La TD avance que la formule idéale pour harmoniser vos finances pourrait s'avérer aussi simple que de trouver des valeurs et des objectifs partagés.
MONTRÉAL, le 7 mars 2014 /CNW/ - La famille québécoise continue d'évoluer, ce qui entraîne parfois une gestion financière d'autant plus complexe. Bien que les couples mariés représentent encore 36 % des familles au Québec, d'autres types d'unité familiale - notamment les unions de fait et la monoparentalité - gagnent du terrain. D'après un récent sondage commandé par la TD, 14 % des Québécois qui sont séparés, divorcés, conjoints de fait, remariés ou veufs ont déjà recommencé à neuf avec un autre partenaire ou pensent à le faire. De plus, les données du dernier recensement indiquent qu'un enfant sur dix au Canada vit dans une famille reconstituée, et 40 % de ces familles sont formées de deux familles réunies. Parmi les Québécois qui pensent recommencer à neuf, près des trois quarts (73 %) disent accorder une grande priorité à la prise de décision sur l'harmonisation de leurs finances.
« La plupart des gens qui commencent une nouvelle relation possèdent déjà une routine financière bien établie qui devra être accordée à celle de leur nouveau partenaire », affirme Mo Belleus, directeur de succursale chez TD. « Bien sûr, les finances sont un sujet délicat, surtout en début de relation, mais elles doivent impérativement faire l'objet de discussions franches afin d'assurer l'avenir financier de la famille reconstituée. »
Selon le sondage de la TD, les Québécois qui recommencent à neuf étaient plus susceptibles de considérer l'harmonisation des finances comme une grande priorité que les autres Canadiens du même groupe. Pour ceux qui accordent la priorité à l'harmonisation de leurs finances, les principales préoccupations portent sur l'organisation des finances quotidiennes, citée par 69 % des répondants, suivie de la recherche de gains d'efficacité en matière d'épargne ou de budget (45 %). Moins du quart des répondants (23 %) ont affirmé prioriser l'optimisation des occasions de placement pour le couple. Les Québécois se sont révélés être les moins prompts (27 %) des Canadiens à faire une priorité de l'ouverture d'un compte conjoint.
Évitez les conflits et les déceptions
« Les conversations sur l'argent sont parfois difficiles, mais c'est grâce à elles que les familles peuvent prendre des mesures pour régler tout problème qui pourrait surgir plus tard », explique Kimberly Moffit, psychothérapeute et experte des relations personnelles. « Souvent, résoudre les problèmes financiers peut aider le couple à gérer plus facilement d'autres aspects de la relation et à éviter les conflits ou les déceptions plus tard. »
Mo Belleus, de la TD, abonde dans le même sens et suggère aux personnes qui recommencent à neuf de voir cela comme une belle occasion de réévaluer leur plan financier avec un conseiller et de s'assurer que leurs stratégies s'harmonisent avec celles de leur partenaire pour optimiser l'épargne et le remboursement des dettes tout en respectant les priorités financières communes du ménage.
Objectifs communs, stratégie concertée
« L'harmonisation des finances représente bien plus que d'ouvrir un compte conjoint », explique M. Belleus. « Il faut se fixer des objectifs communs et travailler à les atteindre ensemble, qu'il s'agisse d'épargner pour ses premières vacances en famille, de rembourser le solde d'une carte de crédit ou, éventuellement, d'acheter une plus grande maison ensemble. »
Peu importe les priorités communes, il importe selon Mo Belleus de trouver des mesures qui simplifieront la gestion concertée des finances. Pour profiter de gains d'efficacité, les couples peuvent avoir recours à des virements préautorisés afin d'automatiser leur épargne - dans un CELI, un REER ou un REEE pour les enfants - ou de rembourser plus rapidement un prêt hypothécaire ou le solde d'une carte de crédit. Surtout, le couple doit élaborer de concert une approche commune envers des questions financières comme les placements d'épargne-retraite, l'épargne-études destinée aux enfants, le remboursement des dettes et les dépenses courantes. Cela comprend aussi la mise en place d'un filet de sécurité pour protéger la nouvelle cellule familiale en cas d'événement imprévu, comme une perte d'emploi.
« Si une moitié de la famille était habituée à acheter des repas à emporter quelques soirs par semaine tandis que l'autre moitié préférait auparavant utiliser ces mêmes fonds pour hausser le remboursement hypothécaire mensuel, il faut s'attendre à ce que ces valeurs différentes finissent par créer des tensions dans la relation », dit Mme Moffit. « Je suggère souvent d'organiser un conseil de famille pour discuter des priorités du ménage et travailler ensemble à trouver une approche complémentaire tant pour établir une routine quotidienne que pour la gestion des finances. »
Au sujet du sondage TD Canada Trust sur les familles d'aujourd'hui et l'harmonisation des finances
TD Canada Trust a confié au groupe Environics Research le mandat de mener un sondage personnalisé en ligne auprès de 1 950 Canadiens, dont 651 Québécois, âgés de 18 ans et plus et qui vivent en union libre ou sont séparés, divorcés, remariés ou veufs. Les réponses ont été recueillies entre le 11 et le 25 février 2014.
À propos de Conseils de placement privés, Gestion de patrimoine TD
Conseils de placement privés, Gestion de patrimoine TD est une division de TD Waterhouse Canada Inc., une filiale de La Banque Toronto-Dominion. TD Waterhouse Canada Inc. (membre du Fonds canadien de protection des épargnants).
SOURCE : TD Canada Trust
Charles Durivage
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Fiona Hirst
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