Sauf indications contraires, tous les montants sont en dollars canadiens et se fondent sur les états financiers consolidés intermédiaires résumés (non audités) de la Banque pour le trimestre clos le 30 avril 2017 et sur les notes connexes préparés selon les Normes internationales d'information financière (IFRS). La version complète du rapport aux actionnaires du deuxième trimestre de 2017, y compris les états financiers intermédiaires (non audités) pour la période close le 30 avril 2017, est disponible sur le site de SEDAR, au www.sedar.com, et sur la section EDGAR du site de la SEC, au www.sec.gov. De plus, le rapport d'informations financières supplémentaires ainsi que le rapport aux actionnaires du deuxième trimestre de 2017 sont disponibles à la page Relations avec les investisseurs au www.banquescotia.com. |
Faits saillants du deuxième trimestre (contre ceux de T2 2016) |
Faits saillants du premier semestre (contre ceux du premier semestre de 2016) |
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Faits saillants du deuxième trimestre (contre ceux de T2 2016, compte non tenu de la charge de restructuration1) |
Faits saillants du premier semestre (contre ceux du premier semestre de 2016, compte non tenu de la charge de restructuration de T2 20161) |
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TORONTO, le 30 mai 2017 /CNW/ - La Banque Scotia a annoncé un bénéfice net de 2 061 millions de dollars pour son deuxième trimestre, comparativement à 1 584 millions de dollars pour la période correspondante de l'exercice précédent. Le bénéfice dilué par action s'est établi à 1,62 $, comparativement à 1,23 $ pour la période correspondante de l'exercice précédent. Le rendement des capitaux propres s'est élevé à 14,9 %, alors qu'il s'était établi à 12,1 % à la période correspondante de l'exercice précédent.
Au cours du deuxième trimestre de l'exercice précédent, la Banque a comptabilisé une charge de restructuration de 278 millions de dollars après impôt (378 millions de dollars avant impôt). Compte non tenu de l'incidence de cette charge au cours de l'exercice précédent, le bénéfice net et le bénéfice dilué par action ont augmenté de 11 %. Le rendement des capitaux propres s'est établi à 14,9 %, comparativement à 14,4 %.
« Les résultats du trimestre découlent des solides performances d'exploitation de nos trois secteurs d'activité », a déclaré Brian Porter, président et chef de la direction de la Banque Scotia. « Les efforts soutenus déployés afin d'améliorer l'expérience client, d'accélérer le virage numérique de la Banque et d'atteindre une plus grande efficience d'exploitation ont été les catalyseurs de cette performance.
« La lancée des Opérations internationales s'est poursuivie avec un bénéfice record pour le trimestre découlant surtout de la hausse des marges, du levier d'exploitation positif et des forts résultats au chapitre du crédit. Nos activités dans la région de l'Alliance du Pacifique ont affiché un rendement particulièrement vigoureux au cours du trimestre.
« Le Réseau canadien a connu un excellent trimestre, ce qui s'explique par la croissance robuste des actifs et des dépôts. Nous poursuivons nos investissements en vue d'accroître nos capacités numériques afin d'améliorer notre expérience client.
« Les Services bancaires et marchés mondiaux ont affiché un fort trimestre caractérisé par des résultats convaincants au titre de nos activités liées aux transactions et aux prêts aux entreprises ainsi qu'une nette amélioration de la qualité du crédit.
« Le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 de la Banque est demeuré solide à 11,3 %. La bonne tenue des ratios de fonds propres a permis à la fois d'appuyer notre capacité à investir dans la Banque et à la faire croître, de verser des dividendes plus généreux et d'effectuer des rachats d'actions.
« D'un point de vue global, nous sommes ravis de l'élan dont profite le bénéfice lié à nos principales activités, lequel nous permet de continuer à effectuer des investissements dans l'ensemble de la Banque pour simplifier la vie de nos clients lorsqu'ils font affaire avec nous. »
1 Se reporter à la section «Mesures non conformes aux PCGR». |
Résultats financiers
Les résultats du deuxième trimestre de 2017 sont les suivants :
Pour les trimestres clos les |
Pour les semestres clos les |
||||||||||
30 avril |
31 janvier |
30 avril |
30 avril |
30 avril |
|||||||
(non audité)(en millions de dollars) |
2017 |
2017 |
2016 |
2017 |
2016 |
||||||
Revenus d'intérêts nets |
3 728 |
$ |
3 643 |
$ |
3 518 |
$ |
7 371 |
$ |
7 037 |
$ |
|
Revenus autres que d'intérêts |
2 853 |
3 225 |
3 076 |
6 078 |
5 922 |
||||||
Total des revenus |
6 581 |
6 868 |
6 594 |
13 449 |
12 959 |
||||||
Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances |
587 |
553 |
752 |
1 140 |
1 291 |
||||||
Charges autres que d'intérêts |
3 601 |
3 689 |
3 817 |
7 290 |
7 385 |
||||||
Charge d'impôt sur le résultat |
332 |
617 |
441 |
949 |
885 |
||||||
Bénéfice net |
2 061 |
$ |
2 009 |
$ |
1 584 |
$ |
4 070 |
$ |
3 398 |
$ |
|
Bénéfice net attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle dans des filiales |
64 |
61 |
61 |
125 |
117 |
||||||
Bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de la Banque |
1 997 |
1 948 |
1 523 |
3 945 |
3 281 |
||||||
Actionnaires privilégiés |
32 |
39 |
34 |
71 |
62 |
||||||
Actionnaires ordinaires |
1 965 |
$ |
1 909 |
$ |
1 489 |
$ |
3 874 |
$ |
3 219 |
$ |
|
Bénéfice par action ordinaire (en dollars) |
|||||||||||
De base |
1,63 |
$ |
1,58 |
$ |
1,24 |
$ |
3,21 |
$ |
2,68 |
$ |
|
Dilué |
1,62 |
$ |
1,57 |
$ |
1,23 |
$ |
3,19 |
$ |
2,66 |
$ |
Mesures non conformes aux PCGR
Pour évaluer sa performance, la Banque a recours à diverses mesures financières. Certaines d'entre elles ne sont pas calculées selon les principes comptables généralement reconnus (les « PCGR »), lesquels sont fondés sur les Normes internationales d'information financière (les « IFRS »), ni définies par les PCGR. Ces mesures n'ont aucune signification normalisée qui assurerait qu'elles sont cohérentes et comparables à celles du même nom ou à des mesures semblables utilisées par d'autres sociétés. La Banque est d'avis que certaines mesures non conformes aux PCGR sont utiles pour évaluer la performance sous-jacente des activités lecteur de mieux comprendre comment la direction évalue la performance. Ces mesures non conformes aux PCGR sont utilisées dans le présent communiqué de presse et elles sont définies dans le Rapport aux actionnaires du deuxième trimestre de 2017.
Ajustements au titre de la charge de restructuration du deuxième trimestre de 2016 :
Le tableau suivant illustre l'incidence de la charge de restructuration de 378 millions de dollars avant impôt (278 millions de dollars après impôt1)) engagée au cours du deuxième trimestre de 2016.
Pour le trimestre clos le 30 avril 2016 |
Pour le semestre clos le 30 avril 2016 |
|||||||||||
Montant présenté |
Charge de restructuration |
Montant ajusté |
Montant présenté |
Charge de restructuration |
Montant ajusté |
|||||||
Bénéfice net (en millions de dollars) |
1 584 |
$ |
278 |
$ |
1 862 |
$ |
3 398 |
$ |
278 |
$ |
3 676 |
$ |
Bénéfice dilué par action |
1,23 |
$ |
0,23 |
$ |
1,46 |
$ |
2,66 |
$ |
0,23 |
$ |
2,89 |
$ |
Rendement des capitaux propres |
12,1 |
% |
2,3 |
% |
14,4 |
% |
13,0 |
% |
1,1 |
% |
14,1 |
% |
Ratio de productivité |
57,9 |
% |
(5,7) |
% |
52,2 |
% |
57,0 |
% |
(2,9) |
% |
54,1 |
% |
1) Montant calculé selon les taux d'impôt prévus par la loi des divers territoires. |
Données par secteurs d'exploitation
Réseau canadien
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 971 millions de dollars, en baisse de 6 millions de dollars ou de 1 %. Après ajustement pour exclure le profit sur la sortie d'une entreprise de crédit-bail non essentielle (le « profit sur la sortie ») au cours de l'exercice précédent, le bénéfice net a augmenté de 94 millions de dollars ou de 11 %, dont une tranche de 6 % est le résultat d'un profit accru sur la vente de biens immobiliers. L'excellente croissance des actifs et des dépôts a été atténuée par une hausse des charges autres que d'intérêts et de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances.
Comparativement au trimestre précédent, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a reculé de 10 millions de dollars ou de 1 %, en raison surtout de la diminution des revenus d'intérêts nets puisque le trimestre comptait trois jours de moins, facteur contré en partie par la croissance des actifs et la légère augmentation des profits sur la vente de biens immobiliers.
Pour le premier semestre, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est élevé à 1 952 millions de dollars, ce qui représente une amélioration de 100 millions de dollars, ou de 5 %. Après ajustement pour exclure un profit sur la sortie, le bénéfice net s'est accru de 200 millions de dollars ou de 11 %, dont une tranche de 5 % découle de la hausse des profits sur la vente de biens immobiliers. L'excellente croissance des actifs et des dépôts a été atténuée par une hausse des charges autres que d'intérêts et de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances.
Opérations internationales
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 595 millions de dollars, soit une hausse de 19 %. Cette hausse reflète la hausse de la marge nette sur intérêts, le levier d'exploitation positif et la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances moindre, contrebalancés par l'incidence défavorable de la conversion des devises.
Par rapport au trimestre précédent, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a progressé de 3%. La progression traduit la forte croissance des actifs et la hausse de la marge nette sur intérêts, atténuées par la hausse de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et la diminution des profits sur les activités de transactions et sur titres.
Pour le premier semestre, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est accru de 17 %. Cette hausse traduit la hausse de la marge nette sur intérêts, le levier d'exploitation positif et la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances moindre, contrebalancés par l'incidence défavorable de la conversion des devises.
Services bancaires et marchés mondiaux
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 517 millions de dollars, un bond de 194 millions de dollars ou de 60 %, en raison essentiellement d'une augmentation de l'apport des capitaux propres, des titres à revenu fixe et des activités de prêts aux États-Unis ainsi que de la baisse de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances. L'augmentation des revenus tirés des capitaux propres s'explique avant tout par la hausse des activités de transactions réalisées par les clients, lesquelles ont compté pour environ 40 % de la croissance du bénéfice d'un exercice à l'autre. Ces facteurs ont été neutralisés en partie par la diminution des résultats des services bancaires d'investissement et des activités liées aux marchandises.
Comparativement au trimestre précédent, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a progressé de 48 millions de dollars ou de 10 %. Cette progression traduit l'augmentation des revenus tirés des capitaux propres liée surtout à la hausse des activités de transactions réalisées par les clients ainsi que la diminution des charges. Ces facteurs ont été en partie contrebalancés par la baisse des transactions sur titres à revenu fixe et le recul des revenus tirés des métaux précieux.
Pour le premier semestre, le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 986 millions de dollars, une poussée de 297 millions de dollars ou de 43 %, en raison essentiellement d'une forte augmentation de l'apport des titres à revenu fixe, des capitaux propres et des activités de prêts en Europe ainsi que de la baisse de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances. Ces facteurs ont été atténués par la hausse des charges autres que d'intérêts.
Autres
La perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établie à 86 millions de dollars, contre une perte nette de 277 millions de dollars ou un bénéfice net de 1 million de dollars, après ajustement pour exclure la charge de restructuration de 278 millions de dollars (378 millions de dollars avant impôt) enregistrée à l'exercice précédent. La diminution est principalement attribuable au recul du profit net sur les titres de placement, à la diminution des profits sur la vente de biens immobiliers, à l'incidence défavorable de la conversion des devises (y compris les couvertures) et à la hausse des charges autres que d'intérêts. Ces facteurs ont été atténués par la croissance des comptes de correction de valeur collectifs sur les prêts productifs au cours de l'exercice précédent. La diminution des revenus autres que d'intérêts et la hausse des économies d'impôt sur le résultat traduisent essentiellement l'élimination plus importante de la majoration des revenus exonérés d'impôt au cours du trimestre à l'étude.
Par rapport au trimestre précédent, la perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établie à 86 millions de dollars au cours du deuxième trimestre, contre 78 millions de dollars au trimestre précédent. La hausse des charges autres que d'intérêts et l'incidence défavorable de la conversion des devises (y compris les couvertures) ont été atténuées par la croissance de l'apport des activités de gestion de l'actif et du passif et par la hausse du profit net sur les titres de placement. La diminution des revenus autres que d'intérêts et la hausse des économies d'impôt sur le résultat traduisent essentiellement l'élimination plus importante de la majoration des revenus exonérés d'impôt au cours du trimestre à l'étude.
Pour le premier semestre, la perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établie à 164 millions de dollars, contre une perte nette de 265 millions de dollars au cours de l'exercice précédent, ou un bénéfice net de 13 millions de dollars après ajustement pour exclure la charge de restructuration de 278 millions de dollars après impôt (378 millions de dollars avant impôt). La diminution du profit net sur les titres de placement, la hausse des charges autres que d'intérêts et l'incidence défavorable de la conversion des devises (y compris les couvertures) ont été contrebalancées en partie par la croissance des comptes de correction de valeur collectifs sur les prêts productifs au cours de l'exercice précédent. La diminution des revenus autres que d'intérêts et la hausse des économies d'impôt sur le résultat découlent essentiellement de l'élimination plus importante de la majoration des revenus exonérés d'impôt au cours du trimestre à l'étude.
Risque de crédit
La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 587 millions de dollars, en baisse de 165 millions de dollars ou de 22 %. La diminution des dotations au titre des prêts aux entreprises du secteur de l'énergie des Services bancaires et marchés mondiaux et des Opérations internationales a été contrebalancée en partie par la hausse des dotations au titre des prêts aux particuliers du Réseau canadien et des Opérations internationales du fait de la croissance des produits dont l'écart est élevé. Les résultats de l'exercice précédent tiennent également compte d'une hausse de 50 millions de dollars du compte de correction de valeur collectif à l'égard des prêts productifs. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établi à 49 points de base, en baisse de 15 points de base.
Comparativement au trimestre précédent, la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a augmenté de 34 millions de dollars ou de 6%, ce qui s'explique d'abord et avant tout par la hausse des dotations au titre des prêts aux entreprises des Opérations internationales à l'égard de quelques comptes commerciaux à Puerto Rico et au Brésil. Les dotations au titre des prêts aux particuliers ont augmenté dans le Réseau canadien et les Opérations internationales du fait de la croissance des portefeuilles de même que de l'incidence défavorable de la conversion des devises. Ces facteurs ont été atténués par la baisse des dotations au titre des prêts aux entreprises du Réseau canadien et des Services bancaires et marchés mondiaux. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établi à 49 points de base, en hausse de 4 points de base.
Pour le premier semestre, la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 1 140 millions de dollars, soit une baisse de 151 millions de dollars ou de 12% qui est essentiellement attribuable à la diminution des dotations dans le secteur de l'énergie et à la hausse de 50 millions de dollars du compte de correction de valeur collectif à l'égard des prêts productifs lors de l'exercice précédent. Ces facteurs ont été contrebalancés par l'augmentation des dotations dans le Réseau canadien.
Ratios de fonds propres
Le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 de la Banque a atteint 11,3 % pour le trimestre, la forte autogénération de capital ayant été neutralisée par la croissance interne des actifs pondérés en fonction des risques et par les rachats d'actions aux termes de l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités de la Banque.
Au 30 avril 2017, le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1, le ratio de T1, le ratio total des fonds propres et le ratio de levier aux termes des dispositions d'adoption tout compris de Bâle III dépassaient amplement les exigences minimales.
Énoncés prospectifs
Nos communications publiques comprennent souvent des énoncés prospectifs verbaux et écrits. Le présent document renferme ce genre d'énoncés, qui peuvent également être intégrés à d'autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières du Canada ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou à toute autre communication. De tels énoncés sont formulés aux termes des règles d'exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995 et de toute loi pertinente sur les valeurs mobilières en vigueur au Canada. Les énoncés prospectifs peuvent comprendre, notamment, les énoncés formulés dans le présent document, dans le rapport de gestion de la Banque figurant dans son rapport annuel 2016 à la rubrique « Survol - perspectives », à la rubrique « Perspectives » se rapportant à la performance financière du groupe et à la rubrique « Perspectives » de chaque secteur d'exploitation, ainsi que dans tout autre énoncé concernant les objectifs de la Banque, les stratégies qu'elle emploie pour les atteindre, le contexte réglementaire dans lequel la Banque exerce ses activités, ses résultats financiers prévisionnels (y compris ceux relevant du domaine de la gestion du risque) et les perspectives à l'égard des activités de la Banque et de l'économie du Canada, des États- Unis et du monde entier. On reconnaît habituellement les énoncés prospectifs à l'emploi de termes ou d'expressions comme « croire », « prévoir », « s'attendre à », « avoir l'intention de », « estimer », « projeter », « pourrait augmenter » et « pourrait fluctuer » et autres expressions similaires ainsi que par la conjugaison des verbes au futur et au conditionnel comme « devrait » et « pourrait ».
De par leur nature, les énoncés prospectifs comportent de nombreuses hypothèses, des incertitudes et des risques inhérents, tant généraux que spécifiques, ainsi que le risque que les prédictions et autres énoncés prospectifs se révèlent inexacts. La Banque conseille aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces énoncés étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des estimations et intentions exprimées dans ces énoncés prospectifs en raison d'un certain nombre de facteurs importants dont plusieurs sont indépendants de sa volonté et dont l'incidence peut être difficile à prévoir. Ces facteurs sont notamment la conjoncture économique et financière au Canada et dans le monde; les variations des taux d'intérêt et des cours du change; les liquidités et le financement; une volatilité importante et les interruptions des marchés; le défaut de tiers de respecter leurs obligations envers la Banque et envers les sociétés membres de son groupe; les changements apportés à la politique monétaire; les modifications apportées aux lois et à la réglementation au Canada et ailleurs, notamment les changements apportés aux lois fiscales et lignes directrices relatives au capital au titre des risques et aux nouvelles directives de présentation de l'information et directives réglementaires en matière de liquidité, ou les interprétations qui en sont faites; les modifications apportées aux notes de crédit de la Banque, le risque d'exploitation (y compris les technologies) et le risque lié aux infrastructures; le risque de réputation; le risque que les modèles de gestion du risque de la Banque ne tiennent pas compte de tous les facteurs pertinents; l'exactitude et l'exhaustivité de l'information que la Banque reçoit sur sa clientèle et ses contreparties; la mise au point et le lancement de nouveaux produits et services en temps opportun sur des marchés réceptifs; la capacité de la Banque à étendre ses canaux de distribution existants, à en mettre sur pied de nouveaux et à en tirer des revenus; la capacité de la Banque à mener à terme ses acquisitions et ses autres stratégies de croissance et à intégrer les établissements acquis; les principales estimations comptables et l'incidence des modifications des conventions et des méthodes comptables utilisées par la Banque telles qu'elles sont décrites dans les états financiers annuels de la Banque (se reporter à la rubrique « Contrôles et méthodes comptables - Principales estimations comptable » figurant dans le rapport annuel 2016 de la Banque), et compte tenu des ajouts figurant dans le présent document; l'activité sur les marchés financiers mondiaux; la capacité de la Banque à recruter et à conserver des dirigeants clés; la confiance accordée aux tiers qui fournissent les composantes de l'infrastructure commerciale de la Banque; les changements imprévus aux habitudes de dépenses et d'épargne des consommateurs; les changements technologiques; la fraude perpétrée par des tiers en interne ou à l'extérieur de la Banque, notamment par l'utilisation inédite de nouvelles technologies pour commettre des fraudes à l'endroit de la Banque ou de ses clients; le risque accru de cybercriminalité, y compris le vol d'actifs, l'accès non autorisé à de l'information confidentielle ou des perturbations des activités; le regroupement du secteur des services financiers au Canada et dans le monde; la présence de nouveaux concurrents et des concurrents établis; les procédures judiciaires et réglementaires; les catastrophes naturelles, y compris, sans toutefois s'y limiter, les tremblements de terre et les ouragans et les perturbations des infrastructures publiques, notamment les réseaux de transports, de communications, d'électricité et d'eau; l'incidence éventuelle de conflits internationaux et autres événements, y compris les activités terroristes et les guerres; les incidences de maladies ou d'épidémies sur les économies locales, nationales ou internationale; de même que la capacité de la Banque à prévoir et à gérer les risques que comportent ces facteurs. Une grande partie des activités de la Banque consiste à consentir des prêts ou à affecter autrement ses ressources à certains secteurs, entreprises ou pays. Tout événement imprévu touchant ces emprunteurs, secteurs ou pays risque d'avoir une incidence défavorable importante sur les résultats financiers de la Banque, sur ses activités, sur sa situation financière ou sur ses liquidités. Ces facteurs, et d'autres encore, peuvent faire en sorte que la performance réelle de la Banque soit, dans une mesure importante, différente de celle envisagée par les énoncés prospectifs. Pour plus de renseignements, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Gestion des risques » figurant dans le du rapport annuel 2016 de la Banque.
Les hypothèses économiques importantes sous-jacentes aux énoncés prospectifs figurant dans le présent document sont présentées dans le rapport annuel 2016 à la rubrique « Survol - perspectives », compte tenu des ajouts figurant dans le présent document, ainsi qu'aux rubriques « Perspectives » de chaque secteur d'exploitation. Les rubriques « Perspectives » sont fondées sur les opinions de la Banque et leur réalisation est incertaine. Le lecteur est prié de tenir compte des facteurs susmentionnés à la lecture de ces rubriques. La liste des facteurs énoncés ci-dessus n'est pas une liste exhaustive de tous les facteurs de risques et autres facteurs potentiels pouvant avoir une incidence négative sur les résultats de la Banque. Lorsqu'ils se fient à des énoncés prospectifs pour prendre des décisions à l'égard de la Banque et de ses titres, les investisseurs et les autres personnes doivent se pencher diligemment sur ces facteurs, ainsi que sur d'autres incertitudes et éventualités. La Banque ne s'engage pas à mettre à jour les énoncés prospectifs verbaux ou écrits qui peuvent être faits de temps à autre par elle ou en son nom.
Le lecteur trouvera d'autres renseignements sur la Banque, y compris sa notice annuelle, sur le site Web de SEDAR, au www.sedar.com, ainsi que dans la section EDGAR du site Web de la SEC, au www.sec.gov.
Information à l'intention des actionnaires
Régime de dividendes et d'achat d'actions
Le régime de réinvestissement de dividendes et d'achat d'actions de la Banque Scotia permet aux actionnaires ordinaires et privilégiés d'acquérir d'autres actions ordinaires en réinvestissant leurs dividendes en trésorerie sans avoir à acquitter de frais de courtage ou d'administration.
Les actionnaires admissibles ont également la possibilité d'affecter, au cours de chaque exercice, une somme ne dépassant pas 20 000 $ à l'achat d'actions ordinaires supplémentaires de la Banque. Tous les frais liés à la gestion du régime sont à la charge de la Banque.
Pour obtenir des renseignements supplémentaires sur le régime, il suffit de communiquer avec l'Agent des transferts.
Site Web
Pour obtenir des renseignements concernant la Banque Scotia et ses services, visitez notre site Web, au www.banquescotia.com.
Conférence téléphonique et diffusion sur le Web
La conférence téléphonique sur les résultats trimestriels aura lieu le 30 mai 2017, à 8 h (heure normale de l'Est) et devrait durer environ une heure. Les parties intéressées sont invitées à accéder à la conférence directement, en mode écoute seulement, par téléphone, sans frais, au 416-847-6330 ou au 1-866-530-1553 (veuillez téléphoner 5 à 15 minutes à l'avance). Une diffusion audio sur le Web avec les diaporamas afférents sera accessible par l'intermédiaire de la page Relations avec les investisseurs, au www.banquescotia.com. Une période de questions suivra la présentation des résultats par la haute direction de la Banque Scotia.
Une transmission différée par téléphone de la conférence téléphonique sera disponible du 30 mai 2017 au 14 juin 2017, en composant le 647-436-0148 ou le 1-888-203-1112 (sans frais en Amérique du Nord) et en saisissant le code d'accès 9418653, suivi du carré (#). La diffusion audio sur le Web sera disponible sur le site Web de la Banque pendant trois mois.
Coordonnées
Investisseurs Banque Scotia Scotia Plaza, 44, rue King Ouest Toronto (Ontario) Canada M5H 1H1 Téléphone : 416-775-0798 Télécopieur : 416-866-7867 Courriel : [email protected] |
Médias Les demandes d'information des médias doivent être adressées au Téléphone : 416-866-6806 Télécopieur : 416-866-4988 Courriel : [email protected] |
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Actionnaires |
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Pour obtenir des renseignements sur un changement |
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Coagent de transfert (États-Unis) Computershare Trust Company N.A. 250 Royall Street Canton, MA 02021 U.S.A. Téléphone : 1-800-962-4284 |
Pour toute autre demande de renseignements, les actionnaires sont Banque Scotia Scotia Plaza 44, rue King Ouest Toronto (Ontario) Canada M5H 1H1 Téléphone : 416-866-4790 Télécopieur : 647-777-1184 Courriel : [email protected] |
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The Bank publishes its statements and Annual Report in both English and French, and makes every effort to provide them to Shareholders in the language of their choice. If you would prefer to receive shareholder communications in English, please contact Public, Corporate and Government Affairs, The Bank of Nova Scotia, Scotia Plaza, 44 King Street West, Toronto, Ontario, Canada, M5H 1H1. Please supply the mailing label you received, if possible, so we may adjust our records.
SOURCE Scotiabank
Jake Lawrence, Relations avec les investisseurs, Banque Scotia, (416) 866-5712; Kate Simandl, Communications mondiales de la Banque Scotia, (416) 866-6806
À propos de la Banque Scotia La Banque Scotia compte parmi les chefs de file du secteur bancaire au Canada et des fournisseurs de services financiers dans les Amériques. Nous sommes là pour l’avenir de tous. Nous contribuons à la réussite de nos clients, de leur famille et...
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