Institut de cardiologie de l'Université d'Ottawa - Avis aux médias
OTTAWA, le 29 avr. /CNW Telbec/ -
QUI : La médaillée olympique de patinage artistique, Joannie Rochette, s'associe à l'Institut de cardiologie de l'Université d'Ottawa (ICUO) pour mamandemoncœur - une campagne dynamique visant à lutter contre la maladie du cœur, la principale cause de décès chez les femmes. QUOI : Regarder les vidéos de Joannie et d'autres femmes au www.mamandemoncoeur.ca et découvrir pourquoi les femmes doivent connaître les dangers associés à la maladie du cœur, quel que soit leur âge. Regarder les vidéos "Les femmes et la maladie du cœur : dix choses à savoir et à faire", et bien plus, sur notre canal YouTube au http://www.youtube.com/user/ottawaheart ou dans la page Facebook de l'Institut de cardiologie au http://bit.ly/InstitutdecardiologieFacebook. Se renseigner sur les femmes et la santé cardiaque en visitant le site de l'Institut de cardiologie au http://www.ottawaheart.ca/french/maladie_du_coeur/femmes-et-la-maladie-du-coeur.htm. Découvrir les témoignages de femmes qui ont choisi de partager leur expérience de la maladie du cœur dans l'onglet "Discussions" de la page Facebook (anglaise) de l'Institut de cardiologie au http://bit.ly/HeartInstituteFacebook. Regarder des photos de Joannie à l'occasion du lancement de notre campagne, et bien plus, dans Flickr au http://www.flickr.com/photos/ottawaheart. POURQUOI : Le fait que la maladie du cœur représente la principale cause de décès chez les femmes est méconnu. En collaborant avec l'Institut de cardiologie, Joannie souhaite contribuer à changer l'attitude des femmes envers la maladie du cœur, à améliorer la compréhension de celle-ci, à accroître les mesures de prévention, à stimuler la recherche cardiaque et à recueillir des fonds. En 2005, plus de 25 000 Canadiennes sont décédées d'une maladie du cœur. Les femmes représentent 50 % des cas de décès attribuables à la maladie du cœur. Le risque de maladie du cœur augmente avec l'âge et la survenue de la ménopause, mais les crises cardiaques ne sont pas rares chez les femmes dans la trentaine.
Renseignements: Marlene Orton, Gestionnaire principale, Affaires publiques, Institut de cardiologie de l'Université d'Ottawa, (613) 761-4427, [email protected]
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