Déclaration de l'honorable Marie-Claude Bibeau sur la destruction des pommes de terre excédentaires English
OTTAWA, ON, le 10 févr. 2022 /CNW/ - Les producteurs et les productrices de l'Î.-P.-É. investissent tout ce qu'ils ont dans leurs cultures, et l'avenir de nombreuses familles dépend de cette industrie. Je sais que l'interruption du commerce en raison des préoccupations des États Unis à l'égard de la gale verruqueuse a touché les vies de tellement d'insulaires, qu'il s'agisse d'exploitations familiales multigénérationnelles, d'emballeurs, de transformateurs, d'expéditeurs, etc.
Ce qui aurait dû être une excellente année pour l'Î.-P.-É. - une année de récolte exceptionnelle et des conditions de marché favorables - s'est transformée en une année incroyablement difficile.
Bien que le rétablissement des échanges avec Porto Rico aidera certains producteurs, la frontière reste fermée pour plusieurs. Nous savons qu'il y a encore du travail à faire et c'est pourquoi nous continuerons à nous engager avec nos partenaires américains à tous les niveaux pour rétablir le commerce des pommes de terre de l'Î.-P.-É. vers les États-Unis. Malheureusement, nous en sommes arrivés au point où certaines des pommes de terre excédentaires doivent maintenant être détruites.
Grâce au Plan d'intervention pour la gestion des pommes de terre excédentaires, nous réacheminons le plus grand nombre de pommes de terre possible vers des banques alimentaires, des usines de déshydratation, des transformateurs et d'autres marchés afin de réduire au minimum la quantité de pommes de terre excédentaires qui doivent être détruites. Pour les pommes de terre qui ne peuvent être détournées, les producteurs et les productrices recevront jusqu'à 8,5 cents par livre pour assumer les coûts de la destruction des pommes de terre excédentaires sans nuire à l'environnement. Nous sommes reconnaissants au PEI Potato Board pour les ressources qu'il a consacrées à cet effort et pour son rôle de partenaire d'exécution du plan.
Aux producteurs de l'Î.-P.-É., et à tous les habitants de l'Île, sachez que nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour vous soutenir et rétablir le commerce. Je n'aurai pas de répit tant que la frontière américaine ne sera pas rouverte aux pommes de terre fraîches de l'Île-du-Prince-Édouard.
Suivez-nous sur Twitter, Facebook, Instagram, et LinkedIn
Site Web : Agriculture et Agroalimentaire Canada
SOURCE Agriculture et Agroalimentaire Canada
Marianne Dandurand, Attachée de presse, Cabinet de la ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire, [email protected], 343-541-9229; Les Relations avec les médias, Agriculture et Agroalimentaire Canada, Ottawa (Ontario), 1-866-345-7972, [email protected]
Partager cet article