Deere déclare un bénéfice de 243 M$ pour le premier trimestre
- Le revenu augmente de 19 pour cent malgré une diminution de 6 pour cent aux chapitres des ventes nettes et des produits.
- Une exécution solide et une gestion rigoureuse des actifs ont donné lieu à des résultats plus vigoureux.
- La prévision quant au bénéfice pour l'exercice a augmenté pour atteindre 1,3 G$.
MOLINE, IL, le 18 févr. /CNW/ - Le revenu net imputable à Deere & Company (NYSE : DE) était de 243,2 M$, ou 0,57 $ par action, pour le premier trimestre clos le 31 janvier, comparativement à 203,9 M$, ou 0,48 $ par action, pour la période équivalente de l'exercice précédent.
À l'échelle mondiale, les ventes nettes et les produits ont chuté de 6 pour cent, à 4,835 G$, pour le premier trimestre, comparativement à 5,146 G$ il y a un an. Pour la période visée, les ventes nettes tirées des activités relatives à l'équipement se sont établies à 4,237 G$, comparativement à 4,560 G$ l'an dernier.
"Les résultats enregistrés pour ce trimestre reflètent une solide exécution de nos plans d'exploitation et de marketing à l'échelle de la société et s'avèrent particulièrement valorisant, compte tenu de la conjoncture économique mondiale qui tarde à montrer des signes de reprise", a déclaré Samuel R. Allen, président et chef de la direction. "Il ne fait aucun doute que nous récoltons le fruit de nos efforts d'accroissement de la clientèle, grâce à de nouveaux produits de pointe, tout en faisant preuve d'une discipline encore plus ferme quant à la gestion des coûts et des actifs."
Résumé des activités
Les ventes nettes des activités mondiales relatives à l'équipement ont diminué de 7 pour cent pour le trimestre, ce qui inclut une incidence positive de conversion des devises de 5 pour cent et une amélioration de l'actualisation des prix de l'ordre de 2 pour cent. Aux États-Unis et au Canada, les ventes nettes d'équipement ont chuté de 8 pour cent pour le trimestre. Hors des États-Unis et du Canada, les ventes nettes ont connu une baisse de 6 pour cent, incluant une incidence positive de conversion des devises de 12 pour cent.
Les activités relatives à l'équipement de Deere ont généré un bénéfice d'exploitation de 315 M$ pour le trimestre, comparativement à 307 M$ l'an dernier. Cette amélioration est principalement attribuable à la réduction des coûts des matières premières, de l'amélioration de l'actualisation des prix et des incidences positives des taux de change, et de la gamme de produits. Cependant, la diminution des volumes d'expédition et de production ainsi que l'augmentation des charges complémentaires de retraite sont venues partiellement contrebalancer cette amélioration.
L'accent mis par la société sur la gestion rigoureuse des actifs a continué de générer de solides résultats. À la clôture du trimestre, les comptes clients et les stocks s'élevaient à 5,873 G$, ce qui représente une réduction de 1,439 G$, soit 20 pour cent, comparativement à la période équivalente de l'exercice précédent. À la fin du trimestre, les comptes clients et les stocks équivalaient à 29 pour cent des ventes pour les 12 derniers mois, comparativement à 7,312 G$, ou 28 pour cent des ventes de l'exercice précédent.
Le revenu net tiré des activités relatives aux services financiers de la société s'élevait à 85,1 M$ pour le trimestre, par rapport à 46,8 M$ l'an dernier. Cette hausse des résultats est principalement attribuable à l'amélioration des écarts de financement.
Perspectives de la société et résumé
Les ventes d'équipement de la société devraient enregistrer une hausse de 6 à 8 pour cent pour l'exercice financier 2010 et une hausse de 4 à 6 pour cent au cours du deuxième trimestre, comparativement aux périodes équivalentes de l'exercice précédent. Cette hausse tient compte d'une incidence positive de conversion des devises d'environ 3 pour cent pour l'exercice et d'environ 5 pour cent pour le trimestre. Pour l'exercice complet, le revenu net imputable à Deere & Company devrait s'élever à environ 1,3 G$.
Selon M. Allen, l'accent mis sur la gestion rigoureuse des coûts et des actifs positionne la société Deere favorablement pour réagir à une reprise de l'économie mondiale et, à plus long terme, pour répondre aux besoins croissants dans les secteurs de l'alimentation, du logement et de l'infrastructure. M. Allen a ajouté : "Nous croyons que des développements positifs fondés sur les perspectives mondiales concernant la hausse de la population et la croissance économique présentent un grand potentiel et devraient aider notre société à offrir de la valeur à nos clients et nos investisseurs pour de nombreuses années à venir."
Rendement des divisions de l'équipement
Équipement agricole et gazons. Pour le trimestre, les ventes ont diminué de 6 pour cent, principalement en raison de la baisse des volumes d'expédition, compensée en partie par les répercussions positives de la conversion des devises et l'amélioration de l'actualisation des prix. Le bénéfice d'exploitation s'élevait à 352 M$ pour le trimestre, comparativement à 289 M$ l'an dernier. Cette augmentation est principalement attribuable à la réduction des coûts des matières premières, à l'amélioration de l'actualisation des prix et aux incidences positives des taux de change et de la gamme de produits. Ces facteurs ont été contrebalancés en partie par la baisse des volumes d'expédition et de production et la hausse des charges complémentaires de retraite.
Construction et foresterie. Pour le trimestre visé, les ventes dans le secteur de la construction et de la foresterie ont diminué de 15 pour cent, ce qui est principalement attribuable à la baisse des volumes d'expédition, compensée en partie par les incidences positives de la conversion des devises. Le secteur a enregistré une perte d'exploitation de 37 M$ au cours du trimestre, comparativement à un bénéfice d'exploitation de 18 M$ pour l'exercice précédent. Cette diminution est attribuable en grande partie à la baisse des volumes d'expédition et de production ainsi qu'à la hausse des charges complémentaires de retraite.
Conjoncture et perspectives du marché
Équipement agricole et gazons. Pour l'exercice 2010, on prévoit que les ventes mondiales de la division de l'équipement agricole et des gazons augmenteront de 4 à 6 pour cent, incluant une incidence positive de la conversion des devises d'environ 4 pour cent.
À l'échelle de l'industrie, les ventes de machinerie agricole aux États-Unis et au Canada devraient êtres comparables à celles enregistrées en 2009. Les rentrées de fonds et le prix des marchandises ont conservé des niveaux sains, ce qui, combiné aux faibles taux d'intérêt, contribue particulièrement à la vente de l'équipement de plus grande taille. Dans d'autres régions du monde, notamment en Europe de l'Ouest, les ventes de machinerie agricole au sein de l'industrie devraient diminuer de 10 à 15 pour cent pour l'exercice, et ce, principalement en raison de la faiblesse des secteurs du bétail, des produits laitiers et du grain. La pression sur les ventes dans l'Europe centrale et dans la Communauté des États indépendants devrait se maintenir en raison de la conjoncture économique difficile et des faibles niveaux de crédit disponible. En Amérique du Sud, les ventes au sein de l'industrie devraient augmenter de 10 à 15 pour cent pour l'exercice grâce au retour à des conditions plus normales et à la reprise du marché fondamental qu'est le Brésil. La conjoncture du marché brésilien est soutenue par de bons prix pour le soya et la canne à sucre ainsi que la disponibilité de financement important endossé par le gouvernement. Au sein de l'industrie, les ventes de l'équipement d'entretien du gazon et des tracteurs utilitaires compacts aux États-Unis et au Canada devraient demeurer relativement stables au cours de l'exercice compte tenu d'une conjoncture économique stagnante aux États-Unis.
Construction et foresterie. Les ventes internationales dans le secteur de l'équipement de construction et de foresterie de Deere devraient augmenter d'environ 21 pour cent pour l'exercice 2010. Les ventes devraient tirer profit des réductions considérables des stocks enregistrées pendant l'exercice précédent, ce qui mettrait la société en bonne position pour harmoniser la production et la demande au détail en 2010. Les marchés américains de l'équipement de construction devraient demeurer à un point très faible au cours de l'exercice, compte tenu d'un déclin dans la construction non résidentielle et des niveaux relativement élevés d'utilisation de l'équipement usagé. Les marchés mondiaux de la foresterie devraient connaître des résultats vigoureux en comparaison aux résultats extrêmement faibles enregistrés à l'exercice précédent, stimulés par une reprise de l'activité économique à l'échelle mondiale et une légère augmentation des mises en chantier aux États-Unis.
Crédit. Le revenu net tiré des activités de crédit imputable à Deere & Company pour la totalité de l'exercice 2010 devrait se chiffrer à environ 260 M$. Cette augmentation prévue par rapport à 2009 est principalement attribuable aux écarts de financements plus favorables.
John Deere Capital Corporation
Les renseignements suivants sont communiqués au nom de la filiale de crédit de la compagnie, John Deere Capital Corporation (JDCC), conformément aux obligations de divulgation applicables à l'émission périodique de titres de créance sur le marché public.
Le revenu net imputable à John Deere Capital Corporation s'élevait à 63,9 M$ pour le premier trimestre, comparativement à 35,0 M$ pour l'exercice précédent. Cette augmentation des résultats est principalement due à l'amélioration des écarts de financement.
Les créances et les locations nettes financées par JDCC se chiffraient à 18,510 G$ en date du 31 janvier 2010, comparativement à 18,459 G$ pour l'exercice précédent. Les créances et les locations nettes administrées, qui incluent les créances administrées mais non détenues, totalisaient 18,626 G$ en date du 31 janvier 2010, comparativement à 18,628 G$ pour l'exercice précédent.
Déclaration concernant la règle refuge
Règle refuge en vertu de la Private Securities Litigation Reform Act de 1995 : Les déclarations des rubriques "Perspectives de la société et résumé", "Perspectives et conjoncture du marché", et d'autres déclarations prospectives du présent communiqué qui se rapportent à des évènements, attentes ou périodes d'exploitation futurs sont assujetties à des facteurs passibles de modification, ainsi qu'à d'importants risques et incertitudes susceptibles d'entraîner des écarts considérables entre les prévisions et les résultats réels. Certains de ces risques et incertitudes peuvent avoir une incidence sur des secteurs d'activité bien précis, tandis que d'autres peuvent avoir une incidence sur l'ensemble des activités de la société.
Les activités liées à l'équipement agricole de la société sont assujetties à un certain nombre d'incertitudes, y compris de nombreux facteurs interdépendants qui risquent d'avoir une incidence sur la confiance des agriculteurs. Ces facteurs comprennent la conjoncture économique à l'échelle mondiale, la demande à l'égard des produits agricoles, les stocks mondiaux de grains, les conditions météorologiques (y compris son incidence sur la plantation et la récolte en temps opportun), les conditions des sols, le rendement des récoltes, les prix des marchandises et du bétail, les dépenses liées aux récoltes et à la production de bétail, la disponibilité du transport des récoltes, l'accroissement de l'utilisation de produits non comestibles pour certaines récoltes (y compris la production d'éthanol et de biodiésel), les valeurs des biens immobiliers, la surface disponible pour l'agriculture, les politiques gouvernementales en matière de propriété foncière, les changements dans les programmes fermiers et les politiques du gouvernements, (y compris les politiques applicables aux États-Unis et au Brésil), les réactions à ces programmes à l'échelle internationale, les accords commerciaux internationaux, les maladies animales et leurs effets sur les prix et la consommation de la volaille et des bovins, les parasites et maladies touchant les récoltes, ainsi que le volume des exportations de produits agricoles (notamment les préoccupations à l'égard des organismes génétiquement modifiés).
Parmi les facteurs ayant une incidence sur les perspectives à l'égard de l'équipement d'entretien des gazons et de l'équipement utilitaire de la société, on retrouve la conjoncture économique générale, la confiance des consommateurs, les conditions météorologiques, la rentabilité des consommateurs, les habitudes d'emprunt des consommateurs, leurs préférences d'achat, les mises en chantier, l'investissement en infrastructure, les dépenses engagées par les municipalités et les clubs de golf, ainsi que les coût des facteurs de production des produits consomptibles.
La conjoncture économique générale, les habitudes de dépenses des consommateurs, les prix de l'immobilier et du logement, le nombre de mises en chantier et les taux d'intérêt sont particulièrement importants pour les ventes du secteur de la construction et de la foresterie de la société. La construction d'édifices non résidentiels et publics a également une incidence sur les résultats du secteur de la construction et de la foresterie. Par ailleurs, les prix de la pâte, du papier, du bois d'œuvre et des panneaux de charpente sont importants pour la vente d'équipement forestier.
Tous les secteurs d'activités de la société et les résultats qu'ils déclarent sont touchés par la conjoncture économique générale au sein des marchés mondiaux dans lesquels la société exerce ses activités, surtout par les variations importantes de l'activité économique de ces marchés; la confiance des consommateurs à l'égard de la conjoncture économique générale; les taux de change des devises étrangères, particulièrement les fluctuations de la valeur du dollar américain; les taux d'intérêt; ainsi que les taux d'inflation et de déflation. La conjoncture économique générale peut également avoir une incidence sur la demande à l'égard de l'équipement de la société. La conjoncture et les perspectives économiques négatives actuelles ont freiné la demande à l'égard de l'équipement.
Les activités et les résultats des consommateurs et de la société risquent d'être touchés par des changements dans les tendances climatiques; la stabilité politique et sociale des marchés mondiaux dans lesquels la société exerce ses activités; les conséquences du terrorisme et les mesures prises à cet égard; les guerres et autres conflits internationaux et la menace connexe; de même que la propagation d'épidémies majeures (y compris le virus H1N1 et d'autres types d'influenza).
En ce qui a trait au ralentissement économique mondial et à la lenteur attendue de la reprise, les modifications des politiques financières, monétaires et fiscales des gouvernements dans le but de rétablir les liquidités et d'améliorer la disponibilité du crédit pourraient se révéler inefficaces et avoir une incidence considérable sur les clients et les marchés de la société. D'importants changements dans les conditions des liquidités sur les marchés pourraient avoir une incidence sur l'accès au financement et sur les coûts de financement associés, ce qui pourrait réduire les bénéfices et les flux de trésorerie de la société. Les conditions actuelles du marché pourraient aussi avoir une incidence négative sur l'accès du consommateur au capital pour des achats des produits de la société; les pratiques d'emprunt et de remboursement; et le nombre et l'ampleur du défaut ou du refus de remboursement de la part du client. Une crise de la dette souveraine, en Europe ou ailleurs, risque d'avoir une incidence négative sur les devises, les marchés financiers mondiaux, la stabilité sociale et politique, les sources et les coûts de financement, les consommateurs ainsi que les activités et résultats de la société. Les activités de gestion des investissements de la société risquent d'être freinées par des changements au sein des marchés des actions et des obligations, ce qui aurait une incidence négative sur les bénéfices.
D'autres facteurs susceptibles d'avoir une incidence considérable sur les activités et les résultats de la société comprennent les modifications des politiques d'échanges commerciaux, financières, monétaires et fiscales des gouvernements et l'incidence de ces modifications, y compris une réforme réglementaire financière, ainsi que des programmes gouvernementaux dans des régions particulières ou au profit de certaines industries ou de certains secteurs (dont des politiques protectionnistes qui risqueraient de freiner le commerce international; des mesures prises par des organismes de réglementation de l'environnement, de la santé et de la sécurité, y compris les mesures liées aux émissions des moteurs (particulièrement les exigences relatives aux émissions Interim Tier 4 et Final Tier 4), au niveau de bruit et au risque associé au changement climatique; des modifications apportées aux règlements de travail; des modifications aux normes de comptabilité; des modifications aux taux d'imposition et aux règlements sur la fiscalité; ainsi que des mesures prises par d'autres organismes de réglementation, dont des modifications aux lois et règlements ayant une incidence sur les secteurs dans lesquels la société exerce ses activités.
D'autres facteurs susceptibles d'avoir une incidence considérable sur les résultats comprennent les innovations et les difficultés observés aux chapitres de la production, de la conception et de la technologie, y compris les contraintes liées à l'offre et la demande, et les prix; la disponibilité et le prix des matériaux, des composantes et de l'ensemble des marchandises d'approvisionnement stratégique; les délais et les interruptions observés dans la chaîne d'approvisionnement de la société en raison de la température, des catastrophes naturelles ou des difficultés financières ou la perte de liquidités de la part des fournisseurs (incluant les fournisseurs communs de l'industrie automobile; la mise en service de nouvelles usines et le lancement de nouveaux produits; la réussite de nouvelles initiatives concernant les produits et l'accueil des nouveaux produits par les consommateurs; le cours et l'offre de l'énergie et du pétrole; la disponibilité et le coût du fret; les mesures prises par les concurrents dans les différentes industries où la société mène ses activités, particulièrement la réduction des prix; les pratiques des marchands particulièrement en ce qui concerne le niveau des stocks nouveaux et usagés sur les lieux; les relations de travail; les acquisitions et les dessaisissements d'entreprises; l'intégration de nouvelles entreprises; la mise en œuvre de changements organisationnels; des changements dans les dividendes déclarés de la société ainsi que dans l'émission et le rachat d'actions ordinaires.
Les résultats de la société sont également touchés par les modifications au niveau des rentes de retraite des employés, les changements dans les valeurs marchandes de l'actif d'investissement et du niveau des taux d'intérêt, ce qui influe sur les coûts liés aux rentes de retraite, et les changements importants des coûts en termes de soins de santé, y compris ceux qui pourraient provenir de mesures gouvernementales.
Le ralentissement économique actuel a une incidence négative sur l'industrie financière au sein de laquelle John Deere Capital Corporation et d'autres filiales de crédit (Crédit) exercent leurs activités. La liquidité et la rentabilité actuelles des activités de crédit dépendent en grande partie de l'accès opportun au capital afin de répondre aux exigences futures en termes de flux de trésorerie, d'activités de financement et de coûts associés à la participation à des activités de financement diversifiées, ainsi que de financer l'achat de produits de la société. Si la volatilité du marché demeure ou s'aggrave, le financement risquerait d'être indisponible ou insuffisant. De plus, en vertu de la conjoncture actuelle, les niveaux de confiance des consommateurs sont susceptibles d'entraîner des diminutions des demandes de crédit et des augmentations des défauts de paiement, ce qui pourrait avoir une incidence considérable sur les imputations et les provisions pour perte sur créances des activités de crédit.
Les prévisions de la société sont fondées sur des hypothèses liées aux facteurs décrits précédemment. Ces hypothèses reposent parfois sur des estimations et des données préparées par des organismes gouvernementaux. Ces prévisions et données font l'objet de fréquentes mises à jour. La société ne s'engage d'aucune façon à actualiser ni à réviser ses prévisions à la lumière de nouveaux événements ou pour toute autre raison, sauf si la loi l'exige. Pour obtenir de plus amples renseignements sur la société et ses activités, y compris les facteurs susceptibles d'avoir une incidence considérable sur ses résultats financiers, veuillez consulter les autres documents déposés par la compagnie auprès de la SEC (y compris, mais sans s'y limiter, les facteurs mentionnés à l'article 1A. "Facteurs de risque" du plus récent rapport annuel de la compagnie sur le formulaire 10-K).
Communiqué de presse du quatrième trimestre de 2010 (en millions de dollars) (Non vérifié) ------------- Trimestres clos le ------------------ 31 janvier ---------- Taux (%) de 2010 2009 variation ---- ---- --------- Ventes nettes et produits : Ventes nettes équipement agricole et gazons(xxxx) 3 607 $ 3 819 $ -6 Ventes nettes construction et foresterie 630 741 -15 Total des ventes nettes* 4 237 4 560 -7 Produits du crédit 483 474 +2 Autres produits 115 112 +3 Total des ventes nettes et des produits* 4 835 $ 5 146 $ -6 Bénéfice (perte) d'exploitation :(xx) Equipement agricole et gazons(xxxx) 352 $ 289 $ +22 Construction et foresterie (37) 18 Crédit 94 53 +77 Autres 7 4 +75 Total des bénéfices d'exploitation* 416 364 +14 Autres éléments de rapprochement(xxx) (173) (160) +8 Revenu net imputable à Deere & Company 243 $ 204 $ +19 * Comprend les activités relatives à l'équipement hors des États-Unis et du Canada telles que mentionné ci-dessous : Ventes nettes 1 711 $ 1 817 $ -6 Bénéfice d'exploitation 118 $ 79 $ +49 La société perçoit ses activités comme étant divisées en deux zones géographiques, les "États-Unis et le Canada" et "hors des États-Unis et du Canada". (xx) Le bénéfice (perte) d'exploitation représente le revenu tiré des activités poursuivies avant les charges du siège social, certains frais d'intérêts extérieurs, les gains et pertes sur opérations de change ainsi que les impôts sur le revenu. Le bénéfice d'exploitation du secteur du crédit comprend l'incidence des frais d'intérêts et des gains ou les pertes sur opérations de change. (xxx) Les autres éléments de rapprochement constituent principalement les charges du siège social, certains frais d'intérêts extérieurs, les gains et pertes sur opérations de change, les impôts sur le revenu ainsi que le revenu net attribuable aux participations minoritaires. (xxxx) Au début du troisième trimestre de 2009, la Société a combiné les organisations responsables de l'équipement agricole ainsi que de l'équipement commercial et grand public avec le rapport interne. Ainsi, ces deux secteurs ont été fusionnés dans le secteur de l'équipement agricole et des gazons pour le premier trimestre clos le 31 janvier 2009.
Renseignements: Ken Golden, directeur des relations publiques stratégiques de Deere & Company, (309) 765-5678
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