L'information financière fournie dans le présent communiqué est basée sur les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés pour le premier trimestre terminé le 31 janvier 2013. On peut obtenir de l'information additionnelle sur la Banque Nationale du Canada, y compris la notice annuelle, dans le site Internet de SEDAR à l'adresse sedar.com ou celui de la Banque à l'adresse bnc.ca. Les symboles M$ et G$ désignent respectivement les millions et les milliards de dollars.
Faits saillants :
- Résultat net de 364 M$ au premier trimestre de 2013, en hausse de 4 % par rapport à 351 M$ au trimestre correspondant de 2012;
- Résultat dilué par action de 2,03 $ au premier trimestre de 2013, par rapport à 1,99 $ au trimestre correspondant de 2012, une augmentation de 2 %;
- Rendement des capitaux propres de 20,0 %;
- Ratio des fonds propres attribuables aux actions ordinaires (CET1) selon Bâle III de 7,9 % au 31 janvier 2013, contre un ratio pro forma CET1 selon Bâle III de 7,3 % au 31 octobre 2012.
Faits saillants excluant les éléments particuliers (1) :
- Résultat net record de 361 M$ au premier trimestre de 2013, en croissance de 2 % par rapport à 353 M$ pour la même période en 2012;
- Résultat dilué par action record de 2,02 $ au premier trimestre de 2013, contre 2,00 $ au trimestre correspondant de 2012, une augmentation de 1 %;
- Rendement des capitaux propres de 19,8 %.
MONTRÉAL, le 28 févr. 2013 /CNW Telbec/ - La Banque Nationale déclare un résultat net de 364 M$ au premier trimestre de l'exercice 2013, par rapport à 351 M$ réalisé au cours du premier trimestre de 2012, une croissance de 4 %. Le résultat dilué par action atteint 2,03 $ pour le trimestre terminé le 31 janvier 2013, en hausse de 2 % par rapport à 1,99 $ au trimestre correspondant de 2012.
En excluant les éléments particuliers décrits à la page 5, le résultat net record de 361 M$ au premier trimestre de 2013 est en hausse de 2 % par rapport à 353 M$ pour la période correspondante de 2012. Le résultat dilué par action record de 2,02 $ au premier trimestre de 2013 augmente de 1 % par rapport à 2,00 $ au trimestre correspondant de 2012.
« Les résultats du trimestre sont attribuables à l'excellente performance du secteur Gestion de patrimoine et du secteur Particuliers et Entreprises dont les bénéfices augmentent de 24 % et 5 % respectivement », souligne Louis Vachon, président et chef de la direction de la Banque. « Par ailleurs, la Banque poursuit ses investissements afin d'améliorer la prestation du service à la clientèle et l'efficacité opérationnelle, des atouts indéniables lorsque la croissance économique est modérée. De plus, la Banque compte maintenir une saine gestion de ses coûts, de ses risques et de son capital », ajoute M. Vachon.
Indicateurs financiers
Résultats | |||||
excluant les | |||||
Résultats | éléments | ||||
T1 2013 | particuliers | (1) | |||
Croissance du résultat dilué par action | 2 | % | 1 | % | |
Rendement des capitaux propres attribuables aux détenteurs d'actions ordinaires | 20,0 | % | 19,8 | % | |
Ratio de versement des dividendes | 33 | % | 40 | % | |
Ratio des fonds propres CET1 selon Bâle III | 7,9 | % |
(1) | Consulter le « Mode de présentation de l'information » à la page 5. |
Résultats sectoriels
La présentation des informations sectorielles est conforme à celle que la Banque a adoptée pour l'exercice financier débuté le 1er novembre 2012, en tenant compte des changements suivants pour refléter le suivi de la performance effectué par la direction. Les activités de distribution de produits bancaires par des réseaux indépendants ont été reclassées du secteur Particuliers et Entreprises au secteur Gestion de patrimoine. Les activités bancaires avec les entreprises commerciales du secteur de l'énergie ont été transférées du secteur Marchés financiers au secteur Particuliers et Entreprises. Ces modifications n'ont pas eu d'incidence sur les résultats consolidés de la Banque.
Particuliers et Entreprises
Le résultat net du secteur Particuliers et Entreprises de 178 M$ est en hausse de 5 % par rapport à 169 M$ au premier trimestre de 2012 en raison de la croissance soutenue des activités et d'un contrôle rigoureux des frais autres que d'intérêts. Le revenu total du secteur a progressé de 16 M$, en raison de la croissance du revenu net d'intérêts qui a augmenté de 3 M$ et de la hausse des revenus autres que d'intérêts de 13 M$ au premier trimestre de 2013. L'augmentation du revenu net d'intérêts provient surtout de la croissance du volume des prêts aux particuliers. Cette croissance a été atténuée par l'affaiblissement de la marge bénéficiaire qui atteint 2,14 % au premier trimestre de 2013, par rapport à 2,34 % au même trimestre en 2012, principalement en raison d'une diminution des marges sur les prêts. La croissance des revenus autres que d'intérêts est surtout attribuable aux revenus de crédit ainsi qu'aux revenus d'assurances.
Le revenu total des Services aux particuliers a progressé de 8 M$ surtout en raison de l'augmentation du volume des prêts, plus particulièrement les prêts à la consommation et les marges de crédit hypothécaires, partiellement contrebalancée par un rétrécissement des marges bénéficiaires. De plus, les revenus de crédit et les revenus d'assurances sont en hausse. Le revenu total des Services aux entreprises est en hausse de 8 M$, principalement en raison de la croissance des revenus de crédit, notamment sur les acceptations.
Les frais autres que d'intérêts du secteur Particuliers et Entreprises au premier trimestre de 2013 sont en hausse de 5 M$ par rapport au trimestre correspondant de 2012, soit 1 %. Le ratio d'efficience à 55 % pour le premier trimestre de 2013 s'améliore de 1 % par rapport au trimestre correspondant de 2012. Les dotations aux pertes sur créances du secteur ont diminué de 1 M$, la diminution des dotations aux pertes sur créances du crédit aux entreprises et des créances sur cartes de crédit ayant été plus importante que la hausse des dotations aux pertes sur créances des particuliers.
Gestion de patrimoine
Le résultat net du secteur Gestion de patrimoine s'établit à 51 M$ au premier trimestre de 2013, en hausse de 24 % par rapport à 41 M$ au trimestre correspondant de 2012. Le revenu total du secteur atteint 275 M$ au premier trimestre de 2013, par rapport à 262 M$ au premier trimestre de 2012, une augmentation de 5 %. La hausse du revenu total s'explique principalement par l'augmentation du volume de transactions pour les services tarifés, la croissance des actifs sous administration et sous gestion ainsi qu'en raison du compte Surintérêt.
Les frais autres que d'intérêts sont demeurés stables par rapport au premier trimestre de 2012 pour s'établir à 205 M $.
Marchés financiers
Le secteur Marchés financiers affiche un résultat net de 115 M$ au premier trimestre de 2013, en baisse de 6 M$ par rapport à 121 M$ au trimestre correspondant de 2012. Le revenu total du secteur en équivalent imposable se chiffre à 303 M$, contre 337 M$ au premier trimestre de 2012, surtout attribuable aux gains sur valeurs mobilières disponibles à la vente en baisse de 29 M$, en raison de gains tirés des activités d'investissement enregistrés au premier trimestre de 2012. Les revenus des services bancaires augmentent de 26 % notamment en raison des besoins accrus de financement de la clientèle active dans des projets d'acquisitions. Les revenus Autres sont en baisse de 7 M$ principalement attribuable à la réduction de la quote-part du résultat provenant d'une entreprise associée.
Les frais autres que d'intérêts du premier trimestre de 2013 sont en baisse de 12 M$ par rapport au trimestre correspondant de 2012 en raison de la rémunération variable. Pour le premier trimestre de 2013, des récupérations de pertes sur créances de 13 M$ ont été enregistrées alors qu'au trimestre correspondant de 2012, les dotations aux pertes sur créances avaient été nulles.
Autres
La rubrique Autres des résultats sectoriels affiche un résultat net de 20 M$ au premier trimestre de 2013 inchangé par rapport au trimestre correspondant de 2012. Les éléments particuliers enregistrés au cours du premier trimestre de 2013, déduction faite des impôts, comprennent un revenu lié à la détention des billets restructurés d'un montant de 9 M$ par rapport à 3 M$ au premier trimestre de 2012. Excluant les éléments particuliers, le résultat net est en baisse de 5 M$ en raison notamment de la contribution moindre de la Trésorerie au premier trimestre de 2013.
Capital
La Banque effectue la gestion du capital en tenant compte des risques de crédit, opérationnel et de marché. La Banque utilise l'approche de notation interne avancée pour le risque de crédit et la méthode standardisée pour le risque opérationnel. Pour le risque de marché, elle utilise principalement une approche fondée sur les modèles internes, mais l'approche standardisée est aussi utilisée pour certaines expositions. Plus de détails sont présentés dans la section « Gestion du capital » du Rapport annuel 2012 aux pages 54 à 56.
Le nouveau cadre réglementaire désigné par l'expression « Bâle III » a établi des dispositions de transition qui s'échelonnent de 2013 à 2019. Néanmoins, le BSIF exige que les banques canadiennes respectent les seuils minimaux de 2019 dès le premier trimestre de 2013 pour les fonds propres attribuables aux actions ordinaires (CET1), et au premier trimestre de 2014 pour les fonds propres de catégorie 1 et le total des fonds propres. Ces ratios cibles, sans égard à la transition, seront présentés conjointement avec les ratios tenant compte de la transition à chaque trimestre jusqu'au début de 2019. La Banque doit se conformer aux ratios sans égard à la transition et elle est tenue de maintenir dès le premier trimestre de 2013, un ratio CET1 d'au moins 7,0 %, dont 4,5 % pour les fonds propres attribuables aux actions ordinaires et 2,5 % comme réserve de conservation des fonds propres.
Outre les ratios des fonds propres réglementaires, les banques canadiennes sont également assujetties par le BSIF aux exigences d'un test de levier financier maximal. L'effet de levier se calcule en divisant l'actif total de la Banque, y compris certains éléments hors bilan, par le total de ses fonds propres réglementaires.
Selon les lignes directrices du BSIF couvrant l'adéquation des fonds propres, les institutions financières pouvaient appliquer progressivement l'incidence de la conversion aux IFRS sur les fonds propres réglementaires. La Banque avait décidé de se prévaloir de ce choix et elle a appliqué progressivement l'incidence de la conversion aux IFRS suivant la méthode linéaire sur une période s'échelonnant sur cinq trimestres, du premier trimestre de 2012 au premier trimestre de 2013 inclusivement.
Au 31 janvier 2013, le ratio des fonds propres CET1 selon Bâle III, sans égard à la transition, est de 7,9 % par rapport à un ratio pro forma CET1 selon Bâle III de 7,3 % au 31 octobre 2012. L'augmentation du ratio CET1 est essentiellement attribuable au délai d'implantation de la nouvelle charge d'ajustement de l'évaluation de crédit (CVA), à l'émission d'actions ordinaires principalement liée aux levées d'options ainsi qu'au résultat net, déduction faite des dividendes. Le ratio des fonds propres de catégorie 1 et le ratio des fonds propres total, selon Bâle III sans égard à la transition, sont respectivement de 10,8 % et de 14,5 % au 31 janvier 2013, par rapport à 10,1 % et 14,1 % respectivement pour le ratio pro forma des fonds propres de catégorie 1 et le ratio pro forma des fonds propres total au 31 octobre 2012.
L'actif pondéré en fonction du risque, selon les règles de Bâle III sans égard à la transition, a diminué et se chiffre à 59,4 G$ au 31 janvier 2013 alors qu'il s'établissait à 62,2 G$ au 31 octobre 2012 selon les calculs pro forma. Cette réduction est surtout attribuable au délai d'implantation du CVA.
FAITS SAILLANTS
(en millions de dollars canadiens)
Trimestre terminé le 31 janvier | 2013 | 2012 | Variation % | ||||||
Résultats d'exploitation | |||||||||
Revenu total | 1 235 | $ | 1 243 | $ | (1) | ||||
Résultat net | 364 | 351 | 4 | ||||||
Résultat net attribuable aux actionnaires de la Banque | 344 | 332 | 4 | ||||||
Rendement des capitaux propres attribuables aux détenteurs d'actions ordinaires | 20,0 | % | 21,9 | % | |||||
Résultat par action (en dollars) | |||||||||
de base | 2,05 | $ | 2,00 | $ | 2 | ||||
dilué | 2,03 | 1,99 | 2 | ||||||
EXCLUANT LES ÉLÉMENTS PARTICULIERS (1) | |||||||||
Résultats d'exploitation | |||||||||
Revenu total | 1 225 | $ | 1 238 | $ | (1) | ||||
Résultat net | 361 | 353 | 2 | ||||||
Résultat net attribuable aux actionnaires de la Banque | 341 | 334 | 2 | ||||||
Rendement des capitaux propres attribuables aux détenteurs d'actions ordinaires | 19,8 | % | 22,1 | % | |||||
Résultat par action (en dollars) | |||||||||
de base | 2,04 | $ | 2,01 | $ | 1 | ||||
dilué | 2,02 | 2,00 | 1 | ||||||
Par action ordinaire (en dollars) | |||||||||
Dividendes déclarés | 0,83 | $ | 0,75 | $ | |||||
Valeur comptable | 41,38 | 36,87 | |||||||
Cours de l'action | |||||||||
haut | 80,04 | 77,94 | |||||||
bas | 75,06 | 63,27 | |||||||
clôture | 79,32 | 75,22 | |||||||
Au 31 janvier 2013 | Au 31 octobre 2012 | Variation % | |||||||
Situation financière | |||||||||
Actif total | 183 796 | 177 903 | 3 | ||||||
Prêts et acceptations | 92 721 | 90 922 | 2 | ||||||
Dépôts | 93 899 | 93 249 | 1 | ||||||
Dette subordonnée et capitaux propres | 10 939 | 10 710 | 2 | ||||||
Ratios des fonds propres selon Bâle III (2) | |||||||||
attribuables aux actions ordinaires (CET1) | 7,9 | % | 7,3 | % | |||||
catégorie 1 | 10,8 | % | 10,1 | % | |||||
total | 14,5 | % | 14,1 | % | |||||
Ratios des fonds propres selon Bâle I | |||||||||
catégorie 1 | 11,2 | % | 11,0 | % | |||||
total | 15,0 | % | 14,6 | % | |||||
Prêts douteux, déduction faite des provisions individuelles et collectives | (202) | (190) | |||||||
en % des prêts et acceptations | (0,2) | % | (0,2) | % | |||||
Actifs sous administration et sous gestion | 242 096 | 232 027 | |||||||
Épargne totale des particuliers | 152 210 | 149 774 | |||||||
Couverture d'intérêts | 12,35 | 12,23 | |||||||
Couverture par l'actif | 3,56 | 3,45 | |||||||
Autres renseignements | |||||||||
Nombre d'employés | 19 858 | 19 920 | − | ||||||
Nombre de succursales au Canada | 452 | 451 | − | ||||||
Nombre de guichets automatiques | 922 | 923 | − |
(1) | Consulter le « Mode de présentation de l'information » à la page 5. |
(2) | Les ratios sont calculés sans égard à la transition et les ratios au 31 octobre 2012 sont présentés pro forma. |
MODE DE PRÉSENTATION DE L'INFORMATION
La Banque utilise certaines mesures non conformes aux Normes internationales d'information financière (IFRS), telles que publiées par l'International Accounting Standards Board (IASB) et énoncées dans le manuel de l'Institut Canadien des Comptables Agréés, pour évaluer les résultats. Les organismes de réglementation du commerce des valeurs mobilières exigent que les entreprises préviennent les lecteurs que le résultat net et les autres mesures rajustées en fonction de critères autres que les IFRS n'ont pas une signification standard selon les IFRS et sont difficilement comparables avec des mesures similaires utilisées par d'autres entreprises.
DONNÉES FINANCIÈRES
Trimestre terminé le 31 janvier | 2013 | 2012 | Variation % | ||||||
Excluant les éléments particuliers | |||||||||
Particuliers et Entreprises | 178 | 169 | 5 | ||||||
Gestion de patrimoine | 56 | 46 | 22 | ||||||
Marchés financiers | 115 | 121 | (5) | ||||||
Autres | 12 | 17 | |||||||
Résultat net excluant les éléments particuliers | 361 | 353 | 2 | ||||||
Moins : éléments relatifs aux acquisitions (1) | (6) | (5) | |||||||
Plus : éléments liés à la détention des billets restructurés (2) | 9 | 3 | |||||||
Résultat net | 364 | 351 | 4 | ||||||
Résultat dilué par action excluant les éléments particuliers | 2,02 | $ | 2,00 | $ | 1 | ||||
Moins : éléments relatifs aux acquisitions (1) | (0,04) | (0,03) | |||||||
Plus : éléments liés à la détention des billets restructurés (2) | 0,05 | 0,02 | |||||||
Résultat dilué par action | 2,03 | $ | 1,99 | $ | 2 | ||||
Rendement des capitaux propres attribuables aux détenteurs d'actions ordinaires | |||||||||
Incluant les éléments particuliers | 20,0 | % | 21,9 | % | |||||
Excluant les éléments particuliers | 19,8 | % | 22,1 | % |
(1) | Les éléments relatifs aux acquisitions pour le trimestre terminé le 31 janvier 2013 comprennent : des charges de 6 M$ (4 M$ déduction faite des impôts) relatives aux acquisitions du secteur Gestion de patrimoine (2012 : 8 M$, 5 M$ déduction faite des impôts) principalement composées de bonis de rétention; la quote-part de la Banque des charges d'intégration engagées par Fiera pour un montant de 1 M$ (1 M$ déduction faite des impôts); ainsi que la quote-part de la Banque des charges d'intégration et de l'amortissement des immobilisations incorporelles relative à la participation de la Banque dans TMX pour un montant de 1 M$ (1 M$ déduction faite des impôts). |
(2) | Au cours du trimestre terminé le 31 janvier 2013, un revenu de 12 M$ (9 M$ déduction faite des impôts) a été enregistré en raison de la variation de la juste valeur du papier commercial exclu du plan de restructuration pancanadien (2012 : 5 M$, 3 M$ déduction faite des impôts). |
MISE EN GARDE À PROPOS DES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
À l'occasion, la Banque Nationale du Canada (la Banque) fait des déclarations prospectives écrites et verbales, notamment celles contenues dans les sections « Principales tendances économiques » et « Perspectives pour la Banque Nationale » du Rapport annuel 2012, ainsi que dans d'autres documents déposés auprès des organismes de réglementation canadiens et d'autres communications, et ce, aux fins de décrire le contexte économique dans lequel la Banque évoluera au cours de l'exercice 2013 et les objectifs qu'elle souhaite atteindre au cours de cette période. Ces déclarations prospectives sont faites conformément aux lois sur les valeurs mobilières en vigueur. Elles comprennent, entre autres, des déclarations à l'égard de l'économie - notamment les économies canadienne et américaine -, de l'évolution des marchés, des observations concernant les objectifs de la Banque et ses stratégies pour les atteindre, le rendement financier prévu de la Banque et certains risques auxquels la Banque est confrontée. Ces déclarations prospectives sont habituellement marquées par l'usage de verbes au futur et au conditionnel ou par l'emploi d'expressions comme « prévoir », « croire », « estimer », « projeter », « s'attendre à », « avoir l'intention de » et autres termes ou expressions similaires.
En raison de leur nature même, ces déclarations prospectives supposent l'élaboration d'hypothèses, et elles comportent donc nécessairement des risques et des incertitudes d'ordre général et spécifique. Les hypothèses qui ont trait à la performance des économies du Canada et des États-Unis en 2013 et à leurs effets sur les activités de la Banque figurent parmi les principaux facteurs pris en considération au moment de déterminer les priorités et les objectifs stratégiques et de fixer les objectifs financiers, notamment en ce qui a trait à la provision pour pertes sur créances. Au moment d'établir les prévisions concernant la croissance économique en général et dans le secteur des services financiers en particulier, la Banque s'appuie surtout sur les données économiques historiques fournies par les gouvernements du Canada et des États-Unis et leurs organismes.
Il est fort possible que les projections expresses ou implicites contenues dans ces déclarations prospectives ne se réalisent pas ou se révèlent inexactes. La Banque recommande aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que divers facteurs, dont plusieurs sont indépendants de la volonté de la Banque, pourraient faire en sorte que les résultats, les conditions, les mesures ou les événements futurs varieront sensiblement des objectifs, attentes, estimations ou intentions figurant dans les présentes déclarations prospectives. Ces facteurs incluent notamment le risque de crédit, le risque de marché, le risque de liquidité, le risque opérationnel, le risque réglementaire, le risque de réputation et le risque environnemental, lesquels sont décrits plus amplement dans la section « Gestion des risques » débutant à la page 57 du Rapport annuel 2012, et plus précisément la conjoncture économique générale et les conditions du marché financier au Canada, aux États-Unis et dans certains autres pays où la Banque exerce ses activités, y compris l'incidence de la crise de l'endettement qui touche certains pays d'Europe; la révision à la baisse de la cote de la dette souveraine à long terme des États-Unis attribuée par Standard & Poor's, la révision à la baisse de la cote de la dette souveraine d'autres pays d'Europe et l'incidence de changement touchant les notations de crédit de la Banque; la situation entourant les billets restructurés des conduits de véhicules d'actifs cadres (VAC), notamment la valeur de réalisation des actifs sous-jacents; les modifications apportées aux conventions et méthodes comptables que la Banque utilise à des fins de présentation de sa situation financière, y compris les incertitudes liées aux hypothèses et aux principales estimations comptables; les lois fiscales en vigueur dans les pays où la Banque est présente, principalement le Canada et les États-Unis; les modifications aux lignes directrices sur les fonds propres et la liquidité ainsi que les instructions relatives à leur présentation et leur interprétation.
La liste des facteurs de risques susmentionnés n'est pas exhaustive. Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs sont fournis dans les sections « Gestion des risques » et « Autres facteurs de risque » du Rapport annuel 2012. Les investisseurs et autres personnes qui se fondent sur les déclarations prospectives de la Banque doivent considérer soigneusement les facteurs susmentionnés ainsi que les incertitudes et les risques qu'ils comportent. La Banque met également le lecteur en garde contre une confiance indue dans ces déclarations prospectives.
L'information prospective contenue dans le présent document est destinée à l'interprétation des renseignements contenus dans ce document et pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
DIVULGATION DES RÉSULTATS DU PREMIER TRIMESTRE 2013
Conférence téléphonique
- Une conférence téléphonique pour les analystes et investisseurs institutionnels aura lieu le vendredi 1er mars 2013 à 8h00 HE.
- Accès par téléphone en mode écoute seulement : 1 866 898-9628 ou 416 340-2217.
- L'enregistrement téléphonique archivé sera accessible jusqu'au 12 mars 2013 en composant le 1 800 408-3053 ou le 905 694-9451.
Le code d'accès est le 5955220#.
Diffusion de l'appel sur Internet
- La conférence téléphonique sur les résultats sera diffusée en direct via Internet à l'adresse bnc.ca/relationsinvestisseurs.
- Une version archivée de la conférence sera disponible après la fin de l'appel dans le site Internet de la Banque Nationale.
Documents financiers
- Les états financiers trimestriels sont en tout temps disponibles dans le site Internet de la Banque Nationale du Canada à l'adresse :
bnc.ca/relationsinvestisseurs. - Le Rapport aux actionnaires et les informations financières complémentaires, ainsi que les documents de présentation, se retrouveront dans le site de la Banque Nationale à la page des Relations avec les investisseurs, un peu avant le début de la conférence téléphonique.
SOURCE : Banque Nationale du Canada
Ghislain Parent
Chef des finances et
Premier vice-président
à la direction
Finance et Trésorerie
514 394-6807
Jean Dagenais
Premier vice-président
Finance, Fiscalité et
Relations investisseurs
514 394-6233
Claude Breton
Directeur principal
Affaires publiques
514 394-8644
Hélène Baril
Directrice principale
Relations investisseurs
514 394-0296
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