La Banque Nationale divulgue des résultats record au deuxième trimestre de 2013 et hausse son dividende trimestriel de 5 % à 87 cents par action English
L'information financière fournie dans le présent communiqué est basée sur les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés pour le deuxième trimestre terminé le 30 avril 2013. On peut obtenir de l'information additionnelle sur la Banque Nationale du Canada, y compris la notice annuelle, dans le site Internet de SEDAR à l'adresse sedar.com ou celui de la Banque à l'adresse bnc.ca. Les symboles M$ et G$ désignent respectivement les millions et les milliards de dollars canadiens.
Faits saillants :
- Résultat net de 434 M$ au deuxième trimestre de 2013, par rapport à 553 M$ au trimestre correspondant de 2012, notamment en raison du gain net de 198 M$ relatif à la transaction de Natcan en 2012;
- Résultat dilué par action de 2,49 $ au deuxième trimestre de 2013, par rapport à 3,22 $ au trimestre correspondant de 2012;
- Rendement des capitaux propres de 24,3 %;
- Ratio des fonds propres attribuables aux actions ordinaires (CET1) selon Bâle III de 8,3 % au 30 avril 2013, contre un ratio pro forma CET1 selon Bâle III de 7,3 % au 31 octobre 2012.
Faits saillants excluant les éléments particuliers (1) :
- Résultat net record de 369 M$ au deuxième trimestre de 2013, en croissance de 6 % par rapport à 347 M$ pour la même période en 2012;
- Résultat dilué par action record de 2,08 $ au deuxième trimestre de 2013, contre 1,95 $ au trimestre correspondant de 2012, une augmentation de 7 %;
- Rendement des capitaux propres de 20,5 %.
MONTRÉAL, le 24 mai 2013 /CNW Telbec/ - La Banque Nationale déclare un résultat net de 434 M$ au deuxième trimestre de l'exercice 2013, par rapport à 553 M$ réalisé au cours du deuxième trimestre de 2012. Le résultat dilué par action atteint 2,49 $ pour le trimestre terminé le 30 avril 2013, par rapport à 3,22 $ au trimestre correspondant de 2012, notamment en raison du gain relatif à la transaction de Natcan réalisé au deuxième trimestre de 2012.
En excluant les éléments particuliers décrits à la page 5, le résultat net record de 369 M$ au deuxième trimestre de 2013 est en hausse de 6 % par rapport à 347 M$ pour la période correspondante de 2012. Le résultat dilué par action record de 2,08 $ au deuxième trimestre de 2013 augmente de 7 % par rapport à 1,95 $ au trimestre correspondant de 2012.
Le résultat net de la Banque pour le premier semestre de l'exercice financier 2013 se chiffre à 798 M$, par rapport à 904 M$ pour la période correspondante de 2012. Le résultat dilué par action atteint 4,52 $ pour les six premiers mois de 2013, contre 5,21 $ pour la période correspondante de 2012. En excluant les éléments particuliers décrits à la page 5, le résultat net du premier semestre de 2013 de 730 M$ se compare à 700 M$ pour la période correspondante de 2012, en hausse de 4 %. Le résultat dilué par action aurait été de 4,10 $ pour les six premiers mois de 2013, en croissance de 4 % par rapport à 3,95 $ au premier semestre de 2012.
« La Banque a déclaré des résultats record au deuxième trimestre de 2013 grâce à l'excellente performance de nos trois secteurs d'affaires. Les secteurs Gestion de patrimoine et Marchés financiers ont tous deux réalisé une hausse de plus de 20 % de leur résultat net, bénéficiant de la vigueur de notre expansion pancanadienne. De plus, le secteur Particuliers et Entreprises affiche une augmentation du volume des prêts de plus de 10 % ainsi qu'une bonne croissance dans un environnement hautement concurrentiel », souligne Louis Vachon, président et chef de la direction de la Banque. « Ces bons résultats, de pair avec une saine gestion des dépenses, la qualité du portefeuille de prêts et la solidité du capital, nous permettent de poursuivre avec vigueur nos investissements afin de mieux servir nos clients et atteindre nos objectifs de croissance », a conclu M. Vachon.
Indicateurs financiers
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Résultats T2 2013 |
Résultats excluant les éléments particuliers |
(1) |
Résultats 1er semestre 2013 |
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Résultats excluant les éléments particuliers |
(1) |
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Croissance du résultat dilué par action | (23) | % | 7 | % | (13) | % | 4 | % | ||
Rendement des capitaux propres attribuables aux détenteurs d'actions ordinaires | 24,3 | % | 20,5 | % | 22,2 | % | 20,2 | % | ||
Ratio de versement des dividendes | 37 | % | 40 | % | 37 | % | 40 | % | ||
Ratio des fonds propres CET1 selon Bâle III | 8,3 | % | 8,3 | % | ||||||
(1) Consulter le « Mode de présentation de l'information » à la page 5. |
Résultats sectoriels
La présentation des informations sectorielles est conforme à celle que la Banque a adoptée pour l'exercice financier débuté le 1er novembre 2012, en tenant compte des changements suivants pour refléter le suivi de la performance effectué par la direction. Les activités de distribution de produits bancaires par des réseaux indépendants ont été reclassées du secteur Particuliers et Entreprises au secteur Gestion de patrimoine. Les activités bancaires avec les entreprises commerciales du secteur de l'énergie ont été transférées du secteur Marchés financiers au secteur Particuliers et Entreprises. Ces modifications n'ont pas eu d'incidence sur les résultats consolidés de la Banque.
Particuliers et Entreprises
Le résultat net du secteur Particuliers et Entreprises de 166 M$ est en hausse de 2 % par rapport à 163 M$ au deuxième trimestre de 2012. Le revenu total du secteur a progressé de 10 M$, en raison de la croissance du revenu net d'intérêts qui a augmenté de 7 M$ et de la hausse des revenus autres que d'intérêts de 3 M$ au deuxième trimestre de 2013. L'augmentation du revenu net d'intérêts provient surtout de la croissance du volume des prêts aux particuliers. Cette croissance a été atténuée par l'affaiblissement de la marge bénéficiaire qui atteint 2,30 % au deuxième trimestre de 2013, par rapport à 2,43 % au même trimestre en 2012, principalement en raison d'une diminution des marges sur les prêts.
Le revenu total des Services aux particuliers a progressé de 7 M$ surtout en raison de l'augmentation du volume des prêts, plus particulièrement les prêts à la consommation et les marges de crédit hypothécaires, partiellement contrebalancée par un rétrécissement des marges bénéficiaires. Le revenu total des Services aux entreprises est en hausse de 3 M$, principalement en raison de la croissance des revenus de crédit, notamment sur les acceptations.
Les frais autres que d'intérêts du secteur Particuliers et Entreprises au deuxième trimestre de 2013 sont en hausse de 2 M$ par rapport au trimestre correspondant de 2012, soit 1 %. Le ratio d'efficience à 56 % pour le deuxième trimestre de 2013 s'améliore de 1 % par rapport au trimestre correspondant de 2012. Les dotations aux pertes sur créances du secteur ont augmenté de 4 M$, surtout en raison des dotations aux pertes sur créances du crédit aux particuliers.
Au premier semestre de 2013, le résultat net du secteur Particuliers et Entreprises s'établit à 344 M$, soit une hausse de 12 M$ ou 4 % par rapport au résultat net de 332 M$ réalisé pour la même période en 2012. Le revenu total du secteur a progressé de 2 % pour atteindre 1 274 M$. Le revenu total des Services aux particuliers a progressé de 15 M$ ou 2 %, principalement en raison de l'augmentation du volume des prêts à la consommation et des prêts hypothécaires. L'augmentation du revenu total des Services aux entreprises a été de 11 M$ ou 2 %. Les dotations aux pertes sur créances du secteur Particuliers et Entreprises sont en hausse de 3 M$ par rapport au semestre correspondant de 2012. Le ratio d'efficience est demeuré stable à 56 % au premier semestre de 2013, par rapport au semestre correspondant de 2012.
Gestion de patrimoine
Le résultat net du secteur Gestion de patrimoine s'établit à 52 M$ au deuxième trimestre de 2013, par rapport à 239 M$ au trimestre correspondant de 2012 alors que le revenu total du secteur atteint 287 M$ au deuxième trimestre de 2013, par rapport à 522 M$ au deuxième trimestre de 2012. Les baisses du résultat net et du revenu total s'expliquent par le gain de 246 M$ relatif à la cession des activités de Natcan qui a été enregistré au cours du deuxième trimestre de 2012. Excluant les éléments particuliers, le résultat net du secteur s'établit à 58 M$ au deuxième trimestre de 2013, en hausse de 23 % par rapport à 47 M$ au trimestre correspondant de 2012. Le revenu total du secteur atteint 289 M$ au deuxième trimestre de 2013, par rapport à 277 M$ au deuxième trimestre de 2012, une augmentation de 4 %. La croissance du revenu total s'explique principalement par la hausse du revenu net d'intérêts en raison de l'augmentation du volume des dépôts ainsi que par la hausse des revenus tirés des services tarifés résultant de la croissance des actifs sous administration et sous gestion.
Excluant les éléments particuliers, les frais autres que d'intérêts se chiffrent à 209 M$ au deuxième trimestre de 2013, en baisse par rapport à 213 M$ au trimestre correspondant de 2012. Cette diminution est principalement expliquée par la réduction des frais autres que d'intérêts suite à la cession des activités de Natcan.
Excluant les éléments particuliers, pour les six premiers mois de l'exercice 2013, le résultat net du secteur Gestion de patrimoine atteint 114 M$ comparativement à 93 M$ pour la même période en 2012. Le revenu total du secteur s'établit à 565 M$, par rapport à 539 M$ au premier semestre de 2012 et les frais autres que d'intérêts s'élèvent à 408 M$ en comparaison de 411 M$ pour le premier semestre de 2012. Les variations des revenus et des frais autres que d'intérêts sont expliquées par les mêmes raisons qu'au trimestre.
Marchés financiers
Le secteur Marchés financiers affiche un résultat net de 143 M$ au deuxième trimestre de 2013, en hausse de 38 M$ par rapport à 105 M$ au trimestre correspondant de 2012. Le revenu total du secteur en équivalent imposable se chiffre à 363 M$, contre 322 M$ au deuxième trimestre de 2012, attribuable à la hausse de tous les types de revenus liés aux activités de négociation. Les revenus des services bancaires augmentent de 36 % notamment en raison des besoins accrus de financement de la clientèle. Les revenus Autres sont en baisse de 10 M$ principalement attribuable à la contribution supérieure de l'entreprise associée Maple Financial Group Inc. au deuxième trimestre de 2012.
Les frais autres que d'intérêts du deuxième trimestre de 2013 de 167 M$ sont en baisse de 13 M$ par rapport au deuxième trimestre de 2012 en raison des indemnités de départ enregistrées au cours du trimestre correspondant de 2012. Pour le deuxième trimestre de 2013, les dotations aux pertes sur créances se chiffrent à 1 M$, alors que les dotations étaient nulles pour le trimestre correspondant de 2012.
Pour les six premiers mois de l'exercice financier de 2013, le résultat net du secteur s'établit à 258 M$, une hausse de 32 M$ par rapport à la même période en 2012. En excluant les éléments particuliers, le résultat net du secteur augmente de 21 M$ ou 9 % par rapport à la même période en 2012. Le revenu total en équivalent imposable s'établit à 666 M$ contre 659 M$, une hausse de 7 M$ par rapport à la période correspondante. Cette augmentation est principalement attribuable à l'augmentation des revenus liés aux activités de négociation. Par ailleurs, la baisse des revenus Autres provient principalement de la contribution moindre de l'entreprise associée Maple Financial Group Inc. atténuée par la hausse des revenus provenant de la filiale Credigy Ltd. Les frais autres que d'intérêts s'élèvent à 326 M$, en baisse de 25 M$ comparativement aux six premiers mois de l'exercice de 2012, en raison des indemnités de départ enregistrées au cours du deuxième trimestre de 2012. Pour le premier semestre de 2013, le secteur a enregistré des récupérations de pertes sur créances de 12 M$ alors que pour la période correspondante de 2012, les dotations aux pertes sur créances avaient été nulles.
Autres
La rubrique Autres des résultats sectoriels affiche un résultat net de 73 M$ au deuxième trimestre de 2013 comparativement à 46 M$ pour le trimestre correspondant de 2012. La hausse du résultat net s'explique par les éléments particuliers, déduction faite des impôts, enregistrés au cours du deuxième trimestre de 2013, qui comprennent des revenus liés à la détention des billets restructurés d'un montant de 100 M$ contre 25 M$ au deuxième trimestre de 2012. Cette augmentation est atténuée par une perte de valeur d'immobilisations incorporelles relatives à des développements technologiques pour un montant de 29 M$, déduction faite des impôts. Excluant les éléments particuliers, le résultat net est en baisse de 19 M$ en raison notamment de la contribution moindre de la Trésorerie au deuxième trimestre de 2013.
Au premier semestre de 2013, le résultat net s'élève à 93 M$ contre 66 M$ pour le semestre correspondant de 2012. L'écart est relatif aux mêmes éléments qu'au trimestre.
Gestion du capital
La politique de gestion du capital de la Banque énonce les principes et les pratiques que la Banque intègre à sa stratégie de gestion du capital et les critères de base qu'elle adopte à cet égard. C'est au moyen de ces critères que la Banque s'assure qu'elle dispose en tout temps d'un niveau de fonds propres suffisant, et qu'elle gère celui-ci avec prudence en vue de ses besoins futurs en capital. Le niveau adéquat des ratios de fonds propres de la Banque est attribuable à la génération interne de capital, à la gestion du bilan ainsi qu'à l'émission et le rachat d'actions et de titres de dette subordonnée. Plus de détails sur le cadre de gestion du capital sont présentés dans la section « Gestion du capital » du Rapport annuel 2012 aux pages 54 à 56.
En décembre 2012, le BSIF a publié le libellé définitif de la Ligne directrice sur les normes de fonds propres (CAR) qui a pris effet en janvier 2013. La ligne directrice reflète les modifications aux exigences en matière de fonds propres, soit les réformes adoptées par le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire (CBCB), lesquelles sont désignées sous le nom de « Bâle III ». Ces modifications ainsi que les normes mondiales en matière de liquidités visent à affermir la résilience du secteur bancaire et du système financier.
Le nouveau cadre réglementaire de Bâle III a établi des dispositions de transition qui s'échelonnent de 2013 à 2019. Le BSIF a introduit deux méthodes pour déterminer les fonds propres. La méthode dite « tout compris » inclut tous les ajustements réglementaires qui seront requis d'ici 2019, tout en maintenant les règles de retrait progressif des instruments de fonds propres non admissibles. Celle dite « transitoire », en plus d'appliquer le retrait progressif des instruments de fonds propres non admissibles, utilise aussi un plafonnement progressif et plus souple des ajustements réglementaires requis. Le BSIF a exigé que les banques canadiennes respectent les seuils minimaux « tout compris » de 2019 depuis le premier trimestre de 2013 pour les fonds propres attribuables aux actions ordinaires (CET1). Pour les fonds propres de catégorie 1 et le total des fonds propres, le respect des seuils minimaux est exigé à compter du premier trimestre de 2014. Par ailleurs, en raison des délais dans la mise en œuvre des normes de Bâle III aux États-Unis et dans les pays de l'Union européenne, le BSIF a décidé de reporter au 1er janvier 2014 le début de l'application des exigences de fonds propres en regard du risque d'ajustement d'évaluation de crédit (CVA).
À cet effet, la Banque doit maintenir depuis le premier trimestre de 2013, un ratio des fonds propres CET1 d'au moins 7,0 %, dont 4,5 % pour les fonds propres attribuables aux actions ordinaires et 2,5 % comme réserve de conservation des fonds propres. En mars 2013, le BSIF a décidé que les six plus grandes banques canadiennes, dont la Banque, seraient désignées banques d'importance systémique nationale (BISN). Pour ces banques, une surcharge de 1 % s'appliquera à leurs ratios de fonds propres à compter du 1er janvier 2016. Donc, à partir de cette date, la Banque ainsi que toutes les autres grandes banques canadiennes, seront tenues de maintenir des ratios déterminés selon la méthode « tout compris » soit : un ratio des fonds propres CET1 d'au moins 8,0 %, un ratio des fonds propres de catégorie 1 d'au moins 9,5 % et un ratio des fonds propres total d'au moins 11,5 %. La Banque divulguera ses ratios de fonds propres calculés selon les deux méthodes à chaque trimestre jusqu'au début de 2019. Pour de plus amples renseignements, se reporter au tableau 2 du présent rapport de gestion.
Outre les ratios des fonds propres réglementaires, les banques canadiennes sont également assujetties par le BSIF aux exigences d'un test de levier financier maximal. L'effet de levier se calcule en divisant l'actif total de la Banque, y compris certains éléments hors bilan, par le total de ses fonds propres réglementaires aux termes des dispositions transitoires.
Au 30 avril 2013, le ratio des fonds propres CET1 selon Bâle III, déterminé selon la méthode « tout compris », est de 8,3 % par rapport à un ratio pro forma des fonds propres CET1 selon Bâle III de 7,3 % au 31 octobre 2012. L'augmentation du ratio des fonds propres CET1 est essentiellement attribuable au résultat net, déduction faite des dividendes, au délai d'implantation de la nouvelle charge d'ajustement de l'évaluation de crédit (CVA) qui a été considérée au 31 octobre 2012, ainsi qu'à l'émission d'actions ordinaires principalement liée aux levées d'options. Le ratio des fonds propres de catégorie 1 et le ratio des fonds propres total, déterminés selon la méthode « tout compris » de Bâle III, sont respectivement de 11,2 % et de 14,9 % au 30 avril 2013, par rapport à 10,1 % et 14,1 %, respectivement, pour le ratio pro forma des fonds propres de catégorie 1 et le ratio pro forma des fonds propres total au 31 octobre 2012.
L'actif pondéré en fonction du risque, selon les règles de Bâle III, a diminué et se chiffre à 60,0 G$ au 30 avril 2013 alors qu'il s'établissait à 62,2 G$ au 31 octobre 2012. Cette réduction est surtout attribuable au délai d'implantation du CVA. L'effet de levier demeure inchangé à 18,3 par rapport au 31 octobre 2012. Pour de plus amples renseignements, se reporter au tableau 3 du rapport aux actionnaires du deuxième trimestre de 2013.
FAITS SAILLANTS | ||||||||||||||||
(en millions de dollars canadiens) | ||||||||||||||||
Trimestre terminé le | Semestre terminé le | |||||||||||||||
30 avril 2013 |
30 avril 2012 |
Variation % | 30 avril 2013 |
30 avril 2012 |
Variation % | |||||||||||
Résultats d'exploitation | ||||||||||||||||
Revenu total | 1 386 | $ | 1 499 | $ | (8) | 2 621 | $ | 2 742 | $ | (4) | ||||||
Résultat net | 434 | 553 | (22) | 798 | 904 | (12) | ||||||||||
Résultat net attribuable aux actionnaires de la Banque | 416 | 536 | (22) | 760 | 868 | (12) | ||||||||||
Rendement des capitaux propres attribuables aux détenteurs d'actions ordinaires | 24,3 | % | 35,0 | % | 22,2 | % | 28,5 | % | ||||||||
Résultat par action (en dollars) | ||||||||||||||||
de base | 2,50 | $ | 3,25 | $ | (23) | 4,55 | $ | 5,25 | $ | (13) | ||||||
dilué | 2,49 | 3,22 | (23) | 4,52 | 5,21 | (13) | ||||||||||
EXCLUANT LES ÉLÉMENTS PARTICULIERS (1) | ||||||||||||||||
Résultats d'exploitation | ||||||||||||||||
Revenu total | 1 251 | $ | 1 220 | $ | 3 | 2 476 | $ | 2 458 | $ | 1 | ||||||
Résultat net | 369 | 347 | 6 | 730 | 700 | 4 | ||||||||||
Résultat net attribuable aux actionnaires de la Banque | 351 | 330 | 6 | 692 | 664 | 4 | ||||||||||
Rendement des capitaux propres attribuables aux détenteurs d'actions ordinaires | 20,5 | % | 21,5 | % | 20,2 | % | 21,8 | % | ||||||||
Résultat par action (en dollars) | ||||||||||||||||
de base | 2,10 | $ | 1,98 | $ | 6 | 4,14 | $ | 3,99 | $ | 4 | ||||||
dilué | 2,08 | 1,95 | 7 | 4,10 | 3,95 | 4 | ||||||||||
Par action ordinaire (en dollars) | ||||||||||||||||
Dividendes déclarés | 0,83 | $ | 0,75 | $ | 1,66 | $ | 1,50 | $ | ||||||||
Valeur comptable | 43,00 | 39,14 | ||||||||||||||
Cours de l'action | ||||||||||||||||
haut | 79,52 | 81,27 | 80,04 | 81,27 | ||||||||||||
bas | 72,35 | 75,05 | 72,35 | 63,27 | ||||||||||||
clôture | 76,15 | 77,10 | 76,15 | 77,10 | ||||||||||||
Au 30 avril 2013 |
Au 31 octobre 2012 |
Variation % | ||||||||||||||
Situation financière | ||||||||||||||||
Actif total | 184 783 | $ | 177 903 | $ | 4 | |||||||||||
Prêts et acceptations | 94 210 | 90 922 | 4 | |||||||||||||
Dépôts | 97 950 | 93 249 | 5 | |||||||||||||
Dette subordonnée et capitaux propres | 11 231 | 10 710 | 5 | |||||||||||||
Ratios des fonds propres selon Bâle III(2) attribuables aux actions ordinaires (CET1) | 8,3 | % | 7,3 | % | ||||||||||||
catégorie 1 | 11,2 | % | 10,1 | % | ||||||||||||
total | 14,9 | % | 14,1 | % | ||||||||||||
Ratios des fonds propres selon Bâle I | ||||||||||||||||
catégorie 1 | 11,4 | % | 11,0 | % | ||||||||||||
total | 15,0 | % | 14,6 | % | ||||||||||||
Prêts douteux, déduction faite des provisions individuelles et collectives | (220) | (190) | ||||||||||||||
en % des prêts et acceptations | (0,2) | % | (0,2) | % | ||||||||||||
Actifs sous administration et sous gestion | 246 130 | 232 027 | ||||||||||||||
Épargne totale des particuliers | 155 848 | 149 774 | ||||||||||||||
Couverture d'intérêts | 11,56 | 12,23 | ||||||||||||||
Couverture par l'actif | 3,67 | 3,45 | ||||||||||||||
Autres renseignements | ||||||||||||||||
Nombre d'employés | 19 779 | 19 920 | (1) | |||||||||||||
Nombre de succursales au Canada | 452 | 451 | − | |||||||||||||
Nombre de guichets automatiques | 925 | 923 | − |
(1) | Consulter le « Mode de présentation de l'information » à la page 5. |
(2) | Les ratios sont calculés selon la méthode « tout compris » et les ratios au 31 octobre 2012 sont présentés pro forma. |
MODE DE PRÉSENTATION DE L'INFORMATION
(en millions de dollars canadiens, sauf pour les données par action)
La Banque utilise certaines mesures non conformes aux Normes internationales d'information financière (IFRS), telles que publiées par l'International Accounting Standards Board (IASB) et énoncées dans le manuel de l'Institut Canadien des Comptables Agréés, pour évaluer les résultats. Les organismes de réglementation du commerce des valeurs mobilières exigent que les entreprises préviennent les lecteurs que le résultat net et les autres mesures rajustées en fonction de critères autres que les IFRS n'ont pas une signification standard selon les IFRS et sont difficilement comparables avec des mesures similaires utilisées par d'autres entreprises.
DONNÉES FINANCIÈRES
Trimestre terminé le | Semestre terminé le | |||||||||||||||
30 avril 2013 |
30 avril 2012 |
Variation % | 30 avril 2013 |
30 avril 2012 |
Variation % | |||||||||||
Excluant les éléments particuliers | ||||||||||||||||
Particuliers et Entreprises | 166 | 163 | 2 | 344 | 332 | 4 | ||||||||||
Gestion de patrimoine | 58 | 47 | 23 | 114 | 93 | 23 | ||||||||||
Marchés financiers | 143 | 116 | 23 | 258 | 237 | 9 | ||||||||||
Autres | 2 | 21 | 14 | 38 | ||||||||||||
Résultat net excluant les éléments particuliers | 369 | 347 | 6 | 730 | 700 | 4 | ||||||||||
Plus : éléments liés à la détention des billets restructurés (1) | 100 | 25 | 109 | 28 | ||||||||||||
Moins : perte de valeur d'immobilisations incorporelles (2) | (29) | − | (29) | − | ||||||||||||
Moins : éléments relatifs aux acquisitions (3) | (5) | (6) | (10) | (11) | ||||||||||||
Moins : éléments relatifs à la transaction de Natcan (4) | (1) | 198 | (2) | 198 | ||||||||||||
Moins : indemnités de départ (5) | − | (11) | − | (11) | ||||||||||||
Résultat net | 434 | 553 | (22) | 798 | 904 | (12) | ||||||||||
Résultat dilué par action excluant les éléments particuliers | 2,08 | $ | 1,95 | $ | 7 | 4,10 | $ | 3,95 | $ | 4 | ||||||
Plus : éléments liés à la détention des billets restructurés (1) | 0,63 | 0,16 | 0,68 | 0,18 | ||||||||||||
Moins : perte de valeur d'immobilisations incorporelles (2) | (0,18) | − | (0,18) | − | ||||||||||||
Moins : éléments relatifs aux acquisitions (3) | (0,03) | (0,04) | (0,06) | (0,07) | ||||||||||||
Moins : éléments relatifs à la transaction de Natcan (4) | (0,01) | 1,22 | (0,02) | 1,22 | ||||||||||||
Moins : indemnités de départ (5) | − | (0,07) | − | (0,07) | ||||||||||||
Résultat dilué par action | 2,49 | $ | 3,22 | $ | (23) | 4,52 | $ | 5,21 | $ | (13) | ||||||
Rendement des capitaux propres attribuables aux détenteurs d'actions ordinaires | ||||||||||||||||
Incluant les éléments particuliers | 24,3 | % | 35,0 | % | 22,2 | % | 28,5 | % | ||||||||
Excluant les éléments particuliers | 20,5 | % | 21,5 | % | 20,2 | % | 21,8 | % |
(1) | Au cours du trimestre terminé le 30 avril 2013, un montant de 137 M$ (100 M$ déduction faite des impôts) a été enregistré principalement en raison de l'appréciation de la juste valeur des billets restructurés (2012 : 34 M$, 25 M$ déduction faite des impôts, en raison de la variation de la juste valeur du papier commercial exclu du plan de restructuration pancanadien). Au cours du semestre terminé le 30 avril 2013, des revenus liés à la détention des billets restructurés de 149 M$ (109 M$ déduction faite des impôts) ont été enregistrés (2012 : 39 M$, 28 M$ déduction faite des impôts). |
(2) | Au cours du trimestre terminé le 30 avril 2013, une perte de valeur de 39 M$ (29 M$ déduction faite des impôts) a été comptabilisée relativement à des développements technologiques. |
(3) | Au cours du trimestre terminé le 30 avril 2013, des charges de 7 M$ (5 M$ déduction faite des impôts) relatives aux acquisitions du secteur Gestion de patrimoine (2012 : 8 M$, 6 M$ déduction faite des impôts) ont été enregistrées et se composent principalement de bonis de rétention. Les éléments relatifs aux acquisitions pour le semestre terminé le 30 avril 2013 comprennent des charges de 14 M$ (10 M$ déduction faite des impôts) relatives aux acquisitions du secteur Gestion de patrimoine (2012 : 16 M$, 11 M$ déduction faite des impôts) principalement composées de bonis de rétention, ainsi que la quote-part de la Banque des charges d'intégration et de l'amortissement des immobilisations incorporelles relatives à la participation de la Banque dans TMX pour un montant de 1 M$ (1 M$ déduction faite des impôts). |
(4) | Au cours du trimestre terminé le 30 avril 2013, la quote-part de la Banque des charges d'intégration engagées par Fiera pour un montant de 2 M$ (1 M$ déduction faite des impôts) a été enregistrée. Au cours du trimestre terminé le 30 avril 2012, un gain de 246 M$ (212 M$ déduction faite des impôts) avait été enregistré suite à la cession des activités de Natcan. Ce gain comprenait le prix de vente de 275 M$, duquel on avait déduit le goodwill, des immobilisations incorporelles et des charges directes de 29 M$. D'autres charges relatives à cette transaction pour un montant de 18 M$ (13 M$ déduction faite des impôts) avaient été enregistrées. Enfin, la quote-part de la Banque des charges d'intégration engagées par Fiera pour un montant de 1 M$ (1 M$ déduction faite des impôts) avait été enregistrée. Au cours du semestre terminé le 30 avril 2013, la quote-part de la Banque des charges d'intégration engagées par Fiera pour un montant de 3 M$ (2 M$ déduction faite des impôts) a été enregistrée (2012 : mêmes éléments qu'au trimestre). |
(5) | Au cours du trimestre terminé le 30 avril 2012, des indemnités de départ pour un montant de 15 M$ (11 M$ déduction faite des impôts) avaient été enregistrées suite à la rationalisation de certaines activités des marchés financiers. |
MISE EN GARDE À PROPOS DES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
À l'occasion, la Banque Nationale du Canada (la Banque) fait des déclarations prospectives écrites et verbales, notamment celles contenues dans les sections « Principales tendances économiques » et « Perspectives pour la Banque Nationale » du Rapport annuel 2012, ainsi que dans d'autres documents déposés auprès des organismes de réglementation canadiens et d'autres communications, et ce, aux fins de décrire le contexte économique dans lequel la Banque évoluera au cours de l'exercice 2013 et les objectifs qu'elle souhaite atteindre au cours de cette période. Ces déclarations prospectives sont faites conformément aux lois sur les valeurs mobilières en vigueur. Elles comprennent, entre autres, des déclarations à l'égard de l'économie - notamment les économies canadienne et américaine -, de l'évolution des marchés, des observations concernant les objectifs de la Banque et ses stratégies pour les atteindre, le rendement financier prévu de la Banque et certains risques auxquels la Banque est confrontée. Ces déclarations prospectives sont habituellement marquées par l'usage de verbes au futur et au conditionnel ou par l'emploi d'expressions comme « prévoir », « croire », « estimer », « projeter », « s'attendre à », « avoir l'intention de » et autres termes ou expressions similaires.
En raison de leur nature même, ces déclarations prospectives supposent l'élaboration d'hypothèses, et elles comportent donc nécessairement des risques et des incertitudes d'ordre général et spécifique. Les hypothèses qui ont trait à la performance des économies du Canada et des États-Unis en 2013 et à leurs effets sur les activités de la Banque figurent parmi les principaux facteurs pris en considération au moment de déterminer les priorités et les objectifs stratégiques et de fixer les objectifs financiers, notamment en ce qui a trait à la provision pour pertes sur créances. Au moment d'établir les prévisions concernant la croissance économique en général et dans le secteur des services financiers en particulier, la Banque s'appuie surtout sur les données économiques historiques fournies par les gouvernements du Canada et des États-Unis et leurs organismes.
Il est fort possible que les projections expresses ou implicites contenues dans ces déclarations prospectives ne se réalisent pas ou se révèlent inexactes. La Banque recommande aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que divers facteurs, dont plusieurs sont indépendants de la volonté de la Banque, pourraient faire en sorte que les résultats, les conditions, les mesures ou les événements futurs varieront sensiblement des objectifs, attentes, estimations ou intentions figurant dans les présentes déclarations prospectives. Ces facteurs incluent notamment le risque de crédit, le risque de marché, le risque de liquidité, le risque opérationnel, le risque réglementaire, le risque de réputation et le risque environnemental, lesquels sont décrits plus amplement dans la section « Gestion des risques » débutant à la page 57 du Rapport annuel 2012, et plus précisément la conjoncture économique générale et les conditions du marché financier au Canada, aux États-Unis et dans certains autres pays où la Banque exerce ses activités, y compris l'incidence de la crise de l'endettement qui touche certains pays d'Europe; la révision à la baisse de la cote de la dette souveraine à long terme des États-Unis attribuée par Standard & Poor's, la révision à la baisse de la cote de la dette souveraine d'autres pays d'Europe et l'incidence de changement touchant les notations de crédit de la Banque; la situation entourant les billets restructurés des conduits de véhicules d'actifs cadres (VAC), notamment la valeur de réalisation des actifs sous-jacents; les modifications apportées aux conventions et méthodes comptables que la Banque utilise à des fins de présentation de sa situation financière, y compris les incertitudes liées aux hypothèses et aux principales estimations comptables; les lois fiscales en vigueur dans les pays où la Banque est présente, principalement le Canada et les États-Unis; les modifications aux lignes directrices sur les fonds propres et la liquidité ainsi que les instructions relatives à leur présentation et leur interprétation.
La liste des facteurs de risques susmentionnés n'est pas exhaustive. Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs sont fournis dans les sections « Gestion des risques » et « Autres facteurs de risque » du Rapport annuel 2012. Les investisseurs et autres personnes qui se fondent sur les déclarations prospectives de la Banque doivent considérer soigneusement les facteurs susmentionnés ainsi que les incertitudes et les risques qu'ils comportent. La Banque met également le lecteur en garde contre une confiance indue dans ces déclarations prospectives.
L'information prospective contenue dans le présent document est destinée à l'interprétation des renseignements contenus dans ce document et pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
DIVULGATION DES RÉSULTATS DU DEUXIÈME TRIMESTRE
Conférence téléphonique
- Une conférence téléphonique pour les analystes et investisseurs institutionnels aura lieu le vendredi 24 mai 2013 à 11h00 HAE.
- Accès par téléphone en mode écoute seulement : 1 866 696-5910 ou 416 340-2217. Le code d'accès est le 3390539#.
- L'enregistrement téléphonique archivé sera accessible jusqu'au 2 juin 2013 en composant le 1 800 408-3053 ou le 905 694-9451.
Le code d'accès est le 5955220#.
Diffusion de l'appel sur Internet
- La conférence téléphonique sur les résultats sera diffusée en direct via Internet à l'adresse bnc.ca/relationsinvestisseurs.
- Une version archivée de la conférence sera disponible après la fin de l'appel dans le site Internet de la Banque Nationale.
Documents financiers
- Les états financiers trimestriels sont en tout temps disponibles dans le site Internet de la Banque Nationale du Canada à l'adresse : bnc.ca/relationsinvestisseurs.
- Le Rapport aux actionnaires et les informations financières complémentaires, ainsi que les documents de présentation, se retrouveront dans le site de la Banque Nationale à la page des Relations avec les investisseurs, un peu avant le début de la conférence téléphonique.
SOURCE : Banque Nationale du Canada
Ghislain Parent
Chef des finances et
Premier vice-président à la direction
Finance et Trésorerie
514 394-6807
Jean Dagenais
Premier vice-président
Finance, Fiscalité et
Relations investisseurs
514 394-6233
Claude Breton
Vice-président adjoint
Affaires publiques
514 394-8644
Hélène Baril
Directrice principale
Relations investisseurs
514 394-0296
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