Entente de principe entre le CPNCF et le SEPB-Québec/FTQ - Une plus grande
stabilité du personnel qui offre des services directs aux élèves

MONTRÉAL, le 26 juin /CNW Telbec/ - Une entente de principe sur les clauses non salariales de la convention collective est intervenue entre le Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones (CPNCF) et le Syndicat des employées et des employés professionnels-les et de bureau (SEPB-QUÉBEC/FTQ), qui représente près de 4900 employés de soutien (éducatrices en service de garde, concierges, secrétaires, techniciens en éducation spécialisée, etc.) des commissions scolaires Marguerite-Bourgeoys et Marie-Victorin.

"L'objectif du CPNCF a toujours été de contribuer à offrir les meilleurs services qui soient aux élèves afin de favoriser leur réussite et leur persévérance scolaires. Cet objectif a été atteint, entre autres parce qu'une plus grande stabilité des ressources sera désormais assurée d'une année à l'autre dans les écoles", précise le président du CPNCF, M. Bernard Tremblay. En plus d'améliorer l'organisation du travail au bénéfice de la qualité des services offerts par les commissions scolaires et de favoriser l'attraction et la rétention et l'employabilité des membres du personnel, l'entente crée des opportunités pour augmenter les heures de travail de plusieurs d'entre eux en cours d'année scolaire.

Le CPNCF est composé de membres nommés par la Fédération des commissions scolaires du Québec et la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport. Le CPNCF organise, coordonne et dirige la négociation des matières nationales sectorielles (clauses non salariales) des conventions collectives. Ces matières sont communément appelées le "normatif". Les salaires faisant l'objet de négociations entre le Conseil du trésor et les centrales syndicales, ils sont exclus des opérations du CPNCF.

Renseignements: Jean-Pierre St-Gelais, Directeur des communications, CPNCF, [phone]