Instantané : comment les Canadiens voient l'économie

Les Canadiens plus optimistes qu'en 2011 quant à l'avenir de l'économie du pays

TORONTO, le 13 nov. 2012 /CNW/ - Un sondage récent de la Banque Scotia révèle que les Canadiens ont une vision plus optimiste de l'économie, mais qu'ils restent hésitants sur les stratégies de placement personnelles à adopter dans une conjoncture économique fluctuante. L'optimisme à l'égard de l'économie est passé à 49 %, en forte hausse par rapport aux 39 % de l'an dernier. Malgré ce regain d'optimisme, 62 % des Canadiens jugent plus sage de ne pas modifier la part de leur actif investie sur le marché pour le reste de l'année. Ce sondage révèle également ce qui suit :

• Cette année, les deux facteurs qui ont le plus d'influence sur la décision des Canadiens d'étoffer ou non leurs placements sont l'état de l'économie (72 %) et la fluctuation des conditions du marché (71 %).
• L'économie inspire plus d'optimisme, mais demeure une source de préoccupation à l'égard des placements pour 63 % des Canadiens - autant que l'an dernier.
• 29 % des Canadiens privilégient les catégories de placement plus sûres dans le cadre de leur stratégie financière pour le reste de l'année.

« Les marchés mondiaux étant devenus plus volatils plus tôt cette année et l'année 2013 s'annonçant imprévisible, il n'est pas étonnant que les décisions de placement de bien des Canadiens restent marquées par la prudence, explique Andrew Pyle, conseiller en gestion de patrimoine à ScotiaMcLeod. Peu importe la conjoncture économique, la meilleure pratique consiste à revoir régulièrement votre évaluation du risque lié à vos placements. Un planificateur financier peut vous aider à voir où vous en êtes et où vous devez vous diriger en fonction de votre tolérance du risque et du mode de vie auquel vous aspirez. »

À propos du sondage
Le sondage pour le compte de la Banque Scotia a été mené au moyen du téléphone omnibus d'Harris/Decima, teleVox, du 18 au 28 juin 2012. Au total, 2 013 Canadiens de plus de 18 ans ont été interrogés.

À propos de la Banque Scotia
La Banque Scotia est l'une des principales institutions financières en Amérique du Nord et la plus internationale des banques canadiennes. Fortes de leur effectif de plus de 81 000 employés, la Banque Scotia et ses sociétés affiliées comptent quelque 19 millions de clients dans plus de 55 pays. La Banque Scotia offre une large gamme de produits et de services aux particuliers, aux petites et moyennes entreprises, aux grandes entreprises, ainsi que des services de banque d'investissement. L'actif de la Banque Scotia s'établit à 670 milliards de dollars (au 31 juillet 2012). Les actions de la Banque Scotia sont cotées en bourse à Toronto (BNS) et à New York (BNS). Pour en savoir davantage, veuillez consulter le site de la Banque au www.banquescotia.com.

Le saviez-vous ? Novembre est le mois de la littératie financière. Pour connaître la stratégie de littératie financière de la Banque Scotia, veuillez lire le communiqué de presse à ce sujet dans le Centre des médias de la Banque Scotia au www.banquescotia.com.

FICHE D'INFORMATION : Comment les Canadiens voient l'économie

• Les Albertains sont plus optimistes que presque tous les autres quant à l'économie canadienne (68 %).
• Lorsqu'on leur demande quelle est la stratégie de placement la plus sage pour l'année, seuls 9 % des Canadiens disent qu'ils investiraient davantage sur le marché, les hommes (13 %) étant plus susceptibles que les femmes (6 %) d'adopter cette approche.
• Les Albertains (19 %) sont les plus susceptibles d'investir davantage sur le marché dans le cadre d'une stratégie de placement judicieuse.
• En matière de placement, les Canadiens plus âgés sont plus nombreux à se soucier des fluctuations de l'économie (66 % des personnes de 45 à 54 ans et de 55 ans et plus) que les Canadiens de 18 à 34 ans (54 %).
• Les Québécois et les Ontariens (74 % chacun) sont plus susceptibles que les Albertains (63 %) de dire que l'état de l'économie a un impact sur leurs décisions de placement, mais il n'y a pas de différences régionales dans les réponses se rapportant à l'impact de la fluctuation des conditions du marché sur ces décisions.
• 63 % des Canadiens disent que le risque de perte à court terme a un impact sur leurs décisions de placement.

SOURCE : Banque Scotia

Diana Hart
Banque Scotia
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