Symbole boursier : DH
Site Web : www.dhltd.com
TORONTO, le 29 juill. 2014 /CNW/ - Société DH (« D+H » ou la « Société ») (TSX : DH), fournisseur chef de file de solutions technologiques auprès des institutions financières au Canada et à l'étranger, a présenté aujourd'hui ses résultats financiers pour le trimestre et le semestre clos le 30 juin 2014.
« Pour les deux périodes présentées, D+H a obtenu une forte croissance au chapitre ne ses principaux paramètres financiers », a indiqué Gerrard Schmid, chef de la direction. « En plus de financer notre dividende, nos solides flux de trésorerie nous ont permis d'accroître les investissements dans l'élaboration de nouveaux produits ciblés et dans l'intégration des technologies. Ils nous ont aussi permis d'effectuer un remboursement supplémentaire volontaire sur la dette, conformément à notre objectif de réduire l'endettement. Les résultats à ce jour sont conformes aux prévisions et nous nous réjouissons de l'accueil favorable qu'a réservé notre clientèle à notre marque unifiée et à nos activités de vente intégrées, lesquelles nous permettront de rehausser notre positionnement au sein du marché des technologies financières. »
Tel que prévu, les récentes acquisitions stratégiques continuent d'accroître de façon fructueuse la diversité des activités de D+H. Au deuxième trimestre, le secteur américain a représenté 42 % des produits ajustés1), contre 14 % pour la période correspondante de l'exercice précédent, alors que les solutions de traitement de prêts et les solutions technologiques bancaires ont compté pour 74 % des produits ajustés du deuxième trimestre, contre 60 % un an auparavant.
Faits saillants du deuxième trimestre
- Les produits tirés des activités poursuivies ont crû de 45,1 % pour s'établir à 286,0 millions de dollars, contre 197,1 millions de dollars pour le trimestre correspondant de 2013, rendant compte de l'inclusion des produits de Harland Financial Solutions (« HFS ») dans le secteur américain. Compte non tenu de l'incidence du change, les produits ont augmenté de 40,1 %.
- Les produits ajustés se sont chiffrés à 292,2 millions de dollars, en hausse de 95,0 millions de dollars, ou de 48,2 %, par rapport à ceux du trimestre correspondant de 2013, ou de 42,9 % compte non tenu de l'incidence du change.
- Le BAIIA ajusté1) a atteint 93,0 millions de dollars (marge de 31,8 %), en hausse de 59,4 % par rapport à celui de 58,3 millions de dollars (marge de 29,6 %) inscrit au trimestre correspondant de 2013. Compte non tenu de l'incidence du change, le BAIIA ajusté a augmenté de 53,2 %.
- Le bénéfice net a crû pour atteindre 29,9 millions de dollars (0,3697 $ par action, de base, et 0,3687 $ par action, dilué), contre 13,6 millions de dollars (0,2298 $ par action, de base et dilué) pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent, du fait du BAIIA plus élevé, contrebalancé par la hausse de l'amortissement des immobilisations incorporelles en raison des acquisitions et l'accroissement de la charge d'intérêts découlant de l'acquisition de HFS. Le bénéfice net du deuxième trimestre de 2013 s'était ressenti d'une perte découlant des activités abandonnées de 8,8 millions de dollars.
- Le bénéfice net ajusté1) a augmenté de 50,4 % pour se chiffrer à 51,5 millions de dollars en regard de celui de 34,2 millions de dollars, essentiellement en raison de l'ajout de HFS. Le bénéfice net ajusté par action a augmenté de 10,3 % sur douze mois pour se chiffrer à 0,6369 $ en regard de 0,5774 $ et rend compte du nombre additionnel d'actions ordinaires émises dans le cadre de l'acquisition de HFS.
- Les remboursements nets sur la dette au cours du deuxième trimestre de 2014 se sont établis à 5,0 millions de dollars, résultant en un coefficient de la dette par rapport au BAIIA de 2,79 au 30 juin 2014. Compte non tenu de l'incidence de la variation du change hors trésorerie, ce ratio a été de 2,75.
- D+H a versé un dividende de 0,32 $ par action aux actionnaires.
- Dans le cadre de la stratégie globale visant à unifier la marque D+H et à accroître la reconnaissance de la marque en Amérique du Nord et à l'échelle mondiale, D+H a annoncé que sa dénomination était devenue « Société DH » et non plus « Société Davis + Henderson ». La Société conserve la marque « D+H » pour ses activités sur le marché.
- Avec prise d'effet le 2 septembre 2014, Karen Weaver devient vice-présidente directrice et chef des finances de D+H, en remplacement de Brian Kyle, dont la démission a été annoncée antérieurement. Madame Weaver compte plus de 30 ans d'expérience pertinente au sein d'importantes sociétés ouvertes aux États-Unis et au Canada.
Faits saillants du semestre
- Les produits tirés des activités poursuivies ont crû de 49,7 % pour s'établir à 552,2 millions de dollars, contre 368,8 millions de dollars pour l'exercice précédent, ou de 44,4 %, compte non tenu de l'incidence du change, rendant compte principalement de l'inclusion des résultats de HFS dans le secteur américain.
- Les produits ajustés se sont chiffrés à 567,9 millions de dollars, en hausse de 199,1 millions de dollars, ou de 54,0 %, par rapport à ceux de la période correspondante de l'exercice précédent, et ils ont crû de 48,3 % compte non tenu de l'incidence du change.
- Le BAIIA ajusté a atteint 171,7 millions de dollars (marge de 30,2 %), en hausse de 69,4 % par rapport à celui de 101,4 millions de dollars (marge de 27,5 %) et a augmenté de 62,2 % compte non tenu de l'incidence du change.
- Le bénéfice net a progressé pour atteindre 41,9 millions de dollars (0,5186 $ par action, de base, et 0,5173 $ par action, dilué), en hausse de 22,5 millions de dollars, ou de 116,5 %, contre 19,4 millions de dollars (0,3267 $ par action, de base et dilué) pour le premier semestre de 2013, en raison d'un BAIIA plus élevé, contrebalancé en partie par la hausse de l'amortissement des immobilisations incorporelles en raison des acquisitions et par l'accroissement de la charge d'intérêts découlant de l'acquisition de HFS. Le bénéfice net de la période correspondante de 2013 s'était ressenti d'une perte découlant des activités abandonnées de 19,5 millions de dollars.
- Le bénéfice net ajusté a augmenté de 57,5 % sur douze mois pour se chiffrer à 90,3 millions de dollars en regard de 57,3 millions de dollars, essentiellement en raison de l'ajout de HFS. Le bénéfice net ajusté par action a augmenté de 15,5 % pour se chiffrer à 1,1177 $, contre 0,9675 $, et rend compte du nombre additionnel d'actions émises dans le cadre de l'acquisition de HFS.
- Les remboursements nets sur la dette au cours du premier semestre de 2014 se sont établis à 10,0 millions de dollars.
- D+H a versé un dividende de 0,64 $ par action aux actionnaires.
- D+H a confirmé sa position de chef de file du marché des technologies financières en se classant première parmi les sociétés canadiennes de services en mode SaaS du palmarès Branham300 pour une deuxième année d'affilée.
Les états financiers consolidés intermédiaires résumés non audités de D+H pour le deuxième trimestre de 2014, les notes afférentes aux états financiers et le rapport de gestion, ainsi que les informations financières supplémentaires, seront accessibles aujourd'hui sur www.dhltd.com et demain sur www.sedar.com.
Pour obtenir une analyse plus approfondie des résultats et connaître les perspectives établies par la direction, il y a lieu de se reporter au rapport de gestion ci-après.
________________________ 1 Les résultats financiers de D+H sont établis conformément aux Normes internationales d'information financière (les « IFRS »). D+H présente plusieurs mesures financières non conformes aux IFRS, notamment le BAIIA, la marge du BAIIA, les produits ajustés, le BAIIA ajusté, la marge du BAIIA ajusté, le bénéfice net ajusté et le bénéfice net ajusté par action dont il a été question précédemment. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures non conformes aux IFRS » du rapport de gestion de D+H pour le trimestre et le semestre clos le 30 juin 2014 pour une définition plus détaillée de ces termes. Les mesures financières non conformes aux IFRS doivent être prises en compte à la lumière des états financiers établis conformément aux IFRS et ne doivent pas être prises en compte isolément ni perçues comme un substitut aux produits, au bénéfice net ou aux flux de trésorerie établis conformément aux IFRS. Par ailleurs, il se peut que les mesures de D+H soient calculées différemment des mesures désignées de la même façon par d'autres sociétés. |
MISE EN GARDE AU SUJET DES ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Certains énoncés compris dans le présent communiqué de presse constituent des renseignements prospectifs au sens des lois sur les valeurs mobilières applicables (les « énoncés prospectifs »). Les énoncés concernant les objectifs, les cibles, les stratégies, les intentions, les projets, les convictions, les attentes et les estimations de D+H, outre son entreprise, ses activités ainsi que sa performance et sa situation financières, constituent des énoncés prospectifs. Des termes et expressions comme « croire », « s'attendre à », « prévoir », « estimer » et « avoir l'intention de », aux formes présente, future ou conditionnelle, de même que d'autres mots et locutions similaires ou la forme négative de ces expressions, visent à signaler des énoncés prospectifs, mais ne devraient pas être considérés comme étant le seul moyen de le faire.
D+H a aussi utilisé certaines hypothèses macroéconomiques et hypothèses sectorielles générales pour rédiger ces énoncés prospectifs. Bien que D+H soit d'avis que ces facteurs et hypothèses sont raisonnables sur la foi des renseignements disponibles en date des présentes, rien ne garantit que les résultats réels seront conformes à ces énoncés prospectifs.
Les énoncés prospectifs sont assujettis à des risques, à des incertitudes et à d'autres facteurs, connus et inconnus, qui pourraient faire en sorte que les résultats, la performance et les accomplissements réels de D+H, ainsi que l'évolution réelle de ses secteurs d'activité, diffèrent de manière importante des résultats, de la performance, des accomplissements et de l'évolution prévus qui sont formulés, implicitement ou explicitement, dans ces énoncés prospectifs.
Les risques liés aux énoncés prospectifs comprennent, notamment, les défis liés à la diminution de l'utilisation de chèques par les particuliers et les entreprises; la dépendance de la Société à l'égard d'un nombre limité de grandes institutions financières clientes au Canada et la dépendance à l'accueil que celles-ci réservent à ses nouveaux programmes; les projets stratégiques entrepris par la Société dans le but d'atteindre ses objectifs financiers; la stabilité et la croissance des secteurs de l'immobilier, du financement hypothécaire et du crédit; l'augmentation de la pression sur les prix et la concurrence lui faisant courir le risque de perdre des contrats ou de voir ses marges diminuer; la capacité de la Société d'intégrer ses acquisitions avec brio; l'évolution du secteur bancaire et des services financiers aux États-Unis ainsi que la demande pour les produits et services de D+H; la capacité de la Société de se conformer à la réglementation gouvernementale; de même que la conjoncture générale des marchés, y compris la dynamique de l'économie et des taux d'intérêt. Compte tenu de ces incertitudes, le lecteur est avisé de ne pas se fier indûment à ces énoncés prospectifs. Les documents dont il est fait mention aux présentes indiquent également des facteurs pouvant avoir une incidence sur les résultats d'exploitation et la performance financière de la Société. Les énoncés prospectifs sont fondés sur les projets, estimations, projections, convictions et opinions actuels de la direction, et D+H ne s'engage aucunement à mettre à jour les énoncés prospectifs si les hypothèses qui sous-tendent ces projets, estimations, projections, convictions et opinions venaient à changer, à l'exception de ce qui est prévu par les lois applicables sur les valeurs mobilières.
Tous les énoncés prospectifs formulés dans le présent communiqué de presse sont visés par cette mise en garde ainsi que par d'autres mises en garde et facteurs indiqués aux présentes, et il n'existe aucune garantie que les résultats ou événements réels seront conformes à ceux-ci. Même s'ils se révélaient conformes, en totalité ou en partie, il n'existe aucune garantie qu'ils auront les résultats attendus pour la Société.
Téléconférence
Société DH analysera ses résultats financiers du trimestre clos et du semestre le 30 juin 2014 dans le cadre d'une conférence téléphonique qu'elle tiendra le mercredi 30 juin 2014, à 10 h HNE (heure de Toronto). Le numéro à composer pour cette conférence est le 647-427-7450, pour les personnes qui appellent de la région de Toronto et de l'étranger, ou, sans frais, le 1-888-231-8191, pour les personnes qui appellent de l'Amérique du Nord. La conférence sera animée par Gerrard Schmid, chef de la direction, et par Brian Kyle, chef des finances. Elle sera également accessible sur le site Web de Groupe CNW, à l'adresse http://www.newswire.ca/en/webcast/detail/1383001/1534113. Un enregistrement de la conférence sera offert aux personnes qui ne peuvent pas écouter l'événement à l'heure prévue. Il leur suffira de composer le 416-849-0833, dans la région de Toronto et de l'étranger, ou le 1-855-859-2056 dans les autres cas, et de saisir le code d'accès 45027673. La rediffusion sera accessible jusqu'au mercredi 13 août 2014. La téléconférence sera par ailleurs archivée à l'adresse Web susmentionnée pendant un mois, et une transcription de la conférence pourra être consultée sur le site www.dhltd.com.
AUTRES RENSEIGNEMENTS
D'autres renseignements relatifs à la Société, y compris la plus récente notice annuelle qu'elle a déposée, peuvent être consultés sur le site SEDAR, à l'adresse www.sedar.com.
RAPPORT DE GESTION
Le présent rapport de gestion de Société DH (la « Société », « D+H » ou l'« Entreprise »), auparavant appelée Société Davis + Henderson, a été préparé en date du 29 juillet 2014 et doit être lu en parallèle avec le rapport de gestion figurant dans le rapport annuel de D+H pour l'exercice clos le 31 décembre 2013, daté du 25 février 2014, et les états financiers consolidés intermédiaires résumés non audités ci-joints pour le trimestre et le semestre clos le 30 juin 2014. Les facteurs externes, qu'ils soient de nature économique ou propres au secteur d'activité, demeurent essentiellement les mêmes que ceux qui sont décrits dans le rapport de gestion annuel et dans la dernière notice annuelle déposée de la Société, exception faite de ce qui est mentionné dans les présentes.
MESURES FINANCIÈRES NON CONFORMES AUX IFRS
Les données fournies dans le présent rapport de gestion incluent certaines mesures financières comme les « produits ajustés», le « BAIIA », la « marge du BAIIA » (BAIIA divisé par les produits), le « BAIIA ajusté » la « marge du BAIIA ajusté » (BAIIA ajusté divisé par les produits ajustés), le « bénéfice net ajusté », et le « bénéfice net ajusté par action », ces termes n'étant pas définis selon les Normes internationales d'information financière (les « IFRS »).
Ces mesures financières non conformes aux IFRS doivent être lues à la lumière des états consolidés du résultat net préparés conformément aux IFRS. Il y a lieu de se reporter aux rapprochements des produits ajustés, du BAIIA, du BAIIA ajusté et du bénéfice net ajusté avec les mesures IFRS les plus directement comparables, soit les « produits » et le « bénéfice net », à la rubrique « Résultats d'exploitation » du présent rapport de gestion.
La direction est d'avis que ces mesures financières supplémentaires fournissent des renseignements additionnels utiles sur les résultats d'exploitation de la Société. La direction emploie ces mesures en vue d'évaluer la performance financière et de fournir un complément aux états consolidés du résultat net. Les investisseurs sont priés de noter que ces mesures ne devraient pas être interprétées comme un substitut au bénéfice net en tant que mesure de la rentabilité, aux états consolidés du résultat net établis aux termes des IFRS ou à tout autre état préparé aux termes des IFRS.
Par ailleurs, ces mesures n'ont pas de signification normalisée et la méthode de calcul dont D+H se sert pour établir chaque mesure pourrait ne pas être comparable à celle qu'utilisent d'autres sociétés pour calculer des éléments dont l'appellation est identique.
Produits ajustés
La Société utilise les produits ajustés comme mesure de la performance, lesquels éliminent l'incidence de l'application de la comptabilisation selon la méthode de l'acquisition à l'acquisition de HFS. Les produits ajustés sont également utilisés pour calculer le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté.
À l'acquisition, les soldes de produits différés acquis ont été ajustés pour rendre compte de la juste valeur fondée sur les coûts estimatifs de la prestation future des services connexes. Ces ajustements de la juste valeur des produits différés, comptabilisés à la date d'acquisition conformément à la norme de comptabilisation des regroupements d'entreprises, réduiront les produits comptabilisés après l'acquisition en vertu des IFRS. Les produits ajustés ne tiennent pas compte des effets de la comptabilisation selon la méthode d'acquisition.
La direction prévoit utiliser les produits ajustés pour évaluer la mesure dans laquelle l'incidence sur l'amortissement des ajustements de la juste valeur des produits différés acquis dans le cadre de l'acquisition de HFS est importante dans les états consolidés du résultat net.
La direction est d'avis que cette mesure non conforme aux IFRS fournit aux investisseurs des renseignements utiles quant à la performance sous-jacente des activités commerciales et qu'elles facilitent la comparaison significative entre les activités préalables à l'acquisition et les produits postérieurs à celle-ci. Sans ces ajustements non conformes aux IFRS, les ajustements liés à la comptabilisation selon la méthode de l'acquisition effectués aux termes des IFRS peuvent rendre difficile une comparaison significative entre les activités sous-jacentes de l'Entreprise entre les périodes.
BAIIA
Le BAIIA correspond au bénéfice tiré des activités poursuivies, compte non tenu des intérêts, de l'impôt, des amortissements, des autres charges financières hors trésorerie et des ajustements de la juste valeur des swaps de taux d'intérêt qui sont directement liés aux charges d'intérêts, du bénéfice découlant de la participation dans une entreprise associée et du profit découlant de la réévaluation de la participation détenue antérieurement dans Compushare. Le BAIIA est également décrit comme le bénéfice découlant des activités d'exploitation avant amortissements dans les états consolidés du résultat net.
En plus d'être utilisé par la direction comme indicateur interne de la performance financière, le BAIIA (compte tenu de certains ajustements) sert à mesurer la conformité à certaines clauses restrictives de nature financière prévues aux termes de la facilité de crédit (définies à la rubrique « Couverture ») et des obligations de la Société. Le BAIIA est aussi utilisé par D+H afin d'évaluer la performance et la valeur d'une entreprise. Le BAIIA comporte des limites à titre d'outil d'analyse et il ne doit pas être considéré isolément par le lecteur ni perçu par ce dernier comme un substitut à une analyse des résultats aux termes des IFRS.
BAIIA ajusté
Le BAIIA ajusté est aussi utilisé par D+H afin d'évaluer la performance de ses activités.
Le BAIIA ajusté ne tient pas compte de ce qui suit : i) les coûts liés aux acquisitions comme les coûts de transaction, les coûts d'intégration des entreprises et certains coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs se rapportant aux acquisitions; ii) les autres charges telles que les charges liées à l'expansion de l'entreprise relatives aux projets d'acquisitions stratégiques; et iii) les coûts engagés dans le cadre des mesures de réharmonisation de la structure de coûts. Tous ces coûts et charges ne sont pas considérés comme faisant partie du cours normal des activités. Depuis le troisième trimestre de 2013, le BAIIA ajusté comme le calcule la Société ne tient pas compte de l'incidence de la comptabilisation selon la méthode de l'acquisition sur la juste valeur des produits différés acquis et des charges différées reprises dans le cadre de l'acquisition de HFS.
Ces éléments sont exclus du calcul du BAIIA ajusté, car ils ne sont pas jugés représentatifs de la performance d'exploitation sous-jacente pour la période à l'étude; la direction estime que, en excluant ces ajustements, elle obtient une mesure reflétant davantage les résultats d'exploitation courants.
Comme il est décrit plus haut, à l'acquisition de HFS, les soldes de produits différés acquis ont été ajustés pour rendre compte de la juste valeur fondée sur les coûts estimatifs de la prestation future des services connexes. De la même façon, les charges différées, qui comprennent les commissions de vente et les coûts de mise en œuvre, ont été ajustées pour refléter la juste valeur de ces éléments à la date d'acquisition. Ces ajustements de la juste valeur des produits différés et des charges différées comptabilisés à la date de l'acquisition seront déduits des produits et des charges constatés après l'acquisition aux termes des IFRS, surtout au cours des deux exercices suivant l'acquisition, après quoi l'incidence sur les résultats consolidés deviendra négligeable. Le BAIIA ajusté ne tient pas compte de l'incidence de ces ajustements dans les résultats des périodes à l'étude.
Tout comme le BAIIA, le BAIIA ajusté comporte des limites à titre d'outil d'analyse et il ne doit pas être considéré isolément par le lecteur ni perçu par ce dernier comme un substitut à une analyse des résultats aux termes des IFRS.
Bénéfice net ajusté et bénéfice net ajusté par action, de base
Tout comme le bénéfice net, le bénéfice net ajusté sert de mesure interne de la performance, mais il est calculé après ajustement au titre de l'incidence de certains éléments hors trésorerie et éléments notables après impôt. Ces ajustements comprennent l'incidence après impôt des éléments suivants : l'effet de la comptabilisation selon la méthode de l'acquisition sur la juste valeur des produits différés acquis et des charges différées reprises de HFS; les coûts liés aux acquisitions et autres charges; les profits et les pertes découlant de ventes d'actifs non stratégiques; les coûts engagés dans le cadre des mesures de réharmonisation de la structure de coûts; et les activités abandonnées (ces coûts et charges n'étant pas considérés comme faisant partie du cours normal des activités) ainsi que certaines charges hors trésorerie comme l'amortissement des immobilisations incorporelles découlant des acquisitions, le profit à la réévaluation de la participation détenue antérieurement dans Compushare, les charges financières hors trésorerie comme les frais de financement différés liés à la facilité de crédit précédente de D+H radiés au moment du refinancement obtenu dans le cadre de l'acquisition de HFS, l'amortissement des autres frais de financement différés, la désactualisation des débentures (terme défini dans la rubrique « Débentures convertibles »), les ajustements de la juste valeur des swaps de taux d'intérêt et l'incidence fiscale de ces éléments. Ces éléments sont exclus du calcul du bénéfice net ajusté, car ils ne sont pas jugés représentatifs de la performance financière de D+H pour les périodes à l'étude.
Le bénéfice net ajusté par action de base est obtenu en divisant le bénéfice net ajusté de la période par le nombre moyen pondéré d'actions en circulation au cours de la période.
AUTRES MESURES CONFORMES AUX IFRS
Bénéfice découlant des activités d'exploitation
Dans ses états consolidés du résultat net, D+H présente une mesure additionnelle conforme aux IFRS, soit le « bénéfice découlant des activités d'exploitation ». La direction est d'avis que cette mesure fournit des renseignements pertinents utiles à la compréhension de la performance financière de la Société. Cette autre mesure conforme aux IFRS est représentative d'activités qui seraient normalement jugées comme étant « d'exploitation » en ce qui a trait à la Société.
STRATÉGIE
D+H aspire à devenir un fournisseur de technologies financières de premier plan auprès du secteur des services financiers. Les fournisseurs de technologies financières créent et offrent des produits et services technologiques et technohabilités aux banques, aux coopératives de crédit ou à d'autres clients importants du secteur des services financiers qui emploient ces solutions pour stimuler leur croissance, améliorer leur service à la clientèle, simplifier les opérations et réaliser des gains d'efficacité, réduire les coûts d'infrastructure et améliorer la conformité.
La stratégie de D+H consiste à se positionner comme chef de file dans des créneaux bien définis et en croissance du secteur des services financiers, ainsi qu'à consolider sa position au moyen de solutions technologiques intégrées qui accroissent la valeur pour sa clientèle et ses actionnaires. La Société prévoit mettre en œuvre sa stratégie au moyen de projets internes et d'acquisitions ciblées. En accroissant les produits tout en assurant le maintien d'activités efficaces, D+H prévoit atteindre son objectif financier à long terme, lequel consiste à accroître ses résultats.
En 2013, D+H a réalisé d'importants progrès en ce qui concerne son objectif et sa stratégie en matière de technologies financières en acquérant HFS. Cette acquisition a fait croître substantiellement le nombre total de clients de D+H et a permis d'ajouter une gamme de produits de technologies financières de premier plan à l'offre actuelle. La direction est d'avis que l'ajout de HFS permettra à D+H de réaliser des synergies en matière de produits sur le marché des banques et des coopératives de crédit américaines et qu'elle améliorera la proposition de valeur de la Société à titre de guichet unique pour la prestation de technologies financières.
En janvier 2014, la Société a commencé à mener ses activités sous la marque unifiée D+H en Amérique du Nord et dans le reste du monde après le retrait de ses anciennes marques HFS, Mortgagebot et Compushare. Tous les principaux produits et solutions technologiques sont désormais offerts sous la marque D+H en plus de leurs noms actuels. Nous sommes d'avis que la nouvelle image est un catalyseur stratégique qui nous permettra de tirer parti de synergies et de créer des avantages concrets pour nos activités et nos clients.
À l'avenir, la direction demeurera axée sur la mise en œuvre de sa stratégie de croissance en mettant l'accent sur i) l'élaboration d'un modèle d'exploitation intégré aux États-Unis qui soutiendra une croissance efficace et efficiente; ii) la vente croisée de la gamme de solutions technologiques financières de D+H, dont les produits en mode SaaS, la technologie d'infrastructure en nuage, les solutions technologiques de prêts et de conformité ainsi que les technologies bancaires de base, principalement sur le marché américain, aux banques et coopératives de crédit clientes existantes ainsi qu'aux quelque 7 000 autres banques locales et coopératives de crédit des États-Unis qui pourraient tirer parti de cette offre de services; iii) l'amélioration des services, des capacités et de l'efficience à l'échelle de toutes les gammes de services au Canada et aux États-Unis afin d'améliorer la valeur pour les clients, d'accroître les marges et de générer des flux de trésorerie disponibles supplémentaires; iv) le développement de nouveaux produits dans sa gamme de solutions de paiement par abonnement, laquelle a permis de décrocher un certain nombre de mandats auprès d'institutions financières canadiennes dans les dernières années; v) l'expansion de la marque D+H intégrée sur le marché américain et vi) l'accroissement de son offre au moyen de partenariats stratégiques.
Pour mettre en œuvre sa stratégie de vente croisée, D+H s'efforcera de réaliser des synergies à plusieurs égards, notamment en intégrant les activités de vente pour mieux servir ses clients et en s'efforçant de créer des liens plus étroits entre les diverses technologies pour améliorer la satisfaction de la clientèle au fil de sa croissance.
La Société s'est engagée à réduire son niveau d'endettement tout en maintenant ses paiements de dividendes actuels. Compte non tenu de toute acquisition future ou de tout projet d'investissement stratégique, la Société prévoit réduire son coefficient de la dette à long terme totale par rapport au BAIIA, défini à la rubrique « Dette à long terme », à moins de 2,5 (sur une base normalisée en fonction du change) d'ici 2015, en regard d'un coefficient de 3,05 à la date d'acquisition de HFS. Au 30 juin 2014, les remboursements sur la dette avaient réduit ce coefficient à 2,79. Compte non tenu de l'incidence des variations de change, ce coefficient était de 2,75.
Pour obtenir une analyse plus approfondie des résultats d'exploitation du trimestre et semestre clos le 30 juin 2014 et pour connaître les perspectives établies par la direction, il y a lieu de se reporter aux rubriques plus bas s'y rapportant.
PRINCIPES COMPTABLES ET PRÉSENTATION DE L'INFORMATION FINANCIÈRE
Les états financiers consolidés intermédiaires résumés non audités de la Société ont été préparés selon les IFRS publiées par l'International Accounting Standards Board (l'« IASB »), plus particulièrement l'IAS 34, Information financière intermédiaire.
Les résultats des activités poursuivies comprennent la performance des entreprises acquises à compter de la date de leur acquisition et excluent les résultats des activités classées dans les activités abandonnées pour toutes les périodes comparatives présentées.
Avec prise d'effet le 1er janvier 2014, D+H a modifié sa base de présentation de telle sorte que les résultats tirés de ses produits et services technologiques qui soutiennent les secteurs de la location, du crédit commercial et des prêts aux petites entreprises, secteurs en croissance aux États-Unis, soient présentés dans le secteur américain. Avant le 1er janvier 2014, les résultats d'exploitation de ces secteurs étaient présentés dans le secteur canadien. Cette méthode de présentation modifiée permet à la direction de mieux évaluer ses stratégies de vente croisée aux États-Unis Unis adoptées après l'acquisition de HFS et elle est conforme à la façon dont cette partie de nos activités est gérée et évaluée par la haute direction de la Société.
Les données des périodes comparatives ont été retraitées pour être conformes au classement actuel, le cas échéant.
Tous les montants sont présentés en dollars canadiens, à moins d'indication contraire.
RÉSULTATS D'EXPLOITATION - DEUXIÈME TRIMESTRE ET PREMIER SEMESTRE DE 2014
L'analyse présentée ci-après doit être lue à la lumière des états financiers consolidés intermédiaires résumés non audités pour le trimestre et le semestre clos le 30 juin 2014. Certaines de ces données ont été établies au moyen de mesures non conformes aux IFRS. La direction est d'avis que ce supplément d'informations fournit des renseignements additionnels utiles. Il y a lieu de se reporter aux rubriques « Mesures non conformes aux IFRS » et « Autres mesures conformes aux IFRS » pour obtenir une description des mesures non conformes aux IFRS et des autres mesures conformes aux IFRS qui ont été utilisées.
Résultats d'exploitation consolidés - Survol
D+H a réalisé au cours du deuxième trimestre et du premier semestre de 2014 une solide performance d'exploitation qui a été conforme à son objectif stratégique consistant à devenir un important fournisseur de technologies financières auprès du secteur des services financiers. La croissance sur douze mois des produits, des produits ajustés et du BAIIA ajusté est essentiellement attribuable au secteur américain et rend compte de l'inclusion des résultats de HFS. Le BAIIA consolidé a progressé au deuxième trimestre de 2014 et tient compte des charges de 1,8 million de dollars liées à l'acquisition, ainsi que des ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition de 3,4 millions de dollars liés à la juste valeur des produits différés acquis et des charges différées reprises dans le cadre de l'acquisition de HFS. Le bénéfice net consolidé pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2014 a été supérieur à celui des périodes correspondantes de 2013, en raison principalement de l'augmentation du BAIIA contrebalancée en partie par l'incidence de la hausse des intérêts et de la dotation aux amortissements découlant de l'acquisition de HFS. Le bénéfice net ajusté consolidé et le bénéfice net ajusté par action, lesquels ne tiennent pas compte des éléments hors trésorerie et hors du cours normal des activités, ont également été plus élevés que ceux des périodes correspondantes de 2013, principalement en raison de l'acquisition de HFS.
(en milliers de dollars canadiens, sauf les montants par action, non audité)
Trimestres clos les 30 juin | Semestres clos les 30 juin | ||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | ||||||||||
Produits | 285 955 | $ | 197 134 | $ | 552 246 | $ | 368 795 | $ | |||||
Charges | 198 149 | 144 551 | 395 440 | 274 215 | |||||||||
BAIIA1) | 87 806 | 52 583 | 156 806 | 94 580 | |||||||||
Amortissement des immobilisations corporelles et des immobilisations incorporelles non liées à des acquisitions |
10 599 | 6 657 | 20 055 | 13 176 | |||||||||
Amortissement des immobilisations incorporelles découlant des acquisitions |
28 320 | 11 060 | 56 902 | 21 974 | |||||||||
Bénéfice découlant des activités d'exploitation | 48 887 | 34 866 | 79 849 | 59 430 | |||||||||
Charges d'intérêts | 15 048 | 4 516 | 30 297 | 8 987 | |||||||||
Bénéfice découlant de la participation dans une entreprise associée, après impôt 2) |
- | - | - | (130) | |||||||||
Profit découlant de la réévaluation d'une participation détenue antérieurement3) |
- | - | - | (1 587) | |||||||||
Profit découlant de la vente d'actifs4) | (984) | - | (984) | - | |||||||||
Ajustements de la juste valeur des instruments dérivés5) | (284) | (1 203) | (488) | (1 310) | |||||||||
Charge d'impôt sur le résultat | 5 238 | 9 158 | 8 291 | 14 638 | |||||||||
Bénéfice découlant des activités poursuivies | 29 869 | 22 395 | 42 733 | 38 832 | |||||||||
Perte découlant des activités abandonnées, après impôt6) | - | (8 786) | (846) | (19 481) | |||||||||
Bénéfice net | 29 869 | $ | 13 609 | $ | 41 887 | $ | 19 351 | $ | |||||
Bénéfice découlant des activités poursuivies par action | |||||||||||||
De base7) | 0,3697 | $ | 0,3781 | $ | 0,5291 | $ | 0,6556 | $ | |||||
Dilué8) | 0,3687 | $ | 0,3781 | $ | 0,5278 | $ | 0,6556 | $ | |||||
Perte découlant des activités abandonnées par action, après impôt6) | |||||||||||||
De base7) | - | $ | (0,1483) | $ | (0,0105) | $ | (0,3289) | $ | |||||
Diluée8) | - | $ | (0,1483) | $ | (0,0105) | $ | (0,3289) | $ | |||||
Bénéfice net par action | |||||||||||||
De base7) | 0,3697 | $ | 0,2298 | $ | 0,5186 | $ | 0,3267 | $ | |||||
Dilué8) | 0,3687 | $ | 0,2298 | $ | 0,5173 | $ | 0,3267 | $ |
1) | Le BAIIA est une mesure non conforme aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour une définition complète de cette mesure. |
2) | Le bénéfice découlant de la participation dans une entreprise associée est constitué de la quote-part revenant à D+H du bénéfice de Compushare, dans laquelle la Société détenait une participation ne donnant pas le contrôle jusqu'en janvier 2013, lorsqu'elle a acquis le contrôle exclusif. |
3) | À l'acquisition de la participation résiduelle dans Compushare en janvier 2013, un profit découlant de la réévaluation de la participation détenue antérieurement avait été comptabilisé au premier trimestre de 2013 conformément aux IFRS. |
4) | Il s'agit du profit réalisé au deuxième trimestre de 2014 à la vente de certains actifs non stratégiques. |
5) | Représentent des ajustements à la valeur de marché des swaps de taux d'intérêt qui ne sont pas désignés comme couvertures aux fins de la comptabilité de couverture et pour lesquels toute variation de la juste valeur est comptabilisée aux états consolidés du résultat net. |
6) | Cette perte a trait au dessaisissement par D+H de ses activités de services de traitement non stratégiques le 10 mai 2013. |
7) | Le nombre moyen pondéré d'actions en circulation s'est élevé à 80 790 585 actions pour le deuxième trimestre de 2014 (59 233 373 actions pour le deuxième trimestre de 2013). Pour le premier semestre de 2014, le nombre moyen pondéré d'actions en circulation s'est élevé à 80 765 001 actions (59 233 373 actions pour le premier semestre de 2013). |
8) | Les mesures diluées par action rendent compte de l'incidence des options sur actions en circulation. Si le cours moyen du marché pendant la période est inférieur au prix de l'option additionné à la juste valeur de marché de l'option, les options ne sont pas prises en considération dans le calcul de l'effet dilutif au titre du bénéfice découlant des activités d'exploitation par action. Le nombre moyen pondéré d'actions en circulation sur une base diluée s'est élevé à 81 013 068 actions pour le deuxième trimestre de 2014 (59 233 373 actions pour le deuxième trimestre de 2013). Pour le premier semestre de 2014, le nombre moyen pondéré d'actions en circulation sur une base diluée s'est élevé à 80 968 308 actions (59 233 373 actions pour le premier semestre de 2013). |
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Trimestres clos les 30 juin | Semestres clos les 30 juin | ||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | ||||||||||
Produits | 285 955 | $ | 197 134 | $ | 552 246 | $ | 368 795 | $ | |||||
Ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition1) | 6 203 | - | 15 660 | - | |||||||||
Produits ajustés2) | 292 158 | $ | 197 134 | $ | 567 906 | $ | 368 795 | $ |
1) | La juste valeur du solde des produits différés acquis dans le cadre de l'acquisition de HFS a été ajustée pour rendre compte des coûts estimatifs de la prestation future de services. Ce rajout représente l'amortissement des produits différés qui avaient été radiés à l'acquisition. |
2) | Les produits ajustés constituent une mesure non conforme aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour une définition complète de cette mesure. |
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Trimestres clos les 30 juin | Semestres clos les 30 juin | ||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | ||||||||||
Produits | 285 955 | $ | 197 134 | $ | 552 246 | $ | 368 795 | $ | |||||
Charges | 198 149 | 144 551 | 395 440 | 274 215 | |||||||||
BAIIA1) | 87 806 | 52 583 | 156 806 | 94 580 | |||||||||
Marge du BAIIA1) | 30,7 | % | 26,7 | % | 28,4 | % | 25,6 | % | |||||
Ajustements | |||||||||||||
Ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition2) | 3 404 | - | 9 654 | - | |||||||||
Coûts liés aux acquisitions et autres charges3) | 1 773 | 5 764 | 5 263 | 6 792 | |||||||||
BAIIA ajusté1) | 92 983 | $ | 58 347 | $ | 171 723 | $ | 101 372 | $ | |||||
Marge du BAIIA ajusté1) | 31,8 | % | 29,6 | % | 30,2 | % | 27,5 | % |
1) | Le BAIIA, la marge du BAIIA, le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté sont des mesures non conformes aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour obtenir une définition plus détaillée de ces termes. |
2) | Les ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition ont trait à l'amortissement des ajustements de la juste valeur des produits différés acquis et des charges différées reprises dans le cadre de l'acquisition de HFS. Il y a lieu de se reporter aux sections « Produits ajustés » et « BAIIA ajusté » de la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour obtenir une définition plus détaillée de ces termes. |
3) | Pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2014, les coûts liés aux acquisitions et autres charges comprennent les coûts d'intégration des entreprises liés à l'acquisition de HFS et les coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs relatifs aux acquisitions d'entreprises. Pour le deuxième trimestre de 2013, les coûts liés aux acquisitions et autres charges comprenaient les charges liées à l'expansion de l'entreprise relatives aux projets d'acquisitions stratégiques, certains coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs relatifs aux acquisitions d'entreprises, les coûts d'intégration des entreprises et les coûts engagés dans le cadre des mesures de réharmonisation de la structure de coûts. Pour le premier semestre de 2013, ces coûts et charges comprenaient également les coûts de transaction. |
(en milliers de dollars canadiens, sauf les montants par action, non audité)
Trimestres clos les 30 juin | Semestres clos les 30 juin | ||||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | ||||||||||||
Bénéfice net | 29 869 | $ | 13 609 | $ | 41 887 | $ | 19 351 | $ | |||||||
Ajustements | |||||||||||||||
Éléments hors trésorerie | |||||||||||||||
Ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition1) | 3 404 | - | 9 654 | - | |||||||||||
Charge d'intérêts hors trésorerie2) | 1 367 | - | 2 891 | - | |||||||||||
Amortissement des immobilisations incorporelles découlant des acquisitions |
28 320 | 11 060 | 56 902 | 21 974 | |||||||||||
Profit découlant de la réévaluation d'une participation détenue antérieurement3) |
- | - | - | (1 587) | |||||||||||
Profit découlant de la vente d'actifs4) | (984) | - | (984) | - | |||||||||||
Ajustements de la juste valeur des instruments dérivés5) | (284) | (1 203) | (488) | (1 310) | |||||||||||
Autres éléments notables | |||||||||||||||
Coûts liés aux acquisitions et autres charges6) | 1 773 | 5 764 | 5 263 | 6 792 | |||||||||||
Incidence fiscale des ajustements ci-dessus7) | (12 009) | (3 814) | (25 697) | (7 392) | |||||||||||
Perte découlant des activités abandonnées par action, après impôt8) | - | 8 786 | 846 | 19 481 | |||||||||||
Bénéfice net ajusté9) | 51 456 | $ | 34 202 | $ | 90 274 | $ | 57 309 | $ | |||||||
Bénéfice net ajusté par action, de base9),10) | 0,6369 | $ | 0,5774 | $ | 1,1177 | $ | 0,9675 | $ |
Trimestres clos les 30 juin | Semestres clos les 30 juin | ||||||||||||||
2014 c. 2013 | 2014 c. 2013 | ||||||||||||||
Variation (%) | Variation (%) | ||||||||||||||
Bénéfice net ajusté9) | 50,4 | % | 57,5 | % | |||||||||||
Bénéfice net ajusté par action, de base9), 10) | 10,3 | % | 15,5 | % |
1) | Les ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition ont trait à l'amortissement des ajustements de la juste valeur des produits différés acquis et des charges différées reprises dans le cadre de l'acquisition de HFS. |
2) | Les charges d'intérêts hors trésorerie sont liées à la désactualisation des débentures émises pour financer partiellement l'acquisition de HFS et à l'amortissement des charges financières différées engagées dans le cadre des ententes de financement de la Société. |
3) | À l'acquisition de la participation résiduelle dans Compushare en janvier 2013, un profit découlant de la réévaluation de la participation détenue antérieurement avait été comptabilisé au premier trimestre de 2013 conformément aux IFRS. |
4) | Il s'agit du profit réalisé au deuxième trimestre de 2014 à la vente de certains actifs non stratégiques. |
5) | Les montants comprennent des ajustements à la valeur de marché des swaps de taux d'intérêt qui ne sont pas désignés comme couvertures aux fins de la comptabilité de couverture, dont toute variation de la juste valeur est comptabilisée aux états consolidés du résultat net. |
6) | Pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2014, les coûts liés aux acquisitions et autres charges comprennent les coûts d'intégration des entreprises liés à l'acquisition de HFS et les coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs relatifs aux acquisitions d'entreprises. Pour le deuxième trimestre de 2013, les coûts liés aux acquisitions et autres charges comprennent les charges liées à l'expansion de l'entreprise relatives aux projets d'acquisitions stratégiques, certains coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs relatifs aux acquisitions d'entreprises, les coûts d'intégration des entreprises et les coûts engagés dans le cadre des mesures de réharmonisation de la structure de coûts. Pour le premier semestre de 2013, ces coûts et charges comprennent également les coûts de transaction. |
7) | L'incidence fiscale des ajustements au bénéfice net a été comptabilisée à leur taux d'impôt respectif. |
8) | La perte a trait au dessaisissement par D+H de ses activités de services de traitement non stratégiques le 10 mai 2013. |
9) | Le bénéfice net ajusté et le bénéfice net ajusté par action sont des mesures non conformes aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour obtenir une définition plus détaillée de ces termes. |
10) | Le nombre moyen pondéré d'actions en circulation s'est élevé à 80 790 585 actions pour le deuxième trimestre de 2014 (59 233 373 actions pour le deuxième trimestre de 2013). Pour le premier semestre de 2014, le nombre moyen pondéré d'actions en circulation s'est élevé à 80 765 001 actions (59 233 373 actions pour le premier semestre de 2013). |
RÉSULTATS D'EXPLOITATION SECTORIELS
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Trimestres clos les 30 juin | ||||||||||||||||||||||||||||
Secteur canadien | Secteur américain | Siège social | Résultats consolidés | |||||||||||||||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | |||||||||||||||||||||
Produits | 168 763 | $ | 169 842 | $ | 117 192 | $ | 27 292 | $ | - | $ | - | $ | 285 955 | $ | 197 134 | $ | ||||||||||||
Ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition1) |
- | - | 6 203 | - | - | - | 6 203 | - | ||||||||||||||||||||
Produits ajustés2) | 168 763 | $ | 169 842 | $ | 123 395 | $ | 27 292 | $ | - | $ | - | $ | 292 158 | $ | 197 134 | $ |
1) | La juste valeur du solde des produits différés acquis dans le cadre de l'acquisition de HFS a été ajustée pour tenir compte des coûts estimatifs de la prestation future de services. Ce rajout représente l'amortissement des produits différés qui avaient été radiés à l'acquisition. |
2) | Les produits ajustés constituent une mesure non conforme aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour une définition complète de cette mesure. |
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Trimestres clos les 30 juin | ||||||||||||||||||||||||||
Secteur canadien | Secteur américain | Siège social | Résultats consolidés | |||||||||||||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | |||||||||||||||||||
Produits | 168 763 | $ | 169 842 | $ | 117 192 | $ | 27 292 | $ | - | $ | - | $ | 285 955 | $ | 197 134 | $ | ||||||||||
Charges | 119 964 | 122 732 | 76 412 | 16 055 | 1 773 | 5 764 | 198 149 | 144 551 | ||||||||||||||||||
BAIIA1) | 48 799 | 47 110 | 40 780 | 11 237 | (1 773) | (5 764) | 87 806 | 52 583 | ||||||||||||||||||
Marge du BAIIA1) | 28,9 | % | 27,7 | % | 34,8 | % | 41,2 | % | - | - | 30,7 | % | 26,7 | % | ||||||||||||
Ajustements | ||||||||||||||||||||||||||
Ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition2) |
- | - | 3 404 | - | - | - | 3 404 | - | ||||||||||||||||||
Coûts liés aux acquisitions et autres charges3) |
- | - | - | - | 1 773 | 5 764 | 1 773 | 5 764 | ||||||||||||||||||
BAIIA ajusté1) | 48 798 | $ | 47 110 | $ | 44 184 | $ | 11 237 | $ | - | $ | - | $ | 92 983 | $ | 58 347 | $ | ||||||||||
Marge du BAIIA ajusté1) | 28,9 | % | 27,7 | % | 35,8 | % | 41,2 | % | - | - | 31,8 | % | 29,6 | % |
1) | Le BAIIA, la marge du BAIIA, le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté sont des mesures non conformes aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour obtenir une définition plus détaillée de ces termes. |
2) | Les ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition ont trait à l'amortissement des ajustements de la juste valeur des produits différés acquis et des charges différées reprises dans le cadre de l'acquisition de HFS. Il y a lieu de se reporter à la section « Produits ajustés » et « BAIIA ajusté » de la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour obtenir une définition plus détaillée de ces termes. |
3) | Pour le deuxième trimestre de 2014, les coûts liés aux acquisitions et autres charges comprennent les coûts d'intégration des entreprises liés à l'acquisition de HFS et les coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs relatifs aux acquisitions d'entreprises. Pour le deuxième trimestre de 2013, les coûts liés aux acquisitions et autres charges comprennent les charges liées à l'expansion de l'entreprise relatives aux projets d'acquisitions stratégiques, certains coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs relatifs aux acquisitions d'entreprises, les coûts d'intégration des entreprises et les coûts engagés dans le cadre des mesures de réharmonisation de la structure de coûts. |
Trimestres clos les 30 juin | |||||||||||||
Secteur canadien | Secteur américain | Résultats consolidés | |||||||||||
2014 c. 2013 | 2014 c. 2013 | 2014 c. 2013 | |||||||||||
Variation (%) | Variation (%) | Variation (%) | |||||||||||
Produits | (0,6) | % | 329,4 | % | 45,1 | % | |||||||
Produits ajustés1) | (0,6) | % | 352,1 | % | 48,2 | % | |||||||
BAIIA ajusté1) | 3,6 | % | 293,2 | % | 59,4 | % |
1) | Les produits ajustés et le BAIIA ajusté sont des mesures non conformes aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour obtenir une définition plus détaillée de ces termes. |
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Semestres clos les 30 juin | ||||||||||||||||||||||||||||
Secteur canadien | Secteur américain | Siège social | Résultats consolidés | |||||||||||||||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | |||||||||||||||||||||
Produits | 318 856 | $ | 318 482 | $ | 233 390 | $ | 50 313 | $ | - | $ | - | $ | 552 246 | $ | 368 795 | $ | ||||||||||||
Ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition1) |
- | - | 15 660 | - | - | - | 15 660 | - | ||||||||||||||||||||
Produits ajustés2) | 318 856 | $ | 318 482 | $ | 249 050 | $ | 50 313 | $ | - | $ | - | $ | 567 906 | $ | 368 795 | $ |
1) | La juste valeur du solde des produits différés acquis dans le cadre de l'acquisition de HFS a été ajustée pour tenir compte des coûts estimatifs de la prestation future de services. Ce rajout représente l'amortissement des produits différés qui avaient été radiés à l'acquisition. |
2) | Les produits ajustés constituent une mesure non conforme aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour une définition complète de cette mesure. |
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Semestres clos les 30 juin | ||||||||||||||||||||||||||
Secteur canadien | Secteur américain | Siège social | Résultats consolidés | |||||||||||||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | |||||||||||||||||||
Produits | 318 856 | $ | 318 482 | $ | 233 390 | $ | 50 313 | $ | - | $ | - | $ | 552 246 | $ | 368 795 | $ | ||||||||||
Charges | 236 136 | 237 622 | 154 041 | 29 801 | 5 263 | 6 792 | 395 440 | 274 215 | ||||||||||||||||||
BAIIA1) | 82 720 | 80 860 | 79 349 | 20 512 | (5 263) | (6 792) | 156 806 | 94 580 | ||||||||||||||||||
Marge du BAIIA1) | 25,9 | % | 25,4 | % | 34,0 | % | 40,8 | % | - | - | 28,4 | % | 25,6 | % | ||||||||||||
Ajustements | ||||||||||||||||||||||||||
Ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition2) |
- | - | 9 654 | - | - | - | 9 654 | - | ||||||||||||||||||
Coûts liés aux acquisitions et autres charges3) |
- | - | - | - | 5 263 | 6 792 | 5 263 | 6 792 | ||||||||||||||||||
BAIIA ajusté1) | 82 720 | $ | 80 860 | $ | 89 003 | $ | 20 512 | $ | - | $ | - | $ | 171 723 | $ | 101 372 | $ | ||||||||||
Marge du BAIIA ajusté1) | 25,9 | % | 25,4 | % | 35,7 | % | 40,8 | % | - | - | 30,2 | % | 27,5 | % |
1) | Le BAIIA, la marge du BAIIA, le BAIIA ajusté et la marge du BAIIA ajusté sont des mesures non conformes aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour obtenir une définition plus détaillée de ces termes. |
2) | Les ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition ont trait à l'amortissement des ajustements de la juste valeur des produits différés acquis et des charges différées reprises dans le cadre de l'acquisition de HFS. Il y a lieu de se reporter à la section « Produits ajustés » et « BAIIA ajusté » de la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour obtenir une définition plus détaillée de ces termes. |
3) | Pour le premier semestre de 2014, les coûts liés aux acquisitions et autres charges comprennent les coûts d'intégration des entreprises liés à l'acquisition de HFS et les coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs relatifs aux acquisitions d'entreprises. Pour le premier semestre de 2013, les coûts liés aux acquisitions et autres charges comprennent les coûts de transaction, les charges liées à l'expansion de l'entreprise relatives aux projets d'acquisitions stratégiques, certains coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs relatifs aux acquisitions d'entreprises, les coûts d'intégration des entreprises et les coûts engagés dans le cadre des mesures de réharmonisation de la structure de coûts. |
Semestres clos les 30 juin | |||||||||||||
Secteur canadien | Secteur américain | Résultats consolidés | |||||||||||
2014 c. 2013 | 2014 c. 2013 | 2014 c. 2013 | |||||||||||
Variation (en %) | Variation (en %) | Variation (en %) | |||||||||||
Produits | 0,1 | % | 363,9 | % | 49,7 | % | |||||||
Produits ajustés1) | 0,1 | % | 395,0 | % | 54,0 | % | |||||||
BAIIA ajusté1) | 2,3 | % | 333,9 | % | 69,4 | % |
1) | Les produits ajustés et le BAIIA ajusté sont des mesures non conformes aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour obtenir une définition plus détaillée de ces termes. |
PRODUITS ET PRODUITS AJUSTÉS
Le tableau suivant présente la taille relative de chacun des principaux secteurs de services en pourcentage des produits ajustés consolidés sur une période de douze mois consécutifs :
Périodes de douze mois closes les 30 juin | |||||||||||||||||
2014 | 2013 | ||||||||||||||||
Produits ajustés - résultats consolidés | |||||||||||||||||
Solutions de paiement | 28,4 | % | 42,1 | % | |||||||||||||
Solutions de traitement de prêts | 26,7 | % | 37,9 | % | |||||||||||||
Solutions technologiques bancaires | |||||||||||||||||
Solutions de prêts | 26,9 | % | 18,8 | % | |||||||||||||
Solutions aux entreprises | 18,0 | % | 1,2 | % | |||||||||||||
100,0 | % | 100,0 | % |
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Trimestres clos les 30 juin | |||||||||||||||||||||||||
Secteur canadien | Secteur américain | Résultats consolidés | |||||||||||||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | ||||||||||||||||||||
Produits | Produits | Produits | Ajustement1) | Produits ajustés2) |
Produits | Produits | Ajustement1) | Produits ajustés2) |
Produits | ||||||||||||||||
Solutions de paiement | 76 238 | $ | 78 591 | $ | - | $ | - | $ | - | $ | - | $ | 76 238 | $ | - | $ | 76 238 | $ | 78 591 | $ | |||||
Solutions de traitement de prêts |
76 922 | 76 145 | - | - | - | - | 76 922 | - | 76 922 | 76 145 | |||||||||||||||
Solutions technologiques bancaires |
|||||||||||||||||||||||||
Solutions de prêts | 15 603 | 15 106 | 61 747 | 5 524 | 67 271 | 22 375 | 77 350 | 5 524 | 82 874 | 37 481 | |||||||||||||||
Solutions aux entreprises | - | - | 55 445 | 679 | 56 124 | 4 917 | 55 445 | 679 | 56 124 | 4 917 | |||||||||||||||
Total des produits | 168 763 | $ | 169 842 | $ | 117 192 | $ | 6 203 | $ | 123 395 | $ | 27 292 | $ | 285 955 | $ | 6 203 | $ | 292 158 | $ | 197 134 | $ |
1) | L'ajustement est lié à l'ajustement hors trésorerie de la juste valeur des produits différés acquis dans le cadre de l'acquisition de HFS. La juste valeur du solde des produits différés a été ajustée pour tenir compte des coûts estimatifs de la prestation future de services. Ce rajout représente l'amortissement des produits différés qui avaient été radiés à l'acquisition. |
2) | Les produits ajustés constituent une mesure non conforme aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour une définition complète de cette mesure. |
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Semestres clos les 30 juin | |||||||||||||||||||||||||
Secteur canadien | Secteur américain | Résultats consolidés | |||||||||||||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | ||||||||||||||||||||
Produits | Produits | Produits | Ajustement1) | Produits ajustés2) |
Produits | Produits | Ajustement1) | Produits ajustés2) |
Produits | ||||||||||||||||
Solutions de paiement | 150 941 | $ | 152 270 | $ | - | $ | - | $ | - | $ | - | $ | 150 941 | $ | - | $ | 150 941 | $ | 152 270 | $ | |||||
Solutions de traitement de prêts |
143 200 | 141 268 | - | - | - | - | 143 200 | - | 143 200 | 141 268 | |||||||||||||||
Solutions technologiques bancaires |
|||||||||||||||||||||||||
Solutions de prêts | 24 715 | 24 944 | 122 186 | 13 846 | 136 032 | 41 883 | 146 901 | 13 846 | 160 747 | 66 827 | |||||||||||||||
Solutions aux entreprises | - | - | 111 204 | 1 814 | 113 018 | 8 430 | 111 204 | 1 814 | 113 018 | 8 430 | |||||||||||||||
Total des produits | 318 856 | $ | 318 482 | $ | 233 390 | $ | 15 660 | $ | 249 050 | $ | 50 313 | $ | 552 246 | $ | 15 660 | $ | 567 906 | $ | 368 795 | $ |
1) | L'ajustement est lié à l'ajustement hors trésorerie de la juste valeur des produits différés acquis dans le cadre de l'acquisition de HFS. La juste valeur du solde des produits différés a été ajustée pour tenir compte des coûts estimatifs de la prestation future de services. Ce rajout représente l'amortissement des produits différés qui avaient été radiés à l'acquisition. |
2) | Les produits ajustés constituent une mesure non conforme aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour une définition complète de cette mesure. |
Produits et produits ajustés - résultats consolidés
Les produits consolidés du deuxième trimestre de 2014 se sont établis à 286,0 millions de dollars, en hausse de 88,8 millions de dollars, ou de 45,1 %, sur douze mois. Pour le premier semestre de 2014, les produits consolidés se sont élevés à 552,2 millions de dollars, en hausse de 183,5 millions de dollars, ou de 49,7 %, par rapport à ceux de la période correspondante de 2013. Compte non tenu de l'incidence de la variation du change, les produits ont augmenté de 40,1 % au cours du deuxième trimestre de 2014 et de 44,4 % au cours du premier semestre de 2014. Les produits en 2014 ont subi l'incidence des ajustements de la juste valeur des produits différés obtenus dans le cadre de l'acquisition de HFS
Les produits ajustés consolidés pour le deuxième trimestre de 2014 se sont établis à 292,2 millions de dollars, en hausse de 95,0 millions de dollars, ou de 48,2 %, par rapport à ceux de la période correspondante de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les produits ajustés consolidés se sont élevés à 567,9 millions de dollars, en hausse de 199,1 millions de dollars, ou de 54,0 %, par rapport à ceux de la période correspondante de 2013. Compte non tenu de l'incidence de la variation du change, les produits ajustés ont augmenté de 42,9 % au deuxième trimestre de 2014 et de 48,3 % au premier semestre de 2014 (se reporter à la rubrique portant sur le secteur américain plus bas pour obtenir davantage de détails). Ces hausses sont essentiellement attribuables à la prise en compte de HFS et, dans une moindre mesure, à la croissance interne, principalement celle des services de recouvrement et des services de protection avec abonnement.
Produits - secteur canadien
Le total des produits du secteur canadien pour le deuxième trimestre de 2014 s'est chiffré à 168,8 millions de dollars, en baisse de 1,1 million de dollars, ou de 0,6 %, par rapport à celui du trimestre correspondant de 2013, du fait des facteurs énoncés ci-après. Pour le premier semestre de 2014, les produits du secteur canadien se sont élevés à 318,9 millions de dollars, en hausse de 0,4 million de dollars, ou de 0,1 %, par rapport à ceux de la période correspondante de 2013. Les produits ajustés sont équivalents aux produits pour le secteur canadien puisque ce secteur n'a pas fait l'objet d'ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition.
Solutions de paiement
Les solutions de paiement comprennent i) le programme d'approvisionnement en chèques à l'intention des particuliers et des petites entreprises titulaires de comptes auprès de nos clients du secteur des services financiers; et ii) divers services de protection avec abonnement et autres services destinés aux comptes de chèques et de cartes de crédit.
Les autres formes de paiement étant en croissance, le nombre de chèques tirés est en baisse et devrait continuer de décroître. La direction estime que la tendance à la baisse des volumes de commandes de chèques est d'environ 5 % annuellement. Au cours des exercices récents, une plus grande volatilité des volumes de commandes de chèques personnels a été observée, alors que le recul des volumes de commandes de chèques d'entreprises continue de se situer à moins de 5 % et de présenter une volatilité moindre. La direction s'attend à ce que ces tendances se poursuivent tout au long de 2014. D+H continue d'améliorer les services offerts afin de neutraliser cette tendance et de stimuler la croissance future dans cette catégorie de produits. Les fluctuations saisonnières n'ont pas une grande incidence sur les produits de ce secteur.
Les produits tirés des solutions de paiement se sont chiffrés à 76,2 millions de dollars au deuxième trimestre de 2014, en baisse de 2,4 millions de dollars, ou de 3,0 %, par rapport à ceux du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les produits se sont élevés à 150,9 millions de dollars, en baisse de 1,3 million de dollars, ou de 0,9 %, en regard de ceux de la période correspondante de 2013. Les produits pour le deuxième trimestre de 2014 ont reculé par rapport à ceux du trimestre correspondant de l'exercice précédent, du fait que ce trimestre comptait un jour ouvrable de moins pour effectuer des ventes de services d'approvisionnement en chèque ainsi qu'en raison du calendrier des produits gagnés. Les produits tirés des solutions de paiement pour le trimestre et le semestre à l'étude se sont également ressentis de la contraction des volumes des commandes de chèques, facteur en partie compensé par l'augmentation de la valeur moyenne des commandes en raison de l'amélioration des produits et services offerts dans le cadre des programmes liés aux comptes de chèques et aux cartes de crédit, outre la hausse des volumes des services de protection avec abonnement.
Solutions de traitement de prêts
Les solutions de traitement de prêts sont constituées de deux ensembles distincts de solutions clients : l'enregistrement et le recouvrement de prêts d'une part, et les services d'administration des prêts aux étudiants d'autre part.
Les services d'enregistrement et de recouvrement de prêts, qui comptent pour environ 60 % à 70 % des produits de cette catégorie, concourent aux activités de prêts personnels et de crédit commercial de nos clients en assurant l'enregistrement et la gestion des données relatives aux prêts garantis pour les prêts personnels et hypothécaires et en offrant des services de recouvrement pour les activités de crédit garanti et non garanti. Les prêts destinés à l'achat d'automobiles neuves et usagées représentent un catalyseur important, mais ils sont néanmoins variables. En règle générale, la cyclicité économique et les fluctuations saisonnières ont une incidence sur les services d'enregistrement, tandis que les services de recouvrement sont en général contra-cycliques.
Dans notre secteur des services d'administration de prêts étudiants, qui représente approximativement de 30 % à 40 % des produits de la catégorie des solutions de traitement de prêts, nous gérons un portefeuille de 21 milliards de dollars servant 1,7 million d'étudiants au nom de gouvernements fédéral et provinciaux du Canada et de prêteurs canadiens. Nos services comprennent l'inscription des étudiants, la gestion des débours de fonds, le suivi des prêts, les services de soutien aux étudiants, la présentation de rapports et le recouvrement. Les produits tirés de ce programme sont en grande partie tributaires du nombre de prêts aux étudiants traités pendant que les étudiants sont aux études et du nombre de prêts aux étudiants traités pour des étudiants effectuant le remboursement de leur prêt. D+H tire également des produits des services professionnels qu'elle rend en lien avec les améliorations aux programmes demandées par les prêteurs. Les fluctuations saisonnières n'ont pas une grande incidence sur les produits de ce secteur.
D+H et le gouvernement du Canada sont parties à un contrat aux termes duquel D+H offre des services financiers et services connexes en soutien au Programme canadien de prêts aux étudiants (« PCPE »), ainsi qu'aux programmes de prêts et bourses aux étudiants de certaines provinces canadiennes. Le contrat arrive à échéance le 31 mars 2016, date après laquelle le gouvernement du Canada aura le droit de le renouveler pour des périodes de un an, pour un maximum de deux années. Conformément à sa politique en matière d'approvisionnement, le gouvernement du Canada a amorcé des consultations auprès du secteur au sujet des exigences d'administration du PCPE à l'échéance du présent contrat et nous nous attendons à ce qu'un appel d'offres soit lancé durant l'été 2014. D+H a l'intention de défendre avec vigueur son mandat et est d'avis que la qualité des services rendus à ce jour nous aidera à demeurer concurrentiels dans le processus de soumission.
Les produits tirés des solutions de traitement de prêts se sont chiffrés à 76,9 millions de dollars au deuxième trimestre de 2014, soit une augmentation de 0,8 million de dollars, ou de 1,0 %, par rapport à ceux du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les produits se sont élevés à 143,2 millions de dollars, une hausse de 1,9 million de dollars, ou de 1,4 %, sur douze mois. Les hausses pour les deux périodes sont principalement le fait de l'augmentation des volumes de transactions liées aux services de recouvrement et, dans une moindre mesure, de l'augmentation des volumes de prêts aux étudiants et de la hausse de la valeur moyenne des commandes des services d'enregistrement. Le taux de croissance sur douze mois a subi l'incidence défavorable d'une réduction des produits liés aux projets et aux services professionnels ainsi que des produits tirés du programme de prêts aux étudiants comparativement à 2013.
Solutions technologiques bancaires - prêts
Dans le secteur canadien, les solutions technologiques bancaires, présentées dans le secteur des prêts, s'adressent au marché du crédit hypothécaire au Canada. Les produits de cette catégorie sont attribuables aux commissions sur transactions gagnées relativement au montage de prêts hypothécaires au Canada. Ces commissions sont variables et de nombreux facteurs peuvent avoir une incidence sur celles-ci, notamment la conjoncture économique, le marché de l'habitation, les taux d'intérêt et les changements apportés à la réglementation gouvernementale. Les produits de ce secteur sont quelque peu saisonniers, puisque les deuxième et troisième trimestres ont présenté par le passé un niveau de montage de prêts plus élevé, en parallèle avec l'ensemble du marché de l'habitation au Canada. Comme il est mentionné plus haut, les produits tirés de nos solutions et services technologiques soutenant les secteurs de la location, du crédit commercial et des prêts aux petites entreprises sont désormais présentés dans le secteur américain.
Les produits tirés des solutions technologiques bancaires au Canada pour le deuxième trimestre de 2014 se sont chiffrés à 15,6 millions de dollars, en hausse de 0,5 million de dollars, ou de 3,3 %, par rapport à ceux du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, ces produits se sont élevés à 24,7 millions de dollars, une baisse de 0,2 million de dollars, ou de 0,9 %, sur douze mois. Les produits pour le deuxième trimestre de 2014 ont profité de l'accroissement des honoraires de services professionnels liés à nos activités de montage de prêts hypothécaires et de la forte activité au sein du marché de l'habitation. L'incidence des modifications de prix découlant de périodes antérieures s'est entièrement matérialisée au deuxième trimestre de 2014. En revanche, les produits pour le premier semestre de 2014 rendent compte de la baisse des commissions de montage de prêts hypothécaires découlant de ces modifications de prix.
Produits et produits ajustés - secteur américain
Les produits tirés des solutions technologiques bancaires aux États-Unis sont classés dans les catégories des solutions de prêts et des solutions aux entreprises décrites plus loin. Avec l'acquisition de HFS, nous nous attendons à davantage de fluctuations saisonnières des produits au sein du secteur des solutions technologiques bancaires, étant donné que les produits sont d'ordinaire plus élevés aux deuxième et quatrième trimestres, ce dernier trimestre étant la période de pointe.
Le total des produits dans le secteur américain pour le deuxième trimestre de 2014 s'est chiffré à 117,2 millions de dollars, en hausse de 89,9 millions de dollars, ou de 329,4 %, sur douze mois. Pour le premier semestre de 2014, le total des produits s'est établi à 233,4 millions de dollars, en hausse de 183,1 millions de dollars, ou de 363,9 % par rapport à celui de la période correspondante de 2013. Les produits ajustés du secteur américain pour le deuxième trimestre se sont chiffrés à 123,4 millions de dollars, en hausse de 96,1 millions de dollars, soit de 352,1 %, par rapport à ceux de la période correspondante de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les produits ajustés se sont établis à 249,1 millions de dollars, en hausse de 198,7 millions de dollars, ou de 395,0 %, en regard de ceux de l'exercice précédent. Les importantes hausses en ce qui a trait aux produits et aux produits ajustés sont attribuables avant tout à la prise en compte des résultats de HFS.
La vigueur du dollar américain au deuxième trimestre de 2014 comparativement à la période correspondante de 2013 a accru les produits du secteur américain de 9,9 millions de dollars et ses produits ajustés de 10,5 millions de dollars. Compte non tenu de cette incidence du change, les produits ont augmenté de 293,3 % et les produits ajustés, de 313,5 %. Pour le premier semestre de 2014, la vigueur du dollar américain a accru les produits de 19,7 millions de dollars et les produits ajustés de 21,2 millions de dollars. Pour le premier semestre, compte non tenu de l'incidence du change, les produits ont augmenté de 324,8 % et les produits ajustés, de 353,0 %. L'incidence du change correspond à l'écart entre les résultats réels de la période considérée et les résultats de la période considérée libellés en monnaie locale convertis selon le cours de change de la période correspondante de l'exercice précédent.
Solutions de prêts
Les solutions de prêts sont principalement constituées de produits de montage de prêts et de produits de conformité des prêts hypothécaires s'appliquant à un large éventail de types de prêts, y compris les prêts aux particuliers et les prêts hypothécaires et commerciaux, ainsi que de produits liés aux marchés visant la gestion du risque se rapportant aux prêts commerciaux et de solutions de gestion de portefeuille et de souscription. Des produits tirés des solutions de prêts aux États-Unis, une tranche d'environ 50 % à 60 % provient de frais d'abonnement récurrents qui ne sont pas sensibles aux fluctuations du marché, une tranche de 15 % à 25 % provient de la vente de logiciels et de services professionnels connexes pouvant être variables selon leur calendrier, une tranche de 15 % à 25 % est attribuable aux services de maintenance postérieurs au contrat et une tranche de moins de 5 % provient de produits gagnés sur transactions sensibles aux variations de la conjoncture des marchés. Depuis le 1er janvier 2014, cette catégorie comprend également les produits et services technologiques qui soutiennent les secteurs de la location, du crédit commercial et des prêts aux petites entreprises, lesquels étaient auparavant présentés dans le secteur canadien.
Les produits tirés des solutions de prêts dans le secteur américain se sont établis à 61,7 millions de dollars pour le deuxième trimestre de 2014, soit une progression de 39,4 millions de dollars, ou de 176,0 %, par rapport aux produits de 22,4 millions de dollars pour le trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les produits se sont établis à 122,2 millions de dollars, en hausse de 80,3 millions de dollars, ou de 191,7 %, en regard de ceux de la période correspondante de 2013. Les produits de 2014 ont profité principalement de la prise en compte des résultats de HFS et ont été touchés par les ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition liés à la juste valeur des produits différés acquis dans le cadre de l'acquisition de HFS. Les produits ajustés de 67,3 millions de dollars, lesquels ne rendent pas compte de l'incidence de la comptabilisation selon la méthode de l'acquisition, se sont accrus de 44,9 millions de dollars par rapport aux produits du trimestre correspondant de 2013, en raison de la prise en compte des résultats de HFS. Pour le premier semestre de 2014, les produits ajustés se sont établis à 136,0 millions de dollars, en hausse de 94,1 millions de dollars sur douze mois.
Solutions aux entreprises
Les solutions aux entreprises sont principalement constituées de produits tirés de systèmes de traitement de base, y compris des solutions de gestion du contenu, de comptabilité financière et de paiement, et d'un certain nombre de solutions de modes de prestation innovatrices liées au libre-service, aux renseignements d'affaires, aux solutions d'automatisation des succursales et aux offres de solutions d'infrastructures technologiques fondées sur l'infonuagique.
Les produits tirés des solutions aux entreprises aux États-Unis se sont chiffrés à 55,4 millions de dollars au deuxième trimestre de 2014, soit une augmentation de 50,5 millions de dollars par rapport à ceux du trimestre correspondant de 2013. Pour le semestre clos le 30 juin 2014, les produits se sont élevés à 111,2 millions de dollars, en hausse de 102,8 millions de dollars en regard de ceux de la période correspondante de 2013. Les produits comptabilisés conformément aux IFRS pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2014 ont profité de l'acquisition de HFS.
Les produits ajustés, calculés déduction faite de l'incidence des ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition liés à la juste valeur des produits différés, se sont chiffrés à 56,1 millions de dollars pour le deuxième trimestre de 2014, en hausse de 51,2 millions de dollars. Pour le premier semestre de 2014, les produits ajustés se sont établis à 113,0 millions de dollars, en hausse de 104,6 millions de dollars. Les produits ajustés ont augmenté comparativement à ceux de l'exercice précédent en raison de la prise en compte de HFS.
CHARGES
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Trimestres clos les 30 juin | |||||||||||||||||||||||||
Secteur canadien | Secteur américain | Siège social | Résultats consolidés | ||||||||||||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | ||||||||||||||||||
Rémunération et avantages du personnel1)4) |
38 528 | $ | 38 958 | $ | 48 672 | $ | 10 663 | $ | 729 | $ | 2 417 | $ | 87 929 | $ | 52 038 | $ | |||||||||
Charges directes autres que de rémunération2) |
67 376 | 65 509 | 8 596 | 619 | - | - | 75 972 | 66 128 | |||||||||||||||||
Autres charges d'exploitation3),4) | 14 060 | 18 265 | 19 144 | 4 773 | 1 044 | 3 347 | 34 248 | 26 385 | |||||||||||||||||
Total des charges | 119 964 | $ | 122 732 | $ | 76 412 | $ | 16 055 | $ | 1 773 | $ | 5 764 | $ | 198 149 | $ | 144 551 | $ | |||||||||
Semestres clos les 30 juin | |||||||||||||||||||||||||
Secteur canadien | Secteur américain | Siège social | Résultats consolidés | ||||||||||||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | 2014 | 2013 | ||||||||||||||||||
Rémunération et avantages du personnel1)4) |
81 282 | $ | 79 287 | $ | 96 989 | $ | 19 557 | $ | 1 717 | $ | 3 309 | $ | 179 988 | $ | 102 153 | $ | |||||||||
Charges directes autres que de rémunération2) |
126 603 | 122 978 | 17 551 | 1 192 | - | - | 144 154 | 124 170 | |||||||||||||||||
Autres charges d'exploitation3),4) | 28 251 | 35 357 | 39 501 | 9 052 | 3 546 | 3 483 | 71 298 | 47 892 | |||||||||||||||||
Total des charges | 236 136 | $ | 237 622 | $ | 154 041 | $ | 29 801 | $ | 5 263 | $ | 6 792 | $ | 395 440 | $ | 274 215 | $ |
1) | Sur une base consolidée, les crédits d'impôt pour apprentissage et les montants inscrits à l'actif en lien avec la mise au point de logiciels sont déduits des charges au titre de la rémunération et des avantages du personnel, qui incluent les coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs relativement à des acquisitions d'entreprises et les charges de rémunération fondée sur des actions. |
2) | Les charges directes autres que de rémunération comprennent le coût des matières, de même que les frais de livraison et de vente, les redevances et les débours directs en faveur de tiers. |
3) | Les autres charges d'exploitation comprennent les frais d'occupation et frais liés aux communications, les honoraires, les coûts de transaction liés aux acquisitions d'entreprises et les charges qui ne sont pas incluses dans d'autres catégories. Les autres charges d'exploitation du secteur canadien sont présentées déduction faite des frais de gestion facturés par celui-ci au secteur américain. |
4) | Les charges salariales pour les entrepreneurs sont désormais incluses dans le poste « Rémunération et avantages du personnel », alors qu'aux périodes antérieures elles étaient incluses dans les autres charges d'exploitation. Les chiffres des périodes antérieures ont été ajustés afin d'être conformes à la présentation adoptée pour la période considérée. Pour le deuxième trimestre de 2013, ces coûts s'étaient élevés à 2,5 millions de dollars pour le secteur canadien et à 0,4 million de dollars pour le secteur américain. Pour le premier semestre de 2013, ces coûts s'étaient élevés à 5,4 millions de dollars pour le secteur canadien et à 0,6 million de dollars pour le secteur américain. |
Charges - résultats consolidés
Les charges consolidées de 198,2 millions de dollars pour le deuxième trimestre de 2014 ont augmenté de 53,6 millions de dollars, ou de 37,1 %, par rapport à celles du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les charges consolidées se sont chiffrées à 395,4 millions de dollars, en hausse de 121,2 millions de dollars, ou de 44,2 %, en regard de celles de la période correspondante de 2013. La hausse est principalement attribuable à la prise en compte des charges de HFS. Les charges consolidées comprennent également les coûts liés aux acquisitions et autres charges de 1,8 million de dollars et de 5,3 millions de dollars pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2014, respectivement, lesquels ne sont pas réputés faire partie du cours normal des activités et sont comptabilisés au titre du siège social. Des coûts liés aux acquisitions et autres charges de 5,8 millions de dollars et de 6,8 millions de dollars avaient été enregistrés pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2013, respectivement.
Charges - secteur canadien
Les charges du secteur canadien pour le deuxième trimestre ont totalisé 120,0 millions de dollars, en baisse de 2,8 millions de dollars, ou de 2,3 %, par rapport à celles du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les charges se sont établies à 236,1 millions de dollars, en baisse de 1,5 million de dollars, ou de 0,6 %. Les baisses des charges totales sont principalement attribuables à la hausse des frais de gestion facturés, analysés ci-après.
Pour le deuxième trimestre de 2014, les charges au titre de la rémunération et des avantages du personnel se sont élevées à 38,5 millions de dollars dans le secteur canadien, en baisse de 0,4 million de dollars, ou de 1,1 %, en regard de celles du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, ces charges ont augmenté sur douze mois de 2,0 millions de dollars, ou de 2,5 %, pour atteindre 81,3 millions de dollars. Le fléchissement des charges au deuxième trimestre est attribuable à la diminution de la rémunération fondée sur des actions, laquelle rend compte de la réévaluation du passif connexe. Cette diminution a été en partie contrebalancée par la hausse des salaires imputable au taux d'inflation. La hausse des charges au premier semestre de 2014 est imputable aux plus importantes indemnités de départ dans le cours normal des activités et à une augmentation de la charge de rémunération fondée sur des actions en raison de la hausse du cours de l'action. Les augmentations en 2014 ont été compensées par les avantages tirés d'initiatives de réduction de coûts mises en œuvre au cours des périodes antérieures.
Les charges directes autres que de rémunération du secteur canadien ont été de 67,4 millions de dollars au deuxième trimestre de 2014, soit une augmentation de 1,9 million de dollars, ou de 2,8 %, en regard de celles du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les charges directes autres que de rémunération se sont chiffrées à 126,6 millions de dollars, en hausse de 3,6 millions de dollars, ou de 2,9 %, en regard de celles de la période correspondante de 2013. De façon générale, ces charges fluctuent dans le même sens que les produits. Cette augmentation des charges directes autres que de rémunération au deuxième trimestre et au premier semestre de 2014 rend compte de la hausse des volumes de services de protection avec abonnement dans le secteur des solutions de paiement et d'une augmentation des charges directes liées aux solutions de traitement de prêts qui concorde avec la hausse des produits. L'augmentation observée au deuxième trimestre de 2014 a été en partie contrebalancée par la réduction des coûts du fait de la contraction des volumes de commandes de chèques au sein de nos activités de solutions de paiement.
Les autres charges d'exploitation de 14,1 millions de dollars au deuxième trimestre de 2014 ont diminué de 4,2 millions de dollars, ou de 23,0 %, par rapport à celles du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les autres charges d'exploitation de 28,3 millions de dollars ont diminué de 7,1 millions de dollars, ou de 20,1 %, par rapport à celles de la période correspondante de 2013. Pour les deux périodes, la diminution est essentiellement attribuable à la hausse des frais de gestion facturés par le secteur canadien au secteur américain depuis l'acquisition de HFS, à la diminution des frais de conseil et aux avantages qu'ont procurés les initiatives de réduction de coûts mises en œuvre au cours des périodes antérieures.
Les frais de gestion facturés au secteur américain se sont chiffrés à 3,0 millions de dollars au deuxième trimestre de 2014 et à 6,0 millions de dollars au premier semestre de 2014, contre 1,0 million de dollars et 2,0 millions de dollars au deuxième trimestre et au premier semestre de 2013, respectivement. Le total des frais de gestion pour 2014 devrait s'établir à 12,0 millions de dollars, contre 6,9 millions de dollars pour 2013, du fait de l'accroissement des activités américaines.
Charges - secteur américain
Le total des charges du secteur américain s'est élevé à 76,4 millions de dollars pour le deuxième trimestre de 2014, en hausse de 60,4 millions de dollars, ou de 375,9 %, par rapport à celui du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, le total des charges du secteur américain s'est établi à 154,0 millions de dollars, en hausse de 124,2 millions de dollars, ou de 416,9 %, en regard de celles de la période correspondante de l'exercice précédent. L'augmentation du total des charges pour les périodes de 2014 est principalement attribuable à la prise en compte des résultats de HFS.
Les charges au titre de la rémunération et des avantages du personnel se sont élevées à 48,7 millions de dollars au deuxième trimestre, en hausse de 38,0 millions de dollars comparativement à celles de la période correspondante de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les charges se sont élevées à 97,0 millions de dollars, en hausse de 77,4 millions de dollars en regard de celles de la période correspondante de 2013. Pour le deuxième trimestre de 2014, les charges directes autres que de rémunération du secteur américain se sont chiffrées à 8,6 millions de dollars, en hausse de 8,0 millions de dollars comparativement à celles de la période correspondante de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les charges se sont établies à 17,6 millions de dollars, en hausse de 16,4 millions de dollars en regard de celles de la période correspondante de 2013. Les autres charges d'exploitation de 19,1 millions de dollars au deuxième trimestre de 2014 ont augmenté de 14,4 millions de dollars par rapport à celles du trimestre correspondant de 2013. Pour le semestre clos le 30 juin 2014, les autres charges d'exploitation, de 39,5 millions de dollars, ont augmenté de 30,4 millions de dollars, par rapport à celles de la période correspondante de 2013.
Comme il est indiqué plus haut, ces hausses ont principalement trait à la prise en compte des charges de HFS. Les charges au titre de la rémunération et des avantages du personnel ont également profité des synergies de coûts réalisées entre nos autres activités en mode SaaS et HFS. Les autres charges d'exploitation comprennent également des frais de gestion, décrits en détail plus haut, soit les frais liés aux services généraux facturés au secteur américain par le secteur canadien.
Charges - secteur siège social
Rémunération et avantages du personnel
Les charges au titre de la rémunération et des avantages du personnel comptabilisées pour le siège social pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2014 sont principalement constituées de coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs associés aux acquisitions. Pour le deuxième trimestre de 2013, ces charges s'étaient composés des coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs associés aux acquisitions. Pour le premier semestre de 2013, ces charges comprenaient également des indemnités de départ liées aux initiatives de réharmonisation de la structure de coûts.
Autres charges
Les autres charges pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2014 sont principalement constituées de coûts d'intégration des entreprises engagés dans le cadre de l'acquisition de HFS. Les autres charges au deuxième trimestre de 2013 avaient trait essentiellement aux coûts de transaction liés à des initiatives d'acquisition stratégiques. Les autres charges en 2013 incluaient aussi les coûts de transaction liés à l'acquisition de Compushare, ainsi que les coûts liés à l'intégration des entreprises.
BAIIA ET MARGE DU BAIIA
Le BAIIA consolidé pour le deuxième trimestre de 2014 s'est élevé à 87,8 millions de dollars, en hausse de 35,2 millions de dollars, ou de 67,0 %, par rapport à celui de 52,6 millions de dollars pour le trimestre correspondant de 2013. Au deuxième trimestre de 2014, la marge du BAIIA s'est chiffrée à 30,7 %, en hausse par rapport à 26,7 % pour la période correspondante de 2013. Pour le premier semestre de 2014, le BAIIA consolidé s'est chiffré à 156,8 millions de dollars, en hausse de 62,2 millions de dollars, ou de 65,8 %, en regard de celui de 94,6 millions de dollars à la période correspondante de 2013. Pour le premier semestre de 2014, la marge du BAIIA consolidé s'est chiffrée à 28,4 %, en hausse par rapport à celle de 25,6 % pour la période correspondante de 2013.
Secteur canadien
Le BAIIA du secteur canadien pour le deuxième trimestre de 2014 s'est chiffré à 48,8 millions de dollars, soit une hausse de 1,7 million de dollars, ou de 3,6 %, par rapport à celui du trimestre correspondant de 2013. La marge du BAIIA du secteur canadien pour le deuxième trimestre de 2014 s'est établie à 28,9 %, comparativement à 27,7 % pour la période correspondante de 2013. Pour le premier semestre de 2014, le BAIIA du secteur canadien s'est chiffré à 82,7 millions de dollars, soit une hausse de 1,9 million de dollars, ou de 2,3 %, par rapport à celui de la période correspondante de 2013. La marge du BAIIA du secteur canadien pour le premier semestre de 2014 s'est établie à 25,9 %, comparativement à 25,4 % pour la période correspondante de 2013.
Il y a lieu de se reporter à la rubrique « BAIIA ajusté » du secteur canadien pour une analyse plus approfondie des résultats du secteur canadien.
Secteur américain
Le BAIIA du secteur américain pour le deuxième trimestre de 2014 s'est chiffré à 40,8 millions de dollars, en hausse de 29,5 millions de dollars par rapport à celui du trimestre correspondant de 2013. La marge du BAIIA s'est établie à 34,8 % au deuxième trimestre de 2014, comparativement à 41,2 % pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. Le BAIIA du secteur américain pour le premier semestre de 2014 s'est chiffré à 79,3 millions de dollars, en hausse de 58,8 millions de dollars, ou de 286,8 %. La marge du BAIIA du secteur américain pour le premier semestre de 2014 s'est établie à 34,0 %, en baisse par rapport à 40,8 % pour la période correspondante de 2013.
Il y a lieu de se reporter à la rubrique « BAIIA ajusté » du secteur américain pour une analyse plus approfondie des résultats du secteur américain.
BAIIA AJUSTÉ ET MARGE DU BAIIA AJUSTÉ
Le BAIIA ajusté consolidé pour le deuxième trimestre de 2014 s'est établi à 93,0 millions de dollars, en hausse de 34,6 millions de dollars, ou de 59,4 %, par rapport à celui du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, le BAIIA ajusté consolidé de 171,7 millions de dollars s'est accru de 70,4 millions de dollars, ou de 69,4 %, en regard de celui de la période correspondante de 2013. Compte non tenu de l'incidence de la variation du change, le BAIIA ajusté consolidé a augmenté de 53,2 % au cours du deuxième trimestre de 2014 et de 62,2 % au premier semestre de 2014. Ces hausses du BAIIA ajusté consolidé s'expliquent principalement par la prise en compte des résultats de HFS.
Le BAIIA ajusté consolidé du deuxième trimestre de 2014 a été calculé i) en déduisant un montant de 3,4 millions de dollars d'ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition liés à la juste valeur des produits différés et des charges différées inscrits à l'acquisition de HFS; et ii) en déduisant un montant de 1,8 million de dollars de coûts liés aux acquisitions et autres charges, lesquels comprennent les coûts d'intégration des entreprises découlant de l'acquisition de HFS ainsi que les coûts associés au maintien en poste et aux incitatifs.
Sur une base consolidée, la marge du BAIIA ajusté pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2014 s'est établie à 31,8 % et à 30,2 %, respectivement, comparativement à 29,6 % et à 27,5 % pour les périodes correspondantes de 2013. Les marges de 2014 ont augmenté principalement en raison de la prise en compte des résultats de HFS dans le secteur américain. Bien que HFS présente des marges inférieures à celles de nos autres services du secteur américain, elle présente une marge plus élevée que le secteur canadien.
Secteur canadien
Le BAIIA ajusté du secteur canadien est identique à son BAIIA. Le BAIIA ajusté du secteur canadien s'est établi à 48,8 millions de dollars pour le deuxième trimestre de 2014, soit une augmentation de 1,7 million de dollars, ou de 3,6 %, par rapport à celui du trimestre correspondant de 2013. Le BAIIA ajusté pour le premier semestre de 2014 s'est chiffré à 82,7 millions de dollars, une hausse de 1,9 million de dollars, ou de 2,3 %, sur douze mois. Le BAIIA ajusté pour les deux périodes a augmenté principalement en raison de l'accroissement des produits tirés des solutions de traitement de prêts et de l'augmentation des frais de gestion que facture le secteur canadien. Le BAIIA ajusté pour le deuxième trimestre de 2014 a également profité de la hausse des produits tirés du montage de prêts hypothécaires.
La marge du BAIIA ajusté du secteur canadien pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2014 s'est établie à 28,9 % et à 25,9 %, respectivement, comparativement à 27,7 % et à 25,4 % pour les périodes correspondantes de 2013. La marge du BAIIA ajusté a augmenté surtout du fait de la hausse des frais de gestion facturés au secteur américain, de la diminution des frais de services-conseils et des avantages qu'ont procurés les initiatives de réduction de coûts mises en œuvre au cours des périodes antérieures.
Secteur américain
Le BAIIA ajusté du secteur américain pour le deuxième trimestre de 2014 s'est élevé à 44,2 millions de dollars, en hausse de 32,9 millions de dollars, ou de 293,2 %, par rapport à celui du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, le BAIIA ajusté du secteur américain de 89,0 millions de dollars a augmenté de 68,5 millions de dollars, ou de 333,9 %, par rapport à celui de la période correspondante de 2013. L'accroissement du BAIIA ajusté du secteur américain est principalement en raison de la prise en compte de HFS et, dans une moindre mesure, des synergies de coûts réalisées entre nos autres services en mode SaaS et HFS. La vigueur du dollar américain au deuxième trimestre et au premier semestre de 2014, comparativement aux périodes correspondantes de 2013, a entraîné un accroissement du BAIIA ajusté du secteur américain de 3,6 millions de dollars et de 7,3 millions de dollars, respectivement. Compte non tenu de cette incidence du change, le BAIIA ajusté au deuxième trimestre et au premier semestre de 2014 a augmenté de 260,0 % et de 298,0 %, respectivement.
Le BAIIA ajusté du secteur américain pour le deuxième trimestre de 2014 ne tient pas compte de l'incidence du montant de 3,4 millions de dollars au titre des ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition liés à la juste valeur des produits différés et des charges différées inscrits à l'acquisition de HFS par D+H, conformément aux IFRS. Ces ajustements étaient composés d'ajustements liés à la juste valeur des produits différés de 6,2 millions de dollars et d'ajustements liés à la juste valeur des charges différées de 2,8 millions de dollars.
La marge du BAIIA ajusté du secteur américain pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2014 s'est établie respectivement à 35,8 % et à 35,7%, comparativement à 41,2 % et à 40,8 % pour les périodes correspondantes de 2013. La variation pour les deux périodes rend compte du fait que les marges de HFS sont inférieures à celles qu'ont dégagées nos services en mode SaaS, qui composaient la majeure partie de notre secteur américain pour les périodes correspondantes de 2013.
AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS CORPORELLES ET DES IMMOBILISATIONS INCORPORELLES NON LIÉES À DES ACQUISITIONS
L'amortissement consolidé des immobilisations corporelles et des immobilisations incorporelles non liées à des acquisitions s'est chiffré à 10,6 millions de dollars pour le deuxième trimestre de 2014, en hausse de 3,9 millions de dollars, ou de 59,2 %, par rapport à celui du trimestre correspondant de 2013. Pour le premier semestre de 2014, l'amortissement des immobilisations corporelles et des immobilisations incorporelles s'est établi à 20,1 millions de dollars, en hausse de 6,9 millions de dollars, ou de 52,2 %, en regard de celui de la période correspondante de 2013. La hausse de l'amortissement en 2014 s'explique surtout par la prise en compte de HFS.
AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS INCORPORELLES PROVENANT DES ACQUISITIONS
L'amortissement consolidé des immobilisations incorporelles provenant des acquisitions pour le deuxième trimestre de 2014 s'est chiffré à 28,3 millions de dollars, soit une augmentation de 17,3 millions de dollars en regard de celui du même trimestre de 2013. Pour le semestre clos le 30 juin 2014, l'amortissement s'est établi à 56,9 millions de dollars, en hausse de 34,9 millions de dollars, ou de 159,0 %, en regard de celui de la période correspondante de 2013. Ces augmentations sont surtout attribuables à l'amortissement des immobilisations incorporelles découlant de l'acquisition de HFS.
PROFIT DÉCOULANT DE LA VENTE D'ACTIFS
Au cours du deuxième trimestre de 2014, D+H a vendu certains actifs non stratégiques et a comptabilisé un profit de 1,0 million de dollars.
BÉNÉFICE DÉCOULANT DES ACTIVITÉS D'EXPLOITATION
Le bénéfice consolidé découlant des activités d'exploitation s'est chiffré à 48,9 millions de dollars pour le deuxième trimestre de 2014, en hausse de 14,0 millions de dollars, ou de 40,2 %, en regard de celui de 34,9 millions de dollars inscrit pour le trimestre correspondant de 2013. Pour le semestre clos le 30 juin 2014, le bénéfice découlant des activités d'exploitation s'est chiffré à 79,8 millions de dollars, en hausse de 20,4 millions de dollars, ou de 34,4 %, en regard de celui de 59,4 millions de dollars inscrit pour la période correspondante de 2013. Ces hausses rendent compte de l'augmentation du BAIIA décrite plus haut. Le bénéfice découlant des activités d'exploitation a également subi l'incidence de l'augmentation de l'amortissement des immobilisations corporelles et des immobilisations incorporelles découlant principalement de l'inclusion de HFS.
CHARGES D'INTÉRÊTS
Les charges d'intérêts de 15,0 millions de dollars au deuxième trimestre de 2014 ont crû de 10,5 millions de dollars par rapport à celles du trimestre correspondant de 2013. Cette hausse rend compte du financement par emprunts supplémentaire au moyen de la facilité de crédit présentant un plus grand écart de crédit et des obligations et débentures émises pour financer en partie l'acquisition de HFS en août 2013. Les charges d'intérêts pour le deuxième trimestre de 2014 comprennent également des charges d'intérêts hors trésorerie de 1,4 million de dollars composées de la charge de désactualisation de 0,9 million de dollars liée aux débentures et d'un montant de 0,5 million de dollars ayant trait à l'amortissement des charges financières différées engagées dans le cadre des ententes de financement de la Société. Pour le premier semestre de 2014, les charges d'intérêts de 30,3 millions de dollars ont augmenté de 21,3 millions de dollars en regard de celles de la période correspondante de 2013 pour les raisons susmentionnées.
AJUSTEMENTS DE LA JUSTE VALEUR DES INSTRUMENTS DÉRIVÉS
Un profit latent de 0,3 million de dollars lié aux variations de la juste valeur des instruments dérivés a été comptabilisé au deuxième trimestre de 2014, contre un profit latent de 1,2 million de dollars pour le deuxième trimestre de 2013. Pour le premier semestre de 2014, le profit latent s'est chiffré à 0,5 million de dollars, contre 1,3 million de dollars pour la période correspondante de 2013. Cet écart a trait à nos swaps de taux d'intérêt qui ne sont pas désignés à titre de couvertures aux fins de la comptabilité.
Pour les swaps de taux d'intérêt qui ne sont pas désignés comme couvertures aux fins de la comptabilité, ces profits et pertes latents sont comptabilisés dans les états consolidés du résultat net. En règle générale, une perte sur les swaps de taux d'intérêt est comptabilisée lorsque les taux d'intérêt diminuent par rapport à certaines périodes précédentes et un profit est comptabilisé lorsque les taux d'intérêt augmentent. Si la Société ne met pas fin à ses swaps de taux d'intérêt, les montants latents représenteront un profit latent ou une perte latente hors trésorerie, qui seront repris ultérieurement dans les états consolidés du résultat net lorsque les swaps connexes arriveront à échéance. Par le passé, D+H a détenu ses contrats relatifs à des instruments dérivés jusqu'à leur échéance. La Société paie des intérêts à taux fixe sur l'ensemble de ses swaps de taux d'intérêt.
CHARGE D'IMPÔT SUR LE RÉSULTAT
Une charge d'impôt sur le résultat de 5,2 millions de dollars a été comptabilisée au deuxième trimestre de 2014, comparativement à une charge d'impôt sur le résultat de 9,2 millions de dollars pour le trimestre correspondant de 2013. La charge d'impôt sur le résultat pour le premier semestre de 2014 s'est élevée à 8,3 millions de dollars, contre 14,6 millions de dollars pour la période correspondante de 2013. La diminution de la charge d'impôt sur le résultat pour les deux périodes à l'étude a découlé principalement de la répartition géographique du bénéfice découlant des activités poursuivies ainsi que de l'augmentation de l'amortissement des immobilisations incorporelles découlant des acquisitions.
BÉNÉFICE DÉCOULANT DES ACTIVITÉS POURSUIVIES
Le bénéfice découlant des activités poursuivies pour le deuxième trimestre de 2014 s'est chiffré à 29,9 millions de dollars, en hausse de 7,5 millions de dollars, ou de 33,4 %, par rapport à celui de 22,4 millions de dollars pour la période correspondante de 2013. Le bénéfice découlant des activités poursuivies rend compte de la hausse du BAIIA de 35,2 millions de dollars à la suite de l'acquisition de HFS, contrebalancée en partie par la hausse de 17,3 millions de dollars de la dotation aux amortissements relative aux immobilisations incorporelles provenant des acquisitions et par la hausse de 10,5 millions de dollars des charges d'intérêts sur la dette contractée pour financer l'acquisition de HFS. Pour le premier semestre de 2014, le bénéfice découlant des activités poursuivies s'est chiffré à 42,7 millions de dollars, en hausse de 10,0 %, par rapport à celui de 38,8 millions de dollars pour la période correspondante de 2013. La hausse du bénéfice découlant des activités poursuivies pour le premier semestre de 2014 est attribuable aux facteurs décrits plus haut.
BÉNÉFICE NET
Le bénéfice net consolidé de 29,9 millions de dollars pour le deuxième trimestre de 2014 a connu une hausse de 16,3 millions de dollars comparativement au bénéfice net consolidé de 13,6 millions de dollars enregistré au trimestre correspondant de 2013. Le bénéfice net au deuxième trimestre de 2014 a profité d'une hausse du BAIIA de 35,2 millions de dollars découlant de l'acquisition de HFS, qui a été contrebalancée en partie par la hausse de la dotation aux amortissements de 17,3 millions de dollars imputable aux immobilisations incorporelles provenant des acquisitions et la hausse des charges d'intérêts de 10,5 millions de dollars sur la dette contractée aux fins du financement de l'acquisition de HFS. Le bénéfice net pour la période correspondante de 2013 s'est ressenti défavorablement de la perte découlant des activités abandonnées de 8,8 millions de dollars.
Pour le premier semestre de 2014, le bénéfice net consolidé de 41,9 millions de dollars a connu une hausse de 22,5 millions de dollars, ou de 116,5 %, comparativement au bénéfice net consolidé de 19,4 millions de dollars enregistré à la période correspondante de 2013. Le bénéfice pour le premier semestre de 2014 a augmenté en raison des facteurs décrits plus haut.
BÉNÉFICE NET PAR ACTION
Bénéfice net par action, de base
Le bénéfice net par action de base consolidé pour le deuxième trimestre de 2014 a augmenté, passant de 0,2298 $ au trimestre correspondant de 2013 à 0,3697 $ en raison de l'apport de l'acquisition, et ce, en dépit du fait que des actions ordinaires supplémentaires ont été émises au mois d'août 2013 dans le cadre de l'acquisition de HFS. Pour le semestre clos le 30 juin 2014, le bénéfice net par action de base s'est chiffré à 0,5186 $, en hausse par rapport à celui de 0,3267 $ pour la période correspondante de 2013, principalement en raison de l'acquisition de HFS.
Bénéfice net par action, dilué
Au deuxième trimestre de 2014, la prise en compte des éventuelles actions supplémentaires liées aux options sur actions a eu un effet dilutif sur le bénéfice net alors que les éventuelles actions supplémentaires liées aux débentures ont eu un effet antidilutif sur le bénéfice net. Le bénéfice net par action dilué pour le deuxième trimestre de 2014 s'est chiffré à 0,3687 $ par action, contre un bénéfice net par action de 0,2298 $ pour la période correspondante de 2013. Pour le premier semestre, le bénéfice net par action dilué s'est chiffré à 0,5173 $, contre 0,3267 $ pour la période correspondante de 2013. Les montants par action sur une base diluée ont également subi l'incidence des actions ordinaires additionnelles émises au mois d'août 2013 pour financer l'acquisition de HFS.
BÉNÉFICE NET AJUSTÉ ET BÉNÉFICE NET AJUSTÉ PAR ACTION
Le bénéfice net ajusté consolidé s'est établi à 51,5 millions de dollars pour le deuxième trimestre de 2014 (0,6369 $ par action), en hausse de 17,3 millions de dollars, soit 50,4 %, en regard de celui de 34,2 millions de dollars (0,5774 $ par action) pour la période correspondante de 2013. Le bénéfice net ajusté consolidé s'est établi à 90,3 millions de dollars (1,1177 $ par action) pour le premier semestre de 2014, en hausse de 33,0 millions de dollars, ou de 57,5 %, en regard de celui de 57,3 millions de dollars (0,9675 $ par action) pour la période correspondante de 2013. Ces augmentations sont principalement attribuables à la hausse du BAIIA ajusté découlant de l'inclusion des résultats de HFS, compensée en partie par l'augmentation des amortissements des immobilisations corporelles et des immobilisations incorporelles non liées à des acquisitions et la hausse des charges d'intérêts sur la dette contractée pour financer l'acquisition de HFS. Le bénéfice net ajusté par action en 2014 a également été touché par les actions supplémentaires émises au mois d'août 2013 pour financer l'acquisition de HFS.
FLUX DE TRÉSORERIE CONSOLIDÉS, LIQUIDITÉS ET RESSOURCES EN CAPITAL
Les données du tableau suivant sont tirées des tableaux consolidés des flux de trésorerie, et elles doivent être lues à la lumière de celui-ci. La direction est d'avis que ce supplément d'informations fournit des renseignements supplémentaires utiles sur les flux de trésorerie de la Société, les remboursements sur la dette et les autres activités d'investissement.
Sommaire consolidé des flux de trésorerie
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Trimestres clos les 30 juin | Semestres clos les 30 juin | ||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | ||||||||||
Trésorerie et équivalents de trésorerie liés aux activités suivantes : | |||||||||||||
ACTIVITÉS D'EXPLOITATION | |||||||||||||
Bénéfice découlant des activités poursuivies | 29 869 | $ | 22 395 | $ | 42 733 | $ | 38 832 | $ | |||||
Amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles | 38 919 | 17 717 | 76 957 | 35 150 | |||||||||
Ajustements de la juste valeur des instruments dérivés | (284) | (1 203) | (488) | (1 310) | |||||||||
Charges d'intérêts, y compris l'amortissement des frais de financement différés et la désactualisation |
15 048 | 4 516 | 30 297 | 8 987 | |||||||||
Charges hors trésorerie liées à l'impôt et aux options | 5 058 | 9 200 | 8 149 | 14 791 | |||||||||
Bénéfice découlant de la participation dans une entreprise associée, après impôt |
- | - | - | (130) | |||||||||
Profit découlant de la réévaluation d'une participation détenue antérieurement |
- | - | - | (1 587) | |||||||||
Profit découlant de la vente d'actifs | (984) | - | (984) | - | |||||||||
Augmentation des éléments du fonds de roulement hors trésorerie et d'autres éléments |
(20 563) | (6 618) | (24 191) | (24 705) | |||||||||
Entrées de trésorerie liées aux activités d'exploitation | 67 063 | 46 007 | 132 473 | 70 028 | |||||||||
Intérêts payés | (10 716) | (4 175) | (29 973) | (8 218) | |||||||||
Impôt payé | (17 621) | (779) | (37 455) | (2 123) | |||||||||
Entrées nettes de trésorerie liées aux activités d'exploitation | 38 726 | 41 053 | 65 045 | 59 687 | |||||||||
ACTIVITÉS DE FINANCEMENT | |||||||||||||
Variation nette de la dette à long terme | (5 000) | (20 481) | (10 000) | 5 568 | |||||||||
Produit de l'exercice d'options sur actions | 1 907 | - | 1 907 | - | |||||||||
Dividendes payés | (25 864) | (18 955) | (51 701) | (37 910) | |||||||||
Entrées nettes de trésorerie liées aux activités de financement | (28 957) | (39 436) | (59 794) | (32 342) | |||||||||
ACTIVITÉS D'INVESTISSEMENT | |||||||||||||
Dépenses d'investissement | (13 293) | (6 635) | (24 686) | (12 921) | |||||||||
Acquisition de filiales | - | (456) | - | (24 849) | |||||||||
Produit de la vente d'actifs | 1 219 | - | 1 219 | - | |||||||||
Vente d'activités abandonnées | - | 8 500 | - | 8 500 | |||||||||
Entrées (sorties) nettes de trésorerie liées aux activités d'investissement |
(12 074) | 1 409 | (23 467) | (29 270) | |||||||||
Augmentation (diminution) de la trésorerie et des équivalents de trésorerie pour la période |
(2 305) | 3 026 | (18 216) | (1 925) | |||||||||
Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture de la période | 16 487 | 768 | 32 398 | 5 719 | |||||||||
Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture de la période | 14 182 | $ | 3 794 | $ | 14 182 | $ | 3 794 | $ |
Au 30 juin 2014, la trésorerie et les équivalents de trésorerie totalisaient 14,2 millions de dollars, contre 32,4 millions de dollars au 31 décembre 2013.
Activités d'exploitation
Les activités d'exploitation ont généré 38,7 millions de dollars au cours du trimestre clos le 30 juin 2014, comparativement aux 41,1 millions de dollars générés au cours de la même période en 2013. Les entrées nettes de trésorerie liées aux activités d'exploitation ont baissé sur douze mois principalement en raison des acomptes provisionnels qui ont débuté en 2014, de la hausse des versements d'intérêts en raison de l'acquisition de HFS et des variations du fonds de roulement hors trésorerie et d'autres éléments, comme il est décrit plus amplement ci-après. La baisse des entrées nettes de trésorerie liées aux activités d'exploitation au deuxième trimestre de 2014 a été en partie contrebalancée par la hausse du BAIIA. Pour le premier semestre de 2014, les activités d'exploitation ont généré 65,0 millions de dollars, contre 59,7 millions de dollars pour la période correspondante de 2013. Les entrées nettes de trésorerie liées aux activités d'exploitation pour le premier semestre de 2014 rendent compte des facteurs expliquant la variation pour le trimestre. En revanche, la hausse des entrées nettes de trésorerie liées aux activités d'exploitation pour le premier semestre de 2014 s'explique principalement par l'incidence moindre du fonds de roulement hors trésorerie et d'autres éléments.
Variations des éléments du fonds de roulement hors trésorerie et d'autres éléments
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Trimestres clos les 30 juin | Semestres clos les 30 juin | ||||||||||||
2014 | 2013 | 2014 | 2013 | ||||||||||
Variation des éléments du fonds de roulement hors trésorerie | (14 926) | $ | 5 | $ | (9 954) | $ | (15 143) | $ | |||||
Variation des autres actifs et passifs d'exploitation | (5 637) | (1 355) | (13 419) | 437 | |||||||||
Sorties de trésorerie liées aux activités abandonnées | - | (5 268) | (818) | (9 999) | |||||||||
Augmentation des éléments du fonds de roulement hors trésorerie et d'autres éléments |
(20 563) | $ | (6 618) | $ | (24 191) | $ | (24 705) | $ |
La variation des éléments du fonds de roulement hors trésorerie pour le deuxième trimestre de 2014 est principalement attribuable à une augmentation des débiteurs, qui rend compte de la comptabilisation de certains paiements incitatifs au sein de nos activités de prêts aux étudiants et du calendrier des encaissements au sein de HFS. L'augmentation nette s'explique également par l'accroissement des remboursements anticipés. La variation pour le premier semestre de 2014 rend compte également de l'augmentation des produits différés courants se rapport à HFS, contrebalancée en partie par une diminution des charges à payer et autres passifs, en raison surtout des paiements de rémunération différée à court terme.
La variation des autres actifs et passifs d'exploitation pour le deuxième trimestre et le premier semestre de 2014 a trait principalement à la hausse des débiteurs non courants attribuable à la croissance des activités de HFS.
Activités de financement
Les sorties nettes de trésorerie liées aux activités de financement se sont chiffrées à 29,0 millions de dollars au cours du deuxième trimestre de 2014, comparativement à 39,4 millions de dollars pour la même période de 2013. Pour le premier semestre de 2014, les sorties nettes de trésorerie liées aux activités de financement se sont chiffrées à 59,8 millions de dollars, contre 32,3 millions de dollars pour la période correspondante de 2013. Les sorties nettes de trésorerie en 2014 sont principalement attribuables aux remboursements sur la dette et aux paiements de dividendes. D+H a effectué des remboursements nets sur la dette de 5,0 millions de dollars au cours du deuxième trimestre de 2014 et de 10,0 millions de dollars au cours du premier semestre de 2014, comparativement à des remboursements sur la dette de 20,5 millions de dollars et de 21,5 millions de dollars respectivement pour les périodes correspondantes de 2013. Le prélèvement net effectué au cours du premier semestre de 2013 comprenait un montant de 27,1 millions de dollars ayant servi à financer l'acquisition de Compushare.
Dividendes
Au cours du deuxième trimestre de 2014, D+H a versé à ses actionnaires inscrits au 30 mai 2014 un dividende d'un montant de 0,32 $ par action (25,9 millions de dollars). Au trimestre correspondant de 2013, elle avait versé un montant de 0,32 $ par action (19,0 millions de dollars) aux actionnaires. Pour le premier semestre de 2014, D+H a versé des dividendes de 0,64 $ par action (51,7 millions de dollars), contre des dividendes de 0,64 $ par action (37,9 millions de dollars) pour la période correspondante de 2013. La hausse du total des dividendes versés au deuxième trimestre de 2014 est attribuable aux actions ordinaires supplémentaires émises pour financer en partie l'acquisition de HFS au mois d'août 2013.
Activités d'investissement
Au cours du deuxième trimestre et du premier semestre de 2014, des montants nets de 12,1 millions de dollars et de 23,5 millions de dollars, respectivement, ont été affectés aux activités d'investissement sous forme de dépenses d'investissement. Le montant net pour le deuxième trimestre de 2014 rend compte également du produit de la vente de certains actifs non stratégiques, décrite plus haut.
Un montant net de 1,4 million de dollars a été tiré des activités d'investissement au cours du deuxième trimestre de 2013, en raison principalement des dépenses d'investissement et du produit de la vente d'activités de services de traitement non stratégiques. Les sorties nettes de trésorerie enregistrées au premier semestre de 2013 se sont chiffrées à 29,3 millions de dollars et tenaient également compte de l'acquisition de la participation résiduelle dans Compushare.
SOMMAIRE DES ÉTATS CONSOLIDÉS DU RÉSULTAT NET DES HUIT DERNIERS TRIMESTRES
(en milliers de dollars canadiens, sauf les montants par action, non audité)
2014 | 2013 | 2012 | ||||||||||||||||||||||||
T2 | T1 | T4 | T3 | T2 | T1 | T4 | T3 | |||||||||||||||||||
Produits | 285 955 | $ | 266 291 | $ | 259 075 | $ | 209 223 | $ | 197 134 | $ | 171 661 | $ | 172 457 | $ | 176 689 | $ | ||||||||||
Ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition1) |
6 203 | 9 457 | 13 058 | 16 107 | - | - | - | - | ||||||||||||||||||
Produits ajustés2) | 292 158 | $ | 275 748 | $ | 272 133 | $ | 225 330 | $ | 197 134 | $ | 171 661 | $ | 172 457 | $ | 176 689 | $ | ||||||||||
Produits | 285 955 | $ | 266 291 | $ | 259 075 | $ | 209 223 | $ | 197 134 | $ | 171 661 | $ | 172 457 | $ | 176 689 | $ | ||||||||||
Charges3) | 198 149 | 197 291 | 190 876 | 172 539 | 144 551 | 129 664 | 131 082 | 129 405 | ||||||||||||||||||
BAIIA2), 3) | 87 806 | 69 000 | 68 199 | 36 684 | 52 583 | 41 997 | 41 375 | 47 284 | ||||||||||||||||||
Marge du BAIIA2) | 30,7 | % | 25,9 | % | 26,3 | % | 17,5 | % | 26,7 | % | 24,5 | % | 24,0 | % | 26,8 | % | ||||||||||
Ajustements : | ||||||||||||||||||||||||||
Ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition1) |
3 404 | 6 250 | 9 217 | 15 030 | - | - | - | - | ||||||||||||||||||
Charges liées aux acquisitions et autres charges3) |
1 773 | 3 490 | 3 842 | 13 126 | 5 764 | 1 028 | 6 558 | 3 265 | ||||||||||||||||||
BAIIA ajusté2) | 92 983 | $ | 78 740 | $ | 81 258 | $ | 64 840 | $ | 58 347 | $ | 43 025 | $ | 47 933 | $ | 50 549 | $ | ||||||||||
Marge du BAIIA ajusté2) | 31,8 | % | 28,6 | % | 29,9 | % | 28,8 | % | 29,6 | % | 25,1 | % | 27,8 | % | 28,6 | % | ||||||||||
BAIIA2), 3) | 87 806 | $ | 69 000 | $ | 68 199 | $ | 36 684 | $ | 52 583 | $ | 41 997 | $ | 41 375 | $ | 47 284 | $ | ||||||||||
Amortissements des immobilisations corporelles et des immobilisations incorporelles non liées à des acquisitions |
10 599 | 9 456 | 10 937 | 7 532 | 6 657 | 6 519 | 7 568 | 6 648 | ||||||||||||||||||
Amortissement des immobilisations incorporelles découlant des acquisitions |
28 320 | 28 582 | 27 631 | 19 182 | 11 060 | 10 914 | 11 292 | 10 597 | ||||||||||||||||||
Bénéfice découlant des activités d'exploitation2) |
48 887 | 30 962 | 29 631 | 9 970 | 34 866 | 24 564 | 22 515 | 30 039 | ||||||||||||||||||
Charges d'intérêts | 15 048 | 15 249 | 15 509 | 11 251 | 4 516 | 4 471 | 4 629 | 4 943 | ||||||||||||||||||
Autres charges financières4) | - | - | - | 3 224 | - | - | - | - | ||||||||||||||||||
Perte (bénéfice) découlant de la participation dans une entreprise associée, après impôt |
- | - | - | - | - | (130) | 23 | (53) | ||||||||||||||||||
Profit découlant de la réévaluation d'une participation détenue antérieurement5) |
- | - | - | - | - | (1 587) | - | - | ||||||||||||||||||
Profit découlant de la vente d'actifs9) | (984) | - | - | - | - | - | - | - | ||||||||||||||||||
Ajustements de la juste valeur des instruments dérivés6) |
(284) | (204) | (138) | (4 759) | (1 203) | (107) | (542) | (445) | ||||||||||||||||||
Charge (recouvrement) d'impôt sur le résultat |
5 238 | 3 053 | (975) | (7 383) | 9 158 | 5 480 | 4 165 | 5 987 | ||||||||||||||||||
Bénéfice découlant des activités poursuivies |
29 869 | 12 864 | 15 235 | 7 637 | 22 395 | 16 437 | 14 240 | 19 607 | ||||||||||||||||||
Bénéfice (perte) découlant des activités abandonnées après impôt7) |
- | (846) | 2 133 | (704) | (8 786) | (10 695) | (529) | (2) | ||||||||||||||||||
Bénéfice net | 29 869 | 12 018 | 17 368 | 6 933 | 13 609 | 5 742 | 13 711 | 19 605 | ||||||||||||||||||
Ajustements : | ||||||||||||||||||||||||||
Éléments hors trésorerie : | ||||||||||||||||||||||||||
Ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition1) |
3 404 | 6 250 | 9 217 | 15 030 | - | - | - | - | ||||||||||||||||||
Charges d'intérêts hors trésorerie8) | 1 367 | 1 524 | 1 349 | 709 | - | - | - | - | ||||||||||||||||||
Autres charges financières4) | - | - | - | 3 224 | - | - | - | - | ||||||||||||||||||
Amortissement des immobilisations incorporelles provenant des acquisitions |
28 320 | 28 582 | 27 631 | 19 182 | 11 060 | 10 914 | 11 292 | 10 597 | ||||||||||||||||||
Profit découlant de la réévaluation d'une participation détenue antérieurement5) |
- | - | - | - | - | (1 587) | - | - | ||||||||||||||||||
Profit découlant de la vente d'actifs9) | (984) | - | - | - | - | - | - | - | ||||||||||||||||||
Ajustements de la juste valeur des instruments dérivés6) |
(284) | (204) | (138) | (4 759) | (1 203) | (107) | (542) | (445) | ||||||||||||||||||
Autres éléments notables : | ||||||||||||||||||||||||||
Charges liées aux acquisitions et autres charges3) |
1 773 | 3 490 | 3 842 | 13 126 | 5 764 | 1 028 | 6 558 | 3 265 | ||||||||||||||||||
Incidence fiscale des ajustements ci-dessus10) |
(12 009) | (13 688) | (15 100) | (15 715) | (3 814) | (3 578) | (5 543) | (3 962) | ||||||||||||||||||
Perte (bénéfice) découlant des activités abandonnées, après impôt7) |
- | 846 | (2 133) | 704 | 8 786 | 10 695 | 529 | 2 | ||||||||||||||||||
Incidence fiscale des acquisitions11) | - | - | - | (1 726) | - | - | - | (1 156) | ||||||||||||||||||
Bénéfice net ajusté2) | 51 456 | $ | 38 818 | $ | 42 036 | $ | 36 708 | $ | 34 202 | $ | 23 107 | $ | 26 005 | $ | 27 906 | $ | ||||||||||
Bénéfice net ajusté par action, de base2), 13) |
0,6369 | $ | 0,4808 | $ | 0,5206 | $ | 0,5245 | $ | 0,5774 | $ | 0,3901 | $ | 0,4390 | $ | 0,4711 | $ | ||||||||||
Bénéfice découlant des activités poursuivies par action12, 13) |
||||||||||||||||||||||||||
De base | 0,3697 | $ | 0,1593 | $ | 0,1887 | $ | 0,1091 | $ | 0,3781 | $ | 0,2775 | $ | 0,2404 | $ | 0,3310 | $ | ||||||||||
Dilué | 0,3687 | $ | 0,1589 | $ | 0,1883 | $ | 0,1089 | $ | 0,3781 | $ | 0,2775 | $ | 0,2404 | $ | 0,3310 | $ | ||||||||||
Bénéfice (perte) par action découlant des activités abandonnées12), 13) |
||||||||||||||||||||||||||
De base | - | $ | (0,0105) | $ | 0,0264 | $ | (0,0101) | $ | (0,1483) | $ | (0,1806) | $ | (0,0089) | $ | - | $ | ||||||||||
Dilué(e) | - | $ | (0,0105) | $ | 0,0264 | $ | (0,0100) | $ | (0,1483) | $ | (0,1806) | $ | (0,0089) | $ | - | $ | ||||||||||
Bénéfice net par action12), 13) | ||||||||||||||||||||||||||
De base | 0,3697 | $ | 0,1488 | $ | 0,2151 | $ | 0,0991 | $ | 0,2298 | $ | 0,0969 | $ | 0,2315 | $ | 0,3310 | $ | ||||||||||
Dilué | 0,3687 | $ | 0,1484 | $ | 0,2147 | $ | 0,0989 | $ | 0,2298 | $ | 0,0969 | $ | 0,2315 | $ | 0,3310 | $ |
1) | Les ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition sont constitués d'ajustements de la juste valeur des produits différés acquis et des charges différées reprises dans le cadre de l'acquisition de HFS. |
2) | Les produits ajustés, le BAIIA, la marge du BAIIA, le BAIIA ajusté, la marge du BAIIA ajusté, le bénéfice net ajusté et le bénéfice net ajusté par action sont des mesures non conformes aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Mesures financières non conformes aux IFRS » pour obtenir une définition plus détaillée de ces termes. Le bénéfice découlant des activités d'exploitation est un autre terme conforme aux IFRS. Il y a lieu de se reporter à la rubrique « Autres mesures conformes aux IFRS » pour obtenir une description détaillée de ce terme. |
3) | Pour le deuxième trimestre de 2014, les coûts liés aux acquisitions et autres charges sont principalement constitués des coûts d'intégration des entreprises liés à l'acquisition de HFS et de certains coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs liés aux récentes acquisitions. Les coûts liés aux acquisitions et autres charges pour les autres périodes comprenaient certains coûts liés au maintien en poste et aux incitatifs liés aux acquisitions, des charges engagées dans le cadre de mesures de réharmonisation de la structure de coûts et des charges liées à l'expansion de l'entreprise relatives aux projets d'acquisitions stratégiques. |
4) | À l'acquisition de HFS, la facilité de crédit actuelle a remplacé une facilité de crédit précédente conclue en 2011, donnant lieu à la radiation des frais d'émission de titres d'emprunt différés non amortis liés à la facilité de crédit précédente. |
5) | À l'acquisition de la participation résiduelle dans Compushare en janvier 2013, un profit hors trésorerie découlant de la réévaluation d'une participation détenue antérieurement a été comptabilisé aux termes des IFRS. |
6) | Le profit enregistré au troisième trimestre de 2013 est essentiellement attribuable aux variations de la juste valeur des contrats de change à terme conclus par D+H pour couvrir le risque de change lié au produit libellé en dollars américains destiné à l'acquisition de HFS. Les profits et les pertes des autres périodes comprenaient des ajustements à la valeur de marché des swaps de taux d'intérêt qui ne sont pas désignés comme couvertures aux fins de la comptabilité de couverture, dont toute variation de la juste valeur est comptabilisée aux états consolidés du résultat net. |
7) | Le bénéfice (la perte) a trait au dessaisissement par D+H de ses activités de services de traitement non stratégiques le 10 mai 2013. |
8) | Ces charges d'intérêts hors trésorerie sont liées à la désactualisation des débentures émises pour financer partiellement l'acquisition de HFS et à l'amortissement des charges financières différées engagées dans le cadre des ententes de financement de la Société. |
9) | Il s'agit du profit réalisé au deuxième trimestre de 2014 sur la vente de certains actifs non stratégiques. |
10) | L'incidence fiscale des ajustements au bénéfice net a été comptabilisée à leur taux d'impôt respectif. |
11) | Pour les troisièmes trimestres de 2013 et de 2012, les ajustements comprennent un recouvrement d'impôt hors trésorerie lié à des passifs comptabilisés au titre de l'acquisition de Mortgagebot. Pour le troisième trimestre de 2013, les ajustements comprennent également une charge d'impôt non récurrente découlant de la réévaluation de l'impôt différé de la Société afin de refléter les variations des taux d'impôt futurs aux États-Unis du fait de l'acquisition de HFS. |
12) | Les montants dilués par action rendent compte de l'incidence des options sur actions en circulation. Si le cours moyen du marché pendant la période est inférieur au prix de l'option additionné à la juste valeur de marché de l'option, les options ne sont pas prises en considération dans le calcul de l'effet dilutif au titre du bénéfice découlant des activités d'exploitation par action. Le nombre moyen pondéré d'actions en circulation sur une base diluée au cours du deuxième trimestre de 2014 s'est établi à 81 013 068 actions. |
13) | Le nombre moyen pondéré d'actions en circulation s'est élevé à 80 790 585 actions pour le deuxième trimestre de 2014. |
De manière générale, les produits trimestriels que présente D+H sont relativement stables, et ils affichent une croissance d'un exercice à l'autre. Récemment, les acquisitions et l'évolution de la conjoncture, en particulier sur les marchés de l'habitation, des prêts hypothécaires et des prêts automobiles, ont entraîné une plus grande volatilité. Les volumes de commandes de chèques personnels ont également affiché des fluctuations plus prononcées. Évalués d'un trimestre à l'autre, les produits peuvent présenter des variations saisonnières. Les produits tirés de certains services rendus par D+H peuvent également varier en fonction du calendrier des travaux effectués. Les commissions gagnées dans le cadre des services liés au montage de prêts hypothécaires et des services d'enregistrement de prêts automobiles sont habituellement plus marquées aux deuxième et troisième trimestres qu'aux premier et quatrième trimestres. L'acquisition de HFS devrait également avoir une incidence sur les fluctuations saisonnières des produits de D+H étant donné que, par le passé, HFS présentait des produits plus élevés aux deuxième et quatrième trimestres.
Les acquisitions au cours des périodes antérieures ont accru les produits et les charges, et le BAIIA a subi l'incidence des ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition liés à la juste valeur des produits différés et des charges différées ainsi que des coûts liés aux acquisitions et autres charges qui ne sont pas considérés comme faisant partie du cours normal des activités. Le BAIIA ajusté ne tient pas compte de l'effet de ces éléments, car ils ne sont pas représentatifs de la performance commerciale sous-jacente. La direction estime que, en excluant ces éléments, elle obtient une mesure reflétant davantage les résultats d'exploitation courants.
Le bénéfice net a fluctué sous l'effet de la hausse des produits et des charges découlant des acquisitions et de divers éléments hors trésorerie comme les ajustements de comptabilisation selon la méthode de l'acquisition, les ajustements de la juste valeur des instruments dérivés, l'amortissement des immobilisations incorporelles découlant des acquisitions, le profit découlant de la réévaluation de la participation dans Compushare et d'autres éléments tels que les coûts liés aux acquisitions et autres charges, les pertes découlant des activités abandonnées et les variations d'autres éléments hors trésorerie liés aux intérêts et à l'impôt.
Actions ordinaires, débentures et options sur actions
Au 30 juin 2014 et au 29 juillet 2014 :
- 80 839 510 actions ordinaires de D+H étaient émises et en circulation (80 738 373 au 31 décembre 2013). La hausse du nombre d'actions au cours du premier semestre de 2014 est attribuable à l'exercice d'options sur actions et à la conversion, par leurs détenteurs, de certaines débentures en actions ordinaires.
- Des débentures de D+H d'un principal de 229,9 millions de dollars étaient en circulation (230,0 millions de dollars au 31 décembre 2013). Ces débentures sont convertibles au gré du porteur des actions ordinaires au prix de conversion de 28,90 $ l'action ordinaire, représentant 34,6021 actions ordinaires par tranche de 1 000 $ de principal de débentures, pour un total de 7 953 915 actions.
- 1 191 168 options sur actions de D+H étaient en circulation (916 028 au 31 décembre 2013). L'exercice d'une option sur actions donne droit à une action ordinaire de la Société.
Couvertures
La Société utilise des swaps de taux d'intérêt et des contrats de change à terme en tant qu'instruments de couverture pour couvrir respectivement les risques de taux d'intérêt et de change.
Swaps de taux d'intérêt
Au 30 juin 2014, les swaps de taux d'intérêt suivants de la Société étaient en cours :
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Juste valeur des swaps de taux d'intérêt |
|||||||||||||||||
Date d'échéance | Montant notionnel | Actif | Passif | Taux d'intérêt1 | |||||||||||||
18 décembre 20142) | 25 000 | $ | - | $ | 181 | $ | 2,720 | % | |||||||||
18 mars 20152) | 25 000 | - | 310 | 2,940 | % | ||||||||||||
18 mars 20172) | 25 000 | - | 1 212 | 3,350 | % | ||||||||||||
20 mars 20172) | 20 000 | - | 978 | 3,366 | % | ||||||||||||
17 octobre 2016 (25 000 $ US)3) | 26 675 | - | 123 | 0,835 | % | ||||||||||||
17 octobre 2016 (25 000 $ US)3) | 26 675 | - | 123 | 0,835 | % | ||||||||||||
17 octobre 2016 (25 000 $ US)3) | 26 675 | - | 89 | 0,784 | % | ||||||||||||
17 octobre 2016 (25 000 $ US)3) | 26 675 | - | 105 | 0,820 | % | ||||||||||||
17 octobre 2018 (25 000 $ US)3) | 26 675 | - | 279 | 1,645 | % | ||||||||||||
228 375 | $ | - | $ | 3 400 | $ |
1) | Les taux d'intérêt présentés contrebalancent les taux fondés sur les acceptations bancaires et le TIOL et les taux préférentiels en vigueur au moyen de swaps à paiements fixes. Les écarts pourraient augmenter ou diminuer en fonction du niveau d'endettement de la Société par rapport à certains niveaux établis dans la convention de facilités de crédit. Sur la base du niveau d'endettement au 30 juin 2014, la dette bancaire à long terme de la Société sera assujettie à des taux s'établissant au taux des acceptations bancaires/TIOL en vigueur majoré de 2,25 % ainsi qu'à des taux s'établissant au taux préférentiel majoré de 1,25 %. |
2) | Contrats qui ne sont pas désignés comme couvertures aux fins de la comptabilité de couverture. Les variations de la juste valeur de ces swaps ont une incidence sur les états consolidés du résultat net. |
3) | Contrats désignés comme couvertures aux fins de la comptabilité de couverture. Les variations de la juste valeur de ces swaps ont une incidence sur les autres éléments du résultat global. |
Au 30 juin 2014, la Société aurait dû payer 3,4 millions de dollars si elle avait dénoué tous ses swaps de taux d'intérêt présentés dans les états consolidés de la situation financière. La direction n'a pas l'intention de liquider ces contrats pour le moment. D'ordinaire, la Société détient ses contrats relatifs à des instruments dérivés jusqu'à leur échéance.
En ce qui a trait aux contrats de swaps de taux d'intérêt conclus avec les prêteurs de la Société, au 30 juin 2014, les taux d'intérêt applicables à 47,0 % de l'encours de la dette à long terme en vertu de la huitième convention de crédit modifiée et mise à jour (la « facilité de crédit ») étaient de fait fixés aux taux et pour les périodes se terminant selon ce qui est indiqué dans le tableau précédent. En raison de ces swaps, 77,8 % du total de l'encours total de la dette de la Société, y compris les débentures, portent dans les faits intérêt à taux fixe.
Contrats de change
En ce qui concerne les contrats de change de la Société, celle-ci est tenue de verser le montant en dollars américains convenu en contrepartie du montant en dollars canadiens prévu dans chacun des contrats. D'ordinaire, la Société détient ses contrats relatifs à des instruments dérivés jusqu'à leur échéance.
Ces contrats de change sont désignés à titre de couvertures de l'investissement net de la Société dans des établissements étrangers pour lesquels la monnaie fonctionnelle est le dollar américain, conformément à l'IAS 39, la variation de la juste valeur de l'instrument de couverture (contrats de change à terme) étant comptabilisée dans les autres éléments du résultat global, dans la mesure où l'instrument est efficace.
Au 30 juin 2014, les contrats de change à terme de la Société totalisaient 31,0 millions de dollars américains, comme suit :
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Juste valeur des contrats de change |
||||||||||||||||||
Date d'échéance | Montant notionnel ($ US) |
Actif | Passif | Taux d'intérêt | ||||||||||||||
29 septembre 2014 | 7 000 | $ | 306 | $ | - | $ | 1,1128 | |||||||||||
23 décembre 2014 | 7 000 | 305 | - | 1,1150 | ||||||||||||||
29 août 2014 | 1 500 | 58 | - | 1,1070 | ||||||||||||||
28 novembre 2014 | 7 000 | 271 | - | 1,1094 | ||||||||||||||
22 décembre 2014 | 3 500 | 131 | - | 1,1088 | ||||||||||||||
30 mars 2015 | 5 000 | 186 | - | 1,1113 | ||||||||||||||
31 000 | $ | 1 257 | $ | - | $ |
Dette à long terme
Au 30 juin 2014 et au 31 décembre 2013, la dette à long terme de la Société s'établissait comme suit :
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Taux d'intérêt | Date d'échéance |
30 juin 2014 | 31 décembre 2013 | ||||||||||||
Facilité de crédit (garantie) | |||||||||||||||
Facilité renouvelable (25 000 $ US; 32 000 $ CA) | Taux des acceptations bancaires/TIOL + 2,25 % |
Août 2018 | 58 675 | $ | 68 590 | $ | |||||||||
Facilité non renouvelable (400 000 $ US) | TIOL + 2,25 % | Août 2018 | 426 800 | 425 440 | |||||||||||
Facilités de crédit | 485 475 | 494 030 | |||||||||||||
Obligations (garanties) | 5,99 % | Juin 2017 | 50 000 | 50 000 | |||||||||||
Obligations (garanties) | 5,17 % | Juin 2017 | 30 000 | 30 000 | |||||||||||
Obligations (garanties) (63 000 $ US) | 5,59 % | Avril 2021 | 67 221 | 67 007 | |||||||||||
Obligations (garanties) (16 500 $ US) | 3,94 % | Juin 2022 | 17 606 | 17 549 | |||||||||||
Obligations (garanties) (15 000 $ US) | 3,94 % | Juin 2022 | 16 005 | 15 954 | |||||||||||
Obligations (garanties) | 5,76 % | Août 2023 | 20 000 | 20 000 | |||||||||||
Obligations (garanties) (100 000 $ US) | 5,51 % | Août 2023 | 106 700 | 106 360 | |||||||||||
Obligations (garanties) (75 000 $ US) | 5,51 % | Août 2023 | 80 025 | 79 770 | |||||||||||
Obligations (garanties) (50 000 $ US) | 5,51 % | Août 2023 | 53 350 | 53 180 | |||||||||||
Obligations | 440 907 | 439 820 | |||||||||||||
926 382 | 933 850 | ||||||||||||||
Charges financières différées | (8 829) | (9 721) | |||||||||||||
917 553 | $ | 924 129 | $ |
Le tableau ci-dessous présente les montants consentis et non engagés à la disposition de D+H. L'utilisation des facilités de crédit non engagées est conditionnelle à l'approbation préalable des prêteurs concernés, les frais, les écarts et les autres modalités devant être négociés à ce moment :
(en milliers de dollars canadiens, non audité)
Au 30 juin 2014 | |||||||||||||||||
Montant consenti | Montant non engagé | Montant prélevé | Montant disponible | ||||||||||||||
Devises | $ CA | $ US | $ CA | $ US | $ CA | $ US | $ CA | $ US | |||||||||
Facilité renouvelable | 255 000 | $ | 100 000 | $ | - | $ | - | $ | 32 000 | $ | 26 675 | $ | 223 000 | $ | 73 325 | $ | |
Facilité non renouvelable | - | 426 800 | - | - | - | 426 800 | - | - | |||||||||
Facilités de crédit non engagées | - | - | 100 000 | - | - | - | 100 000 | - | |||||||||
Facilité de crédit | 255 000 | 526 800 | 100 000 | - | 32 000 | 453 475 | 323 000 | 73 325 | |||||||||
Obligations | 100 000 | 340 907 | 30 000 | 64 020 | 100 000 | 340 907 | 30 000 | 64 020 | |||||||||
355 000 | $ | 867 707 | $ | 130 000 | $ | 64 020 | $ | 132 000 | $ | 794 382 | $ | 353 000 | $ | 137 345 | $ |
Clauses restrictives
La dette de la Société fait l'objet d'un certain nombre de clauses restrictives et de restrictions, dont une qui l'oblige à maintenir certains ratios financiers et à atteindre certains objectifs pour ce qui est de sa situation financière. Un de ces ratios est le coefficient de la dette à long terme totale par rapport au BAIIA (le « ratio de la dette au BAIIA »), qui est défini dans le rapport de gestion annuel de la Société pour l'exercice clos le 31 décembre 2013. Au 30 juin 2014, ce ratio s'établissait à 2,79 (2,93 au 31 décembre 2013).
Ratio de la dette au BAIIA - incidence des cours de change
Le ratio de la dette au BAIIA est touché par la variation du change puisque les emprunts de la Société libellés en dollars américains sont convertis au cours de change en vigueur à la clôture de la période alors que le BAIIA (dans la mesure où il se rapporte à ce ratio) libellé en monnaie locale est converti aux cours de change moyens pour la période. L'acquisition de HFS au troisième trimestre de 2013 a modifié de manière importante la structure de la dette de la Société. Par conséquent, afin d'évaluer ses efforts de gestion du capital postérieurement à l'acquisition de HFS, à titre de mesure interne, la direction élimine l'incidence des variations de change dans le calcul de ce ratio en utilisant les taux applicables pour la période close le 30 septembre 2013. Ainsi, le ratio de la dette au BAIIA, compte non tenu des variations de change, s'est établi à 2,75 (2,87 au 31 décembre 2013).
Débentures convertibles
Au 30 juin 2014, la Société avait pour 229,9 millions de dollars en principal de débentures subordonnées non garanties convertibles (les « débentures ») à 6,00 % en circulation. Au cours du deuxième trimestre de 2014, 57 débentures au total ont été converties en 1 972 actions ordinaires de la Société. Au cours du premier semestre de 2014, 132 débentures au total ont été converties en 4 567 actions ordinaires de la Société.
Taux d'intérêt effectif
Au 30 juin 2014, le taux d'intérêt effectif moyen sur la dette totale de la Société, y compris les débentures, était de 4,7 %, comparativement à 4,8 % au 31 décembre 2013.
PERSPECTIVES
L'objectif financier à long terme de D+H consiste à dégager des résultats durables et en progression au moyen de la croissance interne soutenue des produits, de l'établissement de partenariats avec des tiers et, au fil du temps, d'acquisitions stratégiques. La direction est d'avis que la récente acquisition de HFS continuera : i) de renforcer la capacité de la Société à réaliser son objectif d'être un fournisseur de premier plan de technologies destinées au secteur des services financiers; ii) d'assurer une plus grande diversification des produits; iii) d'obtenir des flux de trésorerie solides et durables pour financer la croissance et les dividendes futurs et réduire la dette; et iv) de soutenir sa stratégie à long terme. Dans les années à venir, la Société continuera de mettre en œuvre ses projets de croissance interne, y compris la vente croisée de sa gamme de solutions technologiques financières, de développer des innovations et des fonctionnalités pour les produits qui répondent aux besoins de nos clients, distinguent D+H et lui permettent de réaliser ses objectifs financiers. Parallèlement au sein de toutes nos activités, nous continuerons de travailler avec diligence pour repérer et rentabiliser les occasions qui nous permettront de mieux répondre aux besoins de nos clients, d'améliorer notre caractère concurrentiel et d'accroître nos marges. Nous sommes d'avis que la position de chef de file de D+H sur le marché et ses capacités combinées devraient lui permettre de consolider sa position sur les marchés desservis et de prospérer conformément à ses objectifs à long terme.
Tel qu'il est établi dans son énoncé de stratégie, D+H veut accroître ses activités grâce à une combinaison de projets internes, de partenariats avec des tiers et, au fil du temps, d'acquisitions ciblées additionnelles. Ses projets internes comprennent : i) la vente croisée de sa gamme élargie de solutions technologiques financières (solutions de prêts et solutions aux entreprises), dont ses solutions en mode SaaS et infonuagiques, ses solutions de conformité ainsi que les produits axés sur les technologies de base et les modes de prestation, aussi bien à sa clientèle désormais accrue qu'aux quelque 7 000 autres institutions financières américaines qui pourraient bénéficier de son portefeuille de technologies; ii) la promotion des solutions de paiement grâce à l'ajout de services à valeur ajoutée pour les consommateurs et les entreprises offerts aux clients des institutions financières; iii) l'élargissement de sa gamme de services reposant sur la technologie actuellement offerts aux secteurs du financement hypothécaire, du crédit automobile, des prêts personnels, des prêts aux étudiants, du crédit commercial et de la location; et iv) l'étude des occasions de fournir notre gamme de services étendue aux clients de marchés internationaux ciblés et aux coopératives de crédit du Canada.
La Société envisage également d'assurer sa croissance interne en concluant des partenariats avec d'autres fournisseurs de premier plan. Nous avons établi un certain nombre de partenariats aux États-Unis et au Canada au fil des ans et nous entendons tirer parti de notre clientèle accrue pour approfondir ces relations mutuellement bénéfiques à mesure que nous irons de l'avant.
La stratégie d'acquisition mise en œuvre par D+H au cours des quelques dernières années nous a permis de mieux nous positionner à titre de chef de file dans le secteur nord-américain des technologies financières et de renforcer notre modèle d'exploitation en diversifiant nos produits et en atténuant notre profil de risques au moyen d'une réduction de notre concentration de clients et de notre dépendance à certains produits. D+H se concentre actuellement à réduire les emprunts contractés aux fins des acquisitions passées. Cohérente avec cette approche, elle entend rembourser sa dette contractée en partie pour financer l'acquisition de HFS et devrait réduire son ratio de la dette au BAIIA à moins de 2,5 (sur une base normalisée en fonction du change) en 2015 tout en maintenant ses dividendes actuels.
Par suite de l'ajout de plusieurs nouveaux secteurs de services découlant des acquisitions effectuées au cours des dernières années, D+H s'attend à connaître une certaine augmentation de la variabilité des produits, du BAIIA, du bénéfice net et des flux de trésorerie trimestriels en raison des facteurs suivants : i) le recul des commandes de chèques personnels; ii) la dynamique des marchés du crédit canadien et américain; iii) les fluctuations des volumes au sein des marchés de l'enregistrement de privilèges et du montage de prêts hypothécaires; iv) le calendrier et la fluctuation des activités de vente, notamment en ce qui concerne le travail au sein du secteur des services professionnels et les encaissements; et v) les commissions et les frais liés aux acquisitions et aux activités connexes d'intégration.
Par le passé, les activités traditionnelles de D+H présentaient habituellement de meilleurs résultats aux deuxième et troisième trimestres, alors que HFS présente de meilleures ventes aux deuxième et quatrième trimestres. L'incidence de ces différences dans les fluctuations saisonnières entre les activités traditionnelles de D+H et celles de HFS pourraient entraîner une certaine volatilité de la croissance d'un exercice à l'autre jusqu'au quatrième trimestre de 2014. C'est pourquoi la croissance observée au deuxième trimestre et au premier semestre de 2014 pourrait ne pas être indicatrice de la croissance au cours des périodes à venir.
Secteur canadien
Dans le secteur canadien, la tendance à la baisse des volumes de commandes de chèques devrait se maintenir à environ 5 % en 2014, la volatilité des volumes de commandes de chèques personnels se poursuivant. Les volumes de commandes de chèques d'entreprises devraient par ailleurs continuer de présenter une volatilité moindre. Afin de contrer cette baisse, la direction continuera d'axer ses efforts sur le développement des divers services de protection avec abonnement
Dans le secteur technologique bancaire canadien, les analystes s'attendent à ce que le marché de l'habitation au Canada ralentisse au second semestre de 2014. Le marché des courtiers continuera d'être confronté à la concurrence que lui livrent les équipes de vente mobiles des institutions de prêt. Les produits tirés des solutions technologiques bancaires du secteur canadien se sont stabilisés. Le lancement de nouveaux produits et modules d'extension destinés à divers secteurs de la chaîne de valeur du crédit contribue à la croissance interne et favorise l'harmonisation des processus de vente au sein du secteur technologique bancaire canadien.
Les volumes liés aux services d'administration de prêts aux étudiants devraient demeurer relativement stables et enregistrer une faible hausse à court terme. À la lumière de l'appel d'offres que le gouvernement du Canada devrait lancer pour le PCPE, la direction concentrera ses efforts dans ce secteur au renouvellement de son contrat avec le gouvernement du Canada. Sur les marchés de l'automobile et des prêts automobiles, la croissance modérée des ventes de voitures nouvelles et d'occasion devrait se poursuivre tout au long de 2014, alors que les augmentations des valeurs des portefeuilles de prêteurs et la solide reprise du secteur automobile des dernières années devraient continuer de stimuler les activités de reprise de possession.
En outre, dans le secteur canadien, le BAIIA et les marges pourraient être touchés par le temps que prendront les clients pour adopter de nouveaux produits et services, ce qui pourrait exercer des pressions sur le BAIIA et les marges du secteur canadien dans son ensemble jusqu'à ce que ces offres génèrent un volume suffisant pour dégager un levier d'exploitation.
Secteur américain
En ce qui a trait au secteur américain, la Société s'attend à profiter de la reprise de l'économie américaine et du secteur bancaire aux États-Unis, du besoin accru de produits technologiques de prêts répondant aux exigences réglementaires et de conformité et de la croissance prévue des dépenses des banques locales et des coopératives de crédit liées aux technologies pour les services bancaires de base et autres solutions technologiques financières additionnelles. La reprise des activités sur le marché de l'habitation devrait également stimuler nos activités visant le marché des prêts hypothécaires aux États-Unis et être contrebalancée en partie par le recul des activités de refinancement en raison de la hausse des taux d'intérêt en regard de l'exercice précédent. Nous prévoyons également réaliser des synergies au niveau des produits grâce aux ventes croisées de notre gamme étendue de produits à notre clientèle actuelle. De plus, les banques locales devraient accroître leurs investissements dans les nouveaux systèmes de base au cours des quelques prochaines années. Il y a actuellement plus de 13 000 institutions financières aux États-Unis, dont environ 6 000 sont nos clientes. Notre gamme technologique nous permet d'offrir nos produits tant aux grandes qu'aux petites institutions financières et nous nous efforçons d'accroître notre présence de manière à servir les quelque 7 000 banques et coopératives de crédit qui n'ont jamais encore utilisé nos produits. Nous croyons que nous sommes bien positionnés afin de nous approprier une part de ce marché en expansion grâce à nos stratégies.
Dépenses d'investissement
Pour 2014, nous prévoyons des dépenses d'investissement totales d'environ 50 millions de dollars à 55 millions de dollars davantage axées sur les nouvelles occasions de croissance. Les dépenses d'investissement pourraient varier en fonction des dépenses qui seront engagées à l'appui des nouvelles possibilités de croissance, au moment où elles se présenteront, le cas échéant.
MISE EN GARDE AU SUJET DES ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Certains énoncés compris dans le présent rapport de gestion constituent des renseignements prospectifs au sens des lois sur les valeurs mobilières applicables (les « énoncés prospectifs »). Les énoncés concernant les objectifs, les cibles, les stratégies, les intentions, les projets, les convictions, les attentes et les estimations de D+H, outre son entreprise, ses activités ainsi que sa performance et sa situation financières, constituent des énoncés prospectifs. Des termes et expressions comme « croire », « s'attendre à », « prévoir », « estimer » et « avoir l'intention de », aux formes présente, future ou conditionnelle, de même que d'autres mots et locutions similaires ou la forme négative de ces expressions, visent à signaler des énoncés prospectifs, mais ne devraient pas être considérés comme étant le seul moyen de le faire.
D+H a aussi utilisé certaines hypothèses macroéconomiques et hypothèses sectorielles générales pour rédiger ces énoncés prospectifs. Bien que D+H soit d'avis que ces facteurs et hypothèses sont raisonnables sur la foi des renseignements disponibles en date des présentes, rien ne garantit que les résultats réels seront conformes à ces énoncés prospectifs.
Les énoncés prospectifs sont assujettis à des risques, à des incertitudes et à d'autres facteurs, connus et inconnus, qui pourraient faire en sorte que les résultats, la performance et les accomplissements réels de D+H, ainsi que l'évolution réelle de ses secteurs d'activité, diffèrent de manière importante des résultats, de la performance, des accomplissements et de l'évolution prévus qui sont formulés, implicitement ou explicitement, dans ces énoncés prospectifs.
Les risques liés aux énoncés prospectifs comprennent, notamment, les défis liés à la diminution de l'utilisation de chèques par les particuliers et les entreprises; la dépendance de la Société à l'égard d'un nombre limité de grandes institutions financières clientes au Canada et la dépendance à l'accueil que celles-ci réservent à ses nouveaux programmes; les projets stratégiques entrepris par la Société dans le but d'atteindre ses objectifs financiers; la stabilité et la croissance des secteurs de l'immobilier, du financement hypothécaire et du crédit; l'augmentation de la pression sur les prix et la concurrence lui faisant courir le risque de perdre des contrats ou de voir ses marges diminuer; la capacité de la Société d'intégrer ses acquisitions avec brio; l'évolution du secteur bancaire et des services financiers aux États-Unis ainsi que la demande pour les produits et services de D+H; la capacité de la Société de se conformer à la réglementation gouvernementale; de même que la conjoncture générale des marchés, y compris la dynamique de l'économie et des taux d'intérêt. Compte tenu de ces incertitudes, le lecteur est avisé de ne pas se fier indûment à ces énoncés prospectifs. Les documents dont il est fait mention aux présentes indiquent également des facteurs pouvant avoir une incidence sur les résultats d'exploitation et la performance financière de la Société. Les énoncés prospectifs sont fondés sur les projets, estimations, projections, convictions et opinions actuels de la direction, et D+H ne s'engage aucunement à mettre à jour les énoncés prospectifs si les hypothèses qui sous-tendent ces projets, estimations, projections, convictions et opinions venaient à changer, à l'exception de ce qui est prévu par les lois applicables sur les valeurs mobilières.
Tous les énoncés prospectifs formulés dans le présent rapport de gestion sont visés par cette mise en garde ainsi que par d'autres mises en garde et facteurs indiqués aux présentes, et il n'existe aucune garantie que les résultats ou événements réels seront conformes à ceux-ci. Même s'ils se révélaient conformes, en totalité ou en partie, il n'existe aucune garantie qu'ils auront les résultats attendus pour la Société.
AUTRES RENSEIGNEMENTS
D'autres renseignements relatifs à la Société, y compris la dernière notice annuelle qu'elle a déposée, peuvent être consultés sur le site de SEDAR à l'adresse www.sedar.com.
Le 29 juillet 2014
États consolidés de la situation financière | |||||||||||
(en milliers de dollars canadiens, non audité) | |||||||||||
30 juin 2014 | 31 décembre 2013 | ||||||||||
ACTIFS | |||||||||||
Trésorerie et équivalents de trésorerie | 14 182 | $ | 32 398 | $ | |||||||
Clients et autres débiteurs | 124 704 | 111 156 | |||||||||
Charges payées d'avance et autres actifs courants | 28 766 | 25 370 | |||||||||
Stocks | 2 645 | 3 059 | |||||||||
Total des actifs courants | 170 297 | 171 983 | |||||||||
Créances clients non courantes | 33 505 | 22 179 | |||||||||
Actifs d'impôt différé | 2 431 | 4 327 | |||||||||
Immobilisations corporelles | 43 602 | 44 913 | |||||||||
Immobilisations incorporelles | 1 109 004 | 1 156 170 | |||||||||
Goodwill | 1 509 822 | 1 508 430 | |||||||||
Autres actifs | 8 930 | 5 815 | |||||||||
Total des actifs non courants | 2 707 294 | 2 741 834 | |||||||||
Total des actifs | 2 877 591 | $ | 2 913 817 | $ | |||||||
PASSIFS | |||||||||||
Dettes fournisseurs, charges à payer et autres passifs | 123 990 | $ | 129 728 | $ | |||||||
Produits différés | 97 552 | 86 885 | |||||||||
Passifs d'impôt exigible | 16 061 | 24 780 | |||||||||
Total des passifs courants | 237 603 | 241 393 | |||||||||
Produits différés non courants | 21 213 | 22 048 | |||||||||
Passifs dérivés détenus aux fins de la gestion des risques | 2 909 | 3 029 | |||||||||
Prêts et emprunts | 917 553 | 924 129 | |||||||||
Débentures convertibles | 211 354 | 209 647 | |||||||||
Passifs d'impôt différé | 344 067 | 366 856 | |||||||||
Autres passifs à long terme | 10 209 | 9 182 | |||||||||
Total des passifs non courants | 1 507 305 | 1 534 891 | |||||||||
Total des passifs | 1 744 908 | 1 776 284 | |||||||||
CAPITAUX PROPRES | |||||||||||
Capital | 1 120 072 | 1 117 785 | |||||||||
Réserves | 46 196 | 43 519 | |||||||||
Déficit | (33 585) | (23 771) | |||||||||
Total des capitaux propres | 1 132 683 | 1 137 533 | |||||||||
Total des passifs et des capitaux propres | 2 877 591 | $ | 2 913 817 | $ | |||||||
États consolidés du résultat net | |||||||||||||||||
(en milliers de dollars canadiens, sauf les montants par action, non audité) | |||||||||||||||||
Trimestres clos les | Semestres clos les | ||||||||||||||||
30 juin 2014 | 30 juin 2013 | 30 juin 2014 | 30 juin 2013 | ||||||||||||||
Produits | 285 955 | $ | 197 134 | $ | 552 246 | $ | 368 795 | $ | |||||||||
Rémunération et avantages du personnel | 87 929 | 52 038 | 179 988 | 102 153 | |||||||||||||
Autres charges | 110 220 | 92 513 | 215 452 | 172 062 | |||||||||||||
Bénéfice découlant des activités d'exploitation avant amortissements |
87 806 | 52 583 | 156 806 | 94 580 | |||||||||||||
Amortissement des immobilisations corporelles | 4 022 | 2 273 | 7 797 | 4 209 | |||||||||||||
Amortissement des immobilisations incorporelles | 34 897 | 15 444 | 69 160 | 30 941 | |||||||||||||
Bénéfice découlant des activités d'exploitation | 48 887 | 34 866 | 79 849 | 59 430 | |||||||||||||
Charges financières | |||||||||||||||||
Ajustement de la juste valeur des instruments dérivés | (284) | (1 203) | (488) | (1 310) | |||||||||||||
Charges d'intérêts | 15 048 | 4 516 | 30 297 | 8 987 | |||||||||||||
Profit découlant de la réévaluation d'une participation détenue antérieurement |
- | - | - | (1 587) | |||||||||||||
Bénéfice découlant de la participation dans une entreprise associée, après impôt sur le résultat |
- | - | - | (130) | |||||||||||||
Profit découlant de la vente d'actifs | (984) | - | (984) | - | |||||||||||||
Bénéfice découlant des activités poursuivies avant impôt sur le résultat |
35 107 | 31 553 | 51 024 | 53 470 | |||||||||||||
Charge d'impôt sur le résultat | 5 238 | 9 158 | 8 291 | 14 638 | |||||||||||||
Bénéfice découlant des activités poursuivies | 29 869 | 22 395 | 42 733 | 38 832 | |||||||||||||
Perte découlant des activités abandonnées après impôt sur le résultat |
- | (8 786) | (846) | (19 481) | |||||||||||||
Bénéfice net | 29 869 | $ | 13 609 | $ | 41 887 | $ | 19 351 | $ | |||||||||
Bénéfice par action | |||||||||||||||||
Bénéfice par action découlant des activités poursuivies | |||||||||||||||||
De base | 0,3697 | $ | 0,3781 | $ | 0,5291 | $ | 0,6556 | $ | |||||||||
Dilué | 0,3687 | $ | 0,3781 | $ | 0,5278 | $ | 0,6556 | $ | |||||||||
Perte par action découlant des activités abandonnées | |||||||||||||||||
De base | - | $ | (0,1483) | $ | (0,0105) | $ | (0,3289) | $ | |||||||||
Diluée | - | $ | (0,1483) | $ | (0,0105) | $ | (0,3289) | $ | |||||||||
Bénéfice net par action | |||||||||||||||||
De base | 0,3697 | $ | 0,2298 | $ | 0,5186 | $ | 0,3267 | $ | |||||||||
Dilué | 0,3687 | $ | 0,2298 | $ | 0,5173 | $ | 0,3267 | $ | |||||||||
États consolidés du résultat global | |||||||||||||||||||||
Trimestres clos les | Semestres clos les | ||||||||||||||||||||
(en milliers de dollars canadiens, non audité) | 30 juin 2014 | 30 juin 2013 | 30 juin 2014 | 30 juin 2013 | |||||||||||||||||
Bénéfice net | 29 869 | $ | 13 609 | $ | 41 887 | $ | 19 351 | $ | |||||||||||||
Les éléments ci-après peuvent ultérieurement être reclassés en résultat net : |
|||||||||||||||||||||
Couvertures de flux de trésorerie | |||||||||||||||||||||
Partie efficace des variations de la juste valeur | 866 | - | 758 | - | |||||||||||||||||
Conversion des monnaies étrangères | (27 871) | 5 962 | 2 069 | 9 508 | |||||||||||||||||
Résultat global total | 2 864 | $ | 19 571 | $ | 44 714 | $ | 28 859 | $ | |||||||||||||
États consolidés des variations des capitaux propres | ||||||||||||||||
(en milliers de dollars canadiens, non audité) | ||||||||||||||||
Trimestre clos le 30 juin 2014 | ||||||||||||||||
Réserves | ||||||||||||||||
Capital social |
Rémunération fondée sur des actions réglée en titres de capitaux propres |
Composante capitaux propres des débentures convertibles |
Écarts de conversion des monnaies étrangères |
Réserve de couverture |
Résultats non distribués (déficit) |
Total des capitaux propres |
||||||||||
Solde au 1er avril 2014 | 1 117 860 | $ | 1 407 | $ | 8 883 | $ | 63 421 | $ | (328) | $ | (37 590) | $ | 1 153 653 | $ | ||
Bénéfice net de la période | - | - | - | - | - | 29 869 | 29 869 | |||||||||
Conversion des monnaies étrangères | - | - | - | (27 871) | - | - | (27 871) | |||||||||
Couvertures de flux de trésorerie | 866 | 866 | ||||||||||||||
Émission d'actions | 2 210 | - | - | - | - | - | 2 210 | |||||||||
Composante capitaux propres des débentures convertibles, après impôt |
2 | - | (2) | - | - | - | - | |||||||||
Dividendes | - | - | - | - | - | (25 864) | (25 864) | |||||||||
Options sur actions (note 15) | - | (180) | - | - | - | - | (180) | |||||||||
Solde au 30 juin 2014 | 1 120 072 | $ | 1 227 | $ | 8 881 | $ | 35 550 | $ | 538 | $ | (33 585) | $ | 1 132 683 | $ | ||
Semestre clos le 30 juin 2014 | ||||||||||||||||
Réserves | ||||||||||||||||
Capital social |
Rémunération fondée sur des actions réglée en titres de capitaux propres |
Composante capitaux propres des débentures convertibles |
Écarts de conversion des monnaies étrangères |
Réserve de couverture |
Résultats non distribués (déficit) |
Total des capitaux propres |
||||||||||
Solde au 1er janvier 2014 | 1 117 785 | $ | 1 369 | $ | 8 889 | $ | 33 481 | $ | (220) | $ | (23 771) | $ | 1 137 533 | $ | ||
Bénéfice net de la période | - | - | - | - | - | 41 887 | 41 887 | |||||||||
Conversion des monnaies étrangères | - | - | - | 2 069 | - | - | 2 069 | |||||||||
Couvertures de flux de trésorerie | - | - | - | - | 758 | - | 758 | |||||||||
Émission d'actions | 2 279 | - | - | - | - | - | 2 279 | |||||||||
Composante capitaux propres des débentures convertibles, après impôt |
8 | - | (8) | - | - | - | - | |||||||||
Dividendes | - | - | - | - | - | (51 701) | (51 701) | |||||||||
Options sur actions (note 15) | - | (142) | - | - | - | - | (142) | |||||||||
Solde au 30 juin 2014 | 1 120 072 | $ | 1 227 | $ | 8 881 | $ | 35 550 | $ | 538 | $ | (33 585) | $ | 1 132 683 | $ | ||
États consolidés des variations des capitaux propres (suite) | |||||||||||||||
(en milliers de dollars canadiens, non audité) | |||||||||||||||
Trimestre clos le 30 juin 2013 | |||||||||||||||
Réserves | |||||||||||||||
Capital social |
Rémunération fondée sur des actions réglée en titres de capitaux propres |
Composante capitaux propres des débentures convertibles |
Écarts de conversion des monnaies étrangères |
Réserve de couverture |
Résultats non distribués |
Total des capitaux propres |
|||||||||
Solde au 1er avril 2013 | 672 853 | $ | 938 | $ | - | $ | 9 430 | $ | - | $ | 8 946 | $ | 692 167 | $ | |
Bénéfice net de la période | - | - | - | - | - | 13 609 | 13 609 | ||||||||
Conversion des monnaies étrangères | - | - | - | 5 962 | - | - | 5 962 | ||||||||
Dividendes | - | - | - | - | - | (18 955) | (18 955) | ||||||||
Options sur actions | - | 42 | - | - | - | - | 42 | ||||||||
Solde au 30 juin 2013 | 672 853 | $ | 980 | $ | - | $ | 15 392 | $ | - | $ | 3 600 | $ | 692 825 | $ | |
Semestre clos le 30 juin 2013 | |||||||||||||||
Réserves | |||||||||||||||
Capital social |
Rémunération fondée sur des actions réglée en titres de capitaux propres |
Composante capitaux propres des débentures convertibles |
Écarts de conversion des monnaies étrangères |
Réserve de couverture |
Résultats non distribués |
Total des capitaux propres |
|||||||||
Solde au 1er janvier 2013 | 672 853 | $ | 827 | $ | - | $ | 5 884 | $ | - | $ | 22 544 | $ | 702 108 | $ | |
Incidence de l'adoption de l'IAS 19R | - | - | - | - | - | (385) | (385) | ||||||||
Bénéfice net de la période | - | - | - | - | - | 19 351 | 19 351 | ||||||||
Conversion des monnaies étrangères | - | - | - | 9 508 | - | - | 9 508 | ||||||||
Dividendes | - | - | - | - | - | (37 910) | (37 910) | ||||||||
Options sur actions | - | 153 | - | - | - | - | 153 | ||||||||
Solde au 30 juin 2013 | 672 853 | $ | 980 | $ | - | $ | 15 392 | $ | - | $ | 3 600 | $ | 692 825 | $ | |
Tableaux consolidés des flux de trésorerie | ||||||||||||||||||
(en milliers de dollars canadiens, non audité) | ||||||||||||||||||
Trimestres clos les |
Semestres clos les |
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30 juin 2014 | 30 juin 2013 | 30 juin 2014 | 30 juin 2013 | |||||||||||||||
Trésorerie et équivalents de trésorerie liés aux activités suivantes : | ||||||||||||||||||
ACTIVITÉS D'EXPLOITATION | ||||||||||||||||||
Bénéfice découlant des activités poursuivies | 29 869 | $ | 22 395 | $ | 42 733 | $ | 38 832 | $ | ||||||||||
Ajustements pour : | ||||||||||||||||||
Amortissement des immobilisations corporelles | 4 022 | 2 273 | 7 797 | 4 209 | ||||||||||||||
Amortissement des immobilisations incorporelles | 34 897 | 15 444 | 69 160 | 30 941 | ||||||||||||||
Ajustement de la juste valeur des instruments dérivés | (284) | (1 203) | (488) | (1 310) | ||||||||||||||
Charges d'intérêts | 13 681 | 4 164 | 27 406 | 8 281 | ||||||||||||||
Amortissement des charges financières différées | 498 | 352 | 1 063 | 706 | ||||||||||||||
Augmentation des charges d'intérêts dus à la désactualisation | 869 | - | 1 828 | - | ||||||||||||||
Charge d'impôt | 5 238 | 9 158 | 8 291 | 14 638 | ||||||||||||||
Options sur actions | (180) | 42 | (142) | 153 | ||||||||||||||
Bénéfice découlant de la participation dans une entreprise associée, après impôt sur le résultat |
- | - | - | (130) | ||||||||||||||
Profit découlant de la réévaluation d'une participation détenue antérieurement |
- | - | - | (1 587) | ||||||||||||||
Profit découlant de la vente d'actifs | (984) | - | (984) | - | ||||||||||||||
Variations des éléments du fonds de roulement hors trésorerie | (14 926) | 5 | (9 954) | (15 143) | ||||||||||||||
Variations des autres actifs et passifs d'exploitation | (5 637) | (1 355) | (13 419) | 437 | ||||||||||||||
Sorties de trésorerie liées aux activités abandonnées | - | (5 268) | (818) | (9 999) | ||||||||||||||
Entrées de trésorerie liées aux activités d'exploitation | 67 063 | 46 007 | 132 473 | 70 028 | ||||||||||||||
Intérêts payés | (10 716) | (4 175) | (29 973) | (8 218) | ||||||||||||||
Impôt sur le résultat payé | (17 621) | (779) | (37 455) | (2 123) | ||||||||||||||
Entrées nettes de trésorerie liées aux activités d'exploitation | 38 726 | 41 053 | 65 045 | 59 687 | ||||||||||||||
ACTIVITÉS DE FINANCEMENT | ||||||||||||||||||
Remboursement sur la dette à long terme | (10 000) | (20 481) | (15 000) | (21 497) | ||||||||||||||
Produit de la dette à long terme | 5 000 | - | 5 000 | 27 065 | ||||||||||||||
Produit de l'exercice d'options sur actions | 1 907 | - | 1 907 | - | ||||||||||||||
Dividendes payés | (25 864) | (18 955) | (51 701) | (37 910) | ||||||||||||||
Sorties nettes de trésorerie liées aux activités de financement | (28 957) | (39 436) | (59 794) | (32 342) | ||||||||||||||
ACTIVITÉS D'INVESTISSEMENT | ||||||||||||||||||
Acquisition d'immobilisations corporelles | (4 428) | (2 770) | (6 611) | (4 693) | ||||||||||||||
Acquisition d'immobilisations incorporelles | (8 865) | (3 865) | (18 075) | (8 228) | ||||||||||||||
Acquisition de filiales | - | (456) | - | (24 849) | ||||||||||||||
Produit découlant de la vente d'actifs | 1 219 | - | 1 219 | - | ||||||||||||||
Vente d'activités abandonnées | - | 8 500 | - | 8 500 | ||||||||||||||
Entrées (sorties) nettes de trésorerie liées aux activités d'investissement |
(12 074) | 1 409 | (23 467) | (29 270) | ||||||||||||||
Augmentation (diminution) de la trésorerie et des équivalents de trésorerie pour la période |
(2 305) | 3 026 | (18 216) | (1 925) | ||||||||||||||
Trésorerie et équivalents de trésorerie à l'ouverture de la période | 16 487 | 768 | 32 398 | 5 719 | ||||||||||||||
Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture de la période | 14 182 | $ | 3 794 | $ | 14 182 | $ | 3 794 | $ |
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SOURCE : Société DH
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