Congrès des femmes élues autochtones - Le ministre Geoffrey Kelley souligne l'importance de l'engagement politique des femmes autochtones
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Cabinet du ministre responsable des Affaires autochtones17 févr, 2015, 10:02 ET
QUÉBEC, le 17 févr. 2015 /CNW Telbec/ - Le ministre responsable des Affaires autochtones, M. Geoffrey Kelley, et la vice-présidente de l'Assemblée nationale et présidente du Cercle des femmes parlementaires, Mme Maryse Gaudreault, étaient très heureux de prendre part hier à la soirée d'ouverture du Congrès des élues de l'Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador (APNQL), qui se tient à Québec, du 16 au 19 février. Ce congrès se veut notamment le théâtre d'un événement sans précédent : la rencontre de femmes élues autochtones avec le Cercle des femmes parlementaires.
« Je suis ravi d'assister à ce moment historique : la rencontre entre les élues autochtones et des parlementaires québécoises. Les femmes autochtones occupent actuellement 40 % des sièges au sein des conseils de bande du Québec et du Labrador. Elles représentent une véritable force au sein de leur communauté respective, qu'elles guident sur les voies du développement. Cet engagement doit être reconnu et encouragé. Je souhaite que cet événement puisse créer un enthousiasme qui mènera à des relations constructives entre femmes issues de milieux différents, mais ayant le même désir d'exercer un rôle politique », a déclaré M. Kelley.
Le Congrès des élues de l'APNQL vise à répondre aux besoins de soutien et de formation exprimés par le groupe de travail des femmes élues de l'APNQL, à leur procurer les outils nécessaires à l'exercice de leurs responsabilités et à favoriser la création d'une relève. À l'heure actuelle, on dénombre 103 femmes élues au sein des conseils de bande du Québec et du Labrador.
« Les femmes sont relativement nouvelles en politique. Il a fallu attendre 1961 pour qu'une femme siège enfin à l'Assemblée nationale du Québec. Heureusement pour nous, et pour toute la société, la parole des femmes est maintenant entendue, et toutes les tribunes leur sont ouvertes pour faire valoir leurs idées et leurs droits. Quelle que soit leur origine, les élues ont beaucoup à apprendre les unes des autres et gagneront à créer des liens de solidarité et à partager leur savoir-faire. Cette rencontre entre femmes politiques aura forcément des suites; cela va de soi, c'est une question d'affinités », a conclu Mme Gaudreault.
SOURCE Cabinet du ministre responsable des Affaires autochtones
Kimberly Labar, Attachée de presse, Cabinet du ministre responsable des Affaires autochtones, 418 646-9131
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