Invitation - Justice pour les femmes victimes de violences sexospécifiques : perspectives des actrices et acteurs du système pénal
Nouvelles fournies par
Regroupement québécois des Centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS)31 oct, 2022, 16:43 ET
Lancement de la dernière phase de la recherche
Justice pour les femmes victimes de violences
MONTRÉAL, le 31 oct. 2022 /CNW Telbec/ - En partenariat avec quatre organisations travaillant auprès des femmes victimes de violences, Judith Vernus, Sophie-Anne Morency et Rachel Chagnon (UQAM), Marie-Marthe Cousineau (Université de Montréal), Louise Riendeau (Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale) et Jennie-Laure Sully (Concertation des luttes contre l'exploitation sexuelle) dévoileront les résultats de la troisième et dernière phase de leur recherche portant sur l'accès à la justice des femmes victimes de violences jeudi le 3 novembre de 11h à 12h.
Ayant débuté en 2016, cette programmation de recherche est le résultat d'une collaboration de longue durée entre des chercheures universitaires (UQAM, Université de Montréal, Université d'Ottawa) et des chercheures communautaires (le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, la Fédération des maisons d'hébergement pour femmes, le Regroupement québécois des Centres d'Aide de Lutte contre les Agressions à Caractère Sexuelle et la Concertation des luttes contre l'exploitation sexuelle) dans le cadre du Service aux collectivités de l'UQAM. Elle visait à explorer l'accès des femmes victimes de violences (conjugale, sexuelle et exploitation sexuelle) au système de justice pénale au Québec afin de dégager des pistes de transformation pour mieux adapter le système à leurs besoins et réalités.
Alors que les deux premières phases de la recherche ont documenté les récits, réalités et connaissances de femmes victimes de violences sexospécifiques et celles d'intervenant·es sociales accompagnant des femmes marginalisées, cette dernière phase vise à les mettre en lien et à les faire dialoguer avec les perspectives des acteur·ices du système pénal recueillies dans le cadre de cette troisième phase.
Ultimement, il s'agit d'identifier des stratégies viables et durables visant à améliorer les services et l'accompagnement offerts aux femmes victimes de violences au Québec au sein du système pénal.
L'équipe de recherche présentera les recommandations tirées de ces trois phases de recherche, croisant celles de femmes victimes, d'intervenant·es et d'acteur·trice·s judiciaires, et celles des regroupements.
QUAND
Jeudi 3 novembre 2022
11h00 à 12h00
Plateforme : Zoom
Inscription obligatoire : https://www.eventbrite.ca/e/billets-femmes-victimes-de-violences-sexistes-et-justice-dialogues-et-strategies-422558502857
*Les journalistes inscrit.e.s recevront un hyperlien afin d'accéder au dévoilement du jeudi 3 novembre. Elles et ils recevront également le sommaire du rapport de recherche sur inscription. Le rapport de recherche complet et le sommaire des recommandations de l'équipe seront disponibles le jeudi 3 novembre.
Financement
Ce projet a bénéficié du soutien financier du Secrétariat à la condition féminine du Québec, du Réseau québécois en études féministes (RéQEF) et du Programme d'aide financière à la recherche et à la création de l'UQAM, volet 2 (Service aux collectivités : soutien au transfert de connaissances). Les conclusions présentées sont celles des autrices, partenaires et collaboratrices et ne représentent pas nécessairement celles des autres organismes ayant soutenu financièrement le projet.
SOURCE Regroupement québécois des Centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS)
Demandes média : Justine Chénier, Responsable des communications, Regroupement québécois des centres d'aide et de luttes aux agressions à caractère sexuel (RQCALACS), 514-346-5252, [email protected]; Elisabeth Viens Brouillard, coordonnatrice communications et relations de presse, Fédération des maisons d'hébergement pour femmes (FMHF), 514 233-8256, [email protected]; Eve-Marie Lampron, agente de développement au Service aux collectivités, Université du Québec à Montréal, [email protected]
Partager cet article