Engagement no 1 - Pauline Marois s'engage à régler la crise étudiante avec une solution qui rallie la vaste majorité
MONTRÉAL, le 2 août 2012 /CNW Telbec/ - La chef du Parti Québécois, Pauline Marois, s'engage à régler la crise étudiante si son équipe est portée au pouvoir le 4 septembre prochain. « La solution que nous proposons est la seule issue responsable pour régler la crise sociale que nous vivons depuis six mois. »
Pauline Marois s'engage à annuler la hausse de 82 % des droits de scolarité dans les 100 premiers jours d'un gouvernement du Parti Québécois, à abroger la loi 78 et à tenir un sommet sur l'enseignement supérieur pour revoir le financement et la gestion des universités. Au cours de ce sommet, qui réunira l'ensemble des acteurs du monde de l'éducation, tant les étudiants que les représentants du monde universitaire et de la société civile, tous les sujets pourront être abordés, jusqu'à l'indexation des droits de scolarité.
« La crise sociale créée par Jean Charest a assez duré. Ça fait six mois que la population est dans la rue à manifester son mécontentement devant un gouvernement usé et corrompu. Il est temps de régler le problème et de cesser d'alimenter la crise comme le fait le premier ministre. En gelant les droits de scolarité et en tenant un sommet sur l'enseignement supérieur dans les 100 premiers jours, la paix sociale pourra être rétablie et les jeunes pourront tous assister à leurs cours », a ajouté Pauline Marois.
Au Parti Québécois, notre position est claire et réaliste. Il n'y aura pas de hausse de 1778 dollars des droits de scolarité. Nous croyons que l'éducation est fondamentale pour l'avancement de la société québécoise. C'est pourquoi nous voulons conserver des droits de scolarité accessibles pour permettre au plus grand nombre de jeunes de recevoir un enseignement supérieur.
« Le 4 septembre, les Québécois auront à faire le choix entre les libéraux et les caquistes, qui veulent augmenter les droits de scolarité de façon drastique, endetter la jeunesse et faire durer la crise avec la loi 78, ou le Parti Québécois, qui propose une solution responsable pour régler la crise », a-t-elle affirmé, en rappelant qu'un sondage Repère a démontré que 85 % des répondants étaient favorables à la tenue d'un sommet sur l'enseignement supérieur. Si la crise a duré aussi longtemps, c'est que les libéraux de Jean Charest avaient comme stratégie d'utiliser le conflit étudiant pour masquer leur bilan. C'est à nous de choisir maintenant. »
« Si Jean Charest a été si dur envers nos jeunes, c'est pour faire oublier à quel point il a été mou devant la corruption. Les libéraux ont suffisamment utilisé la crise étudiante pour manipuler la population. Il est temps de changer de direction et de changer ce gouvernement usé et corrompu. Jean Charest a déjà démontré qu'il était incapable de régler la crise. La proposition du Parti Québécois est celle qui permettra de régler la crise une fois pour toutes », a conclu Pauline Marois.
SOURCE : PARTI QUEBECOIS
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Bureau de presse
Renseignements :
Manuel Dionne
Attaché de presse
514 526-0020
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