Des scientifiques du Nouveau-Brunswick se réunissent à Fredericton avec des membres de la collectivité pour débattre de l'état de la politique scientifique canadienne English
Nouvelles fournies par
Association canadienne des professeures et professeurs d'université (ACPPU)23 avr, 2015, 10:25 ET
OTTAWA, le 23 avril 2015 /CNW/ - Dans le cadre d'une assemblée publique qui se tiendra ce soir à Fredericton, dans la salle Brian-Mulroney de l'Université St. Thomas, à 19 h, scientifiques et membres de la collectivité discuteront de leurs préoccupations sur la situation de la politique scientifique au Canada.
Dans un débat animé par le président de l'ACPPU, Robin Vose, et le président de la FAPPUNB, Jean Sauvageau, les panélistes analyseront les répercussions des politiques fédérales et provinciales sur les recherches scientifiques au Canada, avec tout ce que cela implique pour les Néo-Brunswickois et les Canadiens. Les membres de l'assistance seront invités à participer au débat en faisant part de leurs questions et commentaires.
Les panélistes présents à cette soirée seront : Mary Louise Babineau, candidate du Parti Vert, circonscription de Fredericton; Kelly Bronson, Relations science-société, Université St. Thomas; Mike Dawson, vice-recteur adjoint à la recherche, Université St. Thomas; Matt Decourcey, candidat du Parti libéral, circonscription de Fredericton; Tony Diamond, Écologie faunique, UNB; Vett Lloyd, Biologie, Université Mt. Allison; Paul Peters, Santé et prestation des services de santé, UNB; Nick Scott, Réseau de recherche sur les politiques sociales du Nouveau-Brunswick. Cet événement est organisé conjointement par la Fédération des associations de professeures et professeurs d'université du Nouveau-Brunswick et l'Association canadienne des professeures et professeurs d'université.
« De plus en plus de voix dénoncent le manque d'engagement du gouvernement fédéral à soutenir les chercheurs canadiens et les innovations concrètes dans l'intérêt public », affirme Robin Vose, président de l'ACPPU et professeur à l'Université St. Thomas. « Les politiques scientifiques malavisées du gouvernement détournent les fonds qui pourraient être consacrés à la recherche axée sur la découverte, remettent aux politiciens et aux premiers dirigeants le pouvoir de prendre d'importantes décisions de financement, suppriment le financement des centres de recherches névralgiques, imposent le bâillon aux scientifiques fédéraux et interrompent la collecte de données essentielles. Le rôle du Canada comme chef de file scientifique est sur le point d'être compromis. »
Les assemblées publiques, fait valoir Robin Vose, fournissent au grand public et aux scientifiques l'occasion de débattre des moyens par lesquels nous pouvons donner une nouvelle orientation à la politique scientifique canadienne.
Pour plus d'information sur la campagne de l'ACPPU « La science à bon escient », rendez-vous à http://lascienceabonescient.ca.
Mots-clics sur Twitter : #getscienceright #cdnpoli #cdnpse
SOURCE Association canadienne des professeures et professeurs d'université (ACPPU)
PERSONNE-RESSOURCE LOCALE : Elisabeth Hans, directrice générale, FAPPUNB, 506-238-0676, [email protected]; PERSONNE-RESSOURCE NATIONALE : Angela Regnier, agente des communications, Association canadienne des professeures et professeurs d'université, 613-726-5186, [email protected]
Partager cet article