Il n'y a aucun doute que le premier ministre souhaite rouvrir le débat sur l'avortement English
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Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier27 avr, 2012, 13:30 ET
OTTAWA, le 27 avril 2012 /CNW/ - « Si le premier ministre était sérieux quand il dit ne pas vouloir rouvrir le débat sur les droits de reproduction, il aurait pris des mesures pour que le sujet cesse d'être évoqué à la Chambre des communes », affirme Dave Coles, président de l'un des plus grands syndicats du secteur privé au Canada.
Le président du Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier déclare : « Je ne crois pas une minute lorsque Stephen Harper prétend ne pas vouloir que cette question soit déterrée à nouveau. »
« Rien ne rebondit au Parlement de cette manière sans l'appui du premier ministre. »
« Il n'arrive pas souvent qu'un projet de loi d'initiative parlementaire n'ait pas l'appui du premier ministre. »
« Si le premier ministre ne souhaitait pas que cette question soit débattue à la Chambre des communes, elle n'y serait pas. »
« Le SCEP et plusieurs autres syndicats ont été au premier rang de la lutte pour s'assurer qu'une femme ait le droit de choisir et que les gouvernements ne reviennent pas en arrière en matière de droits de reproduction. Et nous avons l'intention de continuer d'exercer des pressions pour révéler les véritables intentions du gouvernement Harper. »
Dave Coles (613) 299-5628
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