Investisseur ou épargnant? Près de la moitié des Canadiens estiment
qu'épargner est plus simple qu'investir : sondage de la Banque Scotia
- Seul un Canadien sur dix croit qu'il est plus simple d'investir que d'épargner
TORONTO, le 29 nov. /CNW/ - Pour les Canadiens, « investir » leur fait d'abord penser aux actions (17 %) et « épargner », à l'argent (28 %). En outre, près de la moitié des Canadiens (46 %) affirment qu'il leur est plus facile d'épargner que d'investir, selon un sondage récent de la Banque Scotia, réalisé par Harris/Decima, sur les habitudes d'épargne et de placement des Canadiens. Par ailleurs, certains (11 %) croient qu'investir est plus simple, tandis que le reste des Canadiens ne voient pas de différence entre épargner et investir, soit qu'ils estiment que ces deux démarches sont également difficiles (19 %) ou également faciles (24 %).
Ventilation régionale - Est-ce plus simple d'épargner que d'investir?
Total (%) | Région de l'Atlantique (%) | Québec (%) | Ontario (%) | Man./Sask. (%) | Alberta (%) | C.-B. (%) | |
Épargner | 46 | 41 | 41 | 47 | 48 | 50 | 53 |
Investir | 11 | 15 | 11 | 10 | 5 | 12 | 12 |
Tous deux faciles | 19 | 20 | 22 | 17 | 20 | 18 | 18 |
Tous deux difficiles | 24 | 24 | 27 | 26 | 27 | 21 | 16 |
Parmi les Canadiens ayant répondu qu'épargner est plus simple, la moitié (52 %) croient que l'épargne exige peu de recherches ou d'effort, et 36 % croient qu'elle est plus sûre que les placements. Par ailleurs, parmi ceux qui croient qu'investir est plus facile qu'épargner, 14 % fondent leur choix sur le fait que l'argent placé est plus difficile à retirer, puisqu'il est souvent immobilisé et que les retraits entraînent des pénalités. De ce groupe, 10 % ont indiqué que la possibilité d'investir automatiquement rendait cette option plus facile.
« Comme l'objectif de la Banque Scotia est de rendre les placements plus simples pour les Canadiens, nous voulions en savoir plus sur leurs opinions et leurs habitudes quant aux placements et comment les placements sont vus différemment que l'épargne », explique Gillian Riley, première vice-présidente et chef, Paiements, dépôts et crédits aux particuliers, Banque Scotia. « Pour un grand nombre, il existe une différence marquée entre les deux.
« Les Canadiens nous ont dit qu'ils voient l'épargne comme une façon sûre de mettre de l'argent de côté en vue du court terme, alors qu'ils associent les placements à la croissance et aux rendements à long terme, ce qui peut occasionner plus de risques », poursuit Mme Riley. « Souvent, la nature à court terme de l'épargne permet aux gens de se fixer des objectifs tangibles, tandis que les placements, et leur côté long terme, paraissent compliqués puisque les objectifs qui y sont associés semblent vagues et lointains. »
Bien que la plupart des Canadiens considèrent qu'investir est difficile, près de la moitié de la population (46 %) se voit comme investisseur et épargnant, et 10 % ne se voit que comme investisseur.
Ventilation régionale - Épargnant ou investisseur?
Total (%) | Région de l'Atlantique (%) | Québec (%) | Ontario (%) | Man./Sask. (%) | Alberta (%) | C.-B. (%) | |
Épargnant | 27 | 28 | 32 | 25 | 27 | 20 | 31 |
Investisseur | 10 | 10 | 9 | 11 | 6 | 11 | 9 |
Les deux | 46 | 39 | 38 | 48 | 45 | 58 | 47 |
Ni l'un ni l'autre | 17 | 24 | 21 | 16 | 22 | 10 | 13 |
« Investir pourrait être plus difficile qu'épargner pour certains, mais non impossible, et nous sommes ravis de constater que la majorité des Canadiens l'admettent », commente Mme Riley. « Il existe de nombreuses façons de faciliter un peu les placements; l'une d'entre elles étant de diviser les objectifs à long terme en étapes plus tangibles, à plus court terme. Par exemple, ce pourrait être plus facile de déterminer des objectifs si vous demandiez à votre planificateur financier ce que vous devriez faire au cours des cinq prochaines années pour que vous puissiez bien préparer votre avenir. »
Pour en savoir plus sur les placements en vue de votre avenir, consultez le site www.quelepargnecommence.com.
Que l'épargne commence est un programme de la Banque Scotia conçu pour inspirer les Canadiens et leur donner les moyens de réfléchir à leurs habitudes d'épargne, d'investissement et d'emprunt.
Fondé sur trois principes simples, Que l'épargne commence encourage les Canadiens à :
- épargner automatiquement, parce que ça marche;
- investir pour leur avenir, parce que personne d'autre ne le fera à leur place; et
- emprunter pour améliorer leur situation, et non pour s'endetter.
Banque Scotia
La Banque Scotia est l'une des principales institutions financières en Amérique du Nord et la plus internationale des banques canadiennes. Forts de leur effectif de près de 70 000 employés, le Groupe Banque Scotia et ses sociétés affiliées comptent environ 14,6 millions de clients dans une cinquantaine de pays. Outre des services bancaires d'investissement, la Banque Scotia offre une gamme complète de produits et de services aux particuliers, aux petites et moyennes entreprises ainsi qu'aux grandes sociétés. L'actif de la Banque Scotia s'établit à plus de 523 milliards de dollars (au 31 juillet 2010). Les actions de la Banque Scotia sont cotées en bourse à Toronto (BNS) et à New York (BNS). Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web de la Banque à l'adresse www.banquescotia.com.
Le sondage
En tout, 1 011 membres du panel, choisis au hasard partout au Canada, ont participé au sondage, réalisé du 14 au 25 octobre 2010.
Il s'agissait d'un sondage standard réalisé au moyen d'un échantillon aléatoire composé de membres canadiens du panel de Harris/Decima. Comme c'est le cas pour un sondage par téléphone, les adresses électroniques des membres du panel ont été choisies au hasard en fonction de spécifications précises afin que l'étude soit représentative de la population canadienne par région et par sexe. Les répondants ne connaissaient pas l'objet de l'étude lorsqu'on leur a demandé s'ils désiraient participer à un sondage. Harris/Decima contrôle l'accès au sondage au moyen de mots de passe pour faire en sorte que les répondants n'y participent qu'une seule fois. À la fin de l'étude, les données ont été pondérées par région, âge et sexe.
Renseignements:
Robyn Harper, Relations publiques, Banque Scotia, 416-933-1093, [email protected].
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