QUÉBEC, le 27 mars 2019 /CNW Telbec/ - Endoceutics, Inc., l'Université Laval et le CHU de Québec-Université Laval (CHU de Québec-UL) sont heureux d'annoncer qu'ils se sont entendus pour régler tous leurs litiges entourant les retombées économiques de travaux de recherche. L'Université Laval et le CHU de Québec-UL participeront en partie aux retombées anticipées d'IntrarosaMC.
L'entente met fin à plusieurs années de litiges à la suite d'arbitrages et de différents jugements rendus. Les termes et conditions de l'entente demeurent confidentiels, cependant l'entente prévoit des montants forfaitaires dus par Endoceutics, des redevances à être perçues sur les royautés futures liées à Intrarosa et une participation en équité dans la Société Endoceutics.
« L'entente reflète bien les besoins mutuels et la participation gagnante - gagnante à la réalisation du plan d'affaires d'Endoceutics visant à assurer la commercialisation d'Intrarosa à l'échelle mondiale », explique M. Dennis Turpin, président et chef de la direction d'Endoceutics. Il a aussi ajouté : « Intrarosa est un produit unique qui mérite d'être commercialisé avec l'appui de toutes les parties prenantes. Nous sommes enthousiastes à faire progresser l'œuvre du Dr Fernand Labrie et remercions les acteurs impliqués dans la réalisation de cette entente stratégique. »
La rectrice de l'Université Laval, Mme Sophie D'Amours, a tenu à exprimer sa grande satisfaction à l'égard de cette entente. « Maintenant que cette situation est derrière nous, nous pourrons apprécier les retombées de cette découverte très significative au plan social et économique. Les recherches en santé à l'Université Laval, et particulièrement celles en santé des femmes, figurent parmi les meilleures au pays. Elles paveront ainsi la voie à de potentielles relations partenariales avec Endoceutics ».
« Nous sommes heureux que ce litige soit maintenant réglé. Cette entente démontre que la collaboration fait partie intrinsèque des valeurs de notre organisation. Nous souhaitons bon succès à l'entreprise dans ses projets futurs », a conclu M. Martin Beaumont, PDG du CHU de Québec-UL.
Intrarosa est fabriqué au Québec par Endoceutics. Il fait l'objet d'alliances stratégiques pour en assurer une distribution mondiale via des partenaires de choix.
Le produit est approuvé pour la vente aux États-Unis et en Union européenne. Les droits de distribution et de vente sont octroyés pour de grands marchés couvrant les États-Unis, l'Europe et l'Asie.
À propos d'Intrarosa
Intrarosa a été développé par Endoceutics pour traiter les troubles résultant d'un manque d'hormones sexuelles chez la femme post-ménopausée, nommément l'atrophie vulvovaginale et les symptômes qui y sont associés telles les relations sexuelles douloureuses (dyspareunie). Intrarosa est administré dans le vagin à l'aide d'un applicateur. Le principe actif d'Intrarosa est la prastérone (déhydroépiandrostérone, DHEA), un composé sans activité hormonale intrinsèque, qui est transformé en hormones sexuelles (androgènes et œstrogènes) à l'intérieur des cellules qui tapissent le vagin où ces hormones agissent localement. La FDA américaine a approuvé Intrarosa pour le traitement de la dyspareunie en novembre 2016 alors que l'Agence européenne des médicaments (EMA) a approuvé Intrarosa pour le traitement de l'atrophie vulvovaginale en janvier 2018. Le produit n'est pas encore approuvé au Canada, mais il fait l'objet d'une demande.
À propos d'Endoceutics
Endoceutics oeuvre dans le domaine de la santé de la femme ainsi que dans la prévention et le traitement des cancers hormono-sensibles. Forte de ses 110 employés, Endoceutics possède des usines et équipements de fabrication de médicaments, des laboratoires bio-analytiques et l'expertise pour réaliser du développement clinique et l'enregistrement et la commercialisation de ses produits. Endoceutics bénéficie d'un portefeuille de produits à différentes étapes de développement. Endoceutics a pour mission d'offrir une meilleure qualité de vie aux femmes. Pour de plus amples renseignements, visitez www.endoceutics.com
À propos de l'Université Laval
Animée par un esprit d'innovation et la recherche de l'excellence, l'Université Laval fait partie des plus grandes universités de recherche au Canada, se classant au 8e rang avec des fonds de 356 M$ alloués à la recherche en 2018. Par le partage de ses savoirs et la mise en valeur de ses expertises, elle contribue à l'essor de la collectivité de façon durable. À ce jour, elle a formé plus de 300 000 personnes qui participent, chacune à leur façon, au progrès des sociétés. www.ulaval.ca
À propos du CHU de Québec-Université Laval
Regroupant le CHUL, l'Hôtel-Dieu de Québec, l'Hôpital de l'Enfant-Jésus, l'Hôpital du Saint-Sacrement et l'Hôpital Saint-François d'Assise, le CHU de Québec-Université Laval est le plus important centre hospitalier universitaire du Québec et l'un des plus grands au Canada. Dispensant des soins généraux et spécialisés, mais surtout surspécialisés, le CHU de Québec-Université Laval dessert la population de tout l'est du Québec, soit un bassin de près de deux millions de personnes. Étroitement lié à l'Université Laval et orienté vers l'avenir, il détient également une mission d'enseignement, de recherche dans de nombreux domaines d'excellence et d'évaluation des technologies et des modes d'intervention en santé. Le CHU de Québec-Université Laval compte plus de 12 500 employés, 1 500 médecins, dentistes et pharmaciens, 343 chercheurs réguliers et associés, 169 chercheurs affiliés, de même que 850 étudiants aux cycles supérieurs et 425 bénévoles. www.chudequebec.ca
SOURCE Endoceutics
Audrey Dumoulin, Communications, Endoceutics, Inc., T 418 653-0033 Poste 213, [email protected]; Andrée-Anne Stewart, Responsable des relations médias, Direction des communications, Université Laval, T 418 656-3952, C 418 254-3141, [email protected]; Geneviève Dupuis, Adjointe au PDG relations médias et projets spéciaux, CHU de Québec - UL, T 418 525-4387, [email protected]
Partager cet article