TORONTO, le 6 déc. 2021 /CNW/ - La Banque Royale du Canada (la Banque) (RY sur TSX et NYSE) a annoncé aujourd'hui avoir reçu l'approbation de la Bourse de Toronto (TSX) et du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) pour lancer une offre publique de rachat dans le cours normal des activités et racheter, en vue de les annuler, jusqu'à 45 millions de ses actions ordinaires.
Les rachats pourront débuter le 8 décembre 2021 et se poursuivre jusqu'au 7 décembre 2022, date d'expiration de cette offre de rachat, ou jusqu'à une date antérieure si la Banque termine plus tôt ses rachats conformément à l'avis d'intention déposé auprès du TSX. Ils pourront être effectués par l'intermédiaire du TSX, de la New York Stock Exchange (NYSE), et d'autres bourses et systèmes de négociation canadiens désignés. Les actions seront rachetées à leur cours au moment du rachat.
Le nombre maximal d'actions pouvant être rachetées aux fins d'annulation représente environ 3,16 % des 1 425 279 101 actions ordinaires en circulation au 26 novembre 2021. Le nombre de rachats au TSX dans une même journée ne dépassera pas 848 650 actions ordinaires, soit 25 % du volume moyen des opérations quotidiennes sur les actions du TSX pour le semestre terminé le 30 novembre 2021. Le volume moyen des opérations quotidiennes sur les actions de la Banque au TSX pour ce semestre, calculé selon les règlements du TSX aux fins de l'offre publique de rachat, était de 3 394 600 actions.
L'offre publique de rachat dans le cours normal des activités donnera à la Banque la souplesse nécessaire pour gérer son capital tout en créant de la valeur pour les actionnaires.
Le 8 décembre 2021, la Banque établira un régime d'achat automatique d'actions aux termes duquel son courtier, RBC Dominion valeurs mobilières Inc., pourrait, selon un ensemble de critères définis, acheter périodiquement ses actions ordinaires conformément à l'offre de rachat. Le nombre réel d'actions ordinaires achetées dans le cadre du régime d'achat automatique d'actions, le moment des achats et le prix auquel les actions ordinaires sont achetées dépendront des conditions futures du marché.
La précédente offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la Banque, qui portait sur le rachat de 20 000 000 actions, a débuté le 2 mars 2020 et a pris fin le 1er mars 2021. Dans le cadre de cette offre publique, la Banque a racheté 400 000 actions sur le marché libre à un prix moyen pondéré en fonction du volume d'environ 98,74 $ par action. Le 13 mars 2020, le BSIF faisait une annonce dans laquelle il disait s'attendre à ce que les banques ne procèdent à aucun rachat d'actions en réponse aux défis posés par la pandémie de COVID-19. Conformément à cette annonce, la Banque n'a racheté aucune action à compter du 13 mars 2020 jusqu'à l'expiration de l'offre publique.
Mise en garde au sujet des déclarations prospectives
Certaines déclarations contenues dans le présent communiqué pourraient être réputées constituer des déclarations prospectives aux termes de certaines lois sur les valeurs mobilières, notamment des « mesures refuges » (safe harbor) de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des États-Unis et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables. Ces déclarations prospectives comprennent notamment des déclarations concernant l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la Banque Royale du Canada. Les mots « croire », « s'attendre à », « prévoir », « se proposer », « estimer », « planifier », « projeter », « devoir » et « pouvoir », de même que l'emploi du futur ou du conditionnel ainsi que de mots et d'expressions semblables dénotent généralement des déclarations prospectives.
De par leur nature même, les déclarations prospectives reposent sur des hypothèses et font l'objet d'incertitudes et de risques intrinsèques qui entraînent la possibilité que nos prédictions, prévisions, projections, attentes ou conclusions se révèlent inexactes, que nos hypothèses s'avèrent erronées et que nos déclarations prospectives, y compris les déclarations relatives à l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la Banque Royale du Canada, ne se matérialisent pas. Nous avertissons les lecteurs de ne pas se fier indûment à ces déclarations, puisque nos résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes exprimées dans ces déclarations prospectives en raison d'un certain nombre de facteurs de risques. Ces facteurs - dont plusieurs échappent au contrôle de RBC et dont les effets peuvent être difficiles à prévoir - comprennent : les risques de crédit, de marché, de liquidité et de financement, d'assurance, opérationnels, de conformité à la réglementation (qui pourraient nous assujettir à diverses poursuites pour motifs légaux ou réglementaires pouvant déboucher sur des contraintes réglementaires, des pénalités et des amendes) ; les risques stratégiques, réputationnels, concurrentiels, juridiques et réglementaires, et les risques systémiques et d'autres risques analysés dans les sections portant sur les risques et la section « Incidence de la pandémie de COVID-19 » de notre rapport annuel pour l'exercice financier terminé le 31 octobre 2021 (Rapport annuel 2021), notamment : les conditions commerciales et économiques ; les cyberrisques et les risques liés aux technologies de l'information ; les risques environnementaux et sociaux (y compris les changements climatiques) ; les perturbations et l'innovation numériques ; le marché résidentiel canadien et l'endettement des ménages ; l'incertitude géopolitique ; les risques liés à la confidentialité, aux données et aux tierces parties ; les changements de réglementation ; la culture et la déontologie ; l'incidence des modifications des politiques gouvernementales fiscales, monétaires et autres ; le risque fiscal et la transparence ; l'émergence de situations d'urgence sanitaire ou de crises de santé publique générales, comme des pandémies et des épidémies, y compris la pandémie de COVID-19 et ses répercussions sur l'économie mondiale, sur les marchés financiers, sur nos activités commerciales, et sur nos résultats, notre situation et nos objectifs financiers. De plus, alors que RBC travaille à la réalisation de ses objectifs liés au climat, des facteurs externes qui échappent à son contrôle raisonnable peuvent nuire à leur réalisation, notamment : les efforts de décarbonisation variables d'une économie à l'autre ; le besoin de politiques climatiques réfléchies dans le monde ; les données plus nombreuses et améliorées ; les méthodologies raisonnablement appuyées ; les avancées technologiques ; l'évolution du comportement des consommateurs ; la recherche d'un équilibre entre les objectifs intermédiaires de réduction des émissions et une transition ordonnée et juste, et d'autres considérations importantes, notamment les obligations légales et réglementaires.
Nous tenons à préciser que la liste susmentionnée de facteurs de risque n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Les investisseurs et autres personnes qui se fient à nos déclarations prospectives pour prendre des décisions à notre égard doivent bien tenir compte de ces facteurs et d'autres incertitudes et événements potentiels. Les hypothèses économiques importantes qui sous-tendent les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué sont présentées à la rubrique « Examen de la conjoncture économique, des marchés et du contexte réglementaire et perspectives » et, pour chacun de nos secteurs d'exploitation, aux rubriques « Priorités stratégiques » et « Perspectives » de notre rapport annuel 2021. Sauf si la loi l'exige, nous ne nous engageons pas à mettre à jour quelque déclaration prospective que ce soit contenue dans le présent communiqué.
Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs et sur d'autres facteurs se trouvent dans les sections portant sur les risques et la section « Incidence de la pandémie de COVID-19 » de notre rapport de gestion 2021.
SOURCE Banque Royale du Canada
Personne-ressource, investisseurs : Asim Imran, Relations avec les investisseurs, [email protected], 416 955-7804 ; Personne-ressource, médias : Fiona McLean, Communications, [email protected], 437 778-3506
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