Le présent communiqué de presse contient des déclarations prospectives. Pour obtenir une description des facteurs de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter la section Mise en garde concernant les déclarations prospectives plus loin dans ce communiqué.
- Nombre record pour un T3 d'ajouts nets de 204 067 abonnés des services sans fil, en hausse de 14,8 %, combiné à une croissance de la FMU d'environ 1 % et à une diminution du taux de désabonnement des services postpayés, à 1,12 %, entraînant une plus forte croissance des produits tirés des services sans fil, de 3,5 %, et une augmentation de 7,9 % du BAIIA ajusté
- 293 950 ajouts nets d'abonnés des services sans fil ainsi qu'Internet et de télé IP de détail au total, une hausse de 8,4 %
- 89 883 ajouts nets d'abonnés des services Internet et de télé IP de détail au total; augmentation de 50 points de base de la marge de Bell dans le sur-fil, la plus élevée enregistrée, à 44,2 %
- Maintien de la solide performance financière de Bell Média, les produits des activités ordinaires ayant augmenté de 2,7 % et le BAIIA ajusté, de 24,2 %
- Augmentation du BAIIA ajusté de BCE de 5,6 % découlant de la forte croissance d'un exercice à l'autre dans tous les secteurs opérationnels de Bell, entraînée par des produits des activités ordinaires en hausse de 1,8 % et par l'incidence d'IFRS 16
- Croissance du bénéfice net de 6,3 %, à 922 millions $; bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires en hausse de 6,5 %, à 867 millions $, ou 0,96 $ par action ordinaire, en hausse de 6,7 %; bénéfice net ajusté de 820 millions $ générant un BPA ajusté de 0,91 $, en baisse de 5,2 %
- Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation en hausse de 10,5 %, à 2 258 millions $, croissance des flux de trésorerie disponibles de 17,3 %, à 1 189 millions $
MONTRÉAL, le 31 oct. 2019 /CNW Telbec/ - BCE Inc. (TSX: BCE) (NYSE: BCE) a présenté aujourd'hui les résultats du troisième trimestre (T3) de l'exercice 2019.
« L'engagement de Bell à construire les réseaux de fibre et mobiles de pointe qui permettront aux communications canadiennes d'aller de l'avant continue de se traduire, dans l'immédiat, par d'excellents résultats pour nos actionnaires, nos clients et nos collectivités. L'équipe de Bell s'étant exceptionnellement bien acquittée de sa tâche au T3, nous avons réalisé la plus forte croissance de la clientèle d'abonnés dans l'industrie ─ y compris un nombre record d'ajouts nets d'abonnés des services sans fil pour un T3 ─ nous avons amélioré le taux de satisfaction des clients et nous avons enregistré une solide performance financière », a déclaré George Cope, président et chef de la direction de BCE Inc. et de Bell Canada. « Il s'agit notamment de notre 56e trimestre consécutif d'augmentation d'un exercice à l'autre du BAIIA ajusté et de solide croissance continue des flux de trésorerie disponibles, ce qui nous permet de mettre en œuvre nos objectifs au chapitre de l'investissement dans les réseaux et de la valeur pour les actionnaires. »
« Grâce à la portée, à la capacité et aux vitesses inégalées des réseaux de Bell, ainsi qu'aux innovations qu'elles permettent dans les services et les médias, l'entreprise demeure le chef de file de la dynamique industrie canadienne des communications. Je me réjouis à la perspective de travailler aux côtés du prochain président et chef de la direction de Bell, Mirko Bibic, notre chef de l'exploitation, ainsi qu'avec l'équipe nationale, afin de poursuivre sur cette lancée et de terminer 2019 avec une solide performance au T4. »
PRINCIPAUX FAITS RÉCENTS TOUCHANT NOS ACTIVITÉS
Accès des entreprises clientes de Bell à l'IdO des deux côtés de la frontière
Grâce à un nouveau partenariat d'itinérance avec AT&T portant sur le réseau LTE-M, les entreprises clientes de Bell peuvent maintenant avoir accès à leurs applications Internet des objets (IdO) partout aux États-Unis. Bell s'est imposée comme le leader de l'IdO au Canada avec le lancement du premier réseau LTE-M prêt pour la technologie 5G au pays, lequel prend en charge une panoplie de fonctions IdO utiles aux entreprises, notamment la localisation des actifs, la gestion de parcs de véhicules, les capteurs intelligents et les applications pour villes intelligentes.
Bell Média offrira le contenu de HBO Max au Canada
Bell Média a conclu un partenariat avec Warner Bros. International Television Distribution afin d'offrir la programmation de HBO Max sur les réseaux Crave et CTV, soit la première entente de distribution de ce nouveau contenu tant attendu à l'extérieur des États-Unis. L'émission The Amazing Race Canada sur le réseau CTV a été la série la plus regardée de l'été et la série de télé canadienne la plus populaire de l'année de diffusion 2018-2019 (en anglais seulement). Un nombre record de 3,4 millions de téléspectateurs ont syntonisé TSN et RDS pour regarder la victoire historique de Bianca Andreescu lors du US Open (en anglais seulement) l'émission de tennis ayant obtenu les meilleures cotes d'écoute de tous les temps pour les réseaux de sports.
Innovation en télé et en Wi-Fi
La prochaine génération de capsules du service Wi-Fi Partout chez vous de Bell offre maintenant aux clients des vitesses allant jusqu'à 500 Mbps et une plus vaste couverture, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de la maison, avec moins de capsules. Les clients de Télé Fibe, de Télé Satellite et d'Alt Télé de Bell peuvent maintenant mettre sur pause et reculer la télé en direct sur n'importe quel écran avec la plus récente version de l'application Fibe ainsi qu'au moyen des boîtiers décodeurs.
Leadership dans les services à large bande dans le nord du Canada
Bell et sa filiale Northwestel ont lancé les services Internet haute vitesse et mobile à large bande dans l'ensemble des 25 collectivités du Nunavut (en anglais seulement). S'appuyant sur le nouveau réseau Tamarmik Nunaliit et sur la technologie satellite fonctionnant dans la bande Ka de Télésat qui fournit jusqu'à 20 fois plus de capacité pour les services Internet, les vitesses de transmission de données par les réseaux filaires et sans fil fixes sont maintenant 6 fois plus rapides tandis que les vitesses de transmission de données mobiles à large bande atteignent jusqu'à 100 Mbps.
Départ à la retraite de Martine Turcotte
Martine Turcotte, présidente de Bell, direction du Québec, prendra sa retraite en janvier 2020, aux termes d'une brillante carrière de 31 ans auprès de la société. Mme Turcotte a été nommée chef des affaires juridiques en 1999, devenant la première femme à occuper ce poste de même que la plus jeune membre jamais promue à l'équipe de la haute direction de Bell. Elle a dirigé les activités de l'entreprise et sa présence au sein de la collectivité au Québec depuis 2011. Bell annoncera la nomination d'une nouvelle personne au titre de président(e), direction du Québec sous peu.
Nomination de George Cope à titre de meilleur chef de la direction
George Cope a été nommé « Corporate Citizen of the Year » (citoyen de l'année) par le magazine Report on Business du Globe and Mail dans le cadre du prix Chef de la direction de l'année (en anglais seulement) tandis que Calin Rovinescu, membre du conseil d'administration de BCE et chef de la direction d'Air Canada, a été nommé « Strategist of the Year » (stratège de l'année). Le magazine Harvard Business Review a nommé M. Cope parmi les 100 meilleurs chefs de la direction du monde (en anglais seulement); il est l'un des six Canadiens à figurer sur la liste de Harvard.
Fonds Communautaire Bell Cause pour la cause 2019
Pour marquer la Journée mondiale de la santé mentale, le 10 octobre, le Fonds communautaire Bell Cause pour la cause a annoncé les 123 bénéficiaires de dons de cette année. Le fonds annuel de 2 millions $ appuie des organisations qui fournissent du soutien de première ligne en santé mentale dans des collectivités, petites ou grandes, dans toutes les régions. Bell a présenté la campagne annuelle des Visages de la maladie mentale, qui vise à contrer la stigmatisation en présentant l'histoire personnelle de cinq Canadiens vivant avec la maladie mentale.
RÉSULTATS DE BCE
FAITS SAILLANTS FINANCIERS |
||||
(en millions $, sauf les montants par action) |
T3 2019 |
T3 2018 |
% de |
|
BCE |
||||
Produits d'exploitation |
5 984 |
5 877 |
1,8 |
% |
Bénéfice net |
922 |
867 |
6,3 |
% |
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires |
867 |
814 |
6,5 |
% |
Bénéfice net ajusté(1) |
820 |
861 |
(4,8) |
% |
BAIIA ajusté(2) |
2 594 |
2 457 |
5,6 |
% |
BPA |
0,96 |
0,90 |
6,7 |
% |
BPA ajusté(1) |
0,91 |
0,96 |
(5,2) |
% |
Flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation |
2 258 |
2 043 |
10,5 |
% |
Dépenses d'investissement |
(1 013) |
(1 010) |
(0,3) |
% |
Flux de trésorerie disponibles(3) |
1 189 |
1 014 |
17,3 |
% |
« BCE a réalisé une autre performance financière positive au T3, conformément aux objectifs de notre orientation, grâce à la croissance de la rentabilité d'exploitation dans nos secteurs du sans-fil, du sur-fil et des médias. L'augmentation de 1,8 % des produits des activités ordinaires consolidés de BCE, combinée à l'incidence favorable d'IFRS 16 et au maintien de l'efficience relative aux coûts d'exploitation, a entraîné une solide croissance de 5,6 % du BAIIA ajusté. Le bénéfice net a augmenté de 6,3 % tandis que les flux de trésorerie disponibles ont progressé de 17,3 %, pour s'établir à environ 1,2 milliard $ », a affirmé Glen LeBlanc, chef des affaires financières. « S'appuyant sur une forte croissance des résultats financiers pendant trois trimestres en 2019, sur le maintien de notre bonne position concurrentielle ainsi que sur de solides assises financières et au chapitre de la solvabilité des régimes de retraite, BCE dispose de sérieux atouts pour poursuivre l'expansion de ses réseaux à large bande de calibre mondial ainsi que la croissance du dividende en 2020. »
Les produits d'exploitation de BCE ont augmenté de 1,8 % au T3, pour s'établir à 5 984 millions $, ce qui reflète la croissance d'un exercice à l'autre dans tous les secteurs opérationnels de Bell. Les produits tirés des services ont augmenté de 1,3 %, pour s'établir à 5 185 millions $, dans la foulée de la forte croissance de notre clientèle d'abonnés des services sans fil, Internet et de télé IP. Les produits d'exploitation tirés des produits ont augmenté de 5,1 %, pour s'établir à 799 millions $, en raison surtout des volumes accrus de téléphones intelligents de valeur supérieure et de forfaits de services sans fil à valeur plus élevée dans notre chiffre d'affaires.
Le bénéfice net a augmenté de 6,3 %, pour s'établir à 922 millions $, et le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires a totalisé 867 millions $, soit 0,96 $ par action, en hausse de 6,5 % et de 6,7 %, respectivement. L'augmentation du bénéfice net et du bénéfice net par action ordinaire découle de la forte croissance du BAIIA ajusté, de l'augmentation des autres produits ainsi que de la diminution des coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres. Cette augmentation a été partiellement contrebalancée par l'augmentation de l'impôt sur le résultat, de la dotation aux amortissements et des charges financières. L'adoption d'IFRS 16 n'a pas eu d'incidence importante sur le bénéfice net.
Le bénéfice net ajusté s'est établi à 820 millions $, soit 0,91 $ par action ordinaire, comparativement à 861 millions $, soit 0,96 $ par action ordinaire, au T3 de l'exercice précédent. La diminution est imputable au règlement favorable de positions fiscales incertaines au T3 2018, ce qui avait entraîné une baisse de l'impôt sur le résultat à l'exercice précédent.
Le BAIIA ajusté a augmenté de 5,6 %, pour s'établir à 2 594 millions $, reflétant les hausses d'un exercice à l'autre de 7,9 % pour les Services sans fil de Bell, de 1,4 % pour les Services sur fil de Bell et de 24,2 % pour Bell Média. Le BAIIA ajusté a été favorablement touché par IFRS 16, du fait que la plupart des charges liées aux contrats de location simple sont maintenant comptabilisées dans la dotation à l'amortissement des immobilisations corporelles et dans les charges d'intérêts, plutôt que dans les coûts d'exploitation, dans le BAIIA ajusté.
La marge du BAIIA ajusté(2) consolidée de BCE a augmenté de 1,5 point de pourcentage, passant à 43,3 %, contre 41,8 % au T3 de l'exercice précédent, ce qui découle de la forte progression au chapitre de la croissance des produits tirés des services, de l'accroissement de la portée des services Internet à large bande, du contrôle rigoureux exercé sur les dépenses à l'égard des acquisitions d'abonnés des services postpayés sans fil ainsi que de la diminution de 0,9 % des coûts d'exploitation totaux, ce qui comprend l'incidence favorable d'IFRS 16.
Les dépenses d'investissement de BCE ont totalisé 1 013 millions $, en légère hausse contre 1 010 millions $ au T3 2018, ce qui représente un ratio d'intensité du capital(5) (les dépenses d'investissement en pourcentage du total des produits des activités ordinaires) de 16,9 %, contre 17,2 % au T3 de l'exercice précédent. Les dépenses d'investissement ont été concentrées sur la poursuite de l'expansion des zones de couverture du réseau de fibre jusqu'aux locaux de l'abonné (FTTP) et du réseau sans fil fixe au domicile (WTTH) de Bell, sur la connexion par fibre optique des services Internet et de télé à plus de foyers et d'entreprises ainsi que sur l'investissement continu dans les réseaux sans fil, ce qui comprend le déploiement des petites cellules afin d'accroître les vitesses des réseaux, la couverture et la qualité du signal, ainsi que l'expansion des liaisons de raccordement au réseau de fibre en vue du lancement du service 5G.
Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation de BCE se sont établis à 2 258 millions $, en hausse de 10,5 % par rapport à l'exercice précédent. Cette augmentation est surtout attribuable à la croissance du BAIIA ajusté et à la diminution de l'impôt sur le résultat payé, mais elle a été partiellement contrebalancée par l'augmentation des paiements d'intérêts, ce qui reflète l'incidence défavorable d'IFRS 16. Les flux de trésorerie disponibles générés ce trimestre se sont établis à 1 189 millions $, une augmentation de 17,3 % par rapport au T3 2018, du fait de l'augmentation des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, exclusion faite des coûts liés aux acquisitions et autres payés.
Au T3, BCE a enregistré 204 067 nouveaux abonnés nets des services sans fil (127 172 abonnés des services postpayés et 76 895 abonnés des services prépayés), 58 137 nouveaux abonnés nets des services Internet de détail, 31 746 nouveaux abonnés nets des services de télé IP, une perte nette de 26 904 abonnés du service de télé par satellite de détail et une perte nette de 65 656 abonnés des SAR résidentiels de détail(5).
Les connexions de BCE dans les services sans fil et les services Internet, de télé et SAR résidentiels de détail totalisaient 18 881 978 à la fin du T3, soit une hausse de 1,3 % par rapport à l'exercice précédent. Ce total inclut 9 834 380 abonnés du sans-fil(4), soit une hausse de 3,7 % (y compris les 9 038 341 abonnés des services postpayés, soit une augmentation de 3,6 %, et 796 039 abonnés des services prépayés, soit une augmentation de 4,9 %), 3 519 962 abonnés des services Internet de détail(4), soit une augmentation de 4,2 %, 2 772 043 abonnés des services de télé de détail, soit une augmentation de 0,7 % (y compris les 1 745 143 abonnés des services de télé IP, soit une augmentation de 6,5 %, et 1 026 900 abonnés du service de télé par satellite de détail, soit une diminution de 7,8 %) et 2 755 593 abonnés des SAR résidentiels de détail, soit une diminution de 8,8 %.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE BCE PAR SECTEUR
« Tous les secteurs opérationnels de Bell ont généré une croissance de la clientèle d'abonnés, des produits des activités ordinaires et du BAIIA ajusté au T3, tandis que nous avons accru notre clientèle des services sans fil et des services Internet et de télé IP de détail de 8,4 %, la portant à 293 950 abonnés, dans la foulée d'une autre remarquable performance de Bell Mobilité », a affirmé le chef de l'exploitation, Mirko Bibic. « Les ajouts nets d'abonnés des services sans fil ont augmenté de 14,8 %, pour s'établir à 204 067, notre meilleure performance pour un troisième trimestre, et le meilleur résultat trimestriel en 13 ans, ce qui reflète la réduction continue du taux de désabonnement des services postpayés et l'augmentation de 80,9 % d'un exercice à l'autre des ajouts nets d'abonnés des services prépayés, car Lucky Mobile, notre marque à faible coût, continue de redéfinir le segment des services prépayés. »
« Dans le sur-fil, les innovations en matière de services, comme le service Internet 1,5 Gbps et Alt Télé, ont contribué à attirer 89 883 nouveaux clients nets des services Internet et de télé IP à large bande, y compris un nombre record d'ajouts bruts des services Internet, dans un contexte où la concurrence est très vive sur le marché résidentiel. Le maintien de notre prépondérance dans les services de télé généraliste et spécialisée, combiné à la croissance d'un exercice à l'autre enregistrée par Astral Affichage et à celle de la clientèle de Crave, a entraîné une augmentation des produits tirés du secteur Média, de sa rentabilité d'exploitation ainsi que de ses flux de trésorerie », a affirmé M. Bibic.
Services sans fil de Bell
Les produits d'exploitation tirés des services sans fil ont augmenté de 3,5 %, pour s'établir à 2 348 millions $ au T3. Les produits tirés des services ont augmenté de 2,5 %, pour s'établir à 1 673 millions $, ce qui découle de la forte croissance continue de la clientèle d'abonnés et de la contribution accrue des services prépayés aux produits des activités ordinaires d'un exercice à l'autre. Les produits d'exploitation tirés des produits ont progressé de 6,0 %, pour s'établir à 675 millions $, du fait de la proportion plus importante de téléphones intelligents haut de gamme en service et de l'incidence des forfaits à valeur plus élevée.
Le BAIIA ajusté des services sans fil a augmenté de 7,9 % au T3, pour s'établir à 1 013 millions $, ce qui a permis de dégager une augmentation de 1,7 point de pourcentage de la marge, à 43,1 %, les coûts d'exploitation totaux ayant augmenté de 0,4 %, à 1 335 millions $. L'amélioration du BAIIA ajusté et de la marge reflète la forte progression au chapitre des produits tirés des services, le contrôle rigoureux des dépenses promotionnelles ainsi que l'incidence favorable d'IFRS 16.
- Le total des ajouts nets d'abonnés des services postpayés et prépayés a augmenté de 14,8 %, à 204 067, un record pour un T3 et notre meilleure performance globale au chapitre du nombre d'abonnés depuis le T4 2006.
- Les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont totalisé 127 172, en baisse comparativement à 135 323 au T3 2018, les ajouts bruts ayant diminué de 2,1 %, ce qui reflète le nombre moindre d'un exercice à l'autre d'ajouts d'abonnés découlant de notre contrat de services mobiles à long terme avec Services partagés Canada (SPC). Exclusion faite du contrat avec SPC, les ajouts nets d'abonnés des services postpayés ont été plus élevés qu'à l'exercice précédent, ce qui reflète la qualité des réseaux mobiles de Bell, le niveau soutenu de réalisation des ventes dans nos canaux de vente au détail, ainsi que l'accent mis de manière constante sur la gestion de la clientèle d'abonnés, comme en témoigne la diminution de 0,02 point de pourcentage du taux de désabonnement des services postpayés(5), à 1,12 %.
- Les ajouts nets d'abonnés des services prépayés ont augmenté de 80,9 %, pour s'établir à 76 895 comparativement à 42 511 au T3 de l'exercice précédent. Cette augmentation découle de la hausse de 61,2 % des ajouts bruts, ce qui reflète le maintien d'une forte demande pour Lucky Mobile, notre service prépayé à faible coût, ainsi que l'entente nationale exclusive de commercialisation au détail conclue avec Dollarama. Le taux de désabonnement des services prépayés a augmenté de 1,13 point de pourcentage, pour s'établir à 3,89 %, en raison de l'intensification de la concurrence pour les services mobiles à faible coût et d'un changement apporté à notre politique de désactivation d'abonnés des services prépayés au début de 2019, qui est passée de 120 jours et de 150 jours, à 90 jours.
- La clientèle totale des services sans fil de Bell à la fin du T3 a augmenté de 3,7 %, à 9 834 380 abonnés, ce qui comprend 9 038 341 abonnés des services postpayés, en hausse de 3,6 % par rapport à l'exercice précédent, et 796 039 abonnés des services prépayés, en hausse de 4,9 %.
- La facturation moyenne par utilisateur (FMU) combinée(5) a augmenté de 0,9 %, pour s'établir à 69,93 $, malgré l'incidence des plans de services de données illimitées sur les produits tirés des frais de dépassement de données.
Services sur fil de Bell
Les produits d'exploitation tirés des services sur fil ont augmenté de 0,2 % au T3, pour s'établir à 3 066 millions $. Les produits tirés des services ont augmenté de 0,2 %, pour s'établir à 2 941 millions $, tandis que les produits d'exploitation tirés des produits sont demeurés relativement stables, à 125 millions $, comparativement à 124 millions $ à l'exercice précédent. Cette augmentation s'explique par la hausse des produits tirés des services Internet et de télé IP et la croissance des services de connectivité à large bande IP d'affaires et des solutions d'affaires.
La croissance des produits des activités ordinaires dans le sur-fil a été atténuée par la baisse plus marquée des produits tirés des services voix traditionnels, par l'incidence des rabais consentis pour l'acquisition d'abonnés et la fidélisation de la clientèle pour les forfaits de services résidentiels afin d'égaler les offres promotionnelles accrocheuses de nos concurrents, par la diminution des ventes d'équipements de transmission de données générant de faibles marges aux grandes entreprises clientes ainsi que par les répercussions sur le trimestre de l'acquisition d'Axia NetMedia.
L'accroissement rapide de la clientèle d'abonnés des services Internet à large bande, l'amélioration de la rentabilité d'exploitation dans les marchés d'affaires et la diminution de 0,8 % des coûts d'exploitation reflétant l'incidence favorable d'IFRS 16 ainsi que le maintien d'un contrôle des dépenses, les économies liées à la fibre et l'amélioration continue du service, ont entraîné une augmentation de 1,4 % du BAIIA ajusté dans le sur-fil, à 1 355 millions $. Ces résultats ont donné lieu à une amélioration de 50 points de base de la marge de Bell dans le sur-fil, la plus élevée du secteur, à 44,2 %.
- Bell a ajouté 58 137 nouveaux abonnés des services Internet de détail, soit 9,4 % de plus qu'au T3 2018. Cette augmentation découle de l'expansion continue de la zone de couverture des réseaux FTTP et WTTH de Bell, laquelle a également contribué à la diminution du taux de désabonnement des services résidentiels. La clientèle des services Internet de détail totalisait 3 519 962 abonnés à la fin du T3, une augmentation de 4,2 % par rapport à l'exercice précédent.
- Bell Télé a ajouté 31 746 nouveaux abonnés nets des services de télé IP de détail, en baisse par rapport à 40 091 au T3 2018. Cette diminution est imputable au taux de pénétration élevé dans les marchés actuels de Fibe et au ralentissement de l'expansion de la zone de couverture du service, au taux de saturation accru de notre service Alt Télé ainsi qu'à la substitution constante en faveur des services de télé par contournement. À la fin du T3, Bell comptait 1 745 143 abonnés des services de télé IP de détail, soit une hausse de 6,5 % par rapport à l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés du service de télé par satellite de détail sont demeurées stables, à 26 904 abonnés, contre 26 861 abonnés au T3 2018. La diminution d'un exercice à l'autre des activations brutes a été compensée par le nombre moindre de désactivations d'abonnés.
- À la fin du T3, Bell comptait 2 772 043 abonnés des services de télé IP et de télé par satellite de détail, soit une hausse de 0,7 % par rapport au T3 2018.
- Les produits tirés des services de données filaires ont augmenté de 3,3 %, pour s'établir à 1 929 millions $, en raison de la croissance de la clientèle d'abonnés des services Internet et de télé IP, des augmentations des tarifs des services résidentiels ainsi que des produits accrus tirés des services de connectivité à large bande IP d'affaires et des ventes de solutions d'affaires.
- Les pertes nettes d'abonnés des SAR résidentiels de détail ont diminué de 10,4 %, pour s'établir à 65 656, ce qui reflète la fidélisation accrue de la clientèle dans la zone de couverture du réseau de fibre optique de Bell et les répercussions du mouvement de réorientation du secteur vers les forfaits comprenant deux produits, soit Internet et de télé, au détriment des forfaits comprenant trois produits, un mouvement qui s'était amorcé au milieu de 2018, ce qui a eu une incidence défavorable sur les nouvelles activations par rapport à l'exercice précédent. À la fin du T3, la clientèle des SAR résidentiels de détail de Bell totalisait 2 755 593 abonnés, une diminution de 8,8 % par rapport au T3 de l'exercice précédent.
- Les produits tirés des services voix filaires ont diminué de 7,1 %, pour se chiffrer à 881 millions $, par suite de la diminution de la clientèle d'abonnés des SAR, de la conversion des clients d'affaires aux services de données IP ainsi que de l'utilisation moindre des services interurbains traditionnels, tant par les clients résidentiels que par les clients d'affaires.
Bell Média
Les produits d'exploitation de Bell Média ont augmenté de 2,7 % au T3, pour s'établir à 751 millions $, ce qui est attribuable à l'augmentation des produits découlant de la croissance de la clientèle d'abonnés de Crave par rapport à l'exercice précédent. Les produits tirés de la publicité ont diminué d'un exercice à l'autre en raison de la non-récurrence des produits des activités ordinaires générés au T3 2018 par la diffusion de la Coupe du Monde de soccer de la FIFA. Exclusion faite de la Coupe du Monde, les produits tirés de la publicité ont augmenté par rapport au T3 2018, ce qui découle de la meilleure performance de la télé généraliste, et comprend les retombées positives de la couverture de l'élection fédérale, ainsi que des augmentations enregistrées par notre service de nouvelles à la télé spécialisée, CP24, et par Astral Affichage. Le BAIIA ajusté du secteur Média a augmenté de 24,2 %, pour s'établir à 226 millions $, en raison de la hausse des produits des activités ordinaires et de la diminution de 4,4 % des coûts d'exploitation.
- CTV s'est illustré comme le réseau de télévision le plus regardé au Canada aux heures de grande écoute par l'ensemble des téléspectateurs pour une 15e saison d'été consécutive, avec 8 des 20 émissions les plus regardées à l'échelle nationale, y compris The Amazing Race Canada, en tête du palmarès de la programmation de l'été et la série canadienne la plus regardée pour l'année de diffusion 2018-2019.
- Les chaînes anglophones de télé spécialisée dans le divertissement de Bell Média ont connu un succès sans précédent pour l'année de diffusion 2018-2019, avec une augmentation de 21 % de l'auditoire pour les adultes dans la tranche des 18 à 49 ans. En septembre, tirant parti de CTV, la marque numéro un dans le divertissement, Bell Média a lancé les chaînes spécialisées Comedy, Bravo, Space et Gusto sous un nouveau nom, soit CTV Comedy Channel, CTV Drama Channel, CTV Sci-Fi Channel et CTV Life Channel.
- Bell Média arrive encore en tête dans la télé spécialisée et payante au T3, avec 6 des 10 meilleures chaînes anglophones (TSN, CTV Comedy, CTV Sci-Fi, CTV Drama, Discovery et CP24) et 4 des 10 meilleures chaînes francophones (RDS, Super Écran, Canal D et Z) pour les adultes dans la tranche des 25 à 54 ans.
- TSN est demeurée la première chaîne de télé spécialisée dans les sports au Canada et la meilleure chaîne de télé spécialisée au T3, tandis que RDS a vu croître son auditoire de 16 %. La finale féminine du US Open sur TSN et RDS a été l'émission de tennis la plus regardée de tous les temps sur ces chaînes, avec un auditoire moyen combiné de plus de 3,4 millions de téléspectateurs.
- Bell Média est encore une fois demeuré le premier radiodiffuseur du Canada, rejoignant en moyenne 16,2 millions d'auditeurs, lesquels ont écouté, chaque semaine, environ 70 millions d'heures de contenu.
- Chef de file du secteur numérique parmi tous les concurrents canadiens dans les médias, Bell Média a rejoint 22,2 millions de visiteurs uniques mensuellement et a enregistré des moyennes de 445 millions de pages consultées et de 827 millions de minutes passées en ligne chaque mois.
DIVIDENDE SUR ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende trimestriel de 0,7925 $ par action ordinaire, payable le 15 janvier 2020 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 16 décembre 2019.
PERSPECTIVES POUR 2019
BCE a confirmé les objectifs de son orientation financière pour 2019, tels qu'ils ont été présentés le 7 février 2019.
Orientation au |
Orientation au |
|
Croissance des produits des activités ordinaires |
1 % à 3 % |
Sur la bonne voie |
Croissance du BAIIA ajusté |
5 % à 7 % |
Sur la bonne voie |
Intensité du capital |
approx. 16,5 % |
Sur la bonne voie |
BPA ajusté |
3,48 $ à 3,58 $ |
Sur la bonne voie |
Croissance des flux de trésorerie disponibles |
7 % à 12 % |
Sur la bonne voie |
Dividende sur actions ordinaires annualisé |
3,17 $ |
3,17 $ |
Politique de distribution de dividendes(3) |
65 % à 75 % des flux de trésorerie disponibles |
Sur la bonne voie |
À noter qu'en excluant l'incidence d'IFRS 16, la croissance du BAIIA ajusté pour 2019 devrait s'établir entre 2 % et 4 % et celle des flux de trésorerie disponibles consolidés, entre 3 % et 7 %, tandis que le BPA ajusté s'établirait entre 3,53 $ et 3,63 $.
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention des analystes financiers afin de traiter de ses résultats du T3 2019, le jeudi 31 octobre, à 8 h (heure de l'Est). Les journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs seulement. Pour participer, composez le numéro sans frais 1-800-377-0758 ou le 416-340-2216. Une reprise sera disponible jusqu'à minuit le 30 novembre 2019 au 1-800-408-3053 ou au 905-694-9451 (composez le code d'identification 7732370#).
La conférence téléphonique fera également l'objet d'une webdiffusion en direct sur le site Web de BCE, à Téléconférence sur les résultats de BCE pour le T3 2019. Le fichier MP3 sera également disponible pour téléchargement sur cette page, peu de temps après la téléconférence.
NOTES
L'information contenue dans le présent communiqué est non auditée.
(1) Les termes bénéfice net ajusté et BPA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le bénéfice net ajusté comme le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, les pertes nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres, les pertes nettes (profits nets) sur placements, les coûts liés au remboursement anticipé de la dette et les charges pour perte de valeur, déduction faite de l'impôt et des participations ne donnant pas le contrôle (PNDPC). Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par action ordinaire de BCE. Nous utilisons le bénéfice net ajusté et le BPA ajusté et nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent ces mesures, entre autres, pour évaluer la performance de nos activités avant l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des pertes nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres, des pertes nettes (profits nets) sur placements, des coûts liés au remboursement anticipé de la dette et des charges pour perte de valeur, déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de performance de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et le BPA sont les mesures financières conformes aux normes IFRS les plus comparables. Le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du BPA avec le bénéfice net ajusté, préparé sur une base consolidée et par action ordinaire de BCE (BPA ajusté), respectivement.
(en millions de dollars, sauf les montants par action) |
|||||
T3 2019 |
T3 2018 |
||||
TOTAL |
PAR |
TOTAL |
PAR |
||
Bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires |
867 |
0,96 |
814 |
0,90 |
|
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres |
17 |
0,02 |
39 |
0,04 |
|
(Profits nets) pertes nettes lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de couverture économique des régimes de rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en instruments de capitaux propres |
(64) |
(0,07) |
5 |
0,01 |
|
Pertes nettes sur placements |
- |
- |
- |
- |
|
Coûts liés au remboursement anticipé de la dette |
- |
- |
2 |
0,01 |
|
Charges pour perte de valeur |
- |
- |
1 |
- |
|
Bénéfice net ajusté |
820 |
0,91 |
861 |
0,96 |
(2) Les termes BAIIA ajusté et marge du BAIIA ajusté n'ont pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons le BAIIA ajusté comme les produits d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme il est présenté dans les états consolidés du résultat net de BCE. Le BAIIA ajusté des secteurs de BCE correspond au bénéfice sectoriel présenté à la note 4, Information sectorielle, des états financiers consolidés du T3 2019 de BCE. Nous définissons la marge du BAIIA ajusté comme le BAIIA ajusté divisé par les produits d'exploitation. Nous utilisons le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer la performance de nos activités, puisqu'ils reflètent leur rentabilité continue. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent le BAIIA ajusté pour évaluer la capacité d'une société d'assurer le service de sa dette et de satisfaire à d'autres obligations de paiement, et qu'il constitue une mesure courante servant à évaluer les entreprises dans l'industrie des télécommunications. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent également le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté pour évaluer la performance de nos activités. Le BAIIA ajusté est également un facteur dans la détermination de la rémunération incitative à court terme pour l'ensemble des dirigeants. Il n'existe aucune mesure financière conforme aux normes IFRS directement comparable au BAIIA ajusté et à la marge du BAIIA ajusté. Pour remédier à cette situation, le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice net et du BAIIA ajusté.
(en millions de dollars) |
||||
T3 2019 |
T3 2018 |
|||
Bénéfice net |
922 |
867 |
||
Coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres |
23 |
54 |
||
Amortissement des immobilisations corporelles |
861 |
779 |
||
Amortissement des immobilisations incorporelles |
230 |
220 |
||
Charges financières |
||||
Charge d'intérêts |
282 |
255 |
||
Intérêts liés aux obligations au titre des avantages postérieurs à l'emploi |
16 |
17 |
||
Autres (produits) charges |
(61) |
41 |
||
Impôt sur le résultat |
321 |
224 |
||
BAIIA ajusté |
2 594 |
2 457 |
||
Produits d'exploitation de BCE |
5 984 |
5 877 |
||
Marge du BAIIA ajusté |
43,3 |
% |
41,8 |
% |
(3) Les termes flux de trésorerie disponibles et ratio de distribution n'ont pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS. Il est donc peu probable qu'ils puissent être comparés avec des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs. Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, déduction faite des coûts liés aux acquisitions et autres payés, qui comprennent les coûts importants liés aux litiges, et du financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite, moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions privilégiées et les dividendes payés par des filiales aux détenteurs de PNDPC. Nous excluons les coûts liés aux acquisitions et autres payés et le financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en matière de performance de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents. Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un important indicateur de la solidité financière et de la performance de nos activités, car ils révèlent le montant des fonds disponibles pour payer des dividendes sur actions ordinaires, rembourser la dette et réinvestir dans notre société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une entreprise et ses actifs sous-jacents et pour évaluer la solidité financière et la performance de nos activités. Les flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation sont la mesure financière conforme aux normes IFRS la plus comparable. Nous définissons le ratio de distribution comme les dividendes payés sur actions ordinaires divisés par les flux de trésorerie disponibles. Nous considérons le ratio de distribution comme un important indicateur de la solidité financière et de la performance de nos activités, car il met en évidence la pérennité des paiements de dividendes de la société. Le tableau suivant présente un rapprochement des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation et des flux de trésorerie disponibles, sur une base consolidée.
(en millions de dollars) |
||
T3 2019 |
T3 2018 |
|
Flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation |
2 258 |
2 043 |
Dépenses d'investissement |
(1 013) |
(1 010) |
Dividendes en trésorerie payés sur actions privilégiées |
(47) |
(35) |
Dividendes en trésorerie payés par des filiales aux détenteurs de PNDPC |
(12) |
(3) |
Coûts liés aux acquisitions et autres payés |
3 |
19 |
Flux de trésorerie disponibles |
1 189 |
1 014 |
(4) Au début du T1 2019, nous avons ajusté notre clientèle d'abonnés des services sans fil afin de retrancher 167 929 abonnés (72 231 abonnés des services postpayés et 95 698 abonnés des services prépayés) comme suit : 65 798 abonnés (19 195 abonnés des services postpayés et 46 603 abonnés des services prépayés), en raison de l'achèvement des travaux de mise hors service du réseau AMRC le 30 avril 2019; 49 095 abonnés des services prépayés par suite de la modification des conditions de notre politique de désactivation qui, principalement, sont passées de 120 jours pour Bell et Virgin Mobile et de 150 jours pour Lucky Mobile, à 90 jours; 43 670 abonnés des services postpayés qui se rapportent à l'Internet des objets (IdO), précision attribuable au fait que nous avons raffiné notre définition du terme abonné pour tenir compte de l'évolution technologique, et 9 366 abonnés du service Internet sans fil fixe postpayé transférés à Bell Internet.
(5) Nous utilisons la FMU, le taux de désabonnement, l'intensité du capital et les unités d'abonnement comme indicateurs de performance clés afin d'évaluer les progrès accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs de performance clés ne sont pas des mesures comptables et pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant notre orientation financière (ce qui comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), le dividende sur actions ordinaires annualisé et la politique de distribution de dividendes sur actions ordinaires de BCE pour 2019, la croissance du dividende attendue de BCE en 2020, nos plans de déploiement pour les réseaux et les dépenses d'investissement, nos perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques, ainsi que d'autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques. Habituellement, les termes comme hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, projet, stratégie, cible et d'autres expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser, s'attendre à, croire, prévoir, avoir l'intention de, planifier, chercher à et aspirer à, permettent de repérer les déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites conformément aux « dispositions refuges » prévues dans les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints. Ces déclarations ne représentent pas une garantie de la performance ni des événements futurs, et nous mettons en garde le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date du 31 octobre 2019 et, par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les lois applicables en matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite de l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Sauf indication contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l'effet potentiel d'éléments exceptionnels, ni de cessions, de monétisations, de fusions, d'acquisitions, d'autres regroupements d'entreprises ou d'autres transactions qui pourraient être annoncés ou survenir après le 31 octobre 2019. L'incidence financière de ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer complexe et dépend de faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans le présent communiqué sont présentées dans le but d'aider les investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats financiers prévus, ainsi que nos objectifs, priorités stratégiques et perspectives commerciales, et à mieux comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Un certain nombre d'hypothèses relatives à l'économie, au marché et aux activités d'exploitation et d'hypothèses financières ont été formulées par BCE dans la préparation de ses déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué, y compris, sans s'y limiter :
Hypothèses relatives à l'économie et au marché canadiens
- Une hausse de la croissance économique, étant donné la plus récente estimation de la Banque du Canada de la croissance du produit intérieur brut du Canada de 1,5 % en 2019, ce qui représente une augmentation par rapport à l'estimation antérieure de 1,3 %;
- les gains au chapitre de l'emploi devraient continuer en 2019, car le niveau d'investissement des entreprises devrait augmenter, mais demeurer variable;
- les taux d'intérêt devraient se maintenir à leur niveau actuel ou près de ce niveau;
- le dollar canadien devrait se maintenir à son niveau actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de l'incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt et des variations des prix des marchandises.
- l'intensification continue de la concurrence dans le marché résidentiel, le marché d'affaires et le marché de gros des services sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de pénétration du secteur du sans-fil et de l'adoption des téléphones intelligents;
- l'adoption plus généralisée des plans de services de données illimitées et des plans de paiements par versements;
- un effritement du marché des services de connectivité pour les services voix et données, dans la foulée de la migration des clients d'affaires vers des solutions de télécommunications traditionnelles à plus faible prix ou des services par contournement offerts par des concurrents;
- l'incidence éventuelle de la baisse des cotes d'écoute et de la demande variable sur le marché publicitaire;
- la croissance continue des coûts du contenu média pour obtenir de la programmation télévisuelle;
- l'érosion constante de la clientèle du service de télé linéaire, en raison du nombre grandissant d'abonnés qui se débranchent du câble et de personnes qui n'ont jamais été abonnées à un service de câblodistribution.
Hypothèses concernant notre secteur Services sans fil de Bell
- Le maintien de notre part du marché des ajouts nets d'abonnés des services postpayés dans le sans-fil pour les entreprises titulaires;
- la hausse des ajouts nets d'abonnés des services prépayés;
- l'adoption continue des téléphones intelligents, des tablettes et des applications de données, ainsi que l'introduction d'un plus grand nombre d'appareils de quatrième génération (4G) LTE et LTE-A et de nouveaux services de données;
- l'augmentation des dépenses relatives à l'acquisition d'abonnés et à la fidélisation de la clientèle découlant de la hausse du coût des combinés;
- l'amélioration de la FMU combinée, stimulée par une proportion accrue d'abonnés des services postpayés utilisant des téléphones intelligents, la consommation croissante des services de données sur les réseaux 4G LTE et LTE-A et la hausse des tarifs d'accès, partiellement contrebalancée par l'incidence de la proportion accrue d'abonnés des services prépayés parmi notre clientèle totale et par l'incidence du contrat conclu entre Bell Mobilité et SPC;
- l'adoption plus généralisée des plans de services de données illimitées et des plans de paiements par versements;
- l'expansion de la couverture du réseau LTE-A à environ 94 % de la population canadienne et la poursuite des préparatifs liés à la technologie de cinquième génération (5G), avec les essais de la technologie sur le réseau, ainsi que le déploiement de petites cellules et la mise en place de la technologie de la fibre dans toutes les nouvelles stations cellulaires;
- l'absence d'incidence significative de nature financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la réglementation sur nos activités dans le sans-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Services sur fil de Bell
- Une croissance positive du BAIIA ajusté pour l'ensemble de l'exercice;
- une croissance continue du nombre d'abonnés résidentiels des services de télé IP et Internet de détail;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil et les services Internet;
- la croissance du produit moyen par utilisateur des services résidentiels par foyer, générée par l'adoption croissante des forfaits multiproduits par foyer et l'augmentation des prix;
- la poursuite des lancements d'offres accrocheuses de forfaits de services résidentiels par nos concurrents dans la câblodistribution dans les zones où nous fournissons des services sur fil locaux;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les systèmes sur IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les clients d'affaires;
- la mise à l'épreuve des catégories de produits qui génèrent habituellement des marges élevées par l'offre, en croissance au Canada, de services sur demande des grands fournisseurs mondiaux de solutions d'affaires pour la transmission de la voix et de données au moyen de services en nuage et par contournement;
- l'adoption accélérée par les abonnés des services par contournement entraînant la réduction des forfaits télé;
- la poursuite du déploiement du réseau de fibre permettant la connexion directe d'un plus grand nombre de foyers et d'entreprises dans la zone de couverture des services sur fil, et l'accélération de la construction de notre réseau WTTH fixe dans les collectivités rurales;
- la consommation croissante des services de télé par contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau soutenu d'investissements constants;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de la réduction du nombre de postes de cadre, notamment à la suite de départs naturels et de départs à la retraite, de la réduction des taux contractuels des fournisseurs, de l'efficacité opérationnelle découlant de l'expansion de la zone de couverture du réseau de fibre au moyen de connexions directes, des changements liés aux comportements des consommateurs et à l'innovation au chapitre des produits et de la réalisation de synergies additionnelles découlant des prochaines étapes de l'intégration de Manitoba Telecom Services Inc.;
- l'absence d'incidence significative de nature financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la réglementation sur nos activités dans le sur-fil.
Hypothèses concernant notre secteur Bell Média
- La performance au chapitre des produits des activités ordinaires devrait refléter la croissance accrue de la clientèle d'abonnés de Crave, l'effet marqué de la hausse des tarifs pour les entreprises de distribution de radiodiffusion et l'établissement de tarifs stratégiques pour les ventes de publicité;
- l'augmentation des coûts d'exploitation entraînée par la hausse des coûts de la programmation, compte non tenu de l'incidence d'IFRS 16, découlant principalement de l'investissement continu dans le contenu de Crave;
- le soutien, de façon continue, de l'adoption des produits de Crave et de sports offerts directement aux consommateurs;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès des émissions à cotes d'écoute élevées et du contenu différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans et toutes les plateformes;
- la monétisation des droits sur le contenu et des propriétés de Bell Média sur l'ensemble des plateformes;
- une baisse du nombre d'abonnés pour de nombreuses propriétés vidéo de Bell Média entraînée par le dégroupement des chaînes de télé et la popularité grandissante du visionnement de contenu par contournement;
- l'absence d'incidence significative de nature financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications de la réglementation sur nos activités dans les médias.
Hypothèses financières concernant BCE
La section qui suit présente les principales hypothèses financières de BCE pour 2019 :
- Un coût total des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi qui devrait être d'environ 310 millions $ à 330 millions $, selon un taux d'actualisation comptable estimatif de 3,8 %, qui se compose d'un coût estimatif des services rendus au titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi supérieur au BAIIA ajusté d'environ 250 millions $ à 260 millions $ et de charges financières nettes estimatives au titre des régimes d'avantages postérieurs à l'emploi inférieures au BAIIA ajusté d'environ 60 millions $ à 70 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ 4 375 millions $ à 4 475 millions $;
- des charges d'intérêts d'environ 1 125 millions $ à 1 150 millions $;
- un taux d'imposition effectif d'environ 25 %;
- des PNDPC d'environ 50 millions $;
- des besoins de capitalisation des régimes de retraite totalisant environ 375 millions $;
- des impôts en trésorerie d'environ 650 millions $ à 700 millions $;
- des paiements d'intérêts nets d'environ 1 125 millions $ à 1 150 millions $;
- un nombre moyen d'actions ordinaires en circulation de BCE d'environ 900 millions;
- un dividende sur actions ordinaires annuel de 3,17 $ par action.
Les hypothèses qui précèdent, bien qu'elles aient été considérées comme raisonnables par BCE le 31 octobre 2019, pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient différer de façon significative de nos attentes, telles qu'elles sont énoncées dans le présent communiqué.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels pourraient différer de façon significative de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris notre orientation financière pour 2019, sont énumérés ci-dessous. La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre les résultats financiers cibles indiqués dans notre orientation financière pour 2019, dépend essentiellement de la performance de notre entreprise qui, à son tour, est assujettie à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est mis en garde contre le fait que tous les risques suivants sont susceptibles d'avoir une incidence défavorable significative sur nos déclarations prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
- l'intensité de l'activité de nos concurrents, y compris de concurrents nouveaux et émergents, jumelée au lancement de nouveaux produits, ainsi que l'incidence connexe sur le coût lié à la conservation de nos clients actuels et à l'obtention de nouveaux clients, de même que sur nos parts de marché, nos volumes de service et nos stratégies d'établissement des prix;
- le rythme de substitution technologique et la présence d'autres fournisseurs de services qui contribuent à réduire l'utilisation de nos services sur fil traditionnels;
- l'incidence défavorable de la séparation fondamentale entre le contenu et le service de connectivité, ce qui modifie l'environnement de nos activités liées à la télé et aux médias et pourrait accélérer le débranchement des services de télé et la réduction des dépenses pour ces services, ainsi que la fragmentation du marché de la publicité et les changements qui s'y produisent;
- la concurrence pour le contenu de programmation avec des concurrents mondiaux, en plus des concurrents canadiens traditionnels dans les services de télé, qui pourrait entraîner d'importantes hausses des coûts d'acquisition du contenu et nuire à notre capacité d'obtenir du contenu de premier plan;
- la prolifération du piratage de contenu, qui pourrait avoir une incidence sur la croissance des abonnés ainsi que sur notre capacité à monétiser les produits et les services, et également comprimer la bande passante;
- une conjoncture économique et des conditions des marchés des capitaux défavorables, un niveau d'activité de détail et commerciale en baisse, l'incidence défavorable connexe sur la demande de nos produits et services et sur les prix de ceux-ci, et le volume des créances douteuses;
- les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires ainsi que les consultations gouvernementales et les positions gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités, y compris, en particulier, celles qui concernent l'accès obligatoire aux réseaux, les ventes aux enchères de spectre, les codes de conduite à l'égard des consommateurs, l'approbation d'acquisitions et les exigences relatives à l'octroi de licences de radiodiffusion et à la propriété étrangère;
- l'incapacité à protéger nos actifs corporels et incorporels, notamment les réseaux, les systèmes de TI, les bureaux, les magasins et l'information de nature sensible, contre des événements comme des atteintes à la sécurité de l'information, l'accès ou l'entrée non autorisés, des incendies et des catastrophes naturelles;
- l'incapacité à optimiser les échéanciers pour le déploiement et la mise à niveau de réseaux et de systèmes de TI, à évaluer correctement les possibilités qu'offrent les nouvelles technologies ou à investir et à évoluer dans la bonne direction;
- l'incapacité à continuer d'investir dans des fonctions de prochaine génération de manière rigoureuse et stratégique;
- l'incapacité à créer une expérience client positive dans tous les aspects de notre engagement envers la clientèle;
- la complexité de nos activités découlant des multiples plateformes technologiques, systèmes de facturation, canaux de vente et bases de données de commercialisation, ainsi que d'une myriade de forfaits, d'offres promotionnelles et de gammes de produits;
- l'incapacité à maintenir la performance opérationnelle optimale de nos réseaux, étant donné une augmentation importante de la demande relativement à la capacité des réseaux pour les services Internet et sans fil;
- l'incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des systèmes de TI très performants soutenus par un cadre de gouvernance et opérationnel efficace;
- le risque que nous puissions devoir engager des dépenses d'investissement importantes qui dépasseraient nos objectifs en matière d'intensité du capital, afin de fournir une capacité supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux;
- l'incapacité à générer les avantages escomptés de nos restructurations d'entreprises, des remplacements et des mises à niveau de systèmes, des réductions de personnel, des refontes de processus, et de l'intégration des entreprises acquises;
- les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos systèmes de TI, de notre équipement et de nos autres installations, ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les maintenir et à les remplacer;
- les risques liés au matériel en orbite et les autres risques opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés pour fournir notre service de télé par satellite;
- notre dépendance aux tiers fournisseurs, aux impartiteurs et aux consultants qui nous fournissent de façon ininterrompue les produits et services dont nous avons besoin pour exercer nos activités, mettre en œuvre de nouvelles technologies liées aux réseaux et autres, offrir de nouveaux produits et services, ainsi que respecter différentes obligations;
- les modifications à notre répertoire de fournisseurs et d'impartiteurs que nous pourrions décider d'effectuer ou que nous serions tenus d'apporter;
- l'incapacité d'assurer, par nos processus de sélection, de gouvernance et de surveillance des fournisseurs conçus pour ce faire, la pleine transparence en ce qui concerne le risque lié aux fournisseurs actuels ou aux nouveaux fournisseurs;
- le risque lié à la sécurité et à la fuite de données si les protocoles de contrôle de la sécurité qui concernent nos fournisseurs sont contournés;
- la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans laquelle ils peuvent comporter des défauts de fabrication ou ne pas être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux applicables;
- l'incapacité à attirer des employés possédant les compétences appropriées, à les fidéliser et à stimuler leur performance dans un environnement sûr;
- les interruptions de travail;
- l'incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à générer des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités, financer les dépenses d'investissement et soutenir la croissance planifiée;
- l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés par le conseil d'administration de BCE, que le dividende sur actions ordinaires sera majoré ou que la politique de distribution de dividendes de BCE sera maintenue;
- l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de liquidité et de marché;
- la volatilité liée à l'obligation au titre des régimes de retraite et les cotisations accrues aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi;
- des impôts nouvellement exigés ou plus élevés découlant de l'adoption de nouvelles lois fiscales ou de modifications apportées aux lois fiscales existantes ou à leur interprétation, et l'incapacité à prévoir l'issue des audits gouvernementaux;
- l'incapacité à réduire les coûts ainsi que toute augmentation imprévue de coûts;
- l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d'effectuer un suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses;
- un règlement défavorable des litiges, en particulier des actions collectives;
- de nouvelles modifications ou des modifications défavorables aux lois applicables et l'incapacité d'agir en amont pour ce qui est du respect de nos obligations juridiques et réglementaires;
- les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils et des équipements de communications sans fil;
- l'incapacité à maintenir le service à la clientèle et à assurer le fonctionnement de nos réseaux en cas d'épidémies, de pandémies ou d'autres éventualités menaçantes pour la santé;
- l'incapacité à comprendre les préoccupations concernant les changements climatiques ou les attentes du public et du gouvernement pour ce qui est des questions environnementales, et à y répondre adéquatement.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous encourageons les investisseurs à lire également le rapport de gestion annuel 2018 de BCE (inclus dans le rapport annuel 2018 de BCE), daté du 7 mars 2019, ainsi que les rapports de gestion du premier, du deuxième et du troisième trimestre de 2019 de BCE, datés du 1er mai 2019, du 31 juillet 2019 et du 30 octobre 2019, respectivement, pour obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d'autres facteurs de risque et hypothèses, ces documents étant déposés par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en valeurs mobilières (disponibles à Sedar.com) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponibles à SEC.gov). Ces documents sont également disponibles à BCE.ca.
À propos de BCE
Plus grande entreprise de communications du Canada, BCE offre des services large bande évolués sans fil, de télévision, Internet et de communications d'affaires et exploite Bell Média, première entreprise de création de contenu et d'actifs média au pays. Pour en savoir plus, visitez les sites Bell.ca ou BCE.ca.
L'initiative Bell Cause pour la cause fait la promotion de la santé mentale au Canada par des campagnes nationales de sensibilisation et de lutte contre la stigmatisation comme la Journée Bell Cause pour la cause, et elle assure un important financement aux soins communautaires, à la recherche et aux initiatives de leadership en milieu de travail. Pour en savoir plus, visitez le site Bell.ca/cause.
Questions des médias :
Marie-Eve Francoeur
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Questions des investisseurs :
Thane Fotopoulos
514 870-4619
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SOURCE Bell Canada
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