Espionnage à l'Hôtel de ville : toujours une faute grave selon Projet Montréal
MONTRÉAL, le 1er févr. 2012 /CNW Telbec/ - Richard Bergeron, chef de Projet Montréal, tient à rappeler, au nom de sa formation politique, que, même si le Directeur des poursuites criminelles et pénales ne déposera pas d'accusations dans le dossier de l'espionnage à l'Hôtel de ville de Montréal, l'interception des communications électroniques du Vérificateur général et des élus montréalais constitue une faute grave. « Même si aucune accusation criminelle n'est portée dans le dossier de l'espionnage à l'Hôtel de ville de Montréal, Gérald Tremblay a quand même permis que l'indépendance et le bon fonctionnement des institutions démocratiques de la Ville de Montréal soient bafoués », a déclaré Richard Bergeron.
Nous rappelons que, dans le dossier de l'espionnage à l'Hôtel de ville de Montréal, deux poursuites civiles sont toujours pendantes devant les tribunaux. Nous attendons également le résultat des autres enquêtes et vérifications présentement effectuées par l'UPAC à la suite des autres allégations qui concernent la gestion de la Ville de Montréal. « Nous ne connaissons pas encore le fond de l'affaire dans le dossier de l'espionnage à l'Hôtel de ville de Montréal. Les gestes posés restent tout à fait inacceptables à nos yeux », a ajouté François Limoges, conseiller de Saint-Édouard. « Gérald Tremblay et son équipe de proches collaborateurs ont démontré, dans la conduite de ce dossier, qu'ils sont toujours aussi prompt à trahir l'esprit des institutions municipales pour mener une cabale personnelle contre quiconque considéré comme leur ennemi », a conclu Alex Norris, conseiller du Mile End et porte-parole en matière de gouvernance.
Catherine Maurice
Attachée de presse de la 2e opposition
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