Groupe BMTC inc. annonce un lock-out de ses 37 conseillers et conseillères à la vente de son magasin Brault & Martineau de Laval : la Société a la responsabilité de maintenir son leadership dans son marché en conservant son modèle d'affaire qui assure son succès depuis plus de 56 ans English
MONTREAL, le 21 mars 2016 /CNW Telbec/ - Groupe BMTC inc. (la « Société ») (TSX: GBT) annonce un lock-out de ses 37 conseillers et conseillères à la vente de son magasin Brault & Martineau de Laval pour une période indéterminée. Le magasin Brault & Martineau de Laval demeurera ouvert durant cette période et la Société rassure sa clientèle que les heures d'ouverture du magasin ainsi que son service à la clientèle et les services de livraison seront maintenus sans interruption.
Dans une décision rendue le 7 décembre 2015, la Commission des relations du travail du Québec a accordé l'accréditation à la section locale 501 des Travailleurs et travailleuses unis de l'alimentation et du commerce de représenter les 37 conseillers et conseillères à la vente ainsi que les 17 employés de bureau du magasin Brault & Martineau de Laval. À ce jour, il s'agit du seul magasin dont les conseillers et conseillères à la vente et les employés de bureau sont syndiqués sur l'ensemble des 38 points de vente de la Société qui exerce depuis plus de 56 ans une importante entreprise québécoise de vente au détail de meubles et d'appareils électroniques et électroménagers.
Les 17 employés de bureau du magasin de Laval ont récemment déposé un projet de convention collective de travail et les premières négociations sont prévues les 6 et 8 avril prochain. La Société est très confiante qu'une entente pourra être conclue rapidement et sans conflit de travail avec ce groupe d'employés syndiqués.
C'est avec beaucoup de regret que la Société fait face au conflit de travail avec ses conseillers et conseillères à la vente. Par contre, le syndicat ne laisse aucun choix à la Société, tant par la nature de ses demandes que l'intransigeance dont il fait preuve à la table de négociations. Une partie importante des demandes du syndicat font abstraction du contexte concurrentiel dans lequel la Société opère et modifient l'essence même de son modèle d'affaire. Ces demandes syndicales auraient comme effet de réduire la qualité du service à la clientèle en magasin et de modifier l'expérience d'achat de nos clients en magasin, lesquelles sont pourtant essentielles au succès de l'entreprise. Ces demandes sont irréalistes et déraisonnables.
Les conseillers et conseillères à la vente de la Société bénéficient actuellement des meilleures conditions de travail dans notre marché. Ils sont d'ailleurs les mieux rémunérés dans notre marché et nous sommes une des rares entreprises dans notre industrie qui offre un régime de retraite à tous ses conseillers et conseillères à la vente et à son personnel de soutien.
La Société s'étonne que les représentants syndicaux refusent de reconnaître que les conditions de travail de ses conseillers et conseillères à la vente sont les meilleures dans notre marché et que le succès de cette entreprise québécoise repose sur son modèle d'affaire.
La Société estime que son modèle d'affaire, basé sur l'excellence du rapport qualité-prix des produits offerts, l'expérience d'achat de nos clients en magasin et la qualité de son service à la clientèle, est l'essence même de son succès qui lui a permis d'établir son leadership dans le marché et ce, malgré une compétition accrue au fil des années. La Société a la responsabilité de demeurer leader dans son marché.
Afin de maintenir son leadership dans son marché, la Société doit continuer à offrir à ses conseillers et conseillères à la vente les meilleures conditions de travail. Par contre, la Société ne peut accepter des demandes du syndicat qui mettent en péril son modèle d'affaire. La Société ne peut non plus accepter des demandes qui imposent une charge financière déraisonnable, compte tenu du fait que les conditions de travail actuelles sont déjà les meilleures du marché et que la Société évolue dans un environnement concurrentiel féroce.
Le cadre de cette toute première convention collective affectant les 37 conseillers et conseillères à la vente du magasin Brault & Martineau de Laval est déterminant pour l'avenir de la Société et guidera ses opérations pour les années futures. La Société entend demeurer le chef de file dans son industrie et par le fait même de continuer à permettre à la population québécoise d'apprécier leur expérience d'achat dans nos points de vente et notre service à la clientèle.
La direction est d'avis que tous ses employés sont les artisans du succès de la Société, par contre ceci ne donne pas le droit à un groupe restreint de 37 employés sur plus de 2 187 employés de prendre son avenir en otage.
Énoncés prospectifs
Le communiqué de presse contient certains énoncés prospectifs qui comportent divers risques et incertitudes. Les énoncés prospectifs concernent des événements et un rendement futurs. On peut parfois, mais pas toujours, repérer les énoncés prospectifs par leur emploi de verbes au mode futur et conditionnel et de mots comme « prévoir », « projeter », « s'attendre à », « croire », « estimer », « prédire », « potentiel », « continuer », ou la forme négative de ces termes et expressions ou d'autres mots semblables. Ces énoncés reflètent l'avis et les estimations de la direction de Groupe BMTC inc. relativement aux événements futurs, à la date où ils sont formulés, et supposent des risques et des incertitudes connus et inconnus qui peuvent faire en sorte que les événements ou les résultats différeront considérablement de ceux prévus dans les énoncés prospectifs. En étudiant ces énoncés, les lecteurs devraient porter une attention particulière à des facteurs tels que les risques qui sont décrits à la rubrique « Facteurs de risque » de la notice annuelle de Groupe BMTC inc., qui peut être consultée à l'adresse www.sedar.com. Groupe BMTC inc. a tenté de cerner les facteurs importants qui peuvent faire en sorte que des mesures, des événements ou des résultats réels diffèrent de façon importante de ceux dont il est fait mention dans les énoncés prospectifs, mais d'autres facteurs peuvent faire en sorte que des mesures, des événements ou des résultats ne correspondent pas à ceux qui étaient prévus. Groupe BMTC inc. n'est pas tenu (et décline expressément une telle obligation) de mettre à jour les énoncés prospectifs si les circonstances ou l'avis ou les estimations de la direction changent. En conséquence, les lecteurs ne devraient pas se fier indûment à de tels énoncés prospectifs.
SOURCE Groupe BMTC Inc.
M. Yves Des Groseillers, Président du conseil d'administration et Président et chef de la direction, Groupe BMTC inc., (514) 648-5757
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