TORONTO, le 12 oct. 2012 /CNW/ - La Banque Royale du Canada (RY à la Bourse de Toronto et à la Bourse de New York) a annoncé aujourd'hui son intention, sous réserve de l'approbation du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) et de la Bourse de Toronto, de lancer une offre publique de rachat dans le cours normal des activités par l'intermédiaire de la Bourse de Toronto et de racheter, en vue de les annuler, jusqu'à 30 millions de ses actions ordinaires, ce qui représente environ 2,1 % des actions ordinaires en circulation de la Banque au 28 septembre 2012. Le 28 septembre 2012, la Banque comptait 1,444,700,692 actions ordinaires en circulation. La Banque compte déposer un avis d'intention auprès de la Bourse de Toronto à cet égard.
Les rachats pourront débuter le 1er novembre 2012, à condition que la Bourse de Toronto ait accepté l'avis d'intention, et pourront se poursuivre jusqu'au 31 octobre 2013. Le montant des rachats et le moment où ils auront lieu seront déterminés par la Banque ; toutefois, le nombre de rachats dans une même journée ne dépassera pas 634,500 actions ordinaires, ce qui représente 25 % du volume moyen des opérations quotidiennes à la Bourse de Toronto pour le semestre terminé le 28 septembre 2012. Les rachats en vertu de l'offre seront effectués exclusivement par l'intermédiaire de la Bourse de Toronto, conformément aux lois canadiennes et américaines sur les valeurs mobilières applicables. Les actions seront rachetées à leur cours à la Bourse de Toronto au moment du rachat.
Les rachats d'actions envisagés permettront à la Banque d'équilibrer ses impératifs de maintien de solides ratios de capital avec le besoin continu de générer de la valeur pour ses actionnaires. Au 31 juillet 2012, les ratios de capital de première catégorie et de capital total de la Banque s'établissaient à 13 % et à 15 %, respectivement.
Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Certaines déclarations contenues dans le présent communiqué de presse peuvent être réputées constituer des déclarations prospectives aux termes de certaines lois sur les valeurs mobilières, et notamment des dispositions prévoyant des « mesures refuges » (safe harbor) de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des États-Unis et de toutes les lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables. Ces déclarations prospectives comprennent notamment les déclarations concernant l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la Banque Royale du Canada. Les mots « peuvent », « pourraient », « devraient », « soupçonner », « perspectives », « croire », « projeter », « prévoir », « estimer », « s'attendre », « se proposer » et l'emploi du conditionnel et du futur ainsi que les mots et expressions semblables visent à dénoter des déclarations prospectives.
De par leur nature même, les déclarations prospectives reposent sur des hypothèses et font l'objet d'incertitudes et de risques intrinsèques qui entraînent la possibilité que nos prédictions, prévisions, projections, attentes ou conclusions se révèlent inexactes, que nos hypothèses s'avèrent erronées et que nos déclarations prospectives, y compris les déclarations relatives à l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la Banque Royale du Canada, ne se matérialisent pas. Nous déconseillons aux lecteurs de se fier indûment à ces déclarations, étant donné que nos résultats réels pourraient différer sensiblement des attentes exprimées dans ces déclarations prospectives en raison d'un certain nombre de facteurs de risque. Ces facteurs - dont plusieurs échappent à notre contrôle et dont les effets peuvent être difficiles à prévoir - comprennent : les risques de crédit, du marché, opérationnels, de liquidité et de financement, et d'autres risques expliqués à la rubrique Gestion du risque de notre rapport annuel aux actionnaires de 2011 de même que dans notre rapport aux actionnaires du troisième trimestre de 2012 ; la conjoncture commerciale, économique et financière générale au Canada, aux États-Unis et dans les autres pays où nous exerçons nos activités, y compris l'incidence de la crise de la dette souveraine en Europe ; les changements apportés aux normes, aux politiques et aux estimations comptables ; l'incidence des modifications des politiques gouvernementales fiscales, monétaires, économiques et autres ; l'incidence des modifications et des nouvelles interprétations apportées aux lignes directrices sur le ratio des fonds propres ajusté pour le risque et sur les liquidités ; l'incidence des modifications apportées aux lois et aux règlements ; les décisions judiciaires et réglementaires et les actions en justice ; et notre capacité de réussir la mise en oeuvre de nos stratégies.
Nous avisons les lecteurs que la liste des facteurs de risque qui précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient avoir un effet négatif sur nos résultats. Les personnes, et notamment les investisseurs, qui se fient à des déclarations prospectives pour prendre des décisions ayant trait à la Banque doivent bien tenir compte de ces facteurs et d'autres faits et incertitudes. Des renseignements supplémentaires sur ces facteurs et sur d'autres facteurs sont fournis dans les rubriques Gestion du risque et Aperçu d'autres risques de notre rapport annuel aux actionnaires de 2011, de même que dans la rubrique Gestion du risque de notre rapport aux actionnaires du troisième trimestre de 2012. À moins que la loi ne l'exige, nous ne nous engageons pas à mettre à jour quelque déclaration prospective que ce soit qui est faite dans le présent communiqué.
SOURCE : RBC (French)
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