Code d'éthique et de déontologie des membres de l'Assemblée nationale - À la demande de Jean Rousselle, la commissaire à l'éthique ouvre une enquête au sujet de la députée de Laviolette-Saint-Maurice
QUÉBEC, le 27 nov. 2018 /CNW Telbec/ - M. Jean Rousselle, député de Vimont et porte-parole de l'opposition officielle en matière d'éthique, a demandé aujourd'hui à la commissaire à l'éthique et à la déontologie d'ouvrir une enquête au sujet de la députée de Laviolette-Saint-Maurice, Mme Marie-Louise Tardif.
C'est par le biais des médias que nous avons appris que la députée de Laviolette-Saint-Maurice recevrait toujours une rémunération de son ancien employeur, le Parc de l'Île Melville, et ce, malgré son rôle de députée à l'Assemblée nationale. Mme Tardif aurait par ailleurs transféré au Parc de l'Île Melville des meubles qui se trouvaient au bureau de la précédente députée de Laviolette et qui sont la propriété de l'Assemblée nationale.
Dans sa réponse au député de Vimont, la commissaire a déjà confirmé l'ouverture d'une enquête visant la députée de Laviolette-Saint-Maurice en vertu des articles 11 et 36 du Code d'éthique et de déontologie des membres de l'Assemblée nationale.
« La Coalition Avenir Québec a toujours crié haut et fort qu'en matière d'éthique c'était tolérance zéro. Aujourd'hui, nous invitons M. Legault à prendre acte de la situation et à poser les gestes qu'il juge nécessaires à la lumière de ces nouvelles informations. »
Jean Rousselle, porte-parole de l'opposition officielle en matière d'éthique
SOURCE Aile parlementaire du Parti libéral du Québec
Marie-Pier Richard, Attachée de presse, Aile parlementaire libérale, 418 446-6783
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