Deere publie des bénéfices record pour le deuxième trimestre à hauteur de 1,056 milliards $

• Les bénéfices par action augmentent de 23 % par rapport à une hausse de 12 % des ventes nettes et des produits.
• La conjoncture du marché agricole mondial en bonne santé favorise le rendement et soutient des perspectives positives.
• Les bénéfices prévus pour l'ensemble de l'exercice accrus jusqu'à 3,350 milliards $.

MOLINE, Illinois, le 18 mai 2012 /CNW/ - Le bénéfice net attribuable à Deere & Company (NYSE: DE) était de 1,056 milliard $, soit 2,61 $ par action, pour le deuxième trimestre terminé le 30 avril, comparativement à 904,3 millions $, ou 2,12 $ par action, pour la même période de l'exercice précédent.

Pour les six premiers mois de l'année, le bénéfice net attribuable à Deere & Company se chiffrait à 1,589 milliards $, soit 3,91 $ par action, comparativement à 1,418 milliards $, soit 3,32 $ par action pour l'exercice précédent.

Les ventes et produits nets à l'échelle mondiale ont augmenté de 12 pour cent, pour se situer à 10,009 milliards $ au deuxième trimestre, et ils ont enregistré une hausse de 12 pour cent s'élevant à 16,775 milliards $ pour les six mois. Le chiffre d'affaires net des activités liées aux équipements a atteint 9,405 milliards $ pour le trimestre et 15,524 milliards $ pour les six mois, comparativement à 8,328 milliards $ et 13,841 milliards $ pour les périodes correspondantes de l'exercice précédent.

« John Deere est en bonne voie pour obtenir un rendement exceptionnel cette année après avoir enregistré le huitième trimestre consécutif de bénéfices record », a déclaré Samuel R. Allen, président du conseil et directeur général, tout en rajoutant, « Nos résultats reflètent la conjoncture positive dans le secteur économique agricole au niveau mondial, qui continue de faire preuve d'une résilience et d'une solidité remarquables. Deere s'attire de nouveaux clients partout dans le monde qui répondent avec beaucoup d'enthousiasme à nos gammes d'équipements innovants. »

En même temps M. Allen a fait remarquer que la société gère avec succès des lancements de nouveaux produits majeurs dotés de la technologie de pointe d'émissions des moteurs, tout en élargissant considérablement sa présence sur le marché international. « La mise en œuvre habile de nos plans opérationnels permet à Deere de capitaliser sur une économie agricole actuellement solide et de répondre au besoin croissant pour des machines productives au niveau mondial », a-t-il précisé.

Résumé des activités

Les ventes nettes mondiales des activités liées aux équipements ont augmenté de 13 pour cent pour le trimestre et de 12 pour cent pour les six mois, comparativement aux périodes correspondantes de l'exercice dernier. Les ventes incluaient aussi des prix réalisés de 5 pour cent pour le trimestre et de 4 pour cent depuis le début de l'exercice et une incidence défavorable de la conversion des devises de 2 pour cent pour le trimestre et de 1 pour cent pour les six mois. Les ventes nettes d'équipements aux États-Unis et au Canada ont grimpé de 18 pour cent pour le trimestre et de 13 pour cent depuis le début de l'exercice. Les ventes nettes à l'extérieur des États-Unis et du Canada ont augmenté de 6 pour cent pour le trimestre et de 12 pour cent pour les six mois, avec une incidence négative de la conversion des devises de 4 pour cent et de 3 pour cent pour ces périodes.

Les activités liées aux équipements de Deere ont affiché un bénéfice d'exploitation de 1,522 milliards $ pour le trimestre et de 2,220 milliards $ pour les six mois, comparativement à 1,268 milliards $ et 1,914 milliards $ pour l'exercice précédent. Cette amélioration pour les deux périodes est principalement attribuable à l'impact des prix réalisés et à des volumes de livraison plus importants. Ces facteurs ont été partiellement contrebalancés par la hausse des coûts liés à la production des nouveaux produits et aux exigences en termes d'émissions des moteurs, ainsi que par la hausse des coûts des matières premières et les dépenses en recherche et développement.

La division services financiers a annoncé un bénéfice net attribuable à Deere & Company de 109,2 millions $ pour le trimestre et de 228,3 millions $ pour les six mois comparativement à respectivement 105,1 millions $ et 223,3 millions $ pour l'exercice précédent. Les résultats en hausse pour le trimestre sont principalement dus à la croissance du portefeuille de crédit, mais ils ont été partiellement contrebalancés par des frais généraux, de vente et d'administration plus élevés. Les résultats sur six mois ont bénéficié de la croissance du portefeuille de crédit, des produits des crédits pour l'énergie éolienne et des provisions pour pertes sur créances en baisse. Ces facteurs ont été partiellement compensés par la hausse des frais généraux, de vente et d'administration, des demandes d'indemnité sur les récoltes accrues et des écarts de financement plus restreints.

Perspectives de la société et résumé

Les ventes nettes des équipements de la société devraient augmenter d'environ 15 pour cent pour l'exercice 2012 et de quelque 25 pour cent pour le troisième trimestre, comparativement aux périodes correspondantes de l'exercice précédent. Cela comprend une incidence négative de la conversion des devises d'environ 3 pour cent pour l'exercice et de 4 pour cent au troisième trimestre. Sur l'ensemble de l'exercice, le bénéfice net attribuable à Deere & Company devrait s'élever à environ 3,350 milliards $.

Selon M. Allen, des fondamentaux prometteurs viennent appuyer les projets de la société visant l'accroissement des ventes et de la rentabilité. « Nos investissements importants dans de nouveaux produits et la capacité mondiale accrue enregistrent des avancées rapides », a-t-il précisé, tout en soulignant que plus d'une douzaine de projets majeurs sont en cours à travers le monde, notamment sept nouvelles usines. « Ces investissements sont essentiels à l'atteinte de nos objectifs de croissance sur le long terme, qui sont à notre avis en très bonne voie. Ils positionnent Deere de manière favorable pour répondre au besoin mondial croissant d'aliments, d'abris et d'infrastructure pour les années à venir. De notre point de vue, ces tendances fortes s'annoncent durables et devraient s'avérer extrêmement gratifiantes tant pour notre clientèle que pour les investisseurs. »

Rendement de la division Équipements

Équipements agricoles et gazons. Les ventes ont augmenté de 11 pour cent pour le trimestre et de 10 pour cent pour les six mois principalement en raison des volumes de livraison et des prix réalisés plus élevés, seulement partiellement contrebalancés par les effets défavorables de la conversion des devises.

Le bénéfice d'exploitation a atteint 1,403 milliards $ pour le trimestre et 1,977 milliards $ depuis le début de l'exercice, comparé respectivement à 1,163 milliards $ et 1,720 milliards $ pour l'exercice précédent. L'amélioration constatée pour les deux périodes a été principalement favorisée par l'impact des volumes de livraison et des prix réalisés plus élevés. Ces facteurs ont été partiellement compensés par des coûts de production en hausse liés à de nouveaux produits et des exigences en termes d'émissions des moteurs, ainsi que l'augmentation des coûts des matières premières et les dépenses en recherche et développement.

Construction et foresterie. Les ventes de la division construction et foresterie ont augmenté de 26 pour cent pour le trimestre et de 24 pour cent pour les six mois principalement en raison des volumes de livraison et des prix réalisés plus élevés. Le bénéfice d'exploitation s'est chiffré à 119 millions $ pour le trimestre et 243 millions $ pour les six mois, comparativement à 105 millions $ et 194 millions $ pendant l'exercice précédent. Les résultats se sont améliorés pour les deux périodes principalement en raison des volumes de livraison et des prix réalisés plus élevés, mais ont été partiellement contrebalancés par la hausse des coûts des matières premières et une offre combinée défavorable. Le rendement pour les deux périodes a aussi été affecté par des dépenses en recherche et développement et des frais généraux, de vente et d'administration plus élevés, ainsi que des coûts élevés liés aux exigences en termes d'émissions des moteurs.

Perspectives et conjoncture du marché

Équipements agricoles et gazons. Les ventes mondiales de la division équipements agricoles et gazons de Deere devraient augmenter d'environ 15 pour cent pour l'ensemble de l'exercice 2012, incluant une incidence négative de la conversion des devises d'environ 3 pour cent.

Les exploitants agricoles dans la plupart des marchés mondiaux majeurs enregistrent toujours des revenus solides compte tenu de la demande mondiale croissante pour des produits agricoles. En outre, les ventes de John Deere bénéficient du lancement de nouveaux produits de pointe à travers le monde ainsi que des projets d'expansion majeurs.

Les ventes du secteur des équipements agricoles aux États-Unis et au Canada devraient croître de plus de 10 pour cent en 2012. Les conditions globales restent positives et la demande demeure forte, particulièrement pour ce qui est des équipements de grande puissance.

Les ventes du secteur pour l'ensemble de l'exercice dans les 27 pays membres de l'Union européenne d'Europe occidentale et centrale devraient demeurer stables et se situer à 5 pour cent alors que les conditions favorables dans les secteurs des céréales, du bétail et des produits laitiers l'emportent sur les inquiétudes économiques générales. Les ventes dans la Communauté des États indépendants devraient augmenter significativement en 2012. Les ventes en Asie, malgré leur ralentissement, devraient augmenter modérément. En Amérique du Sud, les ventes de l'industrie devraient baisser de 5 à 10 pour cent par rapport aux niveaux favorables de l'exercice précédent en raison des incertitudes en Argentine et de la sécheresse dans certaines parties de cette région.

Les ventes de l'industrie d'équipements agricoles et gazons aux États-Unis et au Canada devraient augmenter d'environ 5 pour cent comparativement à l'exercice précédent.

Construction et foresterie. Les ventes mondiales de la division équipements de construction et de foresterie de Deere devraient augmenter d'environ 20 pour cent en 2012. Cette augmentation reflète le renforcement des secteurs de la location, de l'énergie, de la manutention, du secteur industriel et international. Il est à noter que la société bénéficie de la croissance des ventes vers des sociétés de location indépendantes qui mettent à niveau et renouvellent leurs parcs. En outre, les ventes de Deere devraient être soutenues par une gamme de nouveaux produits de pointe et par l'expansion géographique. Suite à la croissance considérable en 2011, les marchés mondiaux de la foresterie devraient se maintenir plus ou moins au même niveau en 2012. La conjoncture économique faible en Europe est contrebalancée par les améliorations constatées sur les autres marchés internationaux.

Services financiers. Le bénéfice net pour l'ensemble de l'exercice 2012 attribuable à Deere & Company pour les activités de services financiers devrait s'élever à environ 465 millions $, soit en légère baisse par rapport à l'exercice précédent. Cette prévision à la baisse est principalement due à la hausse anticipée des frais généraux, de vente et d'administration et à des écarts de financement plus réduits, largement compensés par la croissance du portefeuille de crédit.

John Deere Capital Corporation

Les renseignements suivants sont communiqués au nom de la division de services financiers de la société, John Deere Capital Corporation (JDCC), conformément aux obligations d'information applicables à l'émission périodique de titres de créance sur le marché public.

Le bénéfice net attribuable à John Deere Capital Corporation s'est chiffré à 78,3 millions $ pour le deuxième trimestre et à 171,7 millions $ depuis le début de l'exercice, comparé à 85,9 millions $ et 169,6 millions $ pour les périodes respectives de l'exercice précédent. Les résultats pour le trimestre étaient en baisse particulièrement en raison des frais généraux, de vente et d'administration plus élevés et d'écarts de financement plus restreints, partiellement contrebalancés par la croissance du portefeuille de crédit. Les résultats pour les six mois se sont améliorés principalement grâce à la croissance du portefeuille de crédit et à une provision pour les pertes sur créances moindres, partiellement compensées par des frais généraux, de vente et d'administration plus élevés et des écarts de financement plus restreints.

Le montant net des comptes clients et des contrats de location financés par JDCC s'élevait à 24,558 milliards $ en date du 30 avril 2012, comparativement à 22,482 milliards $ pour l'exercice précédent.

Déclaration de règle refuge

Déclaration de règle refuge en vertu de la loi Private Securities Litigation Reform Act de 1995 : les déclarations dans les sections « Résumé et perspectives de la société », « Perspectives et conjoncture du marché » et autres déclarations prospectives du présent communiqué qui font référence à des événements futurs, à des attentes, des tendances et des périodes d'exploitation impliquent certains facteurs assujettis à des changements, à des risques et des incertitudes importants, susceptibles d'entraîner des écarts considérables entre les prévisions et les résultats réels. Certains de ces risques et incertitudes pourraient avoir des répercussions sur des secteurs d'activité bien précis, tandis que d'autres peuvent avoir une incidence sur l'ensemble des activités de la société.

Les opérations de la division d'équipements agricoles de la société sont assujetties à certaines incertitudes, y compris de nombreux facteurs interdépendants qui peuvent influer sur la confiance des exploitants agricoles. Ces facteurs comprennent la conjoncture économique à l'échelle mondiale, la demande à l'égard des produits agricoles, les dépenses de production de céréales au niveau mondial, la disponibilité du transport des récoltes, l'utilisation non alimentaire accrue de certaines récoltes (y compris la production d'éthanol et de biodiésel), les valeurs des biens immobiliers, la surface disponible pour l'agriculture, les politiques de divers gouvernements en matière de propriété foncière, les changements dans les programmes et politiques agricoles des gouvernements (y compris en Argentine, au Brésil, en Chine, dans l'Union européenne, en Inde, en Russie et aux États-Unis), les réactions à ces programmes à l'international, les accords commerciaux internationaux, les maladies animales et leurs effets sur les prix et la consommation de volaille, de bœuf et de porc, les parasites agricoles et les maladies, et le volume des exportations de produits agricoles (notamment les préoccupations à l'égard des organismes génétiquement modifiés).

Parmi les facteurs pouvant influer sur les perspectives de la division équipements utilitaires et gazons figurent la conjoncture économique générale, la confiance des consommateurs, les conditions météorologiques, la rentabilité des clients, leurs habitudes d'emprunt, leurs préférences d'achat, les mises en chantier, l'investissement dans l'infrastructure, les dépenses des municipalités et des terrains de golf ainsi que les coûts des intrants consommables.

La conjoncture économique générale, les habitudes de consommation, les prix de l'immobilier et des logements, le nombre de mises en chantier et les taux d'intérêt sont des facteurs particulièrement importants pour les ventes d'équipements de construction et de foresterie de la société. Les niveaux de construction d'édifices publics et non résidentiels ont aussi une incidence sur les résultats de la division d'équipements de construction et de foresterie. Par ailleurs, les prix de la pâte, du papier, du bois d'œuvre et des panneaux de charpente ont des effets non négligeables sur les ventes d'équipement forestier.

L'ensemble des activités et des résultats de la société subit les répercussions de la conjoncture économique globale sur les marchés mondiaux où la société exerce ses activités, notamment les évolutions importantes de l'activité économique dans ces marchés ; de la confiance des consommateurs à l'égard de la conjoncture économique générale ; des taux de change des devises étrangères et leur volatilité, particulièrement les fluctuations de la valeur du dollar américain ; les taux d'intérêt ; les taux d'inflation et de déflation. La conjoncture économique générale peut également avoir une incidence sur la demande à l'égard de l'équipement de la société.

Les activités et les résultats des clients et de la société pourraient être influencés par des changements dans les régimes climatiques (y compris les effets de la sécheresse dans certaines régions des États-Unis et d'Amérique du Sud) ; la stabilité politique et sociale des marchés mondiaux dans lesquels la société exerce ses activités ; les effets du terrorisme et des menaces contre la sécurité ou les réactions qu'ils engendrent ; les guerres et autres conflits internationaux et le risque de guerres et de conflits ; et la propagation d'épidémies majeures.

D'importants changements dans l'état de la liquidité du marché et le non-respect des obligations financières associées aux accords de crédit pourraient avoir une incidence sur l'accès au financement et sur les coûts de financement associés, ce qui pourrait réduire les bénéfices et les flux de trésorerie de la société. Les conditions du marché financier pourraient aussi avoir une incidence négative sur l'accès des clients au capital lui permettant d'acheter les produits de la société ainsi que sur la confiance des consommateurs et leurs décisions d'achat ; les habitudes d'emprunt et de remboursement ; et le nombre et l'ampleur du défaut de paiement ou du refus de remboursement de la part du client. Une crise de la dette souveraine, en Europe ou ailleurs, pourrait avoir une incidence négative sur les devises, les marchés financiers mondiaux, la stabilité sociale et politique, les sources et les coûts de financement, les clients, et les activités et résultats de l'entreprise. Une crise de la dette des états pourrait aussi influer négativement sur les clients, les fournisseurs, la demande d'équipement, ainsi que sur les opérations et les résultats de l'entreprise. Les activités de gestion des investissements de la société pourraient être entravées par des changements au sein des marchés des actions et des obligations, ce qui aurait une incidence négative sur les bénéfices.

Les autres facteurs qui pourraient affecter de manière considérable les opérations, l'accès au capital, les dépenses et les résultats de la société incluent l'impact et les changements au niveau des politiques commerciales, bancaires, monétaires et fiscales du gouvernement, y compris la réforme de la réglementation financière et ses effets sur l'industrie de la finance des consommateurs, les dérives, les coûts de financement et dans d'autres domaines, ainsi que les programmes gouvernementaux dans des juridictions particulières ou au profit de certains secteurs ou industries (incluant les politiques protectionnistes et les restrictions dans le commerce et dans la concession de licences, qui pourraient perturber le commerce international) ; les mesures prises par le Federal Reserve Board des États-Unis et d'autres banques centrales ; les mesures prises par la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis, la Commodity Futures Trading Commission des États-Unis et d'autres organismes de réglementation financière ; les mesures des organismes de réglementation sur l'environnement, la santé et la sécurité, y compris ceux liés aux émissions des moteurs (en particulier les normes sur les émissions du niveau 4 intérim, du niveau 4 final et de l'étape IIIb pour les moteurs diesel des véhicules non routiers), les émissions de carbone et d'autres gaz à effet de serre, au bruit et au risque de changement climatique ; les changements des règlements sur le travail ; les changements des normes comptables ; les changements dans les taux d'imposition, les devis et les règlements ; le respect des lois américaines et étrangères lors de l'expansion dans de nouveaux marchés ; et les actions entreprises par d'autres organismes de règlementation incluant les changements dans les lois et les règlements qui touchent les secteurs dans lesquels l'entreprise évolue. Les opérations des clients et de la société ainsi que les résultats pourraient être affectés par les changements dans les bandes de fréquences radioélectriques GPS ou leurs utilisations approuvées.

D'autres facteurs susceptibles d'influer considérablement les résultats comprennent les innovations et les difficultés en ce qui a trait à la production, la conception et la technologie, y compris les prix et les contraintes liées à la capacité de production et à l'approvisionnement ; la disponibilité et les prix des matériaux, composants et produits en provenance de lieux stratégiques; les retards et les perturbations dans la chaîne d'approvisionnement de la société ou la perte de solvabilité des fournisseurs ; la création de nouvelles usines ou de nouveaux produits; le succès d'initiatives visant à lancer de nouveaux produits et l'acceptation de ces nouveaux produits par la clientèle ; les changements dans les préférences des clients à l'égard des produits et le portefeuille des ventes que ce soit suite à des changements dans la conception des équipements pour se conformer aux réglementations gouvernementales ou pour toute autre raison ; les prix et les niveaux d'approvisionnement du pétrole et de l'énergie ; la disponibilité et le coût du transport de marchandises; les actions des concurrents dans les différentes industries où l'entreprise entre en concurrence, particulièrement les rabais sur les prix ; les pratiques des marchands surtout en ce qui a trait aux niveaux d'inventaires sur le terrain de marchandises neuves et usagées; les relations de travail; les acquisitions et les cessions d'entreprises, l'intégration de nouvelles activités; la mise en place de changements organisationnels ; les difficultés liées à la transformation et la mise en place des systèmes de planification des ressources de l'entreprise qui perturbent les activités, ont une incidence négative sur les relations d'approvisionnement ou de distribution ou entrainent des coûts plus élevés que prévu ; les atteintes à la sécurité ou autres perturbations de l'infrastructure de technologie de l'information de la société ; les changements des dividendes déclarés de l'entreprise, ainsi que les émissions et les rachats d'actions ordinaires.

Les résultats de la société sont également influencés par les modifications au niveau des rentes de retraite des employés, les changements dans les valeurs marchandes de l'actif d'investissement et dans le niveau des taux d'intérêt, qui influent sur les frais liés aux rentes de retraite, et les changements importants des frais liés aux soins de santé, y compris ceux qui pourraient provenir d'actions gouvernementales.

La liquidité et la rentabilité actuelle de John Deere Capital Corporation et autres filiales de crédit dépendent en grande partie de l'accès opportun au capital afin de répondre aux exigences futures en termes de flux de trésorerie et d'opérations de financement, ainsi que des frais associés à la participation à des activités de financement diversifiées et au financement des achats de produits de la société. Si la volatilité du marché et la conjoncture économique générale s'aggravent, le financement risquerait d'être indisponible ou insuffisant. De plus, les niveaux de confiance des consommateurs sont susceptibles d'entraîner des diminutions des demandes de crédit et des augmentations des taux de défauts de paiement, ce qui pourrait avoir une incidence considérable sur les imputations et les provisions pour les pertes sur créances.

Les prévisions de la société sont fondées sur des hypothèses liées aux facteurs décrits précédemment. Ces hypothèses reposent parfois sur des estimations et des données préparées par des organismes gouvernementaux. Ces prévisions et données font l'objet de fréquentes révisions. La société ne s'engage d'aucune façon à actualiser ni à réviser ses prévisions à la lumière de nouveaux événements ou pour toute autre raison, sauf si la loi l'exige. Pour obtenir de plus amples renseignements sur la société et ses activités, incluant les facteurs susceptibles d'avoir une incidence considérable sur ses résultats financiers, veuillez consulter les autres documents déposés auprès de la SEC (y compris, mais sans s'y limiter, les facteurs discutés à l'article 1A. Facteurs de risque du plus récent rapport annuel de la société sur le formulaire 10-K et du plus récent rapport trimestriel sur le formulaire 10-Q).

Communiqué de presse du deuxième trimestre 2012
(en millions de dollars)
Non vérifié
	Trimestre terminé le 30 avril										Six mois terminés le 30 avril
	2012				2011				% de variation		2012				2011				% de variation
Ventes nettes et produits :
Équipements agricoles et gazons	7 735$				6 999$				+11		12 459$				11 369$				+10
Construction et foresterie	1 670				1 329				+26		3 065				2 472				+24
Total des ventes nettes	9 405				8 328				+13		15 524				13 841				+12
Services financiers	488				491				-1		1 036				998				+4
Autres produits	116				91				+27		215				190				+13
Total des ventes nettes et des produits	10 009$				8 910$				+12		16 775$				15 029$				+12
Bénéfice d'exploitation : *
Équipements agricoles et gazons		1 403$			1 163$				+21		1 977$				1 720$				+15
Construction et foresterie	119				105				+13		243				194				+25
Services financiers	175				163				+7		350				335				+4
Total du bénéfice d'exploitation	1 697				1 431				+19		2 570				2 249				+14
Autres éléments de rapprochement **	(641)				(527)				+22		(981)				(831)				+18
Bénéfice net imputable à        Deere & Company	1 056$				904$				+17		1 589$				1 418$				+12

*	Le bénéfice d'exploitation est le bénéfice des activités poursuivies avant les charges du siège social, certains intérêts débiteurs externes, certains gains ou pertes de change et les impôts sur le revenu. Le bénéfice d'exploitation du segment services financiers comprend l'impact des intérêts débiteurs et des gains ou pertes de change.
**	Les autres éléments de rapprochement sont principalement les charges du siège social, certains intérêts débiteurs externes, certains gains ou pertes de change, les impôts sur le revenu et le bénéfice net imputable aux intérêts minoritaires.

Ken Golden, directeur des Relations publiques internationales, Deere & Company, [phone]