La dotation permettra de recruter des scientifiques remarquables qui assumeront un jour des rôles de premier plan au sein de l'Institut de virologie Li Ka Shing, laquelle compte déjà certains des meilleurs virologues et immunologues du Canada qui étaient en première ligne pour la recherche sur les traitements et vaccins contre la COVID-19.
« GSK croit qu'il est dans notre intérêt collectif fondamental de veiller à ce que les centres et les leaders d'opinion soient soutenus. C'est ce qui permet de préserver et de favoriser l'excellence en matière de recherche et de lier l'innovation à l'accès éventuel au patient, en plus d'attirer et de retenir les meilleurs talents », souligne Marni Freeman, vice-présidente et directrice médicale chez GSK Canada. « Par l'annonce d'aujourd'hui, nous réitérons notre solide appui à l'Université de l'Alberta, à l'Institut de virologie Li Ka Shing et au Dr Tyrrell, alors qu'ils contribueront activement à élargir le rôle de la Chaire de recherche GSK en virologie et propulserons des découvertes de pointe vers des solutions qui changent des vies. »
« L'Institut de virologie Li Ka Shing est une source exceptionnelle de recherche médicale et d'innovation ici même en Alberta qui a valu au Canada son deuxième prix Nobel de médecine en un peu moins de 100 ans », ajoute l'honorable Nate Glubish, ministre de la Technologie et de l'Innovation, du gouvernement d'Alberta. « Cet investissement de GSK s'ajoutera au financement de plus de 20 millions de dollars d'Alberta Innovates à l'Institut de virologie appliquée Li Ka Shing sur quatre ans pour stimuler davantage la recherche et l'innovation, renforçant notre système de santé et offrant de meilleurs traitements aux patients du monde entier. Un autre exemple du succès de l'Alberta dans la construction d'une réputation de plaque tournante technologique mondiale en pleine croissance. »
Ce financement est le plus récent jalon d'une relation qui dure depuis des décennies entre l'Université de l'Alberta et GSK, et il contribue à positionner l'université comme chef de file de la recherche virologique et immunologique, tant au Canada qu'à l'échelle mondiale.
« Les relations fructueuses à long terme avec des partenaires du secteur comme GSK sont essentielles pour bâtir l'infrastructure et former les gens dont nous avons besoin dans un secteur biotechnologique en expansion qui permettra de créer des emplois et de continuer d'attirer des gens de haut calibre », a déclaré le Dr Tyrrell, directeur de l'Institut de virologie Li Ka Shing.
La Chaire de recherche GSK en virologie a été créée en 1996 grâce à un investissement initial de 1,75 million de dollars, auquel s'ajoutait une contribution de 1,25 million de dollars du gouvernement de l'Alberta. En 2009, GSK s'était engagée à verser 5 millions de dollars supplémentaires pour l'achat et l'entretien d'installations et d'équipement propres à un laboratoire central dans le nouvel institut. Ces installations servant au traitement des pathogènes hautement infectieux se sont révélées d'une valeur inestimable pour les chercheurs de l'Université de l'Alberta lorsque la pandémie de COVID-19 est survenue.
Les investissements de GSK ont joué un rôle clé dans la création de l'Institut de virologie Li Ka Shing en 2010 et dans le recrutement du docteur Michael Houghton à titre de titulaire de la Chaire d'excellence en recherche du Canada sur la virologie, selon Dr Tyrrell, directeur et fondateur de l'Institut de virologie Li Ka Shing et titulaire de la Chaire de recherche GSK depuis sa création. Dr Houghton a par la suite reçu le prix Nobel de physiologie ou médecine en 2020 avec deux autres scientifiques pour la découverte du virus de l'hépatite C.
« La COVID-19 a changé notre monde, fait remarquer le docteur Tyrrell, et l'Université de l'Alberta a gagné en force grâce au recrutement d'un certain nombre de très bons scientifiques. »
GSK a été l'une des premières sociétés pharmaceutiques à appuyer la recherche médicale universitaire au Canada par son soutien à Dr Tyrrell et à Dr Morris Robins en 1987 dans la mise au point d'antiviraux contre l'hépatite B, la maladie du foie la plus répandue dans le monde. Leur travail a mené à l'homologation, en 1998, de la lamivudine, le premier médicament antiviral à prise orale servant à traiter l'infection chronique par l'hépatite B. À l'époque, l'hépatite B était la neuvième cause de décès dans le monde, car les cancers et les cirrhoses qui y étaient attribuables tuaient pratiquement un million de personnes chaque année.
« Nous n'aurions pas pu y arriver sans le financement de GSK », explique Lorne Tyrrell. « Le financement du secteur nous permet de transformer des substances découvertes dans les universités en produits vendus en pharmacie auxquels des patients ont accès. »
À propos de l'Université de l'Alberta
L'Université de l'Alberta à Edmonton est l'une des meilleures universités d'enseignement et de recherche au Canada, avec une réputation internationale d'excellence dans les sciences humaines, les sciences, les arts créatifs, les affaires, l'ingénierie et les sciences de la santé. L'université et ses gens restent attachés à la promesse faite en 1908 par le président fondateur Henry Marshall Tory que la connaissance doit être utilisée pour « élever tout le peuple ».
À propos de GSK
Nous sommes une société biopharmaceutique mondiale dont la raison d'être est de réunir la science, la technologie et le talent, car ensemble, il est possible de prendre une longueur d'avance sur la maladie.
Nous fabriquons des vaccins novateurs et des médicaments spécialisés pour prévenir les maladies et les traiter. Notre R-D est axée sur l'aspect scientifique du système immunitaire, de la génétique humaine et des technologies de pointe. Nous visons à améliorer la santé de 2,5 milliards de personnes au cours des 10 prochaines années. Pour en savoir plus, consultez le site www.ca.gsk.com.
SOURCE GlaxoSmithKline Inc.
Université de l'Alberta: [email protected] | 780 297 8354; GSK Canada : 1 855 593 6274
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