce trimestre, ce qui représente un quinzième trimestre consécutif d'amélioration d'un exercice à l'autre. L'augmentation découle de l'utilisation plus intensive des services de données du fait de la proportion accrue d'utilisateurs de téléphones intelligents.
- Le coût d'acquisition a augmenté de 1,5 % pour se chiffrer à 403 $ par activation brute, ce qui reflète la hausse des commissions de vente payées en raison d'une plus grande diversité de téléphones intelligents assortis de contrats de services postpayés.
- Les coûts de fidélisation de la clientèle en pourcentage des produits tirés des services se sont établis à 9,3 %, comparativement à 10,1 % au T3 2012, ce qui reflète la diminution au chapitre des mises à niveau par rapport à l'exercice précédent.
- Bell continue d'offrir aux abonnés un accès au plus vaste réseau 4G LTE du Canada, qui couvre environ 77 % de la population canadienne, complété par la couverture du réseau 4G HSPA+ rejoignant plus de 98 % de la population.
- Au cours du trimestre, le service Télé Mobile de Bell a accueilli son millionième abonné. Ce service offre un accès mobile, en direct et sur demande, à la programmation de chaînes de sports, d'actualités, de divertissement et de télé pour enfants. En outre, l'application Bell Télé permet aux abonnés d'accéder à 70 autres chaînes en direct et sur demande à partir de leur téléphone intelligent ou de leur tablette.
- Bell continue d'offrir aux Canadiens les dernières nouveautés en matière de technologie mobile avec l'introduction d'appareils récents, dont l'iPhone 5c et l'iPhone 5s d'Apple, le BlackBerry Q5, le LG G2, le Samsung Galaxy Mega et Galaxy Note 8.0, le Sony Xperia SP et le Sony Xperia Z ainsi que le Sonim 5560 IS Appuyer-pour-parler à conception ultrarobuste. En outre, l'iPad et l'iPad mini d'Apple sont maintenant disponibles directement de Bell.
- En septembre, Bell a réduit de 50 % les tarifs de ses forfaits de services sans fil consommateurs les plus populaires pour les données, les appels et les textos en itinérance aux États-Unis. De plus, en octobre, elle a annoncé d'importantes réductions de tarifs pour les données, les appels et les textos en itinérance aux Bermudes et dans la plupart des îles des Caraïbes. Bell est déterminée à travailler avec ses partenaires de télécommunications dans le monde pour offrir d'autres réductions des coûts d'itinérance aux consommateurs en renégociant ses ententes avec les fournisseurs de télécommunications étrangers grâce auxquelles les clients des services mobiles peuvent se servir de leur téléphone dans plus de 200 pays.
- La Société de transport de Montréal (STM), Bell et trois autres entreprises canadiennes de services sans fil ont annoncé en septembre qu'elle travaillent en collaboration pour développer un nouveau réseau souterrain dans le métro de Montréal. La planification et la conception du projet sont en cours et les travaux d'installation devraient être amorcés cette année. Les coûts de déploiement, qui sont estimés à 50 millions $, seront assumés en parts égales par les quatre fournisseurs de services sans fil participants.
SERVICES SUR FIL DE BELL
Le rythme de diminution des produits tirés des Services sur fil de Bell est demeuré stable, par rapport à l'exercice précédent, diminuant modestement de 0,9 % pour s'établir à 2 482 millions $, du fait que l'augmentation des produits tirés des services de télé et Internet, la croissance plus soutenue des produits tirés des services de connectivité IP et de solutions d'affaires ainsi que l'augmentation des ventes de produits de données aux grandes entreprises clientes ont largement compensé la baisse des produits tirés des services voix. Le rythme de diminution des produits tirés des services voix a ralenti pour un quatrième trimestre consécutif. Ce ralentissement de l'érosion des services voix est attribuable à la diminution des pertes d'abonnés des SAR par rapport au T3 2012 et au ralentissement de l'érosion des produits tirés des services interurbains grâce aux ventes accrues de minutes de conversations interurbaines globales.
Le BAIIA des Services sur fil de Bell a diminué de 5,6 % ce trimestre, dégageant une marge de 37,2 % comparativement à 39,0 % au T3 2012. La diminution du BAIIA et de la marge des Services sur fil ce trimestre a été touchée par la comptabilisation au T3 2012 d'un profit non récurrent au titre de l'abandon graduel d'avantages postérieurs à l'emploi dans une filiale des Services sur fil de Bell et d'une réduction des montants à payer au CRTC relativement au FAPL, qui, ensemble, ont totalisé 29 millions $. Exclusion faite de ces deux éléments, le BAIIA des Services sur fil de Bell a diminué de 2,7 % au T3 2013, reflétant les coûts d'acquisition accrus d'environ 14 millions $ que nous avons subis en raison du nombre considérablement plus élevé de nouvelles activations d'abonnés des services Télé Fibe et Internet au T3 2013 par rapport à l'exercice précédent.
- Le total des ajouts nets d'abonnés résidentiels de Bell, incluant les abonnés des SAR résidentiels, a été positif pour la première fois depuis 2005, année du lancement des services de téléphonie par câble. Le total des ajouts nets d'abonnés résidentiels s'est chiffré à environ 28 000 au T3, soit une hausse de 74 000 d'un exercice à l'autre favorisée par le nombre record des activations du service Télé Fibe et la forte performance des services Internet qui, à son tour, a fait augmenter les activations des SAR résidentiels et a renforcé la fidélisation.
- Les acquisitions d'abonnés du service Bell Télé Fibe ont augmenté ce trimestre avec l'ajout de 72 813 nouveaux abonnés nets, en hausse de 69,4 % par rapport au T3 2012. L'expansion continue de la zone de couverture de notre service de télé IP et le lancement en mai de récepteurs sans fil exclusifs ont contribué au raffermissement de la demande pour le service Télé Fibe ce trimestre. À la fin du T3 2013, les abonnés du service Bell Télé Fibe totalisaient 419 129, soit plus du double des 200 064 abonnés enregistrés à la fin du T3 2012.
- Dans la foulée de l'expansion continue de la zone de couverture de notre service Télé Fibe dans diverses collectivités de l'Ontario et du Québec (dont l'expansion à Ottawa au cours du trimestre), le service de télé IP de Bell rejoignait environ 4,1 millions de foyers, en hausse contre 2,9 millions à la fin du T3 2012.
- Les pertes nettes totales d'abonnés du service Bell Télé Satellite ont diminué de 3,7 % ce trimestre, s'établissant à 26 128, ce qui reflète la diminution du nombre de désactivations d'abonnés.
- Les ajouts nets combinés d'abonnés des services Bell Télé Fibe et Bell Télé Satellite ont presque triplé ce trimestre, par rapport à l'exercice précédent, pour s'établir à 46 685, contre 15 846. Le nombre d'abonnés de Bell Télé a totalisé 2 242 244 à la fin du T3 2013, ce qui représente une augmentation de 4,9 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les ajouts nets d'abonnés d'Internet haute vitesse de Bell se sont élevés à 36 638, comparativement à 13 416 au T3 2012, la meilleure performance trimestrielle en plus de six ans. Cette augmentation reflète l'effet des activations d'abonnés de Bell Télé Fibe, le nombre accru d'activations auprès de la clientèle étudiante au cours de la période du retour en classe ainsi que l'amélioration au chapitre des activations d'abonnés d'affaires. Bell comptait au total 2 157 713 abonnés d'Internet haute vitesse, soit une hausse de 2,4 % depuis la fin du T3 2012.
- Les produits tirés des services de données sur fil ont augmenté de 2,5 % pour s'établir à 1 426 millions $, principalement en raison de la hausse des produits tirés des services de télé et Internet entraînée par la croissance de la clientèle des services Fibe, de l'augmentation des produits tirés des services de connectivité IP, de la progression des dépenses de nos moyennes et grandes entreprises clientes pour des services d'affaires professionnels, et de la croissance des ventes de produits de données.
- Les pertes nettes au chapitre des SAR résidentiels ont diminué de 30,3 %, ou 25 583, comparativement à celles du T3 2012, pour s'établir à 58 957, ce qui reflète des taux plus faibles de mouvement des abonnés résidentiels des SAR dans les zones où est offert le service Fibe, de même que le succès de nos offres promotionnelles pendant la période des déménagements résidentiels de juillet au Québec.
- Les pertes d'abonnés d'affaires des SAR au T3 2013 ont augmenté de 15,3 %, en hausse de 3 786 par rapport à l'exercice précédent, pour s'établir à 28 526. Ce résultat est imputable au nombre accru de désactivations dans notre marché des grandes entreprises par suite de l'abandon graduel des lignes téléphoniques au profit des services IP et des pertes dues à la concurrence. Cette situation a été partiellement contrebalancée par le nombre moindre de pertes d'abonnés dans nos marchés de gros, de masse et des moyennes entreprises par rapport au T3 2012.
- La clientèle totale des SAR de Bell à la fin du trimestre était de 5 338 008, soit une diminution de 7,5 %. Compte tenu de ces pertes d'abonnés, les produits tirés des services locaux et d'accès de Bell ont diminué de 8,0 % pour s'établir à 613 millions $, tandis que les produits tirés des services interurbains ont baissé de 4,2 % pour s'établir à 184 millions $.
- Bell a lancé son nouveau Centre de gestion des communications intermachines, un portail en ligne sécurisé offrant aux entreprises canadiennes une gamme complète d'outils pour gérer des appareils connectés à l'échelle de leur organisation. Ce service, mis au point en collaboration avec Ericsson, permet aux clients des services de communications intermachines de Bell de voir, de gérer et de contrôler à distance leurs appareils connectés à un réseau (p. ex., parcomètres, compteurs d'électricité, machines distributrices, panneaux publicitaires) à l'aide d'une plateforme libre-service infonuagique.
BELL MÉDIA
Bell Média a enregistré une solide performance financière et opérationnelle ce trimestre. L'augmentation des produits tirés de la publicité et des frais d'abonnement reflète l'acquisition d'Astral, qui fait maintenant partie du secteur Bell Média, générant une croissance des produits de 21,6 % d'un exercice à l'autre, à 664 millions $, et du BAIIA, de 26,8 %, à 199 millions $. Cette progression a contribué à l'augmentation de la marge du BAIIA du secteur Média, qui s'est établie à 30 % (comparativement à 28,8 % au T3 2012) grâce à la gamme plus étoffée des propriétés de télé spécialisée et payante de Bell Média.
- CTV s'est placé au premier rang des réseaux canadiens durant la saison d'été dans toutes les catégories démographiques, comptant 11 des 20 émissions les plus écoutées par les téléspectateurs à l'échelle nationale. Dans les heures de grande écoute, la cote d'écoute moyenne de CTV était de 57 % supérieure à celle de son plus proche concurrent en télé traditionnelle.
- Bell Média a produit The Amazing Race Canada; dès son lancement, cette série a enregistré des résultats records. Comptant en moyenne 3,5 millions de téléspectateurs, l'émission s'est hissée en tête du palmarès de la programmation d'été, a obtenu les meilleures cotes d'écoute de toutes les séries canadiennes, a été jugée meilleure présentation en primeur et a obtenu les meilleures cotes d'écoute pour une première saison parmi toutes les émissions.
- Dans ses propriétés de télé spécialisée, Bell Média a rejoint 84 % des téléspectateurs de télé spécialisée et payante de langue anglaise d'une semaine moyenne au troisième trimestre, avec en tête TSN, dont l'auditoire moyen a connu une hausse grâce au football de la LCF et de la NFL; Discovery, la chaîne spécialisée dans le divertissement la plus populaire au Canada; Bravo, le réseau de télé spécialisée affichant la croissance la plus rapide chez les jeunes téléspectateurs; The Comedy Network; et TMN, la figure de proue parmi les chaînes de télé payante aux heures de grande écoute au Canada.
- Bell Média se classe maintenant huitième parmi toutes les propriétés en ligne au Canada, en hausse d'un rang par rapport au trimestre précédent, et première parmi tous les fournisseurs de réseaux de diffusion et vidéo de diffusion au Canada, avec une moyenne mensuelle de 3,3 millions de visiteurs uniques, de 385 millions de pages consultées et de 94 millions de vidéos regardées.
- Le 26 août 2013, Bell a annoncé la vente de deux stations de radio de Toronto (CHBM-FM et CFXJ-FM) et de trois stations de radio de Vancouver (CKZZ-FM, CHHR-FM et CISL-AM) à Newcap Inc., filiale en propriété exclusive de Newfoundland Capital Corporation, en contrepartie de 112 millions $ plus la reprise de certains passifs. Bell se départit de ces stations de radio, acquises dans le cadre de l'acquisition d'Astral, afin de se conformer à la politique du CRTC concernant la propriété commune. La transaction doit être approuvée par le CRTC et le Bureau de la concurrence.
FAITS RÉCENTS TOUCHANT NOTRE SOCIÉTÉ
Bell a été récompensée d'un Prix Canada pour l'excellence en reconnaissance de son programme de santé mentale en milieu de travail. Le Prix argent pour la santé mentale au travail - la plus haute récompense jamais décernée par Excellence Canada - souligne l'engagement exemplaire de Bell dans le domaine de la santé mentale au travail dans le cadre de l'initiative Bell Cause pour la cause. Au cours des trois dernières années, Bell a élaboré des programmes destinés à favoriser la santé mentale en milieu de travail, à encourager une prise de conscience de la stigmatisation entourant la maladie mentale et à doter les chefs d'équipe des outils et des ressources nécessaires pour soutenir leurs employés.
En septembre, le président du conseil de BCE, Thomas O'Neill, FCA, a reçu le Prix de mérite exceptionnel des comptables professionnels agréés de l'Ontario. Sous le leadership de M. O'Neill, le conseil d'administration de BCE a été reconnu deux fois cette année pour l'excellence de sa gouvernance d'entreprise. BCE a obtenu le tout premier prix de la meilleure gouvernance globale d'entreprise de la Société canadienne des secrétaires corporatifs, tandis que la Coalition canadienne pour une saine gestion des entreprises a remis à BCE son prix Gavel, en reconnaissance des communications exceptionnelles de l'entreprise avec ses actionnaires.
George Cope a été désigné dirigeant d'entreprise de l'année 2013, recevant le prix Ivey Business Leader, en reconnaissance de la part prééminente qu'il a prise dans le milieu des affaires et de sa contribution à la collectivité, ce qui comprend le lancement de l'initiative en santé mentale Bell Cause pour la cause et de son rôle comme président de la campagne 2013 de Centraide à Toronto. Titulaire depuis 1984 d'un baccalauréat en administration des affaires de la Richard Ivey School of Business de l'Université Western, M. Cope rejoint les rangs des prestigieux récipiendaires provenant d'entreprises de partout au Canada ayant déjà reçu ce prix pour avoir joué un leadership exemplaire dans le milieu des affaires ainsi que dans leur collectivité.
RÉSULTATS DE BELL ALIANT
Les produits des activités ordinaires de Bell Aliant (TSX : BA), de 696 millions $ au T3 2013, ont diminué de 0,3 % par rapport au T3 2012, la croissance enregistrée dans les services Internet et de télé ayant été contrebalancée par la baisse continue des produits tirés des services locaux et d'accès ainsi que des services interurbains. Le BAIIA de Bell Aliant a diminué de 2,1 % pour s'établir à 324 millions $ ce trimestre du fait de la hausse de 1,4 % des coûts opérationnels liée à la croissance de ses services FibreOP. Pour en savoir plus, visitez le site BellAliant.ca.
DIVIDENDE SUR LES ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de 0,5825 $ par action ordinaire, payable le 15 janvier 2014 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 16 décembre 2013.
PERSPECTIVES
L'orientation de BCE pour 2013, présentée le 7 février 2013, mise à jour le 8 août 2013 pour refléter l'acquisition d'Astral, et reconfirmée le 7 novembre 2013, est la suivante :
Orientation du 7 février |
Orientation du 8 août |
Prévisions actuelles sur l'orientation |
|
Bell(i) | |||
Croissance des produits des activités ordinaires | 0 % à 2 % | 2 % à 4 % | Sur la bonne voie |
Croissance du BAIIA | 1 % à 3 % | 3 % à 5 % | Sur la bonne voie |
Intensité du capital | 16 % à 17 % | Aucun changement | Sur la bonne voie |
BCE | |||
BPA ajusté(ii) | 2,97 $ à 3,03 $ | Aucun changement | Sur la bonne voie |
Croissance des flux de trésorerie(iii) | 5 % à 9 % | Aucun changement | Sur la bonne voie |
Dividende annuel par action ordinaire | 2,33 $ | Aucun changement | Sur la bonne voie |
(i) | L'orientation financière de Bell pour 2013 concernant les produits des activités ordinaires, le BAIIA et l'intensité du capital exclut Bell Aliant. | |
(ii) | Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les (profits nets) pertes nettes sur placements et les primes au remboursement anticipé de la dette. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE Inc. | |
(iii) | Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des coûts liés aux acquisitions payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, plus les dividendes/distributions reçu(e)s de Bell Aliant, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes/distributions payé(e)s par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. |
CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE À L'INTENTION DES ANALYSTES FINANCIERS
BCE tiendra une conférence téléphonique à l'intention des analystes financiers afin de traiter de ses résultats du T3 2013, le jeudi 7 novembre, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs seulement.
Pour participer, composez le numéro sans frais 1-866-226-1792 ou le 416-340-2216. Une reprise sera disponible pendant une semaine, au 1-800-408-3053 ou au 905-694-9451 (composez le code d'identification 3092522#).
La conférence téléphonique sera archivée sur le site Web de BCE sous Appel conférence sur les résultats de BCE pour le T3 2013. Le fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur cette page, peu de temps après la conférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent communiqué est non auditée.
(1) | Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Au début de 2013, notre définition du bénéfice net ajusté a été modifiée pour exclure les primes au remboursement anticipé de la dette afin d'harmoniser nos méthodes de présentation de l'information financière avec celles de nos pairs. Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les (profits nets) pertes nettes sur placements et les primes au remboursement anticipé de la dette. Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté, entre autres mesures, pour évaluer la performance de nos activités, avant l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des (profits nets) pertes nettes sur placements et des primes au remboursement anticipé de la dette, déduction faite de l'impôt et de la participation ne donnant pas le contrôle. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de rendement de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et le BPA sont les mesures financières selon les IFRS les plus comparables. Le tableau ci-après présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement. |
(en millions de dollars, sauf les montants par action) | ||||
T3 2013 | T3 2012 | |||
TOTAL | PAR ACTION | TOTAL | PAR ACTION | |
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires | 343 | 0,44 | 527 | 0,68 |
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres | 222 | 0,29 | 19 | 0,02 |
Profits nets sur placements | (2) | (0,01) | - | - |
Primes au remboursement anticipé de la dette | 21 | 0,03 | - | - |
Bénéfice net ajusté | 584 | 0,75 | 546 | 0,70 |
(2) | Le terme flux de trésorerie disponibles n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Au début de 2013, notre définition des flux de trésorerie disponibles a été modifiée pour exclure le financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, car il s'agit d'une utilisation discrétionnaire de la trésorerie excédentaire. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des coûts liés aux acquisitions payés et du financement de la cotisation volontaire au régime de retraite, plus les dividendes/distributions reçu(e)s de Bell Aliant, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées, les dividendes/distributions payé(e)s par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle et les flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant. Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un important indicateur de la solidité financière et du rendement de nos activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles pour rembourser la dette et réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents. Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles sont la mesure financière selon les IFRS la plus comparable. Le tableau ci-après présente un rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles et des flux de trésorerie disponibles, sur une base consolidée. |
(en millions de dollars) | ||
T3 2013 | T3 2012 | |
Flux de trésorerie provenant des activités opérationnelles | 1 730 | 1 591 |
Dividendes/distributions de Bell Aliant à BCE | 48 | 48 |
Dépenses d'investissement | (880) | (832) |
Dividendes en espèces payés sur actions privilégiées | (38) | (27) |
Dividendes/distributions en espèces payé(e)s par des filiales aux détenteurs de participations ne donnant pas le contrôle | (68) | (85) |
Coûts liés aux acquisitions payés | 32 | 39 |
Flux de trésorerie disponibles de Bell Aliant | (77) | (48) |
Flux de trésorerie disponibles | 747 | 686 |
(3) | Le terme BAIIA n'a pas de définition normalisée en vertu des IFRS. Il est donc peu probable qu'il puisse être comparé avec des mesures similaires présentées par d'autres entreprises. Nous définissons le BAIIA comme les produits opérationnels moins les coûts opérationnels, tel qu'il est présenté dans les comptes consolidés de résultat de BCE. Nous utilisons le BAIIA pour évaluer la performance de nos entreprises puisqu'il reflète leur rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent le BAIIA pour évaluer la capacité d'une société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des télécommunications. Le BAIIA est également un facteur dans la détermination de la rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière selon les IFRS directement comparable au BAIIA. Pour remédier à la situation, le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA de BCE. |
(en millions de dollars) | |||
T3 2013 | T3 2012 | ||
Bénéfice net | 452 | 644 | |
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres | 297 | 25 | |
Amortissement des immobilisations corporelles | 683 | 673 | |
Amortissement des immobilisations incorporelles | 162 | 180 | |
Charges financières | |||
Charge d'intérêts | 242 | 225 | |
Intérêt lié aux obligations au titre des avantages postérieurs à l'emploi | 38 | 33 | |
Autres (charges) produits | 24 | 8 | |
Impôt sur le résultat | 165 | 231 | |
BAIIA | 2 063 | 2 019 |
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre orientation financière pour 2013 (ce qui comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA, l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), nos perspectives commerciales, nos objectifs, nos plans et nos priorités stratégiques, le dividende par action ordinaire annualisé de BCE pour 2013, nos plans d'investissement et de déploiement pour les réseaux de fibre à large bande, le service de télé IP et les réseaux sans fil, le dessaisissement proposé de certaines stations de radio d'Astral et de Bell Média, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques, constituent des déclarations prospectives. Habituellement, les termes comme hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, plan, stratégie, cible et d'autres expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser, s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier, chercher à et aspirer à, permettent de repérer les déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites conformément aux dispositions refuges prévues dans les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur plusieurs hypothèses, tant générales que spécifiques, donnant lieu à la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent de façon importante des attentes exprimées ou sous-entendues dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints. Par conséquent, nous ne pouvons garantir la réalisation des déclarations prospectives et nous mettons en garde le lecteur contre le risque d'accorder une confiance sans réserve à ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date du 7 novembre 2013 et, par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les lois canadiennes en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 7 novembre 2013. L'incidence financière de ces transactions, de ces éléments non récurrents ou d'autres éléments exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend des faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives sont présentées dans le présent communiqué dans le but d'aider les investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats financiers prévus pour 2013, ainsi que nos objectifs, nos priorités stratégiques et notre perspective commerciale pour 2013, et à mieux comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché et aux activités opérationnelles et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations prospectives pour 2013 contenues dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché canadiens
- la croissance de l'économie canadienne de 1,6 % en 2013, selon la plus récente estimation de la Banque du Canada, soit une diminution de 20 points de base comparativement à l'estimation antérieure de 1,8 %;
- la lenteur de la croissance des niveaux d'emploi et du nombre d'entreprises nouvellement formées, qui nuit à la demande globale provenant des clients d'affaires;
- le maintien du niveau de concurrence dans le marché résidentiel et le marché d'affaires des services sur fil et des services sans fil;
- une augmentation des remplacements de services sur fil, principalement en raison de l'intensification du phénomène de substitution technologique par le sans-fil et les services Internet;
- un taux de pénétration accru du marché du sans-fil, surtout en raison de l'adoption rapide des téléphones intelligents, des tablettes et des applications de données, de l'expansion du service LTE dans la plupart des marchés urbains et suburbains, de la multiplication des appareils 4G et de l'augmentation de la population;
- un marché publicitaire moins dynamique pour Bell Média.
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles concernant les Services sur fil de Bell (excluant Bell Aliant)
- la stabilisation du taux d'érosion au chapitre des SAR résidentiels, à mesure que nos investissements dans les réseaux à large bande pour Télé Fibe permettent d'accroître la pénétration des trois produits par foyer, d'étendre notre part de marché des immeubles à logements multiples et de générer des tarifs plus élevés pour les ventes complémentaires de nos services Internet et de téléphonie résidentiels, hypothèse assujettie au risque lié aux offres promotionnelles encore plus accrocheuses lancées par nos concurrents dans la câblodistribution ainsi qu'aux plans de moins en moins coûteux de services sans fil illimités au Canada, qui sont susceptibles de faire augmenter le nombre de pertes d'abonnés résidentiels des SAR;
- l'augmentation des acquisitions d'abonnés de Bell Télé générée par les clients de plus en plus nombreux à opter pour le service Télé Fibe, à mesure que nous étendons la zone de couverture de notre réseau de fibre à large bande pour la télé IP dans certaines régions de l'Ontario et du Québec, que nous utilisons notre capacité de faire des gains supplémentaires sur le marché des immeubles à logements multiples, et que nous mettons à profit notre vaste réseau de distribution au détail (qui comprend La Source) et notre position de chef de file du secteur de la programmation haute définition (HD);
- l'amélioration des acquisitions d'abonnés de Bell Internet grâce à la couverture plus étendue du réseau de fibre et aux vitesses plus élevées, rendues possibles par notre investissement considérable dans les réseaux, et à la mise en œuvre de nouvelles technologies pour favoriser l'expansion du service Télé Fibe et les ventes complémentaires de services Internet;
- l'amélioration graduelle du rendement de notre unité Marchés Affaires découlant de la progression des dépenses des clients, de la formation de nouvelles entreprises et de l'accroissement de la demande pour les services de connectivité et de technologie de l'information et des communications (TIC) dans le sillage du raffermissement de l'économie et de l'amélioration des niveaux d'emploi, sous réserve du risque lié aux stratégies axées sur la prudence adoptées par les clients d'affaires, ce qui pourrait limiter les besoins en matière de dépenses d'investissement et entraîner le report des projets de TIC;
- la poursuite de la migration des clients vers les systèmes IP, une intensification accrue de la concurrence dans nos marchés de masse et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et d'autres entreprises de télécommunications étant de plus en plus axés sur le segment d'affaires, et les pressions continues de la concurrence visant à modifier les prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- la réalisation d'économies de coûts grâce à la réduction des postes de cadre à la suite de départs naturels et de départs à la retraite, à l'efficience des centres d'appels, à l'amélioration de la productivité dans les services extérieurs, aux réductions supplémentaires des taux contractuels des fournisseurs, à la diminution des coûts de l'impression et de la mise à la poste, à l'efficacité de la gestion des coûts relatifs au contenu et à la réduction du trafic non acheminé par notre propre réseau.
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles concernant les Services sans fil de Bell (excluant Bell Aliant)
- les Services sans fil de Bell, qui profiteront de la portée concrète des investissements effectués en 2012 dans l'acquisition d'abonnés et la fidélisation de la clientèle, ainsi que de l'intensité continue au chapitre des activations de téléphones intelligents et de l'utilisation des services de données;
- la poursuite de la vive concurrence en 2013, car les concurrents tenteront de maintenir ou d'augmenter leur part de marché des services sans fil;
- la croissance des produits tirés de nos services sans fil, qui sera soutenue par la croissance continue de notre clientèle d'abonnés et du PMU, provenant d'une plus grande diversité de téléphones intelligents et d'un nombre plus élevé d'abonnés des services postpayés, qui génèrent une valeur plus élevée, d'une plus grande distribution dans l'Ouest canadien, de nouveaux services et du maintien d'une gestion prudente des tarifs;
- les Services sans fil de Bell, qui tireront parti des perfectionnements technologiques constants apportés par les fabricants à notre gamme de combinés et d'appareils ainsi que de l'accélération des vitesses de transmission qui permettent à nos clients d'optimiser l'utilisation de nos services;
- la multiplication des appareils sans fil plus coûteux et plus perfectionnés, combinée à l'intensification de la concurrence, qui exercera des pressions sur le BAIIA, surtout en raison des rabais plus élevés sur les combinés entraînant l'augmentation des coûts d'acquisition d'abonnés et de fidélisation de la clientèle.
Hypothèses relatives aux activités opérationnelles concernant Bell Média
- la non-récurrence, en 2013, d'événements importants survenus en 2012, incluant les Jeux olympiques d'été de Londres, le lockout dans la LNH et les hausses de tarifs rétroactives des services de programmation spécialisés;
- la croissance des produits tirés des frais d'abonnement, qui devrait découler de la majoration des taux contractuels, établis en fonction du marché, pour nos services spécialisés dans les sports;
- dans la télé traditionnelle, l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques quant à l'approvisionnement en contenu sur quatre écrans, la poursuite des acquisitions fructueuses d'émissions à cotes d'écoute élevées et de contenu différencié pour mettre en œuvre la stratégie de Bell sur le contenu multiécrans, la production et la mise en service d'un contenu canadien de grande qualité, la production de nouvelles occupant la première place sur le marché et les investissements dans la diffusion HD;
- la hausse des coûts à engager pour obtenir du contenu de sports, dans la foulée de la concurrence de plus en plus vive livrée tant par les nouveaux venus que par les concurrents déjà établis et de la hausse normale des tarifs du marché pour le contenu de la télé spécialisée;
- dans nos services de télé spécialisée et payante francophone et anglophone dans des domaines autres que les sports, l'investissement dans de la programmation et de la production de qualité, dans le marketing, ainsi que l'élaboration en cours d'importantes initiatives en matière de partenariats sur les marques dans nos services existants;
- dans le cadre de l'acquisition d'Astral, des réductions des coûts en maximisant les actifs, en réalisant des gains au chapitre de la productivité et en recherchant l'efficacité opérationnelle;
- l'exécution des activités dans les marchés locaux de la radio et de la télé pour offrir aux auditeurs et aux téléspectateurs un contenu de qualité, incorporant des occasions de vente multiplateformes.
Hypothèses financières concernant Bell (excluant Bell Aliant)
La section qui suit présente les principales hypothèses financières de Bell pour 2013.
- un coût total des régimes d'avantages du personnel de Bell qui devrait s'établir à environ 350 millions $, selon un taux d'actualisation comptable estimatif de 4,4 % et un rendement attendu de l'actif des régimes de 4,4 %, qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des régimes d'avantages du personnel supérieur au BAIIA d'environ 230 millions $ et d'une charge financière nette estimative au titre des régimes d'avantages du personnel inférieure au BAIIA d'environ 120 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite totalisant environ 350 millions $;
- des impôts en espèces d'environ 350 millions $, au lieu de 325 millions $;
- une charge d'intérêts nette d'environ 750 millions $;
- des versements d'intérêts nets d'environ 720 millions $;
- des paiements en trésorerie liés aux indemnités de départ d'environ 150 millions $.
Hypothèses financières concernant BCE
La section qui suit présente les principales hypothèses financières de BCE pour 2013.
- un coût total des régimes d'avantages du personnel de BCE qui devrait s'établir à environ 430 millions $ comprenant un montant d'environ 80 millions $ lié à Bell Aliant, qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des régimes d'avantages du personnel supérieur au BAIIA d'environ 290 millions $ et d'une charge financière nette estimative au titre des régimes d'avantages du personnel inférieure au BAIIA d'environ 140 millions $;
- une hausse de la dotation aux amortissements d'environ 25 millions $ par rapport à 2012, au lieu d'une hausse de 50 millions $, découlant de l'augmentation de l'estimation de la durée d'utilité de certains actifs;
- une charge d'intérêts nette d'environ 925 millions $;
- des ajustements fiscaux (par action) d'environ 0,07 $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 26 %;
- une participation ne donnant pas le contrôle semblable à celle de 2012;
- un dividende annuel sur les actions ordinaires de 2,33 $ par action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été considérées comme raisonnables par BCE le 7 novembre 2013, pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient différer de façon importante de nos attentes, telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels pourraient différer de façon importante de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris notre orientation financière pour 2013, sont énumérés ci-dessous. La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans notre orientation financière pour 2013, dépend essentiellement du rendement de notre entreprise qui, à son tour, est assujetti à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde contre le fait que tous les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, ainsi que l'incidence connexe sur notre capacité à conserver nos clients actuels et à en attirer de nouveaux, de même que sur nos stratégies d'établissement des prix, sur notre PMU et sur nos résultats financiers;
- le rythme de substitution technologique, qui contribue à réduire l'utilisation des services voix sur fil traditionnels, et l'augmentation du nombre de foyers qui n'utilisent que les services de téléphonie sans fil;
- l'adoption croissante par les clients des services de télé parallèles;
- la variabilité des coûts d'acquisition d'abonnés et de fidélisation de la clientèle compte tenu du nombre d'acquisitions d'abonnés, du volume de fidélisation, des ventes de téléphones intelligents et des rabais sur les combinés;
- les initiatives ou les procédures réglementaires, les litiges et les modifications apportées aux lois ou aux règlements de même que les questions fiscales;
- notre incapacité à maintenir la performance opérationnelle de notre réseau, notamment en raison d'une augmentation importante de la demande pour les services à large bande et du volume du trafic des services de données sans fil;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de notre équipement, de nos installations et de nos autres actifs, ainsi que notre capacité à les protéger, à les maintenir et à les remplacer;
- notre capacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer le fonctionnement de nos réseaux si des catastrophes environnementales ou des épidémies, des pandémies et d'autres risques liés à la santé survenaient;
- notre capacité à prévoir les changements technologiques et à nous y adapter, à mettre à niveau nos réseaux et à offrir rapidement de nouveaux produits et services;
- notre incapacité à mettre en œuvre, en temps opportun, ou à maintenir des systèmes de technologie de l'information (TI) efficaces, ainsi que la complexité de notre environnement de TI et les coûts qui s'y rapportent;
- la conjoncture économique et les conditions du marché des capitaux, le niveau de confiance et des dépenses des consommateurs, la demande pour nos produits et services ainsi que les prix de ceux-ci;
- notre capacité à mettre en œuvre nos stratégies et nos plans afin de produire les avantages attendus, y compris notre capacité à poursuivre la mise en œuvre de nos initiatives de réduction des coûts et à limiter l'intensité du capital tout en nous efforçant d'améliorer le service à la clientèle;
- les cotisations accrues aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi;
- une gestion du changement inefficace découlant de réorganisations et d'autres initiatives de la société ainsi que de l'intégration d'unités d'affaires et de l'acquisition d'entreprises;
- la complexité de notre gamme de produits et de nos plans tarifaires;
- les interruptions de travail;
- le maintien en poste des employés ainsi que leur rendement;
- les événements ayant une incidence sur la capacité des tiers fournisseurs à nous fournir des produits et des services essentiels et notre capacité à acheter de tels produits et services;
- la qualité de notre réseau et de l'équipement à l'intention des clients et la mesure dans laquelle ils peuvent être sujets à des défauts de fabrication;
- les niveaux des dépenses d'investissement et autres, les exigences liées au financement et à la dette et notre capacité à mobiliser le capital nécessaire à la mise en œuvre de notre plan d'affaires, y compris en ce qui a trait aux paiements de dividendes de BCE ainsi qu'au financement des dépenses d'investissement et autres et, de façon générale, notre capacité à respecter nos obligations financières;
- notre capacité à supprimer certains services traditionnels dans la mesure nécessaire pour améliorer la productivité du capital et l'efficience opérationnelle;
- les risques liés au lancement des satellites utilisés par Bell ExpressVu société en commandite, ou touchant ces satellites lorsqu'ils sont en orbite;
- le vol de nos services de télé par satellite de radiodiffusion directe (SRD);
- la dépendance considérable de Bell Média à l'égard d'une demande continue en publicité et l'incidence négative possible sur celle-ci des conditions économiques, des variations cycliques et saisonnières et des pressions concurrentielles;
- l'incidence défavorable des nouvelles technologies et de la fragmentation accrue au sein des marchés de la télé et de la radio de Bell Média;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils sans fil;
- la dépendance de BCE quant à la capacité de ses filiales, coentreprises et autres sociétés dans lesquelles elle détient une participation de lui payer des dividendes ou de lui faire toute autre distribution;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés par le conseil d'administration de BCE ou que la politique de dividendes de BCE sera maintenue;
- la volatilité des marchés boursiers;
- notre incapacité à rehausser nos pratiques et à effectuer un suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
- notre incapacité à intégrer avec succès Astral au sein de Bell Média et à mener à bien les dessaisissements exigés par le Bureau de la concurrence et le CRTC.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous encourageons les investisseurs à lire également le rapport de gestion annuel 2012 de BCE, daté du 7 mars 2013 (inclus dans le rapport annuel 2012 de BCE) mis à jour dans les rapports de gestion du premier, du deuxième et du troisième trimestres 2013 de BCE, datés du 8 mai 2013, du 7 août 2013 et du 6 novembre 2013, respectivement, pour obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, ces documents étant déposés par BCE auprès des commissions canadiennes en valeurs mobilières (disponibles au www.sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponibles au www.sec.gov). Ces documents sont également disponibles sur le site Web de BCE au www.bce.ca.
À PROPOS DE BCE
BCE est la plus grande entreprise de communications du Canada et fournit un ensemble complet et novateur de services de communications à large bande à ses clients résidentiels et d'affaires, sous les marques Bell et Bell Aliant. Bell Média est la première entreprise canadienne de multimédias. Elle possède des actifs dans les secteurs de la télévision, de la radio et des médias numériques, y compris CTV, premier réseau de télévision du Canada, et les chaînes spécialisées les plus regardées au pays. Pour en savoir plus, visitez le site BCE.ca.
L'initiative en santé mentale de Bell, nommée « Bell Cause pour la cause », est un programme de bienfaisance et de sensibilisation d'envergure nationale, dédié à la promotion de la santé mentale au Canada par l'intermédiaire d'une campagne de lutte contre la stigmatisation marquée par la Journée Bell Cause pour la cause et du financement important fourni par Bell pour l'accès aux soins communautaires, la recherche et les initiatives au travail. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Pour obtenir de l'information sur BCE, visitez le site BCE.ca. Pour de l'information sur les produits et services de Bell, visitez le site Bell.ca. Pour de l'information sur Bell Média, visitez le site BellMedia.ca.
SOURCE : Bell Canada
Questions des médias :
Jean Charles Robillard
Bell, Communications
514-870-4739
[email protected]
Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
Relations avec les investisseurs, BCE
514-870-4619
[email protected]
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