TORONTO, le 1er déc. 2021 /CNW/ - La Banque Royale du Canada (la Banque) (TSX: RY) (NYSE: RY) a annoncé aujourd'hui son intention, sous réserve de l'approbation de la Bourse de Toronto (TSX) et du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), de lancer une offre publique de rachat dans le cours normal des activités et de racheter, en vue de les annuler, jusqu'à 45 millions de ses actions ordinaires. La Banque compte déposer un avis d'intention auprès du TSX à cet égard.
Les achats pourront débuter le 8 décembre 2021, à condition que le TSX ait accepté l'avis d'intention, et se poursuivre jusqu'au 7 décembre 2022, date d'expiration de cette offre de rachat, ou jusqu'à une date antérieure si la Banque termine plus tôt ses rachats conformément à l'avis d'intention. Ils pourront être effectués par l'intermédiaire du TSX, de la New York Stock Exchange, et d'autres bourses et systèmes de négociation canadiens désignés. Les actions seront rachetées à leur cours au moment du rachat. Le moment et le montant des achats effectués dans le cadre du programme sont assujettis à l'obtention des approbations réglementaires et à la discrétion de la direction, en fonction de facteurs tels que les conditions du marché et l'adéquation des fonds propres.
Les actions qui peuvent être rachetées représentent environ 3,16 % des actions ordinaires en circulation de la Banque au 26 novembre 2021. Le 26 novembre 2021, la Banque comptait 1 425 279 101 actions ordinaires en circulation.
L'offre publique de rachat proposée dans le cours normal des activités donnera à la Banque la souplesse nécessaire pour gérer son capital tout en créant de la valeur pour les actionnaires. Au 31 octobre 2021, les ratios de la composante actions ordinaires et assimilées T1, de capital de catégorie 1 et de capital total de la Banque s'établissaient à 13,7 %, à 14,9 % et à 16,7 %, respectivement.
Mise en garde au sujet des déclarations prospectives
Certaines déclarations contenues dans le présent communiqué pourraient être réputées constituer des déclarations prospectives aux termes de certaines lois sur les valeurs mobilières, notamment des « mesures refuges » (safe harbor) de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des États-Unis et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables. Ces déclarations prospectives comprennent notamment des déclarations concernant l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la Banque Royale du Canada. Les mots « croire », « s'attendre à », « prévoir », « se proposer », « estimer », « planifier », « projeter », « devoir » et « pouvoir », de même que l'emploi du futur ou du conditionnel ainsi que de mots et d'expressions semblables dénotent généralement des déclarations prospectives.
De par leur nature même, les déclarations prospectives reposent sur des hypothèses et font l'objet d'incertitudes et de risques intrinsèques qui entraînent la possibilité que nos prédictions, prévisions, projections, attentes ou conclusions se révèlent inexactes, que nos hypothèses s'avèrent erronées et que nos déclarations prospectives, y compris les déclarations relatives à l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la Banque Royale du Canada, ne se matérialisent pas. Nous avertissons les lecteurs de ne pas se fier indûment à ces déclarations, puisque nos résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes exprimées dans ces déclarations prospectives en raison d'un certain nombre de facteurs de risques. Ces facteurs - dont plusieurs échappent au contrôle de RBC et dont les effets peuvent être difficiles à prévoir - comprennent : les risques de crédit, de marché, de liquidité et de financement, d'assurance, opérationnels, de conformité à la réglementation (qui pourraient nous assujettir à diverses poursuites pour motifs légaux ou réglementaires pouvant déboucher sur des contraintes réglementaires, des pénalités et des amendes) ; les risques stratégiques, réputationnels, concurrentiels, juridiques et réglementaires, et les risques systémiques et d'autres risques analysés dans les sections portant sur les risques et la section « Incidence de la pandémie de COVID-19 » de notre rapport annuel pour l'exercice financier terminé le 31 octobre 2021 (Rapport annuel 2021), notamment : les conditions commerciales et économiques ; les cyberrisques et les risques liés aux technologies de l'information ; les risques environnementaux et sociaux (y compris les changements climatiques) ; les perturbations et l'innovation numériques ; le marché résidentiel canadien et l'endettement des ménages ; l'incertitude géopolitique ; les risques liés à la confidentialité, aux données et aux tierces parties ; les changements de réglementation ; la culture et la déontologie ; l'incidence des modifications des politiques gouvernementales fiscales, monétaires et autres ; le risque fiscal et la transparence ; l'émergence de situations d'urgence sanitaire ou de crises de santé publique générales, comme des pandémies et des épidémies, y compris la pandémie de COVID-19 et ses répercussions sur l'économie mondiale, sur les marchés financiers, sur nos activités commerciales, et sur nos résultats, notre situation et nos objectifs financiers. De plus, alors que RBC travaille à la réalisation de ses objectifs liés au climat, des facteurs externes qui échappent à son contrôle raisonnable peuvent nuire à leur réalisation, notamment : les efforts de décarbonisation variables d'une économie à l'autre ; le besoin de politiques climatiques réfléchies dans le monde ; les données plus nombreuses et améliorées ; les méthodologies raisonnablement appuyées ; les avancées technologiques ; l'évolution du comportement des consommateurs ; la recherche d'un équilibre entre les objectifs intermédiaires de réduction des émissions et une transition ordonnée et juste, et d'autres considérations importantes, notamment les obligations légales et réglementaires.
Nous tenons à préciser que la liste susmentionnée de facteurs de risque n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Les investisseurs et autres personnes qui se fient à nos déclarations prospectives pour prendre des décisions à notre égard doivent bien tenir compte de ces facteurs et d'autres incertitudes et événements potentiels. Les hypothèses économiques importantes qui sous-tendent les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué sont présentées à la rubrique « Examen de la conjoncture économique, des marchés et du contexte réglementaire et perspectives » et, pour chacun de nos secteurs d'exploitation, aux rubriques « Priorités stratégiques » et « Perspectives » de notre rapport annuel 2021. À moins que la loi ne l'exige, nous ne nous engageons pas à mettre à jour quelque déclaration prospective que ce soit qui est faite dans le présent communiqué.
Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs et sur d'autres facteurs se trouvent dans les sections portant sur les risques et la section « Incidence de la pandémie de COVID-19 » de notre rapport de gestion 2021.
SOURCE Banque Royale du Canada
Personne-ressource, investisseurs : Asim Imran, Relations avec les investisseurs, [email protected], 416 955-7804; Personne-ressource, médias : Fiona McLean, Communications, [email protected], 437 778-3506
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