- Plus de la moitié des chefs de la direction canadiens disent qu'ils embauchent pour des postes qui n'existaient pas l'an dernier en raison de l'IA générative, mais qu'ils ont du mal à pourvoir les postes clés dans le domaine de la technologie.
- 72 % des chefs de la direction canadiens révèlent qu'ils prendront plus de risques que leurs concurrents pour faire face à la concurrence.
- 62 % des chefs de la direction canadiens affirment que les gains de productivité découlant de l'automatisation sont si grands qu'ils sont prêts à accepter un risque.
MARKHAM, ON, le 29 mai 2024 /CNW/ - Une étude effectuée par l'Institut de recherche en valeur commerciale d'IBM (NYSE : IBM) a révélé que l'IA stimule la création d'emplois et la prise de risques parmi les chefs de la direction canadiens interrogés, qui accordent la priorité à l'IA générative pour maintenir et renforcer leur avantage concurrentiel sur le marché mondial tout en transformant leur main-d'œuvre pour répondre aux nouvelles demandes.
Le Canada était l'un des 30 pays inclus dans cette étude mondiale annuelle d'IBM menée auprès de 3 000 chefs de la direction. Les thèmes clés qui dominent les résultats canadiens comprennent la volonté des chefs de la direction d'accepter des risques dans un paysage de plus en plus concurrentiel alimenté par l'IA générative. En fait, 64 % des chefs de la direction canadiens croient que l'avantage concurrentiel dépend de la possession des capacités d'IA générative les plus avancées, ce qui est plus élevé que la moyenne mondiale de 59 %. De plus, 62 % des chefs de la direction canadiens affirment que les gains de productivité découlant de l'automatisation sont si grands qu'ils doivent accepter des risques pour demeurer concurrentiels et 72 % disent qu'ils prendront plus de risques que leurs concurrents pour maintenir leur avantage concurrentiel.
« Nous sommes à un point de bascule avec l'IA générative, car les chefs de la direction canadiens passent de l'expérimentation à l'intégration, laquelle a un impact réel sur l'entreprise », a déclaré Craig Eaket, associé délégué, IBM Conseil Canada. « Comme pour tout changement transformationnel, il y a des défis à relever, mais il y a aussi une reconnaissance généralisée de l'énorme opportunité que représente l'IA pour l'augmentation de la productivité. La valeur commerciale potentielle est extraordinaire. »
« L'automatisation des processus ne consiste pas à remplacer une personne. Il s'agit de valoriser les personnes en rendant le travail humain plus humain », a déclaré Javier Tamargo, chef de la direction, 407 ETR. « L'IA a un rôle à jouer pour nous aider à progresser afin de fournir un meilleur service à nos clients. »
Les résultats montrent également que l'IA générative continue d'alimenter d'importants changements au niveau de la main-d'œuvre. Alors que plus de la moitié des chefs de la direction canadiens révèlent qu'ils n'ont pas encore évalué l'impact de l'IA générative sur leurs employés, ils croient que la main-d'œuvre augmentera de près de 6 % au cours des trois prochaines années. En fait, alors que 59 % des chefs de la direction canadiens interrogés déclarent que leurs équipes possèdent les compétences et les connaissances nécessaires pour intégrer l'IA générative, 52 % révèlent qu'ils recrutent pour des postes qui n'existaient pas l'année dernière en raison de l'IA générative. Malgré cette poussée, toutefois, 58 % des chefs de la direction canadiens affirment qu'ils ont déjà du mal à pourvoir les postes clés dans le domaine de la technologie, ce qui met en évidence le défi persistant que représente la recherche de talents qualifiés.
L'étude IBM révèle également que les chefs de la direction reconnaissent qu'une bonne gouvernance est essentielle à une IA générative efficace, un domaine dans lequel les répondants canadiens se donnent les meilleures notes. De tous les pays étudiés, les chefs de la direction canadiens sont les plus satisfaits de leurs plans de gouvernance en matière d'IA, 48 % étant d'avis qu'ils ont une bonne gouvernance en place aujourd'hui, ce qui est nettement supérieur à la moyenne mondiale de 39 %. Le Brésil arrive en deuxième position avec 43 % et l'auto-évaluation des États-Unis les place en dernière position avec 32 %.
Voici d'autres résultats clés de l'étude :
- Seulement 22 % des chefs de la direction canadiens considèrent que l'expérience client est importante pour la transformation de l'entreprise, ce qui est inférieur à la moyenne mondiale de 30 %.
- Les chefs de la direction canadiens sont plus nombreux (35 %) que la moyenne mondiale (26 %) à considérer l'efficacité et les économies de coûts comme l'objectif principal de leur déploiement de l'IA.
- 43 % des chefs de la direction canadiens accordent la priorité à la modernisation technologique au cours des trois prochaines années (9 % de plus que la moyenne mondiale) et 34 % accordent la priorité à leur écosystème et à leurs partenariats, soit plus que la moyenne mondiale de 24 %.
Pour voir l'étude complète, y compris des stratégies exploitables pour aider les organisations à naviguer dans la complexité de l'adoption de l'IA générative, visitez: https://www.ibm.com/downloads/cas/QJ2BYLZG
Pour plus d'informations sur IBM Canada, visitez le site www.ibm.com/ca-fr
Méthodologie de l'étude : L'Institut de recherche en valeur commerciale d'IBM, en collaboration avec Oxford Economics, a réalisé des entretiens avec 3 000 chefs de la direction de plus de 30 pays et 26 secteurs d'activité de décembre 2023 à avril 2024 dans le cadre de la 29e édition de la série d'étude IBM auprès du groupe des chefs opérationnels. Ces conversations portaient sur les priorités commerciales, le leadership, la technologie, le talent, le partenariat, la réglementation, la perturbation de l'industrie et la transformation de l'entreprise.
Personne-ressource pour les médias
Lorraine Baldwin
Communications d'IBM Canada
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SOURCE IBM
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