Chef de la direction sortant d'Otéra Capital et dirigeant sortant d'Ivanhoé Cambridge et de MCAP - Alfonso Graceffa conteste son congédiement injustifié et offre son entière collaboration à l'UPAC English
MONTRÉAL, le 19 juin 2019 /CNW Telbec/ - Le chef de la direction sortant d'Otéra Capital, Alfonso Graceffa, conteste avec véhémence son congédiement abusif et injustifié, qui cause un tort considérable à sa réputation irréprochable depuis 30 ans, et offre son entière collaboration à l'Unité permanente anticorruption (UPAC).
M. Graceffa déplore l'opération de relations publiques de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) pour le discréditer compte tenu des conclusions de l'impressionnante enquête sur Otéra Capital de près de quatre mois et qui a coûté 5 M$ en fonds publics.
Cette investigation, commandée par et pour la Caisse de dépôt et placement du Québec, a été réalisée par 120 avocats et spécialistes en juricomptabilité, en renseignements criminels, en blanchiment d'argent, en fraude financière, en fraude immobilière, en gouvernance et en éthique.
L'enquête conclut que, sous la direction de M. Graceffa, il n'y a « aucune preuve de fraude ou de blanchiment d'argent touchant le portefeuille d'Otéra ni de transactions frauduleuses ».
« J'ai une carrière professionnelle exceptionnelle dans le monde banquier, financier et immobilier dont je suis très fier. J'ai toujours agi de manière professionnelle, avec prudence et bonne foi. De toute ma carrière, je n'ai jamais personnellement bénéficié d'avantages ou de traitements préférentiels. Et je ne l'ai jamais fait pour qui que ce soit. Les reproches que me fait la Caisse ne résistent à aucune analyse rigoureuse et sérieuse », mentionne M. Graceffa.
Alors banquier réputé, M. Graceffa a été recruté en 2006 au sein des équipes de haute direction et de gestion des diverses filiales de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Il a été systématiquement promu à des fonctions supérieures en 2009, 2011, 2012, 2013, 2017 et 2018, a surpassé les attentes et vu ses responsabilités augmentées.
Jusqu'au 27 mai dernier, M. Graceffa assumait les rôles de président du conseil d'administration et chef de la direction d'Otéra Capital, président du conseil d'administration de l'institution financière MCAP et chef des Unités d'affaires et membre du comité de direction d'Ivanhoé Cambridge.
Par ces fonctions, M. Graceffa était responsable de plus de 100 milliards de dollars de fonds et d'actifs sur gestion pour l'ensemble des Québécoises et Québécois.
L'enquête de la Caisse de dépôt et placement du Québec a aussi démontré que les quatre personnes qui ont été visées par des congédiements « ont agi de façon indépendante les unes des autres ».
« Les reproches évoqués contre moi sont basés sur des faits incomplets et pris hors contexte. Ils constituent une atteinte inacceptable et injustifiée à ma réputation. Je vais rétablir ma réputation que j'ai bâtie pendant 30 ans avec rigueur et discipline autant comme gestionnaire de fonds publics que pour mes affaires corporatives et personnelles. »
Comme dirigeant d'entreprises, M. Graceffa a toujours fait preuve de probité exemplaire et respecté les règles professionnelles de bonne conduite, d'éthique, de gouvernance et de gestion répondant aux exigences fixées. En ce sens, il offre son entière collaboration à l'Unité permanente anticorruption (UPAC) à qui le rapport d'enquête aurait été remis.
SOURCE Alfonso Graceffa
Astérisme, Jean Maurice Duddin, [email protected], 514 771-5777
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