Fuite de pétrole aux États-Unis - L'Association pétrolière et gazière du
Québec tient à rappeler que les activités menées par ses membres au Québec
sont sécuritaires et respectueuses de l'environnement
QUÉBEC, le 29 juill. /CNW Telbec/ - Les activités menées par les membres de l'Association pétrolière et gazière du Québec (APGQ) se font dans le respect du cadre règlementaire que s'est donné le Québec en la matière. Ce cadre existe depuis plusieurs dizaines d'années, ainsi plusieurs permis concernant l'eau, l'air et la gestion des ressources sont requis des autorités québécoises avant de procéder à un forage. D'ailleurs, depuis les années 70, le sous-sol québécois a été le siège d'activités de forage sans que l'on connaisse d'incidents ayant fait l'objet de grande préoccupation.
Rappelons que le gaz est transporté par gazoduc. Au Canada, le réseau de gazoduc s'étend sur plus de 54 000 kilomètres et il permet d'acheminer le gaz à partir des régions productrices jusqu'aux marchés de consommation. Il n'y pas de déversement liquide possible dans le cas d'un gazoduc.
Par ailleurs, rappelons que le gaz naturel est un produit transparent et qu'il est transporté par gazoduc à l'état gazeux. Qualifier le gaz naturel de produit noir et gluant constitue de la désinformation visant à inquiéter la population. Ceci ne sert pas l'économie québécoise qui achète à l'extérieur du Québec pour 2 milliards de dollars de gaz par année, alors qu'elle pourrait s approvisionner au Québec.
"Au Québec, le gouvernement a déjà mis en en place des lois et des règlements qui font l'envie de plusieurs États en matière de protection de l'environnement et en particulier de l'eau. Pour nous, cette réglementation doit faire en sorte que seul des joueurs responsables puissent participer au développement énergétique du Québec", a indiqué M. André Caillé, président de l'APGQ.
La question de l'eau est l'enjeu le plus important pour l'industrie gazière qui la prend très au sérieux. Les membres de l'APGQ prennent tous les moyens afin de s'assurer de préserver la ressource en eau et de minimiser l'impact des activités sur l'environnement et sur les communautés locales.
"L'industrie gazière est nouvelle et encore méconnue au Québec. Nous entendons travailler sans relâche pour bien expliquer ses façons de faire et pour que la population puisse mieux comprendre tout son potentiel. L'autosuffisance en gaz du Québec générera 7 500 emplois de qualité par année au cours des 15 prochaines années" a conclu M. André Caillé, président de l'APGQ.
Renseignements: 418-648-1233; Source: Association pétrolière et gazière du Québec
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