Campagne Québec-Vie dénonce une volonté d'imposer les avortements de dernier trimestre au Québec
MONTRÉAL, le 11 nov. 2013 /CNW Telbec/ - En réaction à un reportage de Mme Héloïse Archambault, paru dans le Journal de Montréal du 11 novembre 2013, qui informe la population que des médecins avorteurs de dernier trimestre désirent être soustrait de toute pression de comité d'éthique et protégés de la désapprobation du personnel médical les entourant, Mario Richard, directeur-général de Campagne Québec-Vie, annonce son soutien à ces comités d'éthique.
« Nous tenons à soutenir le personnel médical, administratif et éthique qui s'oppose à ces avortements tardifs. Bien que le vide juridique canadien permette d'éliminer l'enfant à naître jusqu'au moment de l'accouchement à terme, la très grande majorité des québécois refusent ces procédures barbares visant à tuer un enfant » de dire Mario Richard.
Malheureusement, pour Mario Richard, le personnel médical refusant de participer à un avortement est toujours tenu de référer, selon le guide du Collège des médecins, une patiente le demandant, à un collègue pratiquant ce type d'avortement.
« Campagne Québec-Vie demande que soit respecté la liberté de conscience du personnel médical, ce qui implique la liberté de ne pas collaborer à ces avortements en servant d'intermédiaire dans ce processus décrié. »
En plus de reconnaître l'objection de conscience, Campagne Québec-Vie, de la bouche de son directeur, demande que cesse le financement des avortements au niveau provincial.
« Nous demandons que le ministre de la Santé reconnaisse que la réprobation du personnel médical, administratif et de la population en général de la pratique de l'avortement tardif est fondé et que le gouvernement québécois cesse le financement des avortements, notamment de dernier trimestre, que ce soit aux États-Unis ou au Québec. »
SOURCE : Campagne Québec-Vie
Contact médias :
Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Cell : (514) 928-4819
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