L'Orchestre Métropolitain dévoile la programmation 2021-2022 : Plus près que jamais
MONTRÉAL, le 25 août 2021 /CNW Telbec/ - L'Orchestre Métropolitain et son directeur artistique et chef principal Yannick Nézet-Séguin sont heureux et fiers de dévoiler les détails de la programmation 2021-2022. Après l'attente et les aléas de la dernière année, les musiciens et leur chef sont heureux de retrouver le public dans l'intimité de la Maison symphonique, pour célébrer les 40 ans de la fondation de l'OM.
« Après 40 ans, notre Orchestre est plus uni que jamais : on se connaît par cœur, et on vibre ensemble au rythme de chaque phrasé qu'on vous offre, de chaque coup d'archet qu'on vous livre. Le temps nous a rendus encore plus complices, plus soudés. Je vous invite à vous envelopper de cette intimité, de ce lien que je chéris depuis plus de vingt ans, de cette union si spéciale qui nous apporte réconfort et confiance en l'avenir. Nous avons hâte de vous voir en salle, de vous sentir près de nous. » - Yannick Nézet-Séguin
L'OM renouvelle sa promesse de bâtir des ponts et d'offrir des concerts inoubliables tant en salle qu'à la maison, par l'entremise des webdiffusions.
Douze programmes, dont la moitié dirigée par Yannick Nézet-Séguin
Yannick Nézet-Séguin prendre part à six des douze programmes présentés. Il donnera le coup d'envoi à la saison 2021-2022 le jeudi 30 septembre en compagnie de la pianiste de renommée internationale Hélène Grimaud, avec le Concerto en sol majeur de Ravel.
Cinq des six chefs invités sont des femmes. L'Orchestre accueillera les cheffes Erina Yashima, JoAnn Falletta, Speranza Scappucci, Jane Glover ainsi que Nathalie Stutzmann pour son tout premier concert à Montréal sur le podium. Elles s'inscrivent dans la grande tradition de l'Orchestre qui, à l'instar d'Agnès Grossmann, première cheffe permanente de l'OM, ou de nos violons solos successifs, Denise Lupien et Yukari Cousineau, ont insufflé force et précision à l'Orchestre.
L'OM mettra à l'honneur des œuvres de compositrices que l'histoire a injustement négligées, comme Florence Price (Symphonie no 1), pionnière de la musique américaine, Louise Farrenc (Symphonie no 3) et Lili Boulanger (D'un matin de printemps). Avec un talent de mélodiste qui n'est pas sans rappeler celui de Mozart, le Chevalier de Saint-George, ce compositeur fils d'un noble français et d'une esclave guadeloupéenne, met les cordes de l'avant dans sa pétillante Symphonie no 1. Le public est invité à découvrir les univers fascinants de compositrices de notre époque telles que Barbara Assiginaak (Eko-Bmijwang, Aussi longtemps que la rivière coule), Jessie Montgomery (Strum) et Paola Prestini (Barcarola).
Pour une quatrième année consécutive, le chef Nicolas Ellis agira à titre de collaborateur artistique, en plus de diriger un programme qui réunira le Concerto pour orchestre de Bartók et le Concerto pour violon de Nielsen avec Yukari Cousineau, violon solo de l'OM.
De remarquables solistes
L'Orchestre Métropolitain accueillera à deux reprises le pianiste Nicholas Angelich, soliste en résidence de la saison, qui interprétera le Concerto no 5 de Beethoven ainsi que les deux premiers concertos de Rachmaninov, terminant ainsi le cycle des concertos pour piano du compositeur russe amorcé à l'automne 2018. Les artistes canadiens Kerson Leong et Stéphane Tétreault brilleront dans le Double concerto pour violon, violoncelle et orchestre de Brahms. Le public pourra savourer toute la virtuosité et le jeu chaleureux de MILOŠ, l'un des plus grands guitaristes de sa génération, dans Ink Dark Moon du compositeur britannique Joby Talbot.
Yannick Nézet-Séguin et l'OM poursuivront le cycle des symphonies de Sibelius avec la présentation de la Symphonie no 4, et interpréteront une commande de la compositrice québécoise Isabelle Panneton, intitulée Promenade. Ces œuvres seront jumelées à la grande fresque romantique du Concerto de Québec d'André Mathieu, interprété par le pianiste Jean-Philippe Sylvestre, qui fera entendre la voix d'un grand compositeur d'ici.
La soprano Adrianne Pieczonka fera une rare interprétation des Sept Lieder d'Alma Malher, et Daniel Lozakovich, l'un des plus jeunes musiciens signés sur la prestigieuse étiquette Deutsche Grammophon, livrera le Concerto pour violon no 2 de Prokofiev.
L'altiste Elvira Misbakhova et le clarinettiste Simon Aldrich émergeront de l'orchestre pour révéler leur talent de solistes, dans le Concerto pour clarinette et alto de Max Bruch. Enfin, le Chœur Métropolitain se joindra à l'Orchestre pour interpréter Un requiem allemand de Brahms, une œuvre universelle qui porte un regard bouleversant mais serein sur l'inéluctabilité de la mort.
Vivre la musique en salle… et à la maison
Les activités de l'Orchestre Métropolitain à la Maison symphonique de Montréal se déroulent dans le respect des normes sanitaires mises en place par le gouvernement du Québec.
Pour voir les dernières mises à jour.
Cinq des douze programmes seront captés et offerts en webdiffusion : (« Hélène Grimaud et Yannick Nézet-Séguin », Leong et Tétreault : cordes étincelantes », « Épopée nordique », « Brahms et son requiem allemand », ainsi que « Nicolas Angelich et Yannick Nézet-Séguin, programme 2 »).
Tous les détails de cette expérience virtuelle seront dévoilés au début de septembre.
Les concerts présentés dans le cadre du Conseil des arts de Montréal en tournée sont annulés.
Mise en vente des abonnements et des billets à l'unité
Dès le 25 août, les abonnés de la saison 2019-2020 et le public peuvent s'abonner à la saison 2021-2022. L'abonnement est constitué d'un minimum de quatre concerts.
Dès le mercredi 8 septembre, le public pourra se procurer des billets à l'unité pour les trois premiers concerts de la saison, soit « Hélène Grimaud et Yannick Nézet-Séguin » présenté le 30 septembre, « Yannick Nézet-Séguin : trésors romantiques», présenté le 29 octobre et « Leong et Tétreault : cordes étincelantes », présenté le 30 novembre.
La vente des billets à l'unité pour les autres programmes se fera plus tard cet automne.
À propos de l'Orchestre Métropolitain
Ambassadeur culturel majeur du Québec depuis 40 ans, l'Orchestre Métropolitain de Montréal fait rayonner la musique symphonique en tissant un lien unique avec le public. L'OM a évolué depuis plus de 20 ans sous la direction artistique de Yannick Nézet-Séguin. Ayant développé une complicité hors du commun avec ses musiciens, de nombreux projets musicaux ont vu le jour à travers la vision du chef montréalais, tous profondément ancrés dans des valeurs de proximité, d'authenticité et d'audace. L'OM jouit d'une réputation internationale des plus enviables et est fier de faire rayonner le talent québécois grâce à ses concerts présentés à la Maison symphonique de Montréal, à son offre de webdiffusions, à ses enregistrements primés (ATMA, Deutsche Grammophon) et à ses projets dans la collectivité, en plus de ses nombreuses collaborations artistiques.
Remerciements
L'Orchestre Métropolitain remercie chaleureusement son partenaire principal, Hydro-Québec.
L'Orchestre Métropolitain tient à remercier ses précieux partenaires :
Grand ambassadeur
Power Corporation du Canada
Partenaire hôtelier
Le Germain Hôtels
Présentateurs des concerts
Télé-Québec
Présentateur du grand concert estival
Fonds de solidarité FTQ
L'Orchestre Métropolitain a le bonheur de compter sur le soutien de la Caisse de dépôt et de placement du Québec, Partenaire Éducation, et de collaborer avec de nombreux partenaires éducatifs :
L'OM pour les écoles
Le Centre de services scolaire de Montréal, le Centre de services scolaire Marguerite-Bourgeoys, l'École de musique Vincent d'Indy, l'École et les Arts, l'École de musique de Verdun et la Villa Sainte-Marcelline.
L'OM pour la relève
Le Conservatoire de musique de Montréal
La Coopérative des professeurs de musique de Montréal
L'Orchestre Métropolitain salue les partenaires publics qui contribuent à la réalisation de sa mission : le gouvernement du Québec, le Conseil des arts et des lettres du Québec, le Conseil des arts du Canada, le Conseil des arts de Montréal et la Ville de Montréal.
Pour connaître tous les détails de la programmation 2021-2022 : orchestremetropolitain.com
Pour en savoir davantage sur les activités de Yannick Nézet-Séguin : www.yannicknezetseguin.com
Suivez-nous sur Facebook, Twitter @LeMetropolitain, Instagram @orchestre_metropolitain.
PROGRAMMATION COMPLÈTE - SAISON 2021-2022
Hélène Grimaud et Yannick Nézet-Séguin
(Concert d'ouverture de saison)
Barbara ASSIGINAAK : Eko-Bmijwang (Aussi longtemps que la rivière coule)
RAVEL : Concerto pour piano en sol majeur
Florence PRICE : Symphonie no 1
Yannick Nézet-Séguin, chef
Hélène Grimaud, piano
La grande complexité du jeu pianistique et l'intensité poétique se rejoignent pour créer un maximum d'émotions dans le Concerto pour piano en sol majeur de Ravel. Sous les doigts de la pianiste de renommée internationale Hélène Grimaud et sous la baguette de Yannick Nézet-Séguin, cette pièce du compositeur français élève les esprits.
Plongez avec la compositrice anichinabée Barbara Assiginaak dans un rêve-mémoire orchestral intitulé Eko-Bmijwang - Aussi longtemps que la rivière coule, qui vous mènera des eaux calmes éclairées par Nokomis, la grand-mère lune, jusqu'aux flots changeants du territoire. La Symphonie n° 1 de la compositrice Florence Price, pionnière de la musique américaine, mélange les genres en mettant en valeur les spirituals, les hymnes et les danses afro-américaines, tout en empruntant le moule de la symphonie classique.
Jeudi 30 septembre, 19 h 30
Maison symphonique de Montréal
Également offert en webdiffusion
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Yannick Nézet-Séguin : trésors romantiques
SCHUMANN : Manfred, ouverture
BRUCH : Concerto pour clarinette et alto
Louise FARRENC : Symphonie no 3
Yannick Nézet-Séguin, chef
Simon Aldrich, clarinette
Elvira Misbakhova, alto
Héritière de Beethoven et seule femme à enseigner au Conservatoire de Paris au 19e siècle, Louise Farrenc déploie tous ses talents dans sa Symphonie n° 3. Sous la direction de Yannick Nézet-Séguin, cette œuvre méconnue livre ses plus éclatants secrets.
L'altiste Elvira Misbakhova et le clarinettiste Simon Aldrich émergent de l'orchestre pour révéler leur talent de solistes, dans le Concerto pour clarinette et alto de Max Bruch. Les sonorités des deux instruments se marient à merveille et nous enchantent, des toutes premières notes confiées aux solistes jusqu'à la flamboyante coda finale. En début de programme, l'Ouverture « Manfred » de Robert Schumann met la barre haute côté émotions poignantes et passion romantique, sur une trame poétique signée Lord Byron.
Vendredi 29 octobre, 19 h 30
Maison symphonique de Montréal
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Leong et Tétreault : cordes étincelantes
Jessie MONTGOMERY : Strum
BRAHMS : Double concerto
DVOŘÁK : Symphonie no 5
Erina Yashima, cheffe
Kerson Leong, violon
Stéphane Tétreault, violoncelle
Sous les archets de Kerson Leong et de Stéphane Tétreault, le Double concerto pour violon, violoncelle et orchestre de Brahms présente une vision romantique du concerto grosso. Avec ses mélodies puissantes et son parcours dramatique finement tissé, il charme et étonne tour à tour.
Claire et limpide, la Symphonie n° 5 de Dvořák révèle, sous la direction de la cheffe allemande Erina Yashima, toute la profondeur du style de maturité du compositeur, mieux connu pour sa symphonie dite « Du Nouveau Monde ». Des captivantes mélodies du premier mouvement au drame poignant du dernier, elle ne laisse personne indifférent. À l'aube de la quarantaine, la compositrice et violoniste américaine Jessie Montgomery est au sommet de son art. Sa pièce Strum, inspirée des traditions populaires américaines, nous mène de la nostalgie à l'extase, tout simplement.
Mardi 30 novembre, 19 h 30
Maison symphonique de Montréal
Également offert en webdiffusion
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MILOŠ et JoAnn Falletta : invitation à la danse
KODÁLY : Danses de Galánta
Joby TALBOT : Ink Dark Moon
RACHMANINOV : Danses symphoniques
JoAnn Falletta, cheffe
MILOŠ, guitare
Savourez toute la virtuosité et le jeu chaleureux de MILOŠ, l'un des plus grands guitaristes de sa génération, dans Ink Dark Moon du compositeur britannique Joby Talbot. Par son charme contemplatif, ses rythmes de danse inspirés des Balkans et son orchestration rappelant les grandes partitions de musique de film, c'est toute une histoire qui jaillit de la guitare de MILOŠ.
Les endiablés rythmes de danse, les mélodies folkloriques hongroises et l'orchestration brillante des Danses de Galánta de Kodály sont comme un voyage dans le temps, au centre du rustique petit village de Galánta tel qu'il était avant l'ère industrielle. Sur le podium, la cheffe d'orchestre de renommée internationale JoAnn Falletta propose également les Danses symphoniques de Rachmaninov, ce chant du cygne à la fois puissant et éthéré du compositeur russe en exil.
Vendredi 28 janvier, 19 h 30
Maison symphonique de Montréal
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Épopée nordique
Isabelle PANNETON : Promenade
MATHIEU : Concerto de Québec
SIBELIUS : Symphonie no 4
Yannick Nézet-Séguin, chef
Jean-Philippe Sylvestre, piano
Grande fresque romantique conçue pour mettre en valeur la virtuosité du pianiste, le Concerto de Québec d'André Mathieu fait entendre la voix d'un grand compositeur d'ici. Yannick Nézet-Séguin présente également Promenade d'Isabelle Panneton, une pièce commandée par l'Orchestre Métropolitain, où la compositrice québécoise démontre tout le raffinement de son écriture harmonique.
Au summum du désespoir se trouve le sublime, à tout le moins lorsqu'il est question de la Symphonie no 4 de Sibelius. Sombre et centrée sur le triton, cet intervalle de sons qui rappelle les forces les plus maléfiques, l'œuvre peint habilement les émotions humaines -- la peur, la rage, le doute -- quand les mots viennent à manquer. L'OM poursuit ainsi l'enregistrement d'un cycle consacré aux sept symphonies du compositeur finlandais.
Vendredi 11 février, 19 h 30
Maison symphonique de Montréal
Également offert en webdiffusion
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Nielsen et Bartók : concerto en double
NIELSEN : Concerto pour violon
BARTÓK : Concerto pour orchestre
Nicolas Ellis, chef et collaborateur artistique
Yukari Cousineau, violon
Le charme d'une belle mélodie, au violon de Yukari Cousineau, est irrésistible. Et c'est ce que propose le Concerto pour violon de Nielsen : simplicité, bonne humeur et mélodies enivrantes. Comme une transe, chacun des deux mouvements commence avec une lenteur méditative et inquiétante, pour bientôt exploser en envolées rapides et brillantes.
Qu'est-ce qu'un concerto sans soliste ? Pour Béla Bartók, la réponse se trouve dans son Concerto pour orchestre, qui met en valeur tantôt les cuivres, tantôt les cordes, sans compter divers duos d'instruments, afin de mettre en valeur la virtuosité même des musiciens d'orchestre. Avec un jeu d'équilibre mené de main de maître par le chef Nicolas Ellis, collaborateur artistique de l'OM pour la quatrième année, l'œuvre nous transporte de la froideur à l'humour, d'un lugubre chant funèbre à une exubérante célébration de la vie.
Samedi 26 mars, 19 h 30
Maison symphonique de Montréal
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La grande vague : Alma et La Mer
Paola PRESTINI : Barcarola
Alma MAHLER (orchestration Matthews) : Sept Lieder
DEBUSSY : La Mer
Speranza Scappucci, cheffe
Adrianne Pieczonka, soprano
Le soleil se lève sur La Mer, l'œuvre pour orchestre la plus célébrée de Debussy. Les couleurs, les textures, les nuances, tout est en place pour dépeindre les eaux changeantes, tantôt scintillantes, tantôt colériques. En trois esquisses symphoniques, on s'émerveille de percevoir la lumière, d'entendre les vents violents puis d'avoir la nette impression que les beaux jours reviennent.
Dans la voix de la soprano canadienne de renommée internationale Adrianne Pieczonka, Alma Mahler prend sa place sous la lumière des projecteurs. Pour soutenir les textes brûlants et touchants des plus grands poètes de son époque, la Viennoise offre ici une mise en musique chromatique et délicate, avec des moments sensuels que l'arrangement pour orchestre vient amplifier, voire exalter. En ouverture, Barcarola, une œuvre de jeunesse de la compositrice italo-américaine établie à Brooklyn Paola Prestini, mondialement reconnue pour sa musique autant que pour ses idées innovantes.
Vendredi 8 avril, 19 h 30
Maison symphonique de Montréal
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Jane Glover et Nicholas Angelich
CHEVALIER DE SAINT-GEORGE : Symphonie no 1
BEETHOVEN : Concerto pour piano no 5, « Empereur »
Mozart : Symphonie no 31, « Paris »
Jane Glover, cheffe
Nicholas Angelich, piano (soliste en résidence)
Les rythmes militaires, l'ampleur jusque-là inégalée, le piano qui exprime librement des idées de grandeur auxquelles l'orchestre répond avec enthousiasme, voilà qui a sans doute valu au Concerto pour piano no 5 de Beethoven son surnom « Empereur ». Sous la direction de la cheffe Jane Glover, le soliste en résidence Nicholas Angelich offre son interprétation de cette œuvre légendaire.
Pourquoi bouder son plaisir! Fier et conscient de son talent, Mozart compose pour le public parisien une symphonie conçue pour lui plaire. Grandiose dans ses effets, audacieuse dans son utilisation de la clarinette et tout simplement débordante d'idées mélodiques, la Symphonie no 31 respire le charme et l'exubérance de la jeunesse. Avec un talent de mélodiste qui n'est pas sans rappeler celui de Mozart, le Chevalier de Saint-George, ce compositeur fils d'un noble français et d'une esclave guadeloupéenne, met les cordes à l'honneur dans sa pétillante Symphonie no 1.
Vendredi 29 avril, 19 h 30
Maison symphonique de Montréal
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Brahms et son Requiem allemand
Luis Ernesto PEÑA LAGUNA : Oraison, pour chœur et orchestre
BRAHMS : Un requiem allemand
Yannick Nézet-Séguin, chef
Solistes à confirmer
Chœur Métropolitain*, préparé par François A. Ouimet et Pierre Tourville
Le réconfort de la voix humaine est porté à son apogée avec Un requiem allemand de Brahms. Yannick Nézet-Séguin dirige l'OM et le Chœur Métropolitain dans cette pièce universelle, qui porte un regard bouleversant mais serein sur l'inéluctabilité de la mort. En s'appropriant le passage vers l'autre monde, le compositeur en fait une célébration de la vie.
À des lieues de la colère divine et du repentir du requiem latin, l'œuvre de Brahms est une apaisante ode à l'humanisme. Avec un déroulement dramatique inédit, des paroles allemandes soigneusement choisies pour évoquer l'espoir, un chœur et des solistes qui rappellent l'effectif des oratorios, Un requiem allemand est absolument unique en son genre.
* Avec la participation de choristes professionnels.
Vendredi 20 mai, 19 h 30
Maison symphonique de Montréal
Également offert en webdiffusion
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Nathalie Stutzmann en grande première
PROKOFIEV : Concerto pour violon no 2
TCHAÏKOVSKI : Symphonie no 6, « Pathétique »
Nathalie Stutzmann, cheffe
Daniel Lozakovich, violon
L'une des cheffes les plus en vue du moment, Nathalie Stutzmann, monte sur le podium de l'OM. Pour son tout premier concert à Montréal en tant que cheffe, la grande artiste française propose un programme entièrement russe. Laissez-vous charmer par l'un des concertos pour violon parmi les plus prisés du répertoire, qui vous mènera par ses mélodies musclées de la Russie à l'Espagne, et voyagez au cœur des émotions avec la « Pathétique ».
Une sombre mélodie s'avance au basson dès les premières mesures de la Symphonie no 6 de Tchaïkovski. Inspirée, elle remue l'âme et donne le ton à cette symphonie russe au sous-titre français, la « Pathétique ». Le violoniste Daniel Lozakovich, l'un des plus jeunes musiciens signés par la prestigieuse étiquette Deutsche Grammophon, livre avec brio les mélodies tantôt sombres et tantôt élégantes du Concerto pour violon n° 2 de Prokofiev.
Samedi 4 juin, 15 h
Maison symphonique de Montréal
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Nicholas Angelich et Yannick Nézet-Séguin
Nicholas Angelich et Yannick Nézet-Séguin (programme 1)
STRAVINSKI : Chant funèbre Lili BOULANGER : D'un matin de printemps RACHMANINOV : Concerto pour piano no 1 RAVEL : Ma mère l'Oye, pour piano quatre mains RAVEL : La Valse
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Nicholas Angelich et Yannick Nézet-Séguin (programme 2)
STRAVINSKI : Chant funèbre Lili BOULANGER : D'un matin de printemps RACHMANINOV : Concerto pour piano no 2 RAVEL : Ma mère l'Oye, pour piano quatre mains RAVEL : La Valse
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Yannick Nézet-Séguin, chef et piano
Nicholas Angelich, piano (soliste en résidence)
Le soliste en résidence Nicholas Angelich s'attaque aux deux premiers concertos pour piano de Rachmaninov. Le premier, qui illustre à la fois l'étonnant don de mélodiste du compositeur russe et sa maîtrise de l'écriture pour piano, à la limite entre le virtuose et l'impossible; le second, qui contient certaines de ses mélodies les plus célébrées, livrées avec une bravoure qui fait lever les foules. Rejoint au piano par le chef Yannick Nézet-Séguin, ils interprètent le charmant duo Ma mère l'Oye de Ravel.
Samedi 18 juin, 19 h 30 Maison symphonique de Montréal
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Dimanche 19 juin, 15 h Maison symphonique de Montréal
Également offert en webdiffusion
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SOURCE Orchestre Métropolitain
LAURIE-ANNE RIENDEAU, Responsable, Relations publiques, ORCHESTRE MÉTROPOLITAIN, T 514 598-0870, poste 27, C 514 467 2320, [email protected]
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