L'enseignement à distance comme principale tendance du rapport semestriel tiré de l'infolettre MineAvenir du 20 août 2020 au 28 janvier 2021
VAL-D'OR QC, le 13 mai 2021 /CNW Telbec/ - L'Institut national des mines (INMQ) diffuse aujourd'hui la publication « Tendances générales en formation minière. Rapport semestriel tiré de l'infolettre MineAvenir - 20 août 2020 au 28 janvier 2021 ». Cette publication composée d'articles révélés par la veille informationnelle hebdomadaire de l'INMQ est produite deux fois par année et contribue à orienter les recherches de l'organisation. Dans cet ouvrage couvrant la période s'étendant de la fin de l'été 2020 au début de l'hiver 2021, on constate que les conséquences de la crise sanitaire qui a débuté en mars 2020 se font toujours sentir sur les tendances en formation minière recensées.
Enseignement à distance comme principale tendance
La pandémie de la COVID-19 continue d'affecter le monde. Le recours à l'enseignement à distance s'est perpétué, ayant notamment pour effet de favoriser le lancement et la réalisation d'une multitude de projets visant à dynamiser et améliorer cette façon d'enseigner, en plus de contribuer à la création de nouveaux programmes d'études ou de formation et de permettre à ceux déjà existants d'explorer de nouvelles avenues pédagogiques. La diversification des modes d'enseignement constitue ainsi la principale tendance relevée dans cette veille informationnelle.
Des compétences à repenser à travers l'offre de formation
Parmi les compétences considérées comme étant les plus importantes à posséder pour évoluer dans un secteur minier en pleine transformation numérique figurent celles liées à l'intelligence artificielle et à l'analyse de données, à la cybersécurité, aux caractéristiques humaines et interpersonnelles et aux usages efficaces des outils et des plateformes numériques. Une nouvelle tendance s'est également dessinée en lien avec l'avènement de flottes de véhicules électriques de plus en plus présentes dans l'industrie. D'ailleurs, l'enjeu des compétences requises pour effectuer la conception et la maintenance de véhicules électriques dans le secteur minier pourrait solliciter un rehaussement de compétences pour des métiers en électricité ou en mécanique, pour ne nommer que ceux-ci. Améliorer l'employabilité demeure également en filigrane de ce rapport semestriel et nécessite la mise en place de formations correspondant aux besoins du secteur minier.
Grâce à ce rapport, l'Institut national des mines demeure à l'affût des tendances mondiales en éducation, et remplit adéquatement son rôle-conseil auprès des ministres de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur, respectivement M. Jean-François Roberge et Mme Danielle McCann. L'Institut national des mines contribue ainsi à maintenir les standards de qualité de la formation minière au Québec.
Il est possible de consulter la publication « Tendances générales en formation minière. Rapport semestriel tiré de l'infolettre MineAvenir - 20 août 2020 au 28 janvier 2021 » sur le site Web de l'Institut national des mines.
L'Institut national des mines a pour mission de soutenir le gouvernement dans l'exercice de sa responsabilité en matière d'éducation dans le secteur minier. Il a notamment pour mandat de maximiser la capacité de formation de la main-d'œuvre, en optimisant les moyens disponibles et en les utilisant selon une vision concertée de tous les acteurs du secteur minier.
SOURCE Institut national des mines
Karine Lacroix, conseillère en communication, Institut national des mines, 819 825-4667, poste 2904, [email protected]
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