TORONTO, le 30 mai 2024 /CNW/ - La Banque Royale du Canada (la Banque) (TSX: RY) (NYSE: RY) a annoncé aujourd'hui son intention, sous réserve de l'approbation de la Bourse de Toronto et du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), de lancer une offre publique de rachat dans le cours normal des activités et de racheter, en vue de les annuler, jusqu'à 30 millions de ses actions ordinaires. La Banque compte déposer un avis d'intention auprès de la Bourse de Toronto à cet égard.
Les achats pourront débuter le 12 juin 2024, à condition que la Bourse de Toronto ait accepté l'avis d'intention, et se poursuivre jusqu'au 11 juin 2025, date d'expiration de cette offre de rachat, ou jusqu'à une date antérieure si la Banque termine plus tôt ses rachats conformément à l'avis d'intention. Ils pourront être effectués par l'intermédiaire de la Bourse de Toronto, de la Bourse de New York, et d'autres bourses et systèmes de négociation canadiens désignés. Les actions seront rachetées à leur cours au moment du rachat. Le moment et le montant des achats effectués dans le cadre du programme sont assujettis à l'obtention des approbations réglementaires et à la discrétion de la direction, en fonction de facteurs tels que les conditions du marché et l'adéquation des fonds propres.
Les actions qui peuvent être rachetées représentent environ 2,12 % des actions ordinaires en circulation de la Banque au 15 mai 2024. Le 15 mai 2024, la Banque comptait 1 414 943 252 actions ordinaires en circulation.
L'offre publique de rachat proposée dans le cours normal des activités donnera à la Banque la souplesse nécessaire pour gérer son capital tout en créant de la valeur pour les actionnaires. Au 30 avril 2024, les ratios de la composante actions ordinaires et assimilées T1, de capital de catégorie 1 et de capital total de la Banque s'établissaient à 12,8 %, à 14,1 % et à 16,1 %, respectivement.
Le présent communiqué contient des déclarations prospectives au sens de certaines lois sur les valeurs mobilières, y compris les « règles d'exonération » (safe harbor) de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des États-Unis et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables, en ce qui a trait aux croyances, aux projets, aux attentes et aux estimations de RBC. Ces déclarations prospectives comprennent notamment des déclarations concernant l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la Banque Royale du Canada. Les mots « croire », « s'attendre à », « suggérer », « chercher », « viser », « prévoir », « se proposer », « estimer », « objectif », « planifier », « s'efforcer de », « cible », « perspective », « échéancier » et « projet », de même que l'emploi du futur ou du conditionnel ainsi que de mots et d'expressions semblables, y compris sous leur forme négative et toutes leurs variantes grammaticales, dénotent généralement des déclarations prospectives.
De par leur nature même, les déclarations prospectives nous obligent à formuler des hypothèses et font l'objet d'incertitudes et de risques intrinsèques, généraux et particuliers, qui donnent lieu à la possibilité que nos prédictions, prévisions, projections, attentes et conclusions se révèlent inexactes, que nos hypothèses soient incorrectes, que nos déclarations prospectives, y compris les déclarations relatives à l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la Banque Royale du Canada, ne se matérialisent pas, et que nos résultats réels diffèrent de façon significative de ces prédictions, prévisions, projections, attentes et conclusions.
Le lecteur ne doit pas se fier indûment à ces déclarations prospectives, puisque nos résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes exprimées dans ces déclarations prospectives en raison d'un certain nombre de facteurs de risque. Ces facteurs, dont bon nombre sont indépendants de notre volonté et dont nous pouvons difficilement prévoir les répercussions, comprennent, entre autres, les risques de crédit, de marché, de liquidité et de financement, d'assurance, opérationnels et de non-conformité à la réglementation (ce qui pourrait faire en sorte que nous fassions l'objet de procédures juridiques et réglementaires dont l'issue potentielle pourrait notamment mener à des restrictions, sanctions et amendes réglementaires), le risque de réputation, les risques liés au cadre juridique et réglementaire, à la concurrence et aux modèles, ainsi que les risques opérationnel, stratégique et systémique, et d'autres risques qui sont expliqués aux rubriques portant sur le risque de notre rapport annuel pour l'exercice terminé le 31 octobre 2023 (Rapport annuel 2023) et dans la section sur la gestion du risque de notre Rapport trimestriel aux actionnaires pour le deuxième trimestre de 2024. Ces autres risques incluent ceux qui concernent le contexte commercial et la conjoncture économique des secteurs géographiques où nous exerçons nos activités, le marché de l'habitation et l'endettement des ménages au Canada, les technologies de l'information et les cyberrisques et les risques liés aux tierces parties, l'incertitude géopolitique, les risques environnementaux et sociaux (y compris les changements climatiques), les bouleversements numériques et l'innovation, les risques liés à la confidentialité et aux données, les changements de la réglementation, les risques liés à la culture et à la conduite, l'incidence des modifications des politiques budgétaires, monétaires et autres de gouvernements, le risque fiscal et la transparence, ainsi que sur notre capacité à prévoir et à gérer efficacement les risques liés aux facteurs susmentionnés. Les autres facteurs susceptibles d'entraîner des résultats réels sensiblement différents des attentes exprimées dans ces déclarations prospectives sont exposés dans les sections portant sur le risque de notre Rapport annuel 2023 et dans la section sur la gestion du risque de notre Rapport trimestriel aux actionnaires pour le deuxième trimestre de 2024, lesquelles peuvent être mises à jour dans les rapports trimestriels subséquents.
Nous tenons à préciser que la liste susmentionnée de facteurs de risque n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient également avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Les investisseurs et autres personnes qui se fient à nos déclarations prospectives pour prendre des décisions à notre égard doivent bien tenir compte de ces facteurs et d'autres incertitudes et événements potentiels, ainsi que de l'incertitude inhérente aux déclarations prospectives. Les hypothèses économiques importantes qui sous-tendent les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué sont présentées à la rubrique « Examen de la conjoncture économique, des marchés et du contexte réglementaire et perspectives » et, pour chacun de nos secteurs d'exploitation, aux rubriques « Priorités stratégiques » et « Perspectives » de notre Rapport annuel 2023, et mises à jour à la rubrique « Examen de la conjoncture économique, des marchés et du contexte réglementaire et perspectives » de notre Rapport trimestriel aux actionnaires pour le deuxième trimestre de 2024. Ces sections peuvent être mises à jour dans les rapports trimestriels subséquents.
Toute déclaration prospective contenue dans le présent communiqué représente l'opinion de RBC uniquement à la date des présentes. Sauf si la loi l'exige, RBC ne s'engage pas à mettre à jour quelque déclaration prospective que ce soit, écrite ou verbale, qu'elle peut faire ou qui peut être faite pour son compte à l'occasion.
SOURCE Banque Royale du Canada
Personne-ressource, investisseurs : Asim Imran, Relations avec les investisseurs, [email protected], 416 955-7804; Personne-ressource, médias : Fiona McLean, Communications, [email protected], 437 778-3506
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