Deere déclare un bénéfice de 981 millions $ au deuxième trimestre
- Le bénéfice par action diminue de 4 % pour se situer à 2,65 $; les ventes et produits nets chutent de 9 %.
- Le rendement est soutenu par une exécution efficace et une gestion rigoureuse des coûts.
- Les prévisions de revenus pour l'exercice demeurent à 3,3 milliards $.
MOLINE, IL, le 15 mai 2014 /CNW/ - Deere & Company (NYSE : DE) a déclaré aujourd'hui un bénéfice net de 980,7 millions $, soit 2,65 $ par action, pour le deuxième trimestre qui s'est terminé le 30 avril. En comparaison, la société avait dégagé un bénéfice net de 1,084 milliard $, ou 2,76 $ par action, pour la même période l'an passé.
Pour les six premiers mois de l'exercice 2014, le bénéfice net attribuable à Deere & Company s'élève donc à 1,662 milliard $, soit 4,46 $ par action, comparativement à 1,734 milliard $, ou 4,41 $ par action, l'an dernier.
Les ventes et produits nets à l'échelle mondiale ont diminué de 9 pour cent au deuxième trimestre, à 9,948 milliards $, et de 4 pour cent pour les six premiers mois, à 17,602 milliards $. Les ventes nettes des activités liées aux équipements se sont élevées à 9,246 milliards $ pour le dernier trimestre et à 16,195 milliards $ pour la période de six mois, alors qu'elles avaient été de 10,265 milliards $ et de 17,058 milliards $ lors des mêmes périodes il y a un an.
« John Deere est en voie de connaître une autre excellente année sur le plan du rendement financier et opérationnel », souligne Samuel R. Allen, président et chef de la direction. « Les bénéfices que nous avons dégagés au deuxième trimestre montrent une fois de plus l'exécution adéquate de nos plans d'exploitation. Nous avons bien maîtrisé les coûts et les actifs, tout en réussissant à gérer d'importantes transitions de nouveaux produits afin de respecter les normes d'émission plus strictes. Par ailleurs, nos activités liées à la construction et foresterie et aux services financiers ont obtenu de meilleurs résultats, ce qui témoigne de la force de nos divisions. »
Résumé des activités
Les ventes nettes des activités mondiales liées aux équipements ont chuté de 10 pour cent pour le deuxième trimestre et de 5 pour cent pour les six premiers mois par rapport aux périodes correspondantes de l'an dernier. Ces ventes comprennent une réalisation des prix de 2 pour cent et une incidence défavorable de la conversion des devises de 1 pour cent pour le trimestre et les six premiers mois. Les ventes nettes d'équipements aux États-Unis et au Canada ont diminué de 12 pour cent au dernier trimestre et de 6 pour cent depuis le début de l'exercice. Ailleurs, les ventes nettes ont baissé de 6 pour cent pour le trimestre et de 3 pour cent pour la période de six mois, ce qui comprend une incidence négative de la conversion des devises de 2 pour cent pour les deux périodes.
Les activités liées aux équipements de Deere ont affiché un bénéfice d'exploitation de 1,361 milliard $ pour le trimestre et de 2,252 milliards $ pour les six premiers mois, comparativement à 1,663 milliard $ et à 2,500 milliards $ l'année dernière. Cette baisse est principalement attribuable à la diminution des volumes de livraison, à l'incidence défavorable de la conversion des devises et à une combinaison de produits moins favorable, lesquels facteurs ont été partiellement contrebalancés par les prix réalisés.
Le bénéfice net des activités liées aux équipements de la société s'est élevé à 838 millions $ pour le deuxième trimestre et à 1,381 milliard $ pour les six premiers mois, par rapport à 953 millions $ et à 1,478 milliard $ en 2013. Outre les facteurs d'exploitation cités plus haut, le taux d'imposition effectif moins élevé a eu un effet positif sur les résultats des deux périodes.
La division des services financiers a déclaré un bénéfice net attribuable à Deere & Company de 147,7 millions $ pour le trimestre et de 289,9 millions $ pour les six premiers mois, comparativement à 125,0 millions $ et à 257,9 millions $ l'année dernière. L'amélioration observée au deuxième trimestre est due à la croissance du portefeuille de crédit, laquelle a été partiellement contrebalancée par l'augmentation des dépenses commerciales, administratives et générales. Les résultats de la période de six mois ont bénéficié eux aussi de la croissance du portefeuille de crédit en plus d'un taux d'imposition effectif plus favorable, des améliorations qui ont été partiellement contrebalancées par une diminution des marges d'assurance-récolte et une hausse des dépenses commerciales, administratives et générales.
Perspectives de la société et résumé
Les ventes d'équipements de la société devraient diminuer d'environ 4 pour cent pour l'exercice 2014 et le troisième trimestre, comparativement aux mêmes périodes de 2013. Ces prévisions tiennent compte d'une incidence négative de la conversion des devises d'environ 1 pour cent pour l'exercice. Pour l'exercice, on s'attend à ce que le bénéfice net imputable à Deere & Company soit d'environ 3,3 milliards $.
« John Deere prévoit générer des bénéfices quasi records pour l'exercice 2014, et la société est en bonne position pour enregistrer de solides résultats financiers dans l'ensemble de son cycle d'affaires », affirme M. Allen. « Nous avons bon espoir que nos investissements massifs dans les nouveaux produits et marchés, jumelés à nos efforts visant à restreindre les coûts et les actifs permettront à la société de continuer d'assainir ses finances et aideront à soutenir nos plans de croissance. » Ces projets sont essentiels pour répondre au besoin grandissant de nourriture, de logement et d'infrastructure dans le monde entier, ajoute-t-il, et ils devraient offrir des avantages considérables aux investisseurs et aux clients de la société pour les années à venir.
Rendement de la division Équipements
Équipements agricoles et gazons. Les ventes ont chuté de 12 pour cent pour le trimestre et de 7 pour cent pour les six premiers mois à cause principalement des volumes de livraison moins élevés, de la vente annoncée de John Deere Landscapes et des effets défavorables de la conversion des devises, lesquels facteurs ont été partiellement contrebalancés par les prix réalisés.
Le bénéfice d'exploitation a atteint pour sa part 1,229 milliard $ pour le trimestre et 2,026 milliards $ pour les six premiers mois, comparativement à 1,582 milliard $ et à 2,347 milliards $ respectivement l'an dernier. La détérioration constatée pour les deux périodes est surtout attribuable à la baisse des volumes de livraison, à l'incidence défavorable des devises étrangères et à une combinaison de produits moins favorable. Les prix réalisés ont partiellement contrebalancés cette baisse.
Construction et foresterie. Les ventes de la division construction et foresterie ont augmenté de 2 pour cent pour le trimestre et de 3 pour cent pour la période de six mois en raison surtout de la hausse des volumes de livraison. Le bénéfice d'exploitation, quant à lui, s'est chiffré à 132 millions $ pour le deuxième trimestre et à 226 millions $ depuis le début de l'exercice, comparativement à 81 millions $ et à 153 millions $ l'année dernière. Cette augmentation du bénéfice d'exploitation pour les deux périodes est attribuable principalement à une hausse des volumes de livraison, à une baisse des coûts de production et à une diminution des charges commerciales, administratives et générales. Ces facteurs ont été partiellement contrebalancés par des coûts incitatifs de vente plus élevés. Les résultats depuis le début de l'exercice ont également bénéficié d'une réduction des dépenses en recherche et développement.
Perspectives et conjoncture du marché
Équipements agricoles et gazons. Les ventes mondiales de la division des équipements agricoles et gazons de Deere devraient diminuer d'environ 7 pour cent pour l'exercice 2014, en tenant compte d'une incidence négative d'environ 1 pour cent de la conversion des devises.
Bien que la conjoncture de l'économie agricole demeure relativement bonne, les revenus agricoles devraient être inférieurs à ceux de l'an dernier. Cette baisse met de la pression sur la demande d'équipements agricoles, principalement pour les gros modèles. Cependant, la vigueur du secteur de l'élevage aux États-Unis favorise actuellement les ventes de tracteurs de petite et moyenne taille. En tenant compte de tous ces facteurs, les ventes de l'industrie d'équipements agricoles aux États-Unis et au Canada devraient diminuer de 5 à 10 pour cent pour l'année.
On prévoit que les ventes de l'exercice dans les 28 États membres de l'UE diminuent d'environ 5 pour cent à cause de la baisse des prix des produits de base et des revenus agricoles. En Amérique du Sud, les ventes industrielles de tracteurs et de moissonneuses-batteuses devraient reculer d'environ 10 pour cent, après avoir enregistré de bons résultats en 2013. Les ventes industrielles dans la Communauté des États indépendants devraient être largement inférieures pour l'année en raison de la dégradation de la conjoncture qui y prévaut. Les ventes en Asie sont appelées à augmenter quelque peu.
Finalement, les ventes de l'industrie d'équipements utilitaires et gazons aux États-Unis et au Canada devraient rester à peu près identiques ou augmenter de 5 pour cent en 2013, reflétant ainsi l'amélioration de la conjoncture du marché.
Construction et foresterie. Les ventes mondiales de la division d'équipements de construction et de foresterie de Deere devraient croître d'environ 10 pour cent en 2014. Cette amélioration reflète la poursuite de la reprise économique et la hausse des mises en chantier aux États-Unis, ainsi que la croissance des ventes à l'extérieur des États-Unis et du Canada. On s'attend à ce que les ventes mondiales de la division foresterie soient supérieures pour l'année en raison de la croissance économique générale et de l'augmentation des ventes sur les marchés européens.
Services financiers. Pour l'exercice 2014, le bénéfice net imputable aux activités de services financiers de Deere & Company devrait s'élever à environ 600 millions $. Cette prévision à la hausse est principalement due à la croissance prévue du portefeuille de crédit et à un taux d'imposition plus favorable. Ces facteurs devraient être partiellement contrebalancés par une hausse des dépenses commerciales, administratives et générales, une diminution des marges d'assurance-récolte et une augmentation des provisions pour pertes sur créance par rapport au faible niveau de 2013.
John Deere Capital Corporation
Les renseignements suivants sont communiqués au nom de la filiale des services financiers de la société, John Deere Capital Corporation (JDCC), conformément aux obligations d'information applicables à l'émission périodique de ses titres de créance sur le marché public.
Le bénéfice net attribuable à John Deere Capital Corporation s'est chiffré à 124,3 millions $ pour le deuxième trimestre et à 260,8 millions depuis le début de l'exercice, comparativement à 105,9 millions $ et à 210,9 millions $ pour les périodes correspondantes l'an dernier. L'augmentation observée pour ces deux périodes est due principalement à la croissance du portefeuille de crédit, laquelle a été partiellement contrebalancée par une hausse des dépenses commerciales, administratives et générales. De plus, les résultats après six mois ont bénéficié d'un taux d'imposition réel plus favorable.
Les montants nets des comptes clients et des contrats de location financés par JDCC s'élevaient à 32,231 milliards $ au 30 avril 2014, comparativement à 28,721 milliards $ l'année dernière.
Déclaration de règle refuge
Déclaration de règle refuge en vertu de la loi Private Securities Litigation Reform Act de 1995 : les déclarations contenues dans les sections « Résumé et perspectives de la société », « Perspectives et conjoncture du marché » et autres déclarations prospectives du présent communiqué qui font référence à des événements futurs, à des attentes, à des tendances et à des périodes d'exploitation comportent certains facteurs pouvant faire l'objet de changements, ainsi que des risques et des incertitudes importants susceptibles d'entraîner des écarts considérables entre les prévisions et les résultats réels. Certains de ces risques et incertitudes pourraient avoir des répercussions sur des secteurs d'activité bien précis, tandis que d'autres peuvent avoir une incidence sur l'ensemble des activités de la société.
Les opérations de la division des équipements agricoles de la société sont assujetties à certaines incertitudes, y compris de nombreux facteurs interdépendants qui peuvent influer sur la confiance des exploitants agricoles. Ces facteurs comprennent la conjoncture économique à l'échelle mondiale, la demande pour les produits agricoles, les stocks de grains mondiaux, les conditions météorologiques (notamment ses effets sur la plantation et la récolte au moment voulu), les conditions du sol (y compris le manque d'humidité souterraine causé par les récentes sécheresses), la production des récoltes, le prix des produits de base et du bétail, les dépenses de production des produits de base et du bétail, la disponibilité du transport des récoltes, l'utilisation non alimentaire accrue et durable de certaines récoltes (y compris la production d'éthanol et de biodiésel), les valeurs des biens immobiliers, la surface disponible pour l'agriculture, les politiques de divers gouvernements en matière de propriété foncière, les changements dans les programmes et politiques agricoles des gouvernements (notamment en Argentine, au Brésil, en Chine, dans l'Union européenne, en Inde, en Russie et aux États-Unis), les réactions à ces programmes à l'international, les changements dans les programmes d'assurance du bétail et leurs effets, les accords commerciaux internationaux, les maladies animales et leurs effets sur les prix et la consommation de volaille, de bœuf et de porc, les parasites agricoles et les maladies, et le volume des exportations de produits agricoles (y compris les préoccupations à l'égard des organismes génétiquement modifiés).
Parmi les facteurs pouvant influer sur les perspectives de la division des équipements utilitaires et gazons, mentionnons la conjoncture économique générale, la confiance des consommateurs, les conditions météorologiques, la rentabilité des clients, les habitudes d'emprunt des consommateurs et leurs préférences d'achat, les mises en chantier, l'investissement dans l'infrastructure, les dépenses des municipalités et des terrains de golf ainsi que les coûts des intrants consommables.
La conjoncture économique générale, les habitudes de consommation, les prix de l'immobilier et des logements, le nombre de mises en chantier et les taux d'intérêt sont des facteurs particulièrement importants pour les ventes d'équipements de construction et de foresterie de la société. Les niveaux de construction d'édifices publics et non résidentiels ont également une incidence sur les résultats de sa division d'équipements de construction et de foresterie. Par ailleurs, les prix de la pâte, du papier, du bois d'œuvre et des panneaux de charpente ont des effets non négligeables sur les ventes d'équipements forestiers.
L'ensemble des activités et des résultats déclarés de la société subit les répercussions de la conjoncture économique générale qui prévaut sur les marchés mondiaux où la société évolue, notamment les changements importants de l'activité économique dans ces marchés; la confiance des consommateurs à l'égard de la conjoncture économique générale; les taux de change des devises étrangères et leur volatilité, particulièrement les fluctuations de la valeur du dollar américain; les taux d'intérêt; ainsi que les taux d'inflation et de déflation. La conjoncture économique générale peut également avoir une incidence sur la demande à l'égard de l'équipement de la société. Les dépenses et l'imposition actuelles du gouvernement pourraient avoir une incidence négative sur l'économie, les emplois, les habitudes de dépense des consommateurs et des entreprises ainsi que les résultats de la société.
Les activités et les résultats des clients et de la société pourraient être influencés par des changements dans les régimes climatiques (y compris les effets de la sécheresse dans certaines régions des États-Unis et des conditions plus sèches que la normale sur d'autres marchés); la stabilité politique et sociale des marchés mondiaux dans lesquels la société exerce ses activités; les effets du terrorisme et des menaces contre la sécurité ou les réactions qu'ils engendrent; les guerres et autres conflits internationaux et les risques de ceux-ci; et la propagation d'épidémies majeures.
D'importants changements dans l'état de la liquidité du marché et le non-respect des obligations financières associées aux accords de crédit pourraient avoir une incidence sur l'accès au financement et sur les coûts de financement, ce qui pourrait réduire les bénéfices et les flux de trésorerie de la société. Les conditions du marché financier pourraient aussi avoir une incidence négative sur l'accès des clients au capital leur permettant d'acheter les produits de la société de même que sur la confiance des consommateurs et leurs décisions d'achat; les habitudes d'emprunt et de remboursement; ainsi que le nombre et l'ampleur des défauts de paiement ou des refus de remboursement de la part du client. Une crise d'endettement, en Europe ou ailleurs, pourrait avoir une incidence négative sur les devises, les marchés financiers mondiaux, la stabilité sociale et politique, les sources et les coûts de financement, les valeurs des actifs et des obligations, les clients et les fournisseurs ainsi que les activités et les résultats de l'entreprise. Une crise de la dette des États pourrait également influer négativement sur les clients, les fournisseurs, la demande d'équipement ainsi que sur les opérations et les résultats de l'entreprise. Les activités de gestion des investissements de la société pourraient être entravées par des changements au sein des marchés des actions et des obligations, ce qui aurait une incidence négative sur les bénéfices.
Parmi les autres facteurs qui pourraient affecter de manière considérable les activités, l'accès au capital, les dépenses et les résultats de la société figurent les changements au niveau des politiques commerciales, bancaires, monétaires et fiscales du gouvernement ainsi que leurs impacts, y compris la réforme de la réglementation financière et ses effets sur l'industrie de la finance des consommateurs, les instruments dérivés, les coûts de financement et autres domaines, ainsi que les programmes, politiques, tarifs et sanctions des gouvernements dans des juridictions particulières ou au profit de certains secteurs ou industries (incluant les politiques protectionnistes, économiques, punitives et d'expropriation ainsi que les restrictions dans le commerce et la concession de licences qui pourraient perturber le commerce international); les mesures prises par le Federal Reserve Board des États-Unis et d'autres banques centrales; les mesures prises par la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis, la Commodity Futures Trading Commission des États-Unis et d'autres organismes de réglementation financière; les mesures prises par les organismes de réglementation en matière d'environnement, de santé et de sécurité, y compris celles qui sont liées aux émissions des moteurs (en particulier les normes sur les émissions de niveau 4 intérim/étape IIIB et de niveau 4 final/étape IV pour les moteurs diésel des véhicules non routiers aux États-Unis et dans l'Union européenne), aux émissions de carbone et d'autres gaz à effet de serre, au bruit et au risque de changement climatique; les changements des règlements sur le travail; les changements des normes comptables; les changements dans les taux d'imposition, les devis et les règlements ainsi que les mesures prises par la société à cet effet; le respect des lois américaines et étrangères lors de l'expansion vers de nouveaux marchés; et les actions entreprises par d'autres organismes de règlementation incluant les changements dans les lois et les règlements qui touchent les secteurs dans lesquels l'entreprise évolue. Les sanctions commerciales, financières et autres qui sont imposées par les États-Unis, l'Union européenne, la Russie et d'autres pays pourraient avoir une incidence négative sur les actifs, les activités, les ventes, les prévisions et les résultats de la société. Les activités et les résultats des clients et de la société pourraient aussi être affectés par les changements dans les bandes de fréquences radioélectriques GPS ou leurs utilisations approuvées.
D'autres facteurs susceptibles d'influer sensiblement sur les résultats comprennent les innovations et les difficultés en ce qui a trait à la production, à la conception et à la technologie, y compris les prix et les contraintes liés à la capacité de production et à l'approvisionnement; la disponibilité et les prix des matériaux, des composantes et des biens entiers qui ont été acquis de manière stratégique; les retards et les perturbations dans la chaîne d'approvisionnement de la société ou la perte de solvabilité des fournisseurs; l'incapacité des fournisseurs de se conformer aux règlements, aux lois et aux politiques de la société ayant trait à l'emploi, aux droits de la personne, à la santé, à la sécurité, à l'environnement et à d'autres pratiques d'entreprise conformes à la déontologie; les événements qui portent atteinte à la réputation ou à la marque de l'entreprise; la création de nouvelles usines ou de nouveaux produits; le succès des initiatives visant à lancer de nouveaux produits et l'acceptation de ces nouveaux produits par la clientèle; les changements dans les préférences des clients à l'égard des produits et le portefeuille des ventes que ce soit à la suite de changements dans la conception des équipements pour se conformer aux réglementations gouvernementales ou pour toute autre raison; les écarts ou les limitations dans la capacité, la vitesse et la couverture rurale à large bande nécessaires pour soutenir les solutions technologiques; les prix et les niveaux d'approvisionnement du pétrole et de l'énergie; la disponibilité et le coût du transport de marchandises; les mesures prises par les compétiteurs dans les différentes industries où l'entreprise entre en concurrence, particulièrement les rabais sur les prix; les pratiques des marchands surtout en ce qui a trait aux niveaux d'inventaires sur le terrain de marchandises neuves et usagées; les relations de travail; les acquisitions et les cessions d'entreprises; l'intégration de nouvelles activités; la mise en œuvre de changements organisationnels; les difficultés liées à la transformation et la mise en place des systèmes de planification des ressources de l'entreprise qui perturbent les activités, ont une incidence négative sur les relations d'approvisionnement ou de distribution ou entraînent des coûts plus élevés que prévu; les atteintes à la sécurité ou autres perturbations de l'infrastructure informatique de la société; les changements dans les dividendes déclarés de l'entreprise, ainsi que les émissions et les rachats d'actions ordinaires.
Les résultats de la société sont également influencés par les modifications dans le niveau et le financement des prestations de retraite des employés, les changements dans les valeurs marchandes de l'actif d'investissement, le niveau des taux d'intérêt et d'escompte, ainsi que les taux de compensation, de retraite et de mortalité qui influent sur les frais liés aux prestations de retraite, de même que les changements importants des frais liés aux soins de santé, y compris ceux qui pourraient découler d'actions gouvernementales.
La liquidité et la rentabilité actuelle de John Deere Capital Corporation et d'autres filiales de crédit dépendent en grande partie de l'accès opportun au capital afin de répondre aux exigences futures en termes de flux de trésorerie et d'opérations de financement, ainsi que des frais associés à la participation à des activités de financement diversifiées et au financement des achats de produits de la société. Si la volatilité du marché et la conjoncture économique générale s'aggravent, le financement risquerait d'être indisponible ou insuffisant. De plus, les niveaux de confiance des consommateurs sont susceptibles d'entraîner une diminution des demandes de crédit et une augmentation des taux de défauts de paiement, ce qui pourrait avoir une incidence considérable sur les imputations et les provisions pour les pertes sur créances. L'échec des réassureurs des activités d'assurance de la société pourrait également avoir une incidence considérable sur les résultats.
Les prévisions de la société sont fondées sur des hypothèses liées aux facteurs décrits précédemment, lesquelles hypothèses reposent parfois sur des estimations et des données préparées par des organismes publics. Ces prévisions et données font l'objet de fréquentes révisions. La société ne s'engage d'aucune façon à actualiser ni à réviser ses prévisions à la lumière de nouveaux événements ou pour toute autre raison, sauf si la loi l'exige. Pour obtenir de plus amples renseignements sur la société et ses activités, y compris les facteurs susceptibles d'avoir une incidence considérable sur ses résultats financiers, veuillez consulter les autres documents déposés auprès de la SEC (entre autres les facteurs discutés à l'article 1A. Facteurs de risque du plus récent rapport annuel de la société sur le formulaire 10-K et des rapports trimestriels sur le formulaire 10-Q).
Communiqué du deuxième trimestre 2014 |
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(en millions de dollars) |
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Non vérifié |
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Trimestre terminé le |
Période de six mois terminée le |
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2014 |
2013 |
% de variation |
2014 |
2013 |
% de variation |
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Ventes et produits nets : |
||||||||||||||||||||||||||
Équipements agricoles et gazons |
7 646 |
$ |
8 691 |
$ |
-12 |
13 242 |
$ |
14 182 |
$ |
-7 |
||||||||||||||||
Construction et foresterie |
1 600 |
1 574 |
+2 |
2 953 |
2 876 |
+3 |
||||||||||||||||||||
Total des ventes nettes |
9 246 |
10 265 |
-10 |
16 195 |
17 058 |
-5 |
||||||||||||||||||||
Services financiers |
572 |
536 |
+7 |
1 159 |
1 063 |
+9 |
||||||||||||||||||||
Autres produits |
130 |
113 |
+15 |
248 |
214 |
+16 |
||||||||||||||||||||
Total des ventes et produits nets |
9 948 |
$ |
10 914 |
$ |
-9 |
17 602 |
$ |
18 335 |
$ |
-4 |
||||||||||||||||
Bénéfice d'exploitation : * |
||||||||||||||||||||||||||
Équipements agricoles et gazons |
1 229 |
$ |
1 582 |
$ |
-22 |
2 026 |
$ |
2 347 |
$ |
-14 |
||||||||||||||||
Construction et foresterie |
132 |
81 |
+63 |
226 |
153 |
+48 |
||||||||||||||||||||
Services financiers |
229 |
198 |
+16 |
411 |
395 |
+4 |
||||||||||||||||||||
Total du bénéfice d'exploitation |
1 590 |
1 861 |
-15 |
2 663 |
2 895 |
-8 |
||||||||||||||||||||
Éléments de rapprochement ** |
(130) |
(111) |
+17 |
(241) |
(206) |
+17 |
||||||||||||||||||||
Impôt sur le revenu |
(479) |
(666) |
-28 |
(760) |
(955) |
-20 |
||||||||||||||||||||
Bénéfice net imputable à Deere & Company |
981 |
$ |
1 084 |
$ |
-10 |
1 662 |
$ |
1 734 |
$ |
-4 |
||||||||||||||||
* |
Le bénéfice d'exploitation est le bénéfice des activités poursuivies avant les charges du siège social, certains intérêts débiteurs externes, certains gains ou pertes de change et les impôts sur le revenu. Le bénéfice d'exploitation du segment des services financiers comprend l'effet des intérêts débiteurs et des gains ou pertes de change. |
|||||||||||||||||||||||||
** |
Les éléments de rapprochement sont principalement les charges du siège social, certains intérêts débiteurs externes, certains gains ou pertes de change et le bénéfice net imputable aux intérêts minoritaires. |
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SOURCE : Deere & Company
Ken Golden, directeur des relations publiques mondiales, 309-765-5678
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