OTTAWA, le 10 janv. 2012 /CNW/ - Maureen et moi sommes navrés d'apprendre le décès de Jean, et nous offrons nos condoléances aux membres de sa famille directe ainsi qu'à sa famille étendue et à ses nombreux admirateurs et amis, dans la vie desquels elle a joué un rôle si important. La famille était une seconde nature pour Jean. Née parmi les Morrison de la vallée de l'Outaouais, elle était extrêmement fière de l'excellent exemple donné par ses parents en matière de service communautaire. Ses sœurs et elle ont d'ailleurs suivi et approfondi cette tradition familiale.
Son approche était simple : elle faisait en sorte que les gens se sentent bien accueillis, puis elle les mettait ensuite au travail. Au-delà de son approche terre-à-terre, elle était douée d'un talent remarquable pour convaincre les personnes hésitantes et faire bouger les choses. À la Chambre des communes, puis ensuite dans l'ambiance survoltée de mon nouveau bureau de premier ministre, en 1979, elle a su mettre ses collègues à l'aise et ainsi leur donner l'assurance requise pour donner le meilleur d'eux-mêmes. Dans le cadre de son rôle de présidente de la Commission de la capitale nationale, son leadership a été essentiel pour ouvrir la capitale nationale au reste du pays. Elle a contribué à ce que les Canadiens se sentent « chez eux » dans leur propre capitale et à ce qu'ils soient conscients de l'histoire que nous partageons. Jean Pigott nous manquera beaucoup, mais nous savons qu'elle a fait sa marque sur le district de la capitale nationale, où elle avait élu domicile, et dans la mémoire de ses foules d'admirateurs et d'amis, qui s'en souviendront avec gratitude.
Relations avec les médias :
Lisa Robertson
[email protected]
Partager cet article